SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux

SOURCE : BFM_TV

 

Les syndicalistes avaient organisé une manifestation devant un magasin Monoprix du XVème arrondissement parisien.
La Cour d'appel de Paris a infirmé jeudi la condamnation en première instance de 13 élus CGT accusés par Monoprix d'avoir entravé le bon fonctionnement d'un magasin parisien, estimant que la manifestation s'était tenue sur la voie publique, selon l'arrêt obtenu par l'AFP.

La société Monoprix Exploitation a été condamnée à verser 150 euros à chacun des salariés incriminés qui avaient fait appel.

"Les faits générateurs des atteintes invoquées par la société se situent en dehors des locaux de l'entreprise et en dehors du temps de travail, les salariés n'ayant pas organisé une cessation du travail aux fins de se mettre en grève, mais organisent des rassemblements qui (...) relèvent de l'exercice du droit de manifester", écrit la Cour dans son arrêt.
Le 3 décembre, le juge des référés du tribunal judiciaire de Paris avait condamné 18 élus CGT en assurant que leurs trois tentatives d'intrusion le 12 septembre dans le magasin du XVe arrondissement lors d'une manifestation avait "porté illicitement atteinte à la liberté du commerce et occasionné indéniablement un grief de désorganisation du magasin". Cinq d'entre eux n'avaient pas fait appel.

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Ces salariés font partie du collectif des "samedis de la colère", formé en novembre 2019 avec l'appui du syndicat CGT dans le but d'organiser des actions dans différents magasins les samedis pour réclamer notamment le versement intégral d'une "prime Covid" de 1.000 euros à tous les salariés.

Alain Tsamas, l'animateur du collectif CGT, a indiqué que les actions allaient se poursuivre. Le 11 février, certains de ces salariés avaient également été condamnés pour des faits similaires survenus le 3 octobre dans le Monoprix La Fourche, également à Paris, et pour lesquels l'appel n'a pas encore été examiné.

Frédéric Bianchi avec AFP
Journaliste BFM Éco

Publié par FSC

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Le Syndicat de la Magistrature sur la manif de la police de ce 19 mai 2021

Les téloches d'infos ont rendu compte de A à Z le rassemblement des policiers devant l'Assemblée nationale, même avant et après autour de débats(sic) qui ne font pas dans la juste information républicaine.

 

Ce rassemblement était initié par tous les syndicats de policiers, même si la CGT n'avait pas signé l'appel intersyndical et insistait à ne pas arborer tout "signe d'appartenance syndicale de notre organisation".

Comprenne qui pourra, parce que l'intersyndicale n'a pas manqué d'arborer drapeaux et ballons et et de proclamer sans surprise les mots d'ordre de l'extrême droite ou de la droite extrême, tant les passerelles tendues deviennent de parfaits boulevards.

Comment se fait-il que, dans un tel contexte ultra-droitier, le Pcf fut présent par son secrétaire national et candidat à la présidentielle de 2022? Mais je laisse aux adhérents de la Place du Colonel-Fabien à Paris le soin d'analyser cet état de fait.

Pour ma part, je vous suggère le communiqué du Syndicat de la Magistrature refusant que de la police nationale ne "devienne une puissance autonome au lieu d'être une force publique au service des citoyens":

Le Syndicat de la Magistrature sur la manif de la police de ce 19 mai 2021

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Manif police. Selon BFM, des GJs seraient présents pour soutenir ceux qui les ont "protégés le samedi"

Non ce n’est pas le Gorafi, mais une « information » de BFM TV. Des Gilets jaunes seraient venus en soutien à la manifestation des policiers de l’Assemblée nationale, pour les remercier de les avoir « protégés le samedi ». En tout cas d'après BFM qui semble évoluer dans une dimension parallèle...

Blague FM

Crédits photos : AFP

Ce mercredi a lieu un rassemblement devant l’assemblée nationale à l’appel des syndicats policiers qui revendiquent l’application des mesures répressives promises par Jean Castex et la mise en place de peines planchers en cas d’attaques contre les forces de police. Un appel réactionnaire auquel a répondu un large panel de l’échiquier politique, du RN au PCