SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Renault Flins, une usine menacée pour les profits des actionnaires ?

La direction de Renault l’a annoncé, il va y avoir du dégât côté emploi chez les ouvriers du groupe. Prétextant des résultats mauvais, les actionnaires toujours grassement payés veulent fermer des sites. Renault Flins pourrait être dans le collimateur.

AUX CAPITALISTES DE PAYER LEUR CRISE !

La semaine dernière, la direction du groupe Renault a annoncé des mesures drastiques à venir pour faire face à une situation financière compliquée suite à l’exercice 2019. Pour la première fois depuis 2009, le groupe a perdu de l’argent (141 millions d’euros). Cela n’a tout de même pas freiné le constructeur quand il s’agissait de verser 312 millions aux actionnaires. De même, le prochain directeur général qui va prendre les rennes en juillet prochain, Luca de Meo, débauché de chez Seat, recevra un salaire plus élevé que celui de Carlos Ghosn : 1,3 million par an, qui pourrait être augmenté possiblement (à coups de stock-option et de primes) à 5,85 millions (avalisé par le CA et donc par son premier actionnaire : l’Etat français) ! Les capitalistes ne connaissaient pas la crise.

Ce ralentissement du marché mondial de l’automobile est dû à plusieurs facteurs. Après 10 ans de croissance, suite au sauvetage des groupes par les États et les bureaucraties syndicales qui ont appuyé l’établissement d’accords de compétitivité pour éviter l’effondrement financier de ces groupes, le marché connaît une contraction. Sans entrer dans les détails, les capitalistes qui investissent dans l’automobile, ont été freinés lorsque leurs magouilles écologiques ont été révélées chez Volkswagen (Renault et PSA, pas encore condamnés, ont pourtant eu des gouttes de sueur sur le front), les quelques mesurettes et normes écologiques viennent aussi imposer quelques réglementations dans la production.

Mais à plus large échelle, c’est la situation géopolitique mondiale qui joue à plein. Les groupes français étaient sur les starting-blocks pour investir en Iran, un des plus gros marchés en potentiel, mais la politique agressive de Trump a freiné les ardeurs. De même les tensions avec la Chine (dont la croissance vertigineuse, en stagnation désormais, boostaient l’ensemble du secteur à échelle mondiale), et les velléités protectionnistes d’un certain nombre de puissances impérialistes, USA en tête, et à plus court terme le Royaume-Uni avec le Brexit, placent beaucoup d’incertitudes sur ces marchés. Rajoutons à cela le défi et la concurrence acharnée pour le passage à l’électrique sur fond de déclin du diesel, moyen pour certaines marques d’aérer et de diversifier un marché sur-saturé.

Dans ce contexte, et avec les péripéties de Carlos Ghosn, le groupe Renault a eu une actualité mouvementée. Pour ne rien arranger à leurs affaires, l’épidémie de coronavirus va paralyser pour une durée indéterminée l’usine de Wuhan. Pour faire face aux « difficultés économiques » et continuer à garnir les poches des actionnaires, le groupe se prépare à faire payer la crise aux travailleurs, ceux qui produisent les voitures, les assemblent, ceux qui produisent les richesses. La directrice par intérim, Clotilde Delbos, avait insisté, pour le groupe il n’y pas de « tabou ». A l’évidence, les désastres (sur la santé des travailleurs, en termes économiques, écologiques etc.) causés par les capitalistes, ce ne sont pas à eux de les payer. « Il est clair que nous n’arriverons pas à atteindre nos réductions de coûts sans que cela touche la moindre personne sur les 180 000 employés de Renault ».

Ainsi, de nombreuses usines à travers le monde sont menacées, alors que Renault n’en a pas fermé depuis 1997 : c’était en Belgique, les ouvriers avaient lutté de longs mois contre le groupe pour le maintien de leurs emplois. Si Renault, à l’inverse de certains de ses concurrents comme PSA, n’a pas recouru à cette destructions de moyens de production, ils n’ont pas hésité à couper dans les emplois, et à obliger les salariés à se plier à des accords de compétitivité pour travailler plus et gagner moins.

