et ce sont toujours
les plus pauvres
qui paient l'addition
Le scandale du steak haché qui n'en est pas pour de l'argent chimiquement pur commence à ouvrir ses malles. Pas de surprises mais même habitué, quand c'est nauséabond, c'est puant.
Au moins une entreprise apparaît en surface de la fosse à lisier capitaliste (la Bretagne cponnait bien) responsable de ce sinistre épandage.
D'après Libé, En vitrine, une femme de paille portant 1/500 des parts de la société semble être à la manoeuvre qui visiblement, à voir son CV sur la toile, fréquente plus LVMH que les queues du Secours Catholique ).
En arrière salle, un affairistes plus affairiste que ses coactionnaires et institutions de la magouille pardisfiscalisée germée durant les grandes heures du colonialisme. Parmi son tableau de chasse, trois jours avant que ne sorte l'affaire au grand jour, il venait de faire un raid pour prendre la tête de Victoriat Invest (ex Electricité et Eaux de Madagascar).
La Boite logée à Loudéac (22), spécialiste du trafic commerce de viande de volaille entre l’Europe et l’Afrique permet de fourguer la matière première vers les pays pauvre et entre les côtes d'Armor et Jersey pour drainer la fraîche.
Voyant que la pauvreté devient un marché domestique, notre Candide des affaires a du se dire "et pourquoi ne pas cultiver notre jardin".
Il semblerait qu'une opération de rectification de trajectoire en visant les pauvres du vieux continent, rentabilité assurée par les financements via crédits publics (et donc garantie d'état maître des appels d'offre...la piste sera-elle explorée ?), avec en plus l'économie sur la logistique.
Un autre éclairage de ce que Canaille le Rouge se plait à chaque fois rappeler : le Capital c'est d'abord un rapport social , un rapport social d'exploitation.
La femme de paille risque de payer le prix fort via la maison d'arrêt de Rennes et les amendes, sa formation initiale démontre qu'elle pourra difficilement convaincre des juges ne pas savoir.
Parions que les 5.2 millions€ encaissés se font bronzer sur les plages d'un paradis fiscal et que le patron de la boite en question donne aux pauvres de sa paroisse à la quête du dimanche voir à donner pour reconstruire ND de Paris.