Les avancées sociales pour les travailleurs ne sont jamais tombées du ciel. Elles n’ont jamais été un cadeau du patronat ou de l’État à sa botte. Elles n’ont jamais été offerte par un tribun arrivé au pouvoir de n’importe quelle manière.
Les progrès, que ce soit en terme de salaires, de repos, de garanties pour leur santé ou leur retraite, ont toujours été acquis par l’organisation des travailleurs. Le rapport de force qu’elle crée permet de faire plier le patronat, soit directement par de grandes grèves, soit par la peur de celles-ci.
Sans nous, aucune richesse n’est produite, sans nous, ils ne sont rien. Ils le savent et manœuvrent continuellement pour nous empêcher de nous organiser, pour nous diviser, nous empêcher de gagner de nouveaux droits et nous reprendre ceux durement acquis.
Pour un meilleur avenir, pour nos enfants, recommençons à nous unir, préparons-nous, pour à nouveau frapper fort et reprendre ce qui nous appartient !