SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Nous avons toutes les raisons de nous révolter. Tous ensemble le 09 octobre à Compiègne
Nous avons toutes les raisons de nous révolter. Tous ensemble le 09 octobre à Compiègne
Nous avons toutes les raisons de nous révolter. Tous ensemble le 09 octobre à Compiègne
Nous avons toutes les raisons de nous révolter. Tous ensemble le 09 octobre à Compiègne
Nous avons toutes les raisons de nous révolter. Tous ensemble le 09 octobre à Compiègne
Nous avons toutes les raisons de nous révolter. Tous ensemble le 09 octobre à Compiègne

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Vidéo. Les ouvriers de Ford Blanquefort appellent à les retrouver au salon de l’auto !

Présents au rassemblement de soutien aux anciens salariés de Goodyear à Amiens jeudi dernier, les ouvriers de Ford Blanquefort, en lutte contre la fermeture de leur usine, appellent à les soutenir.

Les ouvriers de Ford Blanquefort nous donnent deux rendez-vous :
- avec les ouvriers de GM&S ce lundi 8/10 à 10h à Bordeaux
- au salon de l’auto à Paris vendredi 12 octobre

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Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

En 2012

Monique Pinçon-Charlot explique à partir de quand on peut-être considéré comme riche en France.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Pepy nous a menti ! On ne veut pas négocier, exigeons le retrait du pacte ferroviaire !

Coup de gueule d'une cheminote à propos des récentes annonces de Guillaume Pépy, patron de la SNCF.

En avril 2018, E. Borne nous assurait qu’on était cheminots et qu’on le resterait.

Octobre 2018, G. PEPY veut aménager le statut des cheminots pour, dit-il, éviter d’avoir une SNCF à deux vitesses.

C’est ce que nous, cheminots, lisons dans son interview dans les Echos cette semaine...

Une interview qui a fait grand bruit dans les couloirs, les dépôts, les chantiers. On en parle partout : "Pepy nous a menti", "Il nous l’a faite à l’envers", "On nous avait assuré qu’on toucherait pas à notre statut"

Voilà ce qu’on entend ici et là. La colère se fait sentir, ça grogne dans les couloirs, ça voit rouge pour ceux qui, au printemps, ont peut-être cru les discours de l’entreprise et du gouvernement. D’autres plus avertis s’attendaient à ça. C’était dans le rapport Spinetta, et l’entreprise l’applique à la lettre : cela va donner au privé l’entretien des petites lignes non rentables, c’est-à-dire la suppression de 3500 postes par an jusqu’en 2026 pour le développement de la digitalisation, donc des métiers entiers qui vont disparaître. Ils veulent favoriser la mobilité géographique et professionnelle à l’intérieur et l’extérieur du groupe SNCF. Qu’est ce que cela signifie ? Forcer les départs en retraite ? Forcer le départ des statutaires dans les entreprises concurrentes ? Se débarrasser des agents réformés qui ne peuvent plus travailler comme avant pour cause d’accident ou de maladie ? Mettre une pression énorme et quotidienne aux cadres et aux employés pour les pousser à démissionner dans le meilleur des cas, si ce n’est pas les pousser à bout et commettre l’irréparable ? Jusqu’où iront-ils pour liquider la SNCF ? Jusqu’où iront-ils pour nous tuer à petit feu ? Chaque mur construit, chaque boulon serré sur les voies, chaque rail posé, chaque train qui roule, chaque signal qui s’ouvre, chaque consigne de sécurité écrite, chaque train nettoyé, chaque billet vendu, chaque train sécurisé, toutes ces actions sont l’oeuvre de notre sueur et certainement pas celle de la direction, la SNCF nous appartient !!! On ne veut pas négocier de convention collective de haut niveau. Les partenaires sociaux se foutent de nous. On EXIGE l’abrogation du pacte ferroviaire.

Photo : O Phil des contrastes

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
A PSA Hordain, une grève de 2h30 fait reculer la direction !

Ce jeudi 4 octobre, et alors que la direction de PSA Hordain (ex SevelNord), qui emploie 3200 salariés et 1200 intérimaires, voulait imposer des « formations » en dehors de heures de travail, un débrayage, à l'appel de la CGT, aura fait reculer la direction en 2h30 chrono. Une « grève express » qui aura réunit autant de CDI que d'intérimaires.

Une grève qui réunit « embauchés » et « précaires » autour d’un même combat

Alors que des discussions sont engagées depuis plusieurs jours, et que les conditions de travail se dégradent chaque jour un peu plus, des ouvriers de l’usine PSA Hordain ont débrayé ce jeudi 4 octobre, dès 7h30, à l’appel de la CGT.

