Enjeux peu lisibles, contexte pandémique, absence de syndicats dans ces entreprises peuvent expliquer une participation très faible. Mais « la liberté d'expression de ces salariés aura été mise à mal, en premier lieu par le gouvernement qui n'a pas été à la hauteur des enjeux de cette élection (trois modifications de la date du scrutin, des difficultés d'acheminement du matériel de vote, une communication quasi absente…), ce qui a largement entravé une campagne déjà très impactée par le contexte sanitaire », commente la CGT qui ne saurait s'en satisfaire. Elle propose par exemple « une période de vote commune à tout le salariat, permettant le vote physique ».
Par NVO