Si les mesures concrètes qui doivent permettre d’économiser deux milliards d’euros en trois ans sur le dos des ouvriers, certains sites semblent déjà être dans le collimateur. Les usines en Grande-Bretagne, en fonction des suites du Brexit, l’usine Renault de Wuhan, l’usine Nissan de Barcelone. Les noms des sites de Douai (59) et de Flins (78) en France reviennent également chez de nombreux observateurs qui estiment que leur rendement n’est pas maximal. Douai devrait obtenir des marchés avec le développement des moteurs électriques, avec une plate-forme qui sera installée en 2021. Flins de son côté, qui a déjà vu l’assemblage de la nouvelle Clio partir pour la Turquie et la Slovénie en février dernier, fait face à un avenir quelque peu obscur puisque la Nissan Micra, qu’elle assemble, est globalement un échec commercial, tandis que les lignes de la Zoé, marque de fabrique du site, devraient être concentrées à Douai à terme.

Cela signifie-t-il une fermeture prochaine du plus gros site de Renault en France, une usine ouverte dans les années 50, qui a embauché jusqu’à 22.000 personnes, et dans laquelle travaille un peu plus de 2500 ouvriers et plus de 1000 intérimaires ? « La situation de Renault n’est absolument pas catastrophique, ils ont de l’argent, les voitures se vendent, ils s’en mettent plein les poches mais nous il faut absolument qu’ils nous mettent la tête sous l’eau. Il n’en est pas question, on va se battre contre cette direction et leur rapacité » affirme la CGT Renault-Flins à France Bleu Paris.

Avec Ford Blanquefort (33) qui vient de fermer, l’usine Michelin de la Roche-sur-Yon (85) qui va fermer dans l’année, PSA Saint-Ouen, Hérimoncourt etc. C’est aux capitalistes de payer leur crise, à tous les niveaux. Toutes leurs mesures, à commencer par celles qui attaquent aujourd’hui les retraites et le chômage, jusqu’aux fermetures d’usine, servent à ce que les travailleurs et les classes populaires paient les pots cassés. Ces combats sont liés, et cela doit éclairer également les pressions qui peuvent exister sur les salariés du privé, notamment de l’industrie, qui voudraient se mettre en grève ou alors qui verrait un danger premier face aux fermetures d’usine et quelque chose de plus lointain en ce qui concerne les retraites, retraites qui n’en méritent quasi plus le nom pour quelqu’un qui a fait de l’intérim une grande partie de sa vie.

La période de complications économiques mondiales qui s’ouvre pourrait entériner une tragique période de fermetures de sites et de licenciements massifs, comme cela a été le cas après la crise de 2008-2009. Il est vital pour le mouvement ouvrier de lier ces combats et de se poser, d’un point de vue stratégique, la question des mots d’ordre à avancer, des moyens de se mobiliser pour réaliser l’unité des travailleurs, unité mise à mal par les divisions de l’exploitation capitaliste (sous-traitance, contrats courts, intérim etc.). C’est aussi sur la base de ces constats durant le mouvement des retraites, (et sur le sujet qui nous concerne ici, il est clair que les grandes concentrations industrielles notamment de l’automobile ont été les grandes absentes) que la coordination RATP-SNCF s’était adressée aux ouvriers de PSA à Poissy.

Avec la même logique, elle appelle désormais, avec la CGT Énergie et la CGT Raffinerie Grandpuits à une rencontre en vue de se coordonner avec tous les secteurs qui sont prêts à entamer une deuxième manche, pour une grève reconductible, tous ensemble, en même temps contre Macron et les capitalistes qu’il représente !

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Alstom rachète la branche ferroviaire de Bombardier : A qui profite la fusion ?

Lundi 17 février 2020, l'entreprise Alstom dirigée par Henri Poupart-Lafarge a racheté pour six milliards d'euros la branche ferroviaire de l'entreprise canadienne Bombardier. Si les deux entreprises fusionnent pour se hisser à la deuxième place mondiale du marché du train, les travailleurs eux ne bénéficieront pas de cette ascension.

LICENCIEMENTS EN VUE

Crédits photo : Simon Dawson

Pour son PDG, la fusion d’Alstom et de Bombardier permettra de concurrencer sur le marché du train le géant chinois CRRC. Pour nous, et au vu des méthodes connues et avouées des multinationales, cette fusion conduira l’entreprise à devoir accroître ses bénéfices pour « être à la hauteur » du premier mondial CRRC et donc à faire des « sacrifices ». Ces « sacrifices » nous le savons, ne se feront pas du côté des actionnaires, mêmes si Bouygues (le premier d’entre eux) ne se verra attribuer que 10% des parts, mais bien du côté des salariés qui se verront imposer des restructurations budgétaires. Celles-ci signifiant forcément des licenciements et autres aménagements de production avec pour excuse l’avancée de l’entreprise sur le marché financier.