Particulièrement touchés par les conditions de travail dégradées, plus de 50% des ouvriers ayant débrayés étaient des intérimaires, malgré les risques réels de renvoi de part le statut de leur contrat. Au total, ce sont 100 grévistes qui ont bloqué une chaîne de montage, totalement à l’arrêt pendant 2h30.

La détermination des grévistes, et le risque réel que ce débrayage entraîne plus largement, aura ainsi mis la direction sur la défensive. C’est ainsi que 2h30 de grève auront suffit à faire reculer la direction notamment sur les questions des formations hors des heures de travail. Il s’agit d’une grande victoire non seulement pour les grévistes de PSA Hordain, mais aussi pour tous les ouvriers de l’usine et, plus largement, pour l’ensemble des travailleurs du groupe PSA. En effet, le débrayage des ouvriers d’Hordain démontre que la précarisation au travail, les cadences infernales et les salaires au rabais ne sont pas une fatalité, et que la mobilisation de la base peut faire plier la direction d’un groupe aussi important que PSA.

Ce n’est qu’un début

Nous le savons bien, il faudra que les intérimaires et les embauchés restent mobilisés et unis, puisque historiquement le site de PSA Hordain est un laboratoire pour l’ensemble du groupe PSA. L’ultra précarisation qui existe à Hordain se développe de la même manière, ailleurs dans le groupe , comme le compactage des usines. Sur le site, la volonté de faire passer de 3200 salariés à 1800 , c’est bien dans les cartons, pour massacrer les emplois en CDI et n’embaucher que des précaires. C’est pourquoi le débrayage de ce 4 octobre apporte une première réponse progressiste, et un avertissement à la direction. Nul doute que cette donnée là, la direction de PSA s’en serait bien passée...

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Un brevet d’Amazon propose de placer des employés en cage

Récemment est ressorti un brevet déposé par Amazon en 2016 dans lequel il est question d’une cage dans laquelle serait placé le salarié pour effectuer son travail dans un entrepôt qui sont de plus en plus robotisés chez Amazon. Quand l’innovation est au service de l’aliénation.

Amazon n’en est pas à sa première frasque en matière de recherche visant à optimiser le rendement de son entreprise en faisant passer les conditions de travail de ses salariés au second plan. En effet, on savait déjà les salaires des travailleurs d’Amazon les plus précaires, notamment les préparateurs de commandes, étaient tirés vers le bas (entre 3 et 5.7€ de l’heure en Ecosse où certains des salariés de l’entreprise dormaient dans des tentes ne pouvant se payer les transports pour aller travailler) avec des horaires allongés le plus possible (avec par exemple au Royaume-Uni où il est atteint les 60h de travail hebdomadaire sans jour de repos).

Il est question ici d’une certaine rationalisation où Amazon va chercher à faire travailler le plus possible en payant le moins en fonction des possibilités de chaque pays en terme de législation propre au travail.

Mais, Amazon va même plus loin que ça puisque que cette entreprise va chercher à optimiser le travail de préparateur de commande à travers notamment cette cage mais aussi à travers des brevets de bracelets qui enregistrent les mouvements des employés au sein de l’entreprise. Entre travailler à Amazon et être en taule, la frontière est mince.

A côté de cette gestion tournée uniquement vers le profit, l’entreprise Amazon elle-même enregistre une très bonne année avec une capitalisation boursière avoisinant les 1000 milliards de dollars. Son patron, Jeff Bezos, est aujourd’hui l’homme le plus riche de la planète. D’après Forbes, Bezos est à la tête d’une fortune estimée à 160 milliards de dollars. Elle a presque doublé en un an en augmentant de 78,5 milliards de dollars. C’est un record. En un an, il aurait gagné 215 millions par jour, 8 millions par heure, 149 000 dollars par minute et 2500 dollars par seconde. Preuve s’il en fallait une que la bonne santé de ces entreprises se fait sur les conditions de travail des travailleurs et donc à terme sur leur vie.

Par ailleurs, les justifications quant à la cage par les services de communication d’Amazon se résument aux faits que de nombreux brevets même mauvais sont enregistrés par les entreprises et qu’une « meilleure façon de travailler a été trouvée ». Force est de constater que par cette amélioration de la façon de travailler, il n’est pas question de meilleures conditions de travail mais plutôt d’une optimisation du rendement que peut rendre la tâche de préparateur de commande. Cela illustre bien les desseins sinistres des grandes entreprises et la vision qu’elles ont sur le contrôle de nos vies et de notre travail.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Face à la pression des actionnaires, Unilever renonce au plan de simplification de son organisation que le groupe avait présenté en mars 2018. Il prévoyait notamment de déménager son siège social de Londres à Rotterdam.

