SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Vomi par la majorité du peuple français, très récemment bousculé comme aucun autre président de la République au salon de l'agriculture, incapable de formuler de manière cohérente une solution à l'actuelle crise des agriculteurs (sacrifiés soit dit en passant par la politique de soutien inconditionnel du régime de Kiev) Macron croit sans doute pouvoir trouver une compensation en pratiquant une surenchère mortifère à propos de la guerre en Ukraine.

Puisqu'il envisage en fait de nous entraîner dans une guerre directe avec le peuple russe en n'écartant pas la présence de troupes au sol occidentales -donc aussi françaises - pour tenter d'évter la débâcle de Zelenski qui se dessine.

IRRESPONSABILITE !

Plus que jamais nous devons exiger des négociations, une solution politique, l'arrêt de la fourniture d'armes qui ne fait qu'attiser l'incendie et une sortie de l'OTAN qui n'a jamais constitué un instrument de défense !

En exigeant aussi dans l'immédiat l'ouverture d'un débat au Parlement face à un président irresponsable doté par la constitution de pouvoirs exorbitants hors de tout véritable contrôle !

 

 

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Le Figaro

Guerre en Ukraine : Emmanuel Macron annonce la création d’une «coalition» pour fournir des «missiles et bombes»

 

Emmanuel Macron a listé cinq «catégories d'actions» faisant consensus : le cyber-défensif; la coproduction d'armements, de capacités militaires et de munitions en Ukraine ; la défense de pays menacés directement par l'offensive en Ukraine, comme la Moldavie ; la «capacité de soutenir l'Ukraine à sa frontière avec la Biélorussie avec des forces non militaires» et les opérations de déminage.

«Rien ne doit être exclu»

De plus, l'envoi de troupes occidentales au sol en Ukraine ne doit pas «être exclu» à l'avenir, a affirmé lundi Emmanuel Macron, estimant néanmoins qu'il n'y avait «pas de consensus» à ce stade pour cette hypothèse. «Il n'y a pas de consensus aujourd'hui pour envoyer de manière officielle, assumée et endossée des troupes au sol. Mais en dynamique, rien ne doit être exclu. Nous ferons tout ce qu'il faut pour que la Russie ne puisse pas gagner cette guerre», a expliqué le chef de l’État.

Le chef de l'Etat n'a pas souhaité en dire plus sur la position de la France sur cette question, évoquant une «ambigüité stratégique que j'assume». Mais «je n'ai absolument pas dis que la France n'y était pas favorable», a-t-il prévenu. «Je ne lèverai pas l'ambiguïté des débats de ce soir en donnant des noms. Je dis que ça a été évoqué parmi les options», a-t-il ajouté.

Cette option n'avait jusque là jamais été mentionnée par la France. Interrogé à la sortie de la réunion à l'Elysée, le premier ministre néerlandais Mark Rutte a lui assuré que cette question de l'envoi de troupes au sol n'avait pas été à l'ordre du jour. «Beaucoup de gens qui disent Jamais, jamais aujourd'hui étaient les mêmes qui disaient Jamais des tanks, jamais des avions, jamais des missiles à longue portée il y a deux ans», a néanmoins poursuivi Emmanuel Macron. «Ayons l'humilité de constater qu'on a souvent eu six à douze mois de retard. C'était l'objectif de la discussion de ce soir: tout est possible si c'est utile pour atteindre notre objectif».

Le président français a néanmoins rappelé que les alliés de l'Ukraine n'étaient «pas en guerre avec le peuple russe», mais qu'ils ne voulaient «simplement pas les laisser gagner en Ukraine».

Soutenir l’effort de guerre

Plusieurs pays européens soutiennent l'initiative tchèque pour que l'UE achète des munitions hors d'Europe pour davantage soutenir l'effort de guerre ukrainien, ont déclaré des participants à une réunion sur l'Ukraine lundi à Paris. «L'initiative tchèque jouit d'un grand soutien de la part de plusieurs pays», a déclaré le premier ministre tchèque Petr Fiala à la sortie de cette réunion qui a rassemblé au palais présidentiel de l'Élysée plus de 25 pays alliés de Kiev.

«C'est un message très fort envoyé à la Russie», a déclaré le dirigeant, assurant que quinze pays étaient prêts à rejoindre cette initiative qui vise à répondre à la pénurie de munitions, notamment d'obus d'artillerie, pour l'Ukraine. Le premier ministre néerlandais Mark Rutte a affirmé que son pays contribuerait au plan tchèque à hauteur de «plus de 100 millions d'euros» et que «d'autres pays allaient suivre» cette voie. «Sur les munitions, il y a cette très bonne initiative tchèque qui consiste à acheter des munitions et des obus à travers le monde pour l'Ukraine», a expliqué M. Rutte.

Publié par FSC

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