Dans une lettre envoyée à la presse régionale, l'ex-gérant d'une grande banque d'affaires, réélu à l'Elysée par on ne sait plus par qui, fixe SES conditions pour nommer un nouveau ministre de son choix.
En écartant le Nouveau front populaire, Macron tente un coup de force anti-démocratique avec une coalition de droite à sa botte. Façon d'être toujours le maître des horloges pour une politique réactionnaire et donc anti-sociale.
L’annonce vise également à maintenir au pouvoir le gouvernement actuel jusqu’à l’émergence de la coalition de son choix exclusif.
Macron a sauvé les meubles lors de ses législatives, par la grâce des désistements anti-extrême droite, avec 163 députés élus de son ex-majorité. Dès lors, si le NFP venait à gouverner, en cohabitation avec le président de notre mauvaise république héritée depuis 1958 par le général de Gaulle, politicien éminemment de droite, les luttes dans les entreprises et la rue ne devront pas rester aux abonnés absents.
Qu’il s’agisse de nos revendications immédiates sur l'augmentation salariales et des pensions de retraite ou de l'abrogation de l'âge de la retraite aux calendes grecques, ne plaçons notre confiance que dans l'action, dans nos propres forces de progrès et de justice sociale.
Publié par Le Mantois et Partout ailleurs