L’engagement dans la grève reconductible de nombreux secteurs professionnels donne confiance et espoir pour gagner l’abandon du projet de réforme du système de retraite. Nombreux sont ceux qui souhaitent apporter leur soutien, leurs encouragements aux salariés en lutte en contribuant financièrement.
Ils montrent, ainsi, combien cette bataille est soutenue dans l’opinion publique.
La solidarité du monde du travail est essentielle pour tisser les liens face au gouvernement qui organise les divisions. La première des solidarités à développer est celle de la syndicalisation et de l’engagement dans la lutte dans son entreprise, avec ses collègues de travail, pour rejoindre en masse les rangs des salariés en lutte pour gagner le retrait de cette loi régressive.
Enfin, et parce que nombre de salariés et des citoyens veulent apporter leur soutien financier aux salariés engagés dans la grève reconductible, la Confédération Générale du Travail organise la solidarité financière qui leur sera entièrement dédiée avec une redistribution transparente entre les divers secteurs professionnels concernés.
Sur ce sujet, la CGT appelle ses organisations à la vigilance concernant certaines collectes dites « caisses de grève » organisées sans accord des secteurs professionnels engagés dans la bataille.
Deux manières de contribuer à la solidarité financière :
- Par chèque :
à l'ordre de « Solidarité CGT Mobilisation » adressé à :
"Confédération Générale du Travail Service Comptabilité"
263 rue de Paris
93100 Montreuil
- Par virement (informations bancaires dans le RIB en téléchargement sur le site de la CGT)
De son côté, la CGT-Cheminots organise également un fonds de solidarité pour les cheminots qui auront au moins 12 jours de grève retenus sur leurs salaires:
Les chèques doivent être adressés à la Fédération CGT des cheminots -263 rue de Paris, case 546 93515 Montreuil cedex - en précisant qu’il s’agit d’un « don de solidarité pour les grévistes ».
Autre moeurs dans ces actions contre la réforme des retraite à la sauce macron et qui était porté par le sieur Delevoye renvoyé sur une voie de garage parce que trop alourdi par toute une série de casseroles accrochée à son arrière-train. Sans jeu de mot. A remarquer toutefois que ledit Mossieu retraite du pouvoir des riches et du capital a toujours de quoi mettre du beurre dans le beurre de ses épinards.
Pour en revenir à autres moeurs, cette info libre et non faussée comme l'est le capital:
Si vous regardez quelque peu l'histoire sociale de la France, lors de grands mouvements sociaux, des municipalités se faisaient un devoir d'organiser des cantines gratuites aux enfants de grévistes ou des conditions sociales extraordinaires dans les CCAS pour les grévistes. La municipalité dite de gôche de la capitale a choisi manifestement le côté de la barricade tenu par le capital.
Publié par Le Mantois et Partout ailleurs