Remettre le débat
sur ses deux pieds
A propos de la présence dans l'eau distribuée à la population d'éléments inoffensifs ou pas à partir des centrales nucléaires, la polémique se focalise sur le dosage "tolérable" ou pas, de dépassement ou pas.
La vrai question est-elle celle-ci ou bien de savoir s'il peut y avoir une tolérance "0", ce niveau "0" étant lié aux garanties de la sécurité, des conditions drastiques de conception, construction, entretient et de maintenance sur des critères non-marchands et donc les statuts des personnels, leur droit d'intervention à partir de ces critères non marchands pour maintenir les installations hors de toute possibilité de diffusion de pollutions chimiques ou radioactive dans l'activité des centrales.
La question est-elle la technologie ou les conditions de sa mise en oeuvre ? Les rayons utilisés en médecine sont-ils plus néfastes parce que radioactifs que l'arsenic parce que naturel de la mine de Salsigne ?
Ce ne sont que des questions qui sollicitent certes les scientifiques mais surtout le débat politique tant cela concerne les conditions systémiques et économiques d'usage des technologies.