Henri Poupart-Lafarge explique lui-même qu’une politique de synergie (ré-organisation de la production) est inévitable à moyen terme. Déjà avec Alstom Transports il a fait passer les bénéfices de l’entreprise de 4% à 8% en sept ans. Ces exploits dont se vantent les politiques canadiens et français comme Bruno Le Maire ministre de l’économie, qui se réjouit de la fusion et de la place que l’entreprise va acquérir dans la « concurrence internationale », sont toujours synonymes de plus d’exploitation, de conditions de travail dégradées pour les travailleurs à qui cette « concurrence internationale » ne profite pas.

Pour les usines du Valenciennois dans le Nord de la France, où deux usines des deux entreprises sont présentes, les salariés ne savent pas quel sera leur sort après la fusion. Un employé interrogé par France 3 parle de l’incertitude qui règne : "On ne sait pas quel est le plan d’Alstom. C’est facile de racheter un groupe ou une branche ferroviaire, mais qu’est-ce qui va se passer derrière ?". Le responsable de la CGT métallurgie du département, lui aussi interrogé par France 3, parle de suppressions de postes inévitables en précisant : "On a un savoir-faire d’un côté, on a un savoir-faire de l’autre. Je pense qu’il y aura des échanges et Alstom prendra certainement ce qui lui manque mais après, au-delà de ça, qu’est-ce qu’on va faire des salariés ?".

Nous ne sommes pas dupes quant au devenir des salariés de ces deux énormes entreprises que sont Alstom et Bombardier, comprenant en tout à elles deux 76 000 salariés. En effet c’est toujours les travailleurs qui subissent le prix d’une “incroyable croissance des bénéfices” et d’une capacité de “concurrence internationale”.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
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Bordeaux : l’équipe anticapitaliste autour de Phillipe Poutou s’invite dans la cour des « grands » aux municipales

En passant de 11% à 12% des intentions de vote sur un sondage BVA publié ce 20 février, la liste anticapitaliste Bordeaux en luttes emmenée par Phillipe Poutou s’invite dans la cour des « grands » prétendants au second tour des municipales.

ELECTIONS MUNICIPALES

Crédit photo : O Phil des Contrastes

Article initialement publié sur le site du NPA : ici

La liste menée par Philippe Poutou dépasse en effet la liste Renouveau Bordeaux (LREM) de l’énarque et macroniste de la première heure Thomas Cazenave pour se placer en troisième position derrière le maire par intérim sortant Nicolas Florian (LR) et la liste Bordeaux Respire (EELV-PS-PCF-Génération-s) dont le numéro un Pierre Hurmic affirme que le bilan de Juppé est « globalement bon ».

 
Faire entendre la colère d’en bas dans un paysage de notables

Soutenue par NPA, le collectif Bordeaux Debout, la France Insoumise, et composée de syndicalistes de base, de gilets jaunes, de militantEs de terrain - qu’ils et elles soient salariéEs, étudiantEs, chômeurSEs – l’équipe de Bordeaux en luttes entend bousculer le jeu électoral pour y faire entendre haut et fort la colère sociale de « ceux qui ne sont rien » et qui payent cher la crise. Dans ce paysage de notables de bonnes familles, il s’agit de faire écho à la radicalité exprimée dans le mouvement de grève contre la réforme des retraites depuis le 5 décembre et pendant le mouvement des gilets jaunes (très fort à Bordeaux) autour d’un programme de rupture résolument anticapitaliste.

Un programme de rupture résolument anticapitaliste

Les mesures phares de ce programme s’en prennent directement aux intérêts du patronat, des grands propriétaires fonciers et des spéculateurs de tous poils dans la métropole pour répondre aux besoins élémentaires des exploitéEs et oppriméEs ainsi qu’aux urgences écologiques et démocratiques : réquisition et expropriation des grandes entreprises qui licencient, réquisition de tous les logements vacants, transports collectifs gratuits, développement centres d’hébergement d’urgence pour les migrant-e-s et femmes et personnes LGBT+ victimes de violences, cantines scolaires gratuites, interdiction des pesticides, désarmement de la police municipale, régie publique de l’eau, RIC municipal décisionnaire, révocabilité des élu-e-s… Sans diffuser d’illusions électoralistes [1] sur une possible gestion « de gauche » de la ville dans le cadre du capitalisme, voilà de quoi ouvrir la discussion sur le projet de société dont pourrait se doter l’ensemble de notre classe pour en finir avec l’exclusion, la pollution, la gentrification des quartiers populaires, la misère sociale et la violence dont les agglomérations comme Bordeaux sont le triste théâtre.

Renverser la table du conseil municipal

Un score électoral tel que celui prévisionné par ce dernier sondage pourrait propulser au conseil municipal de Bordeaux des élu-e-s comme Phillipe Poutou, ouvrier de l’usine de Ford de Blanquefort récemment licencié avec la complicité hypocrite des pouvoirs publics, mairie comprise. C’est dans ce type d’affaires qu’ils et elles pourront mettre leur nez pour dénoncer sur la place publique les politiques antisociales et répressives qui sont menées, que les majorités municipales soient de droite ou « de gauche ».

Source : Site national du NPA

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Quand on sait et expérimente la volonté du pouvoir macronien de détricoter TOUS les CONQUIS sociaux de la Libération et qu'il a hâte d'en finir avec les retraites pour s'attaquer directement à la sécu la vigilance est effectivement de mise.

D'autant que le nouveau ministre de la santé a voulu remplacer dans la constitution les termes de " Sécurité sociale " par " protection sociale ".

Tentative contre laquelle le réalisateur du fameux film " La sociale" nous alerte opportunément :

 

"La Sécurité sociale a une définition juridique qui assure que chacun cotise selon ses moyens et reçoit selon ses besoins", réagissait auprès de LCI à l'époque le député de La France insoumise Adrien Quatennens. Son confrère communiste Sébastien Jumel estimait pour sa part que le mot "protection", préféré à la "sécurité", était une "notion statistique" ouvrant "la voie à toute forme de financement, y compris privé". Très critique elle aussi, la CGT déplorait qu'un tel amendement soit défendu, un tel changement étant synonyme de "remise en cause du sens de la Sécurité sociale".

Pas de répit dans le combat pour la défense et l'extention  des droits sociaux des travailleurs et du peuple face aux casseurs !
 

Publié par FSC

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Une délégation de la CGT composée d'une centaine de personnes a envahi l'Hôtel du Département de l'Allier et la session, ce jeudi 20 février, pour venir contester la plainte déposée par le président Riboulet pour dégradation du rond point de Montmarault.

Si la réforme des retraites était l'une de leur motivation, les Cégétistes étaient surtout venus afficher leur mécontentement vis à vis du Département, pour s'être constitué partie civile suite à une dégradation du domaine public, en l'occurrence la route reliant Montmarault à Saint-Pourçain. La CGT a été condamnée à verser un euro symbolique.

Tour à tour, des membres de la CGT sont devenus déposer des pièces de centimes d'euros sur le bureau du président Claude Riboulet. Celui-ci s'est defendu en expliquant que les dégradations coûteront des milliers d'euros et qu'il avait déposé plainte parce que ce n'était pas aux contribuables de payer les dégradations liées à une manifestation.


Le président a levé la séance

Une fois les interventions passées des groupes communiste et socialiste, Claude Riboulet a demandé aux manifestants de quitter la salle. Le ton est plus monté avec les manifestants, l'un d'entre eux proférant même des menaces physiques à l'encontre du président : " Vous avez de la chance que ce n'ait été que du goudron, quand ce sera du physique ce sera une autre histoire" a-t-il répondu. Du coup, Claude Riboulet a décidé de lever la séance et quitté l'hémicycle.

Le représentant de la CGT et secrétaire de l'UD, Laurent Indrusiak, a expliqué par la suite  " qu'il n'aurait pas utilisé ces mots, en évoquant les propos du militant CGT. Mais je les condamne pas. La violence, c'est aussi ces femmes et ces hommes qui manifestent pour conserver les droits sociaux qui la subissent et qui se retrouvent avec des yeux crevés dans des manifestations ".

 

Publié par FSC

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Image d'illustration

Par Guillaume FONTENEAU

En France, il est de bon ton de critiquer le régime de la retraite par répartition et de louer la retraite par capitalisation comme LE système vers lequel nous devons progressivement tendre.

La récente réforme des retraites et la mise en place du PER s’inscrit d’ailleurs dans cette dynamique d’une retraite minimum assurée par la collectivité, et une indispensable retraite par capitalisation qui permettrait de survivre décemment.

Il n’y a plus de mystère sur ce sujet maintenant : Malgré un régime de retraite par répartition qui n’est plus menacée grâce aux réformes passées (Nous sommes en quasi-équilibre budgétaire à long terme), le gouvernement semble vouloir s’acharner à réformer le régime actuel afin de prendre le contrôle sur une baisse future encore plus prononcée.

L’actuel régime des retraites est quasi à l’équilibre ! Il faut arrêter de croire que la présente réforme est obligatoire pour éviter la faillite ! C’est là une fakenews. En ce sens, vous pouvez relire cet article : Réforme des retraites : La baisse des retraites est il l’objectif caché du gouvernement ?

