Dès lors, la Constitution le protège en tant que liberté souveraine et mode d'expression des travailleurs.
N'en déplaise à tous ses détracteurs dans les médias qui le dénigrent, eux qui sont très à l'aise sur leurs appointements et leurs conditions de travail pour ne jamais revendiquer de toute leur vie.
N'en déplaise donc aux chiens de garde du capital, le droit de grève est aussi le droit de désorganisation au travail, mais aussi dans la société dans les limites de la légalité.
Faire grève sans contrarier quelqu'un ou bousculer les choses, ce serait comme pisser sur un violon pour qu'il égrène l'Internationale. Et seul le juge, jamais un journaliste, protège le droit à la désorganisation effective du travail.
A bon entendeur, salut!
Publié par Le Mantois et Partout ailleurs