Sous la pression des actionnaires, Unilever renonce à déplacer son siège de Londres à Rotterdam.

Sous la pression des actionnaires, Unilever renonce à déplacer son siège de Londres à Rotterdam.

En mars 2018, Unilever présentait un plan de simplification de son organisation. En effet, le groupe est constitué de deux entités dont les sièges sociaux étaient situés à Londres (Angleterre) et Rotterdam (Pays-Bas). La réorganisation devait permettre de réunir les deux entités en une seule avec un unique siège social basé à Rotterdam. Le groupe serait  ainsi resté Européen même après le Brexit. Oui mais voilà, c’était sans compter l’opposition des actionnaires et notamment des Anglais. Il faut dire que l’une des deux activités historique du groupe, la fabrication de savons, est née en Angleterre par la société Lever Brothers. Les Britanniques restent très attachés au groupe et à ses marques. Il n’est pas étonnant de les voir s’opposer au transfert du siège. Dans un communiqué de presse, le groupe « reconnaît que le projet n’a pas reçu le soutien d’un groupe significatif d’actionnaires et par conséquent qu’il convient de renoncer ». Marijn Dekkers, président du conseil d’administration d’Unilever déclare que « Le conseil d'administration continue de croire que la simplification de notre structure à deux têtes offrirait, à terme, des opportunités d'accélération de la création de valeur et servirait les meilleurs intérêts à long terme d'Unilever. »

Publié par lsa-conso.fr

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Tout ce que vouliez savoir sans oser le demander
Pourquoi et comment se syndiquer ?

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Un syndicat, c’est utile.
  • Il suffit de voir ce qui se passe dans de nombreuses petites entreprises où il n’y a ni syndicat ni délégué pour comprendre que les patrons en profitent pour « faire la loi » sans respecter les droits des salariés.
  • Et s’il existe un certain nombre d' »avantages » pour les salariés de certaines entreprises, notamment les plus grandes, , c’est bien parce qu’une partie d’entre eux se sont organisés et ont créé des syndicats pour se défendre et obtenir des acquis sociaux.
  • C’est la faiblesse et l’individualisme des salariés qui permet aujourd’hui aux patrons d’en prendre un peu trop à leur aise !
Pas de syndiqués  Z_Fleche_rouge Pas de syndicat
  • A la différence des syndicats-maison mis en place et soutenus par les employeurs, la CGT n’existe que parce que des salariés, comme vous et moi, se syndiquent et la font vivre.
  • Être syndiqué, c’est être utile : Savoir que l’on apporte sa pierre aux droits des salariés au lieu de râler dans son coin ou de se contenter de profiter de ce que les autres ont obtenu.
Etre syndiqué, ça me donne quoi ?

Être syndiqué, cela donne le droit de participer à la vie du syndicat :

  • Être informé par des infos rapides par SMS, par mail (pour ceux qui ont une adresse électronique). Chaque syndiqué reçoit aussi chaque mois le journal national de la CGT.
  • Être formé, en s’inscrivant aux formations syndicales qui sont proposées, pour apprendre ses droits et les moyens de se défendre.
  • Être défendu : La CGT, c’est la solidarité.
  • Donner son avis et décider ensemble de ce que l’on va faire, dans les assemblées de sections syndicales (par secteur) ou dans les assemblées du syndicat. Ce sont les syndiqués qui, à chaque Congrès, élisent les responsables du syndicat.

Si certains choisissent de garder leur syndicalisation « confidentielle », nombreux sont ceux auxquels le fait d’être syndiqué CGT a permis d’être mieux respecté dans leur secteur.

Etre syndiqué, ça m’engage à quoi ?

Chaque syndiqué garde sa liberté de penser et sa liberté d’action

  • La CGT est ouverte à tous les salariés, quelles que soient leur opinions politiques, philosophiques ou religieuses, qui sont d’accord pour se défendre ensemble.
  • La CGT, c’est pas l’armée ! C’est notre diversité qui fait notre richesse !