Demain, la retraite par point est un régime de retraite qui repose quasi-intégralement sur la valeur du point fixée, directement ou indirectement par le gouvernement. Ainsi, et contrairement à la situation actuelle, dans un système de retraite par point c’est le pouvoir politique qui décidera du niveau futur des retraites. L’exemple de la Suède ne doit pas nous rassurer !

LIRE LA SUITE :

Publié par EL DIABLO

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Gavé de subventions publiques, Michelin licencie à tour de bras et engrange de nouveaux bénéfices records

Gavé de subventions publiques, Michelin licencie à tour de bras et engrange de nouveaux bénéfices records

Un scandale “ordinaire” du capitalisme : le groupe Michelin a annoncé un résultat net de 1,73 milliards d’euros en 2019 et la revalorisation des dividendes versés aux actionnaires, et ce alors que le groupe est gavé de subventions publiques depuis des années et que Michelin n’hésite pas à fermer ses sites en France, à l’image des licenciements programmés des 619 ouvriers de l’usine de La Roche-sur-Yon.

Michelin, le géant français de pneumatiques a annoncé le lundi 10 février un chiffre d’affaires de 24,1 milliards d’euros, en hausse de 9,6 %. Le résultat net du monopole français atteint même 1,73 milliard d’euros en 2019, soit une progression de 4,2 % et ce, alors que les ventes de Michelin diminuent de 1,2% mondialement.

Le groupe, qui a décidé de fermer l’an dernier deux usines en Europe, dont celle de pneus poids lourds à La Roche-sur-Yon en Vendée (619 salariés) et le site de Bamberg en Allemagne (858 salariés), a également annoncé le versement à ses actionnaires d’un dividende de 3,85 euros par action, soit 15 centimes de plus que l’année dernière. En dix ans, le dividende Michelin aura plus que doublé.

Sur le site de la Roche-sur-Yon, l’annonce des résultats a fait réagir Anthony Guilloteau, responsable de la CGT de l’usine : « La direction n’a pas hésité pas à sacrifier ses salariés pour augmenter ses marges. Quand on voit que le PSE (plan d’accompagnement social) de La Roche, c’est 120 millions d’euros. Une goutte d’eau ramenée au chiffre d’affaires de Michelin. ».

Pour Michelin, il n’y a pas de petits profits

Alors que le groupe Michelin avait annoncé en octobre 2019 la fermeture de son usine vendéenne, le groupe avait également demandé, début février, aux 619 salariés de rembourser les pneus d’essais qui équipe leurs voitures dont 1 pneu sur 4 leur est facturé. Devant le tollé, la direction de l’entreprise avait finalement reculé.

Un avantage en nature permet en effet aux salariés de Michelin de bénéficier du montage de ces pneus dès qu’ils sont usés, Par contre, si les salariés vendent leur voiture ou s’ils quittent la société, ces pneus doivent être rachetés par les salariés à l’entreprise, à un tarif tenant compte de l’usure.

Ce coup d’épée dans l’eau a toutefois eu le « mérite » de rappeler à quel point il n’y a pas de petits profits pour les grands groupes capitalistes. Et ce, alors que les vies de familles ouvrières se retrouvent brutalement bouleversées, et que des milliers d’emplois directs et indirects sont concernés en France par la fermeture de l’usine de la Roche-sur-Yon.

Un groupe gavé de subventions publiques

Ces tentatives mesquines de gratter jusqu’au moindre centime sont d’autant plus choquantes que, selon la direction de Michelin, le groupe a bénéficié, depuis la création du le Crédit d’impôt compétitivité emploi (CICE), de 65 millions d’euros au titre de ce dispositif, dont 4,3 millions ont été consacrés au site de La Roche-sur-Yon.

Avec ce pactole, l’entreprise a investi en 2017 dans une rénovation des ateliers de cuisson à La Roche-sur-Yon, et procédé à l’achat de huit nouvelles machines d’assemblage. Avant de décréter brusquement, en février 2018, une « pause des investissements » à La Roche-sur-Yon.

Le groupe a alors opéré une vaste opération de passe-passe. Sur les 8 machines, 2 machines de finition sont parties sur le site d’Aranda en Espagne, 3 machines de confection sur le site de Zalau en Roumanie, et une machine de confection sur le site d’Olsztyn en Pologne.

Cet argent public aura donc en réalité servi à acheter des machines destinées à des usines Michelin situées à l’étranger. Evidemment, il n’est pas question pour le géant du pneumatique de rembourser le CICE de La Roche-sur-Yon. Ces millions d’euros se seront donc évaporés dans des investissements à l’étranger, et n’auront en rien contraint ou encouragé le groupe à investir en France ou à garantir la pérennité de l’emploi en Vendée.

Pour rappel, le Crédit d’impôt compétitivité emploi (CICE), créé en 2013 par le gouvernement PS, était un dispositif d’aide aux entreprises représentant 4 % de la masse salariale la première année (dans la limite de 2,5 fois le smic) et 6 % les années suivantes. Il a été transformé, en 2019, en une baisse de cotisations patronales.

Michelin : les profits avant l’emploi

Pour rappel, dès le 11 octobre, la Fédération nationale des Industries Chimiques CGT (FNIC CGT) avait réagi à l’annonce de la fermeture de la dernière usine de production de pneu poids lourds en France.

« La CGT rappelle que le groupe n’est pas en difficulté financière avec 1,7 milliards de bénéfices nets en 2018, un cash-flow à +1,27 milliard et que les résultats annoncés en juillet pour le 1er semestre sont très bons », pouvait-t-on ainsi lire.

 

« Michelin accuse et dénonce une concurrence agressive et déloyale venant des pays asiatiques, d’Amérique du Sud, de l’Est, alors qu’il est lui-même propriétaire de ces usines à bas coût », précisait également le communiqué, avant de poursuive : « Les doublons de productions qui ont provoqué cette surcapacité ne sont pas le fruit du hasard mais bien construite dans la logique capitaliste d’augmentation des marges avec des arrêts programmés des usines françaises. »

Et la CGT d’enfoncer le clou : « Michelin se refuse à baisser ses marges. Il suffirait que l’entreprise accepte pour répondre aux exigences sociétales qui s’imposent à Michelin comme aux autres patrons qui ont perçu des milliards d’euros d’aides publiques, de baisser ses profits pour que tous les sites puissent continuer à produire en France. »

Lire aussi : Tenir février, enraciner le mouvement social, redonner confiance dans la victoire

Étiquettes : actionnairescicedividendefnic cgtindustries chimiquesla roche-sur-yonlicenciementsmichelinouvrierspatron voyoupneumatiquepods lourdsusine

 

POSTÉ LE 19 FÉVRIER 2020PARDANS LUTTES

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Grève et manifestation jeudi 20 février à Compiègne

Manifestations dans l'Oise


Creil, 6h - Petit déjeuner solidaire offert par le syndicat des Cheminots en gare de Creil;


Compiègne, 10h - Manifestation Cours Guynemer;


Nogent sur Oise, 10h - Manifestation au rond point du Pont Royal;


Beauvais, 14h - Manifestation Place Jeanne Hachette.

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Resctructuration d’HSBC : 35 000 emplois menacés dans le monde

Prise entre la révolte de Hong Kong, la tension commerciale entre la Chine et les Etats-Unies et l’épidémie de Coronavirus, la banque internationale HSBC va être réorganisée en faveur du marché asiatique. C’est 35 000 postes qui seront supprimés dans les trois prochaines années, en Europe et aux USA. En France, le groupe cherche à vendre, au rabais, sa branche détails. Les premières victimes ne seront pas les détenteurs de fonds ou les traders mais bien les travailleuses et travailleurs des agences.

Interdiction des licenciements

C’est pour économiser 4,5 milliard d’euros qu’HSBC veut réorganiser son activité au niveau mondial. Pour la banque anglaise, le Brexit, les tensions économiques entre la Chine et les Etats-Unies, mais aussi la révolte hong-kongaise et l’épidémie de coronavirus imposent de recentrer ses activités et de supprimer les secteurs qui ne sont pas assez rentables. Compte-tenue de la situation internationale, la banque, historiquement basé à Hong-Kong et Shanghai a décidé de se recentrer sur le marché asiatique.

En France, cette stratégie implique de revendre sa branche particulier et PME qui représente 2% des parts du marché en France. Cette activité ne génère pas assez de revenue par rapport aux coups que nécessiterait sa « restructuration », elle sera donc revendue à la Banque Postale ou la Société Générale pour moins de 50 millions d’euros. L’implantation de la banque britannique en France s’était fait par le rachat d’une banque française (CCF) pour près de 11 milliards d’euros il y a 20 ans. Si le prix est si faible, c’est que le repreneur devra mettre à niveau le système informatique et s’engager à reprendre le personnel. Il n’en reste pas moins que la banque qui reprendra la firme anglaise operera elle aussi une restructuration du réseau.

