A Dijon, lors de l'acte 14, un Gilet jaune qui prenait des photos s'est fait violemment frappé à la tête, celle-ci heurtant le mur, mis en joue par un flashball. Il est de nouveau pris à partie et agressé par la police pour lui casser son appareil. Alors que de nouveau le black-out médiatique bat son plein sur le mouvement des Gilets jaunes, ou sur les violences policières, nous relayons ci-dessous une vidéo avec des ralentis. Le Gilet jaune va porter plainte de même que la LDH.
Crédits photos : © Infos Dijon
A Dijon, rue de la Préfecture, un Gilet jaune a de nouveau été victime de violences policières extrêmement brutales lors de l’acte 14 des Gilets jaunes. Boris, la victime gilet jaune explique dans sur France 3 région "suivre alors pacifiquement la manifestation et réaliser des photos."
"J’étais devant eux à prendre des photos", explique le Gilet jaune. Et ce jusqu’au moment où le Gilet jaune est frappé, sans aucune raison, par un policier. Le Gilet jaune explique à France 3 : "Je ne les ai pas cherchés, je ne les ai pas provoqués non plus. Depuis le début, j’étais devant eux à prendre des photos. Donc là, je pense que j’étais un peu la victime facile. Ce qui est désolant, c’est que c’est des gens qui sont censés représenter l’ordre et la loi."
Les images tournées initialement par un journaliste du site Infos Dijon ont été montées au ralenti par des Gilets jaunes. On y voit l’intégralité de la scène mis au ralenti ainsi que la scène suivant ou on voit qu’il est poursuivit pour lui casser son appareil photo. Le "syndicat" de police Alliance n’hésite pas à justifier les violences policières affirmant ... que "c’est une intervention normale". Une enquête serait cependant ouverte. De son côté, le Gilet jaune compte porter plainte de même que la LDH, choqué par ces violences policières.
Le reportage de France 3 Région :
Publié par REVOLUTION PERMANENTE