Chaque syndiqué est libre de la place qu’il prend dans le syndicat

  • Certains se contentent de payer une cotisation, sans vouloir s’impliquer plus dans la vie du syndicat : c’est leur droit.
  • D’autres servent de relais dans leur secteur, pour faire circuler les informations.
  • Certains font le choix de solliciter un mandat de délégué, et représentent ainsi les salariés et le syndicat auprès de la hiérarchie et de la Direction.
  • Chacun apporte sa contribution en fonction de sa situation, de son tempérament, de ses envies. Mais beaucoup peuvent témoigner que la vie syndicale leur a apporté beaucoup sur le plan personnel.
 
Se syndiquer, ça coûte combien ?
  • La cotisation mensuelle indicative est de 1% du salaire net mensuel habituel.

Exemple : Nous avons le choix de  la cotisation soit de 10 € par mois.

  • Chaque année, le syndicat remet à chaque syndiqué une attestation fiscale, à joindre à sa déclaration de revenus, qui permet d’avoir une réduction d’impôt de 66% égale au 2/3 des cotisations syndicales versées. Nouveau : la loi de finance rectificative de 2012 a instauré un crédit d’impôt du même montant pour les salariés non imposables. Ainsi, une cotisation de 10 € par mois ne revient finalement qu’à 3,40€ que l’on soit imposable ou non.
  • Et si un jour, pour une raison ou une autre, je ne veux plus être syndiqué, rien de plus simple : j’arrète ma cotisation.
A quoi servira ma cotisation ?
  • Une partie de la cotisation est reversée à la CGT pour la faire fonctionner au niveau local (UL), départemental (UD), national (confédération). Cela permet aussi à chaque syndiqué de recevoir le journal national mensuel de la CGT.
Pourquoi se syndiquer cette année ?

Cochez les bonnes réponses :

 J’aurais dû le faire il y a longtemps.
 Si on se laisse faire, tous nos acquis seront remis en cause.
 Chacun pour soi, on n’avance pas.
 Parce que l’union fait la force.
Pour revendiquer un meilleur salaire.
Pour arrêter l’alourdissement des charges de travail.
Pour me faire respecter.
Pour être utile.
Parce que je veux avoir mon mot à dire.
Pour être informé et formé sur mes droits.
Pour ne pas laisser le MEDEF casser la Sécu.
Pour ne pas laisser le MEDEF nous faire bosser jusqu’à 70 ans !
Parce que la CGT, c’est un syndicat qui ne se couche pas devant le patron.
Parce qu’il faut prendre ses responsabilités, pas toujours attendre que d’autres fassent à notre place.

Tu as coché au moins une case ?
Si on en parlait ?

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

SOURCE : Le Monde

Après l’échec de leur mouvement du printemps, ils avaient promis d’essayer de se remobiliser à la rentrée. Dans les universités de Rennes-II et de Montpellier-III, des étudiants opposés, entre autres, à la loi sur l’orientation et la réussite des étudiants (ORE) adoptée en mars, ont voté cette semaine le blocage de leur fac pour la journée de mobilisation nationale du 9 octobre.

A Rennes-II lors d’une assemblée générale de rentrée organisée mardi 2 octobre, une « petite centaine d’étudiants », selon le quotidien Ouest-France, ont ainsi voté le blocage de leur établissement à l’occasion de la journée interprofessionnelle contre la politique sociale du gouvernement.

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
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SOURCE : Le Courrier picard

Fin de séance compliquée pour le représentant du groupe Goodyear au procès fleuve qui avait lieu aujourd’hui à Mégacité. Joël Grangé a perdu pied à plusieurs reprises, mis en difficulté autant par l’avocat des plaignants, Fiodor Rilov, que les conseillers prud’homaux, lors d’une ultime séance de questions-réponses censée éclaircir certains points des débats.

Sur la question de la dette du groupe avancée pour justifier les licenciements économiques, il s’est notamment avéré incapable de dire quelle part représentait Goodyear France dans cet endettement qualifié de faramineux. De la manière, il s’est montré très peu convaincant aussi, quand Fiodor Rilov lui a demandé d’expliquer en quoi la fermeture du site Amiénois, avait permis d’améliorer la problématique de la dette du groupe. Enfin, à une question de la présidente Mme Danjou qui lui demandait comment s’était fait le choix du site d’Amiens pour la restructuration, il s’est contenté de renvoyer à un arrêt de la cour de cassation qui stipule que le chef d’entreprise est souverain en la matière. Le tout avec une pointe d’agacement qui n’aura pas échappé à la salle.

 

À l’issue des débats, la présidente a annoncé que le délibéré sera rendu le 16 mai prochain.

Publié par FSC

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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