Evidemment, cette réorientation touchera principalement les travailleuses et travailleurs du réseau d’agences. Si la Banque Postale et la Société Générale sont principalement intéressées dans le portefeuille de clients de la firme anglaise, aucune garantie n’est donnée aux salariés qui sont 8000 en France dont 3300 dans les agences pour les particuliers, sur le maintien de leurs postes. Cette vente met aussi à jour les répercussions économiques de la guerre commerciale entre les Etats-Unis et la Chine qui touche de grands groupes internationaux comme HSBC, au point où ses profits sont divisés par deux. Mais le fait qu’une grande banque soit incapable de mettre à jour son réseau et d’avoir une activité rentable en France ne présage rien de bon pour l’économie, de façon plus générale.

Que deviendront les 3500 guichetiers, guichetières et simples salariés de banque lorsque HSBC France sera revendue à la Banque Postale ou à la Société Générale ? Pour cette dernière, qui prévoyait de fermer 300 agences d’ici 2020, le rachat de HSBC n’est qu’un moyen de gagner de nouveaux clients en fermant encore plus d’agences, laissant ainsi sur le carreau celles et ceux qui n’auront nulle part ailleurs pour travailler. Car les agences qui ferment le plus sont loin d’être celles des grandes métropoles : ce sont les agences des petites villes qui sont fermées les premières, là où il est parfois plus difficile de trouver du travail. Dans ce secteur comme dans les autres, il faut interdire les licenciements. De plus, dans ce secteur, plus encore que dans d’autres, la course au profit mène à des désastres comme la crise de 2008. Face à l’incapacité du privé, c’est à l’ensemble des travailleurs de gérer le secteur bancaire afin de ne pas avoir à en payer les frais.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Un ouvrier brésilien aux travailleurs français : « votre exemple nous emplit d’admiration et de fierté »

Nous relayons la traduction de la lettre émouvante d’un travailleur de la métallurgie de Minas Gerais, au Brésil, aux travailleurs français, où il explique la manière dont leur lutte a été une inspiration pour la classe ouvrière brésilienne.

Solidarité internationale

Crédits photo : O Phil des Contrastes

Salutations combatives !

Bonjour, comment allez-vous camarades français.es ? A travers ces mots je cherche à vous montrer l’importance que prend pour nous la lutte du peuple français contre cette réforme des retraites désastreuse.

Comme vous devez le savoir, ici au Brésil, le gouvernement d’extrême droite de Bolsonaro nous a imposé différentes réformes patronales, qui nous retirent plusieurs de nos droits, mettant en place l’externalisation sans restriction de l’économie, ou la fin du droit à l’accident de parcours, entre autres.

Mais rien ne nous a frappés aussi fort que sa réforme des retraites destructrice, qui entrave notre droit à une retraite digne. Dans un pays où l’espérance de vie dans certaines régions est de 52 ans, le gouvernement a imposé un âge minimum de départ de 65 ans pour les hommes et 60 ans pour les femmes.

Et même pour quelqu’un qui réussirait à dépasser ce cap, il verra sa pension abaissée par différentes coupes et restrictions.

Dans les usines, les mines ou les hôpitaux, le scénario est encore plus sombre. Cette réforme détruit les régimes spéciaux. Avant nous partions à la retraite après 25 ans de travail sans âge limite. Maintenant, ce sera seulement à 60 ans, ce qui nous condamne à « mourir au travail », car ces tâches blessent, causent des maladies et rendent inaptes bien avant 60 ans.

Malheureusement ici nous n’avons pas connu un retour de la lutte, notamment à cause des syndicats et des grandes centrales qui n’ont pas préparé et lutté contre cette réforme mortelle.

Et aujourd’hui nous assistons à votre lutte, contre le même type de réforme et elle nous donne l’espoir qu’il est possible de renverser cette tragédie. Chaque exemple que vous nous donnez-nous emplit d’admiration et de fierté devant votre lutte, que ce soit contre le gouvernement, le patronat ou les bureaucraties syndicales.

Nous décidons donc ici de soutenir, même de loin, votre possible victoire, et souhaitons que cette flamme puisse mettre le feu dans le monde entier et répandre des victoires sur les cinq continents.

Bien à vous, H, travailleur dans la métallurgie à Minas Gerais au Brésil

Traduction : Nora Pardi

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Tout d'abord, il faut savoir que l'Ecole Nationale de l'Administration (ENA) a été créée par le gouvernement provisoire de la République française, le 9 octobre 1945. Découlant du programme politique de la Résistance, cette décision avait été préparée par la Mission provisoire de l'administration française dirigée par Maurice Thorez, vice-président du Conseil des ministres et secrétaire général du PCF.

