"L’homme est conducteur de bus sur la base militaire de Creil. À partir du 16 février, il a été hospitalisé à l’hôpital de Compiègne, dans l’Oise, pour un syndrome respiratoire aigu. Son état se dégradant, il a été admis en réanimation le 18 février. Les médecins se sont rapidement interrogés sur un possible coronavirus, en raison de son état et de son emploi sur la base de Creil. La rumeur courait alors que des militaires avaient participé aux convois de rapatriement des Français de la ville chinoise de Wuhan, épicentre du nouveau coronavirus. Seulement, le test leur a été refusé par l’établissement de référence, le CHU d’Amiens, car il ne répondait pas aux deux critères fixés par l’administration de la santé : revenir d’une zone à risque, ou avoir été en contact avec un cas confirmé de coronavirus. (...)"
Mais dans le désert médical qui frappe l'une des plus grandes puissances mondiales, la France, un ex-banquier d'affaires, justement aux affaires de ce pays, dégaine le 49-3 pour assouvir l'appétit du capital.
Mais, sans retourner le couteau dans la plaie, que faisiez-vous au temps chaud, en train de choisir entre la peste ou le choléra. Oui, que faisiez-vous donc?
Ce n'est pas pour autant qu'il ne faille pas réagir sur-le-champ aujourd'hui. A moins de considérer, comme l'Eglise catholique à Paris, de simplement assécher les bénitiers contre le coronavirus.
Et j'oubliais le foot fric qui s'adapte lui aussi à l'épidémie. Puisque les stades ne sont pas des endroits "confinés", le match PSG-Dijon s'est tenu hier à Paris. Mais gaffe, dans toute la Ligue 1, pris dans 20 minutes.fr: pas de poignée de main sur le stade ni de bonjour des joueurs aux spectateurs dans la zone mixte. Ah ça mais!