SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

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Vous avez dit essoufflement ???!!!

"Manifestation à la Gare de Compiègne jeudi 19 mai à 11H00"

Jeudi 19 mai, près de 400 000 personnes ont rejoint les manifestations contre la loi Travail, soit près du double de mardi dernier, des dizaines de milliers d’autres étaient sur les barrages et les piquets de grève. 6 raffineries sur 8 sont arrêtées ; la grève est reconduite dans des ports comme Nantes-Saint Nazaire ou Rouen ;
1 cheminot sur 3 est en grève ; chez Rhodia, 16 sites sur 18 sont en grève, les salarié-e-s des aéroports de Paris sont en grève reconductible, la mobilisation des routiers s’étend... Et ce ne sont que quelques exemples !

Et le Premier Ministre ose parler d’essoufflement ! Il ose s’interroger sur la pertinence des manifestations ! Les salarié-e-s, vent debout contre la loi Travail, les 70% de la population opposés au projet de loi, les milliers de manifestants bravant les discours alarmistes sur les manifs viennent de lui apporter une réponse magistrale.

Ils ont pris leurs responsabilités, ce qui est loin d’être le cas du gouvernement.

Oui, irresponsable de parier sur le pourrissement d’un mouvement !

Oui, irresponsable d’entretenir un climat anxiogène !

Oui, irresponsable de dresser les citoyens les uns contre les autres !

Oui, irresponsable de s’obstiner à vouloir imposer une loi qui fait l’objet d’un tel rejet !

Que dire enfin du Premier Ministre qui voudrait opposer manifestations sociales et initiatives sportives et culturelles. Toutes doivent pouvoir se dérouler sans limitation des libertés individuelles et collectives.

Les travailleur-euses, les retraité-e-s, les privé-e-s d’emploi ont le droit de faire entendre leur voix en toute sécurité ! C’est ça l’Etat de droit, c’est ça la démocratie !

Monsieur Valls, cessez vos provocations, n’ayez pas peur du débat, ne perdez pas votre sang froid !

La CGT continuera pour sa part à prendre ses responsabilités, avec pour volonté, dans le cadre unitaire le plus large possible, le retrait de la loi Travail. Sa détermination est entière. Elle appelle l’ensemble des salarié-e-s à poursuivre la mobilisation, à se rassembler en assemblées générales, à participer aux grèves et manifestations.

Ensemble, gagnons le retrait de la loi Travail et la conquête de nouveaux droits, un code du travail du XXIème siècle.

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COMPIÈGNE Le ton monte d’un cran contre la loi travail
COMPIÈGNE Le ton monte d’un cran contre la loi travail
COMPIÈGNE Le ton monte d’un cran contre la loi travail
COMPIÈGNE Le ton monte d’un cran contre la loi travail
COMPIÈGNE Le ton monte d’un cran contre la loi travail
COMPIÈGNE Le ton monte d’un cran contre la loi travail
COMPIÈGNE Le ton monte d’un cran contre la loi travail
COMPIÈGNE Le ton monte d’un cran contre la loi travail
COMPIÈGNE Le ton monte d’un cran contre la loi travail
COMPIÈGNE Le ton monte d’un cran contre la loi travail

Entre 230 et 500 manifestants, selon la police ou la CGT, ont protesté ce jeudi 19 mai à Compiègne contre la loi travail. Deux incidents ont marqué la manifestation.

Constitué depuis 10 heures devant la sous-préfecture de Compiègne, le cortège s’est mis en marche vers 10h30 en direction du centre-ville. Ils étaient environ 230 à défiler contre la loi travail, à l’appel de plusieurs syndicats, ce jeudi 19 mai.

Quelques pneus incendiés

En route vers la gare, le cortège a fait une pause sur le pont Solférino, bloquant la circulation. Quelques pneus ont été incendiés sur l’ouvrage, nécessitant l’intervention des pompiers. « C’est le signe que la tension continue de monter  », a commenté un manifestant. «  La loi travail, on n’en veut pas, la loi travail, c’est Germinal  », résonne dans les haut-parleurs.