Il va sans dire que, dans cet esprit, les portes de l'ENA doivent s'ouvrir sur le fondement de la démocratisation de l'accès à l'enseignement supérieur. Quand les ministres communistes sont chassés du gouvernement sous la pression de l'impérialisme américain, l'ENA va être monopoliser par les "héritiers de la culture dominante", celle du capital, comme l'écrivent Pierre Pourdieu et Jean-Claude Passeron.

Après la brève ouverture d'une "3e voie" en 1981, le système va être rapidement verrouillé à nouveau. Et le capitalisme détient toujours en l'ENA un outil de formation de ses commis pour diriger l'Etat au plus haut niveau ou pour administrer ses entreprises après un bref pantouflage dans la très haute administration française.

Mais bon prince avec le petit peuple, l'ex-associé-gérant de la banque d'affaires Rothschild a commis Frédéric Thiriez, ex-patron de la Ligue de football professionnel, ancien conseiller d'Etat ancien élève de l'ENA et qui a bossé dans des ministères socialistes, pour "démocratriser" l'Ecole Nationale de l'administration.

Et ledit Thuriez de démocratiser par l’instauration de 20 classes préparatoires en France, avec une sélection notamment sur critères sociaux(sic)

 Après avoir franchi cette très haute muraille, des élèves de milieux modestes pourraient ensuite passer un concours spécial donnant accès aux écoles de la haute fonction publique. Ce sont dix places qui seront réservées aux élèves de ce concours sur 130 au total.

C'est bien trop, monseigneur!

Après tout, les ouvriers et les employés, les petits agriculteurs et les petits artisans ne représentent que 85% de la population active. Dès lors, je suggère un nom pour la promotion de la future Ecole de l'Administration Publique, qui remplacera l'ENA: Démocratie.  Et de ripoliner EAP sur ENA.

Dans le sac des réformes que le palais de l'Elysée prend contre son peuple, la réforme de l'ENA

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Tandis que les chancelleries et les médias occidentaux sont d'abord actifs pour discréditer la CHINE dont ils craignent le développement (N'est-ce pas Caroline ROUX de C  dans l'air ? ), ceux qui comme les cubains se demandent d'abord comment aider le peuple chinois à surmonter ce désastre lui viennent concrètement au secours.

Une occasion de plus de s'interroger sérieusement sur la prétention occidentale à diffuser une véritable information fondée sur les seuls faits alors que manifestement c'est tout un appareil de propagande qui se livre à une guerre idéologique qui n'a rien à envier à celle qui se pratiquait déjà pendant la guerre froide.

Difficile pour l'occident de perdre son hégémonie !

SOURCE RT France

Un médicament cubain est utilisé pour combattre les effets du coronavirus chinois. Les progrès biotechnologiques de Cuba ont permis le développement de l'Interferon Alfa 2b qui joue un rôle clé dans le traitement de l'épidémie. Cela peut surprendre mais Cuba, la petite île socialiste sous le coup d'un embargo économique incessant depuis près de 60 ans de la part des Etats-Unis, a développé des innovations internationalement reconnues en matière de santé et de recherche médicale, et notamment en biotechnologie. Et elle vient d'en faire à nouveau la preuve. 

En effet, l'Interferon Alfa 2B – nommé également IFNrec – l’un des médicaments utilisés pour combattre le coronavirus chinois qui a déjà causé la mort de 1 524 personnes, n'est autre que le résultat d’une innovation cubaine. Ce remède antiviral a été choisi par la commission nationale de santé chinoise parmi 30 autres médicaments pour lutter celui-ci. 

Cuba se félicite d'une «coopération bilatérale en biotechnologie» «Cuba réitère sa solidarité avec le peuple et le gouvernement de Chine», a écrit le ministre cubain des Affaires étrangères Bruno Rodriguez, se félicitant du fait que «grâce à la coopération bilatérale en biotechnologie» entre les deux pays, le médicament made in Cuba fasse partie des thérapies utilisées pour faire face à l'épidémie. La molécule contenue dans celui-ci a été l’une des premières à être développée par la biotechnologie cubaine.

Elle participe au renforcement du système immunitaire, participant à la guérison des malades infectés. Ainsi, l’Interferon Alfa 2B est fabriqué en Chine depuis le 25 janvier par l’entreprise mixte Chang-Heber. Le médicament est également utilisé pour traiter le VIH, le papillomavirus (HPV), et même certaines formes d'hépatite et de cancers.

 

Publié par FSC
 

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