Les permanences de députés macronistes ont fait l'objet d'actes de vandalisme dans le Lot-et-Garonne, les Hautes-Pyrénées, la Haute-Saône ou encore dans la Creuse. Des agriculteurs anti-CETA ont revendiqué ces dégradations sur les réseaux sociaux.
Le traité de libre échange entre l'Union européenne et le Canada, plus connu sous l'acronyme CETA, a été approuvé le 23 juillet à l'Assemblée nationale par 266 voix contre 213. Reprochant à certains députés de la majorité présidentielle d'avoir ratifié un texte mettant en péril l'agriculture française, des travailleurs de ce secteur ont multiplié, dans les jours suivants, les actes de vandalismes aux abords de plusieurs permanences du parti LREM.
La Fédération départementale des syndicats d'exploitants agricoles (FDSEA) a, par exemple, posté le 25 juillet sur Twitter une image de son action réalisée à la permanence de la première circonscription de Haute-Saône, dans la ville de Vesoul. On y voit un mur de briques partiellement érigé devant la porte d'entrée du bâtiment.
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