SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Il ont réussi... la généralisation de la précarité
par Alessandro Vitagliano

Des réformes du droit du travail, en Espagne et Italie, ont été réalisées pour le plus grand profit des employeurs et des actionnaires, qui n’ont pas vraiment enrayé la hausse du chômage et de la précarité.
Voici le témoignages sur la réalité de ces réformes de deux syndicalistes : Susanna Camusso de la CGIL (Italie) et Ignacio Fernandez Toxio des CCOO (Espagne),

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

RASSEMBLEMENT,SOLIDARITE DEVANT CHEZ WEBHELP CE LUNDI 4 AVRIL 2016 A 13 HEURES.

La CGT Compiègne appelle tous les militants,les syndiqués,tous ceux qui combattent les injustices à se rassembler pour soutenir notre camarade Bélinda menacé de licenciement.

L'inspectrice du travail Stéphanie Lassalle va rendre sa décision lundi 4 avril à la direction de Webhelp sur le sort de Bélinda Hafir

Rappel des faits :
WEBHELP COMPIEGNE ET LA CFDT : C’EST L’AMOUR…
Surtout depuis que la CGT FAPT a fait 36% des voix lors des dernières élections professionnelles. En effet, avant la CFDT était seule dans l’entreprise, tranquille pour collaborer avec la direction locale. En décembre 2015, lorsque la section CGT, emmenée par sa déléguée syndicale et déléguée du personnel Belinda, a fait grève durant une journée et gagné des augmentations de salaire, des CDI et une amélioration des conditions de travail, cela n’a pas plu à la CFDT. Leur hégémonie était sérieusement remise en cause par cette victoire de la CGT. Depuis ce mouvement, la direction du site a tout fait pour se débarrasser de la CGT et, plus particulièrement, de sa représentante la plus combative : Belinda Hafir .
LORSQU’IL S’AGIT D’ATTAQUER BELINDA…
Depuis cette lutte, Belinda ne cesse d’être la cible d’attaques. Devant les vexations que sa direction lui a fait subir, y compris en la privant de matériel adapté (Belinda étant RQTH-Reconnaissance en Qualité de Travailleur Handicapé), elle a du faire valoir son droit de retrait. Les pressions insupportables ont fini par attirer l’attention de l’Inspection du Travail qui a diligenté une enquête. L’épreuve suivante pour Belinda fut une convocation, à peine les NAO débutées, à un entretien préalable au licenciement le mardi 9 février pour des faits relevant de sa vie privée (un différend de voisinage). Entretien durant lequel la direction lui a reproché d’avoir eu l’intention de fauter… même si la faute n’a pas eu lieu : Ils sont forts chez Webhelp !!!
ET CELA JUSQU'AU LICENCIEMENT QUE LA CFDT A VOTE
Le vendredi 12 février s’est réuni le CE (Comité d'Entreprise) de Webhelp Compiègne pour décider du sort de Belinda. Résultat, après avoir fait sortir de la salle le seul élu CFDT qui voulait s’opposer au licenciement de Belinda pour le faire remplacer par son suppléant, les 4 élus CFDT ont voté pour le licenciement de la déléguée syndicale CGT. En tout, sur les 6 élus, 4 ont voté pour le licenciement, 4 soit disant représentants du personnel, 4 de la CFDT qui ont sciemment collaboré avec leur direction : C’est une véritable honte pour le mouvement syndical victime, actuellement, d’attaques ignobles, que ce soit chez Good Year, Air France et ailleurs. Désormais, la CFDT Webhelp Compiègne s’allie à ce mouvement de répression contre les libertés syndicales en soutenant les agissements d’un PATRON VOYOU (déjà CONDAMNE à plusieurs reprises lors d'actions engagées devant les Prud’hommes par la CGT). Belinda attend maintenant la décision de l'Inspection du Travail qui doit trancher.
Saluons le courage de Bélinda face à cette épreuve
Fraternellement
La CGT Compiègne

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Archives,  2 juillets 2015. En quittant ses postes de députés et maire, Xavier Bertrand s'est assis sur une rémunération de 8300 euros bruts plus l'IRFM. Olivier Corsan / Le Parisien

En refusant de sacrifier au cumul des mandats, Xavier Bertrand s'est rendu compte qu'il avait perdu de l'argent.

  Aussitôt élu nouveau président de la région Nord-Pas-de-Calais-Picardie, l'ancien ministre de Nicolas Sarkozy avait juré la main sur le cœur que c'en était fini de la vieille politique et abandonné ses mandats de député de l'Aisne et de maire de Saint-Quentin, pour mieux se consacrer, disait-il, à son nouveau poste. Il n'avait conservé que son mandat de conseiller municipal.
 
L'ennui pour lui, c'est que ce changement de carrière politique s'accompagnait d'une perte de revenu. Pour y remédier, Xavier Bertrand a donc fait voter fin janvier une augmentation de 4 000 euros bruts pour le président de l'agglomération de Saint-Quentin, un poste pour lequel il ne touchait rien jusqu'à présent, rapporte La Voix du Nord ce jeudi. Avant ce vote, la somme était répartie entre les vice-présidents de la communauté d'agglomération, qui ont par conséquent perdu 2 000 euros sur leur feuille de salaire. Pour la petite histoire, ce sont eux qui ont voté pour l'augmentation de leur président.

«Je suis 5 % en dessous du maximum»

Il faut dire qu'avant d'être élu président de région, Xavier Bertrand gagnait 8 300 euros bruts par mois, sans compter l'indemnité représentative des frais de mandat (IRFM) des députés, d'un montant de 5770 euros bruts. Des sommes auxquelles il faut ajouter les avantages comme la gratuité des voyages en train, douze vols en France par an, la retraite... Trop à l'époque pour prétendre à un supplément de l'agglomération de Saint-Quentin, la rémunération des élus étant plafonnée.

En devenant seulement président du Nord-Pas-de-Calais-Picardie, l'élu Les Républicains ne touchait plus «que» 5239 euros bruts. De quoi lui laisser un peu de marge avant d'atteindre le plafond autorisé. «Si j’étais resté député (ndlr : il le pouvait jusqu’en 2017), ma situation aurait été plus confortable car je percevrais les mêmes indemnités, mais l’IRFM en plus», rappelle l'élu au quotidien du Nord. « Et je précise que je suis 5 % en dessous du maximum», insiste-t-il. Si Xavier Bertrand s'était prononcé contre le cumul des mandats, ce n'était visiblement pas à n'importe quel prix.

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Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
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