Des manifestants sur les voies en gare de Compiègne

Une fois arrivée à la gare de Compiègne, alors qu’il était prévu que le cortège passe son chemin, la grande majorité des manifestants a investi le hall, puis le quai, puis les rails de la voie numéro 2, celle où circulent notamment les trains de la ligne Paris-Saint-Quentin. À ce moment de la manifestation, la CGT estime qu’environ 500 personnes participaient. La police évoque plutôt 250 protestataires.

Les manifestants sont restés un peu plus d’une heure. Un agent de la SNCF est venu les prévenir : «  C’est un délit d’entrave à la circulation. » Des chants lui ont répondu. Alors que des policiers arrivaient en renfort, un homme rigole en regardant les cailloux sur les voies : «  Les pavés sont vachement plus petits qu’à la Sorbonne !  » Un autre répond : «  Oui, mais y’en a beaucoup plus !  ».

La manifestation s’est achevée dans le calme

Finalement, pas d’affrontement. Le cortège a quitté la gare tranquillement, sous le regard noir des passagers privés de leur train. Le cortège a ensuite rejoint calmement le cours Guynemer, en franchissant une nouvelle fois le pont Solférino. Un petit blocage de la circulation, et la manifestation s’est achevée dans le calme.

 

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Lacroix-Saint-Ouen : chasse aux sorcières après la grève chez Webhelp ?

Webhelp n’en a pas fini avec les conflits sociaux. Après l’accord de sortie de crise signé le 27 avril au bout de vingt jours de grève sur le site du centre d’appels de Lacroix-Saint-Ouen, la CGT appelle à un nouveau débrayage, jeudi matin.

En cause : plusieurs dizaines de courriers reçus ce mardi par des salariés qui ont participé au dernier mouvement et les convoquant à des entretiens préalables à d’éventuels licenciements pour des fautes graves.

« Cela me conforte dans l’idée que ce sont des patrons voyous, revanchards après l’accord que nous avons obtenu car la prime d’intéressement va s’étendre à l’ensemble des sites Webhelp », tempête Jérôme Pottier, secrétaire général de la CGT FAPT (fédération des activités postales et de télécommunications).

Bélinda Hafir, représentante du syndicat au sein de l’entreprise, lettres en main, énumère : « Elle, elle m’a soutenue. Tous les jours elle était avec moi. Elle aussi, elle aussi… » Jérôme Pottier poursuit : « Nous n’avons pas le détail de ce qui est reproché mais, à tous les coups, ils sont allés chercher des retards. Sur un mois, ils ne peuvent licencier plus de sept personnes mais ils vont vouloir faire des exemples. Pourtant, dans l’accord, la direction s’engageait à ne pas faire de représailles. »

Une promesse qu’assure respecter Ferdinand Chauchat, le directeur du site de Lacroix-Saint-Ouen : « Les représailles, ça aurait été de ne pas accorder des heures supplémentaires, par exemple, à un gréviste ». Les lettres de convocation envoyées en vague ? « C’est habituel. Nous avons 98 % de nos 700 salariés qui travaillent bien, ils ne comprendraient pas qu’on ne sanctionne pas ceux qui ne travaillent pas bien. Il y a aussi des non grévistes dans le lot. La grève avait retardé l’envoi de ces courriers. »

Cinq retards de suite sont par exemple considérés comme une faute grave. La CGT proteste d’ailleurs : « La personne n’est considérée à son poste que lorsque l’ordinateur est connecté. Parfois, cela peut prendre du temps, il peut y avoir des pannes… » Ferdinand Chauchat conclut : « Une grève, chez nous, le client le remarque tout de suite parce qu’on ne prend pas d’appels. Ça a un impact négatif. » La CGT FAPT a prévu de rencontrer le sous-préfet dans les jours qui viennent pour l’avertir de l’envoi de ces convocations.

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l’augmentation du PDG de Capgemini fait tousser la CGT

L'augmentation de salaire de Paul Hermelin, PDG du groupe Capgemini, a du mal à passer chez les syndicats. Ce proche de François Hollande s'apprête en effet à demander une hausse de rémunération de 18 % lors d’une assemblée générale, soit la bagatelle de 100 000 euros par mois.

La pilule est amère pour la CGT Capgemini qui appelle à un rassemblement ce mercredi, de 8h30 à 14 heures devant le pavillon d'Armenonville, avenue de Longchamp à Paris (XVIe), où se déroulera l'assemblée générale des actionnaires.

La menace du chef de l'Etat de légiférer si le patronat ne modifiait pas son code de bonne conduite ne semble avoir aucun effet. Paul Hermelin, PDG du groupe Capgemini, s'est pourtant autoproclamé « seul patron socialiste du CAC 40 ». Lors de l'assemblée générale, il est mis à l'ordre du jour que les dividendes des actionnaires soient augmentés de 12,5 % . De quoi faire tousser les syndicats, d'autant que l'enveloppe des augmentations de salaires baissera elle de 12,5 %.  

«les salariés méritent beaucoup plus»

Une situation d'autant plus insupportable pour la CGT qui pointe du doigt les résultats mirifiques de l'entreprise : «l'année 2015 aura enregistré des résultats exceptionnels pour le groupe. Le bénéfice net a ainsi doublé, passant à 1,1 Md€.» Et d'ajouter : «Mais, dans ce contexte florissant, encore une fois la rémunération du travail sera sacrifiée au bénéfice du capital. En France, les 20 000 salarié-e-s, créateurs de toute cette richesse, auront droit eux à 22 euros bruts par mois pour toute augmentation, les salariés méritent beaucoup plus que cette maigre augmentation.»

Mais la rémunération du patron de Capgemini n'est pas le seul motif de mécontentement des cégétistes qui évoquent en outre la dégradation des conditions de travail : licenciements abusifs basés sur la seule rentabilité, délocalisations accrues vers la Pologne, la Roumanie, le Maroc et l'Inde et mobilités forcées sans regard pour la vie personnelle…

Evoquant la position de François Hollande sur le sujet, le délégué CGT Thierry Achaintre enfonce le clou sur France Info : «quand je l’entends aux informations annoncer qu’il veut faire voter une loi pour limiter la rémunération des grands patrons, qu’il commence déjà par ses amis comme Paul Hermelin, ça devient indécent dans ce pays.» 

Les salariés CGT Capgemini compte faire entendre leur voix ce mercredi  à l’occasion de l’assemblée générale et espèrent bien qu'elle retentira haut et fort tout au long de cette journée.

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La pression monte dans les branches

La mobilisation contre la "loi Travail" s’élargit. De très nombreux points de blocages dans les entreprises ont été recensés aujourd’hui et la reconduction des actions est posée dans les assemblées générales.

"Loi Travail" : une menace tout particulièrement pour les Industries électriques et gazières

Les 17 et le 19 mai, c’est tout le secteur des Mines et de l’Energie qui est mobilisé pour une journée d’action avec un préavis de grève qui court jusqu’à fin mai minimum.

La Fédération Nationale des Mines et de l’Energie a agi le 12 mai notamment sur l’Ile-de-France, le jour de l’assemblée générale des actionnaires d’EDF avec un rassemblement de plus de 1000 personnes venues de la production hydraulique, nucléaire et thermique puisque ce sont les secteurs les plus touchés par les fermetures et les privatisations. La demande de retrait de la Loi Travail s’inscrit dans ce cadre.

La « loi Travail » pourrait remettre en cause les avancées obtenues sur le statut des dockers

Tony Haubois, secrétaire général de la Fédération nationale des Ports et Docks, explique notamment en quoi la "loi Travail" menace les dockers. Il détaille également les actions en cours dans les différentes branches du secteur.

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Nouvel et important élan de mobilisation

Plus de 220 000 manifestants recensés ce jour aux quatre coins du pays : C’est 2 fois plus que le 12 mai et ce alors que les modes d’actions diversifiés se multiplient.
La CGT tient à saluer le sérieux avec lequel les services d’ordre des organisations syndicales ont assuré la sécurité des manifestants alors même que cela relève du rôle de l’état.

La puissante mobilisation des chauffeurs routiers démarrée hier et reconduite dès ce soir par les assemblées générales a conduit à de nombreux blocages et rassemblements dans différentes régions (Nord pas de Calais, Normandie, Bretagne, Pays de Loire, Aquitaine, …)

Le secteur du raffinage et de la pétrochimie entre dans la danse et déjà les raffineries de Donges (44), la Mède (13) sont à l’arrêt et où bloquées.

L’ensemble des ports Français étaient à l’arrêt ce jour à l’appel des dockers, des salariés portuaires et des marins du remorquage.

Le mouvement social continu ce soir à la SNCF avec un appel à la grève de 48 heures, il s’annonce d’ores et déjà très puissant. Les salariés des sociétés d’autoroutes, de secteurs entiers de l’industrie à l’instar des groupes verriers, Vérralia, Owens Illinois, St Gobain (…) sont fortement mobilisés
Dans de nombreux réseaux de transports urbains, dans l’aérien, de multiples initiatives ont été organisées, se poursuivent et s’amplifient.

Tous les indicateurs démontrent la vitalité des mobilisations et annoncent une montée en puissance dans les heures à venir et particulièrement le jeudi 19 mai. L’opinion publique soutient ce mouvement social en continuant d’affirmer très majoritairement son opposition à ce projet de loi synonyme de reculs sans précédents.

Le président Hollande et son premier ministre doivent sortir de postures purement politiciennes et carriéristes et écouter, ENFIN, la colère et le refus qui s’expriment.
La mobilisation loin de faiblir va se poursuivre et s’amplifier jusqu’ au retrait du projet de loi travail et l’ouverture de véritables négociations pour l’obtention de droits nouveaux pour tous les salariés.

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Loi travail : le montant de vos chèques-vacances risque de baisser
 

CE - Un amendement de la loi El Khomri pourrait faire baisser le montant de vos chèques-vacances. L'initiative vise en effet à taxer ces sommes versées par les Comités d'entreprise au delà de 322 euros.

Taxez les aides aux vacances : c'est ce que propose un amendement de la loi El Khomri, que le gouvernement a fait passer par le 49.3 mardi 10 mai 2016. Précisément le texte vise à instaurer une taxe sur les aides aux vacances versées par les comités d'entreprise aux salariés et retraités, au-delà de 322 euros par personne (644 euros pour une famille de quatre) afin de récupérer 1 milliard d'euros qui servirait à renflouer les caisses de la Sécurité sociale.

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BEAUVAIS : LE MARDI 17 et JEUDI 19 MAI A 14 H Lycée Félix Faure.

 

COMPIEGNE : LE MARDI 17 MAI à partir de 17 HEURES Mairie de Compiègne,place de l'hôtel de ville.


LE JEUDI 19 MAI à 10 HEURES Sous Préfecture de Compiègne.

CREIL : LE MARDI 17 et JEUDI 19 MAI à 10 H place Carnot.

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Boulonnais : contre la loi Travail, des actions «coup de poing» annoncées par la CGT mardi matin

Le recours à l’article 49-3 par le gouvernement pour faire adopter la loi Travail si contestée n’a pas du tout plu à la CGT. En représailles, le syndicat annonce qu’il organisera mardi matin, dès 5 h, un ou plusieurs barrages filtrants dans le Boulonnais.

Ce sera sans doute compliqué d’accéder à Boulogne et au port. À 10 h, ce même jour, l’union locale prévoit de bloquer le péage A16 d’Herquelingue. Deux jours plus tard, jeudi, d’autres actions sont prévues. L’intersyndicale doit se réunir pour les déterminer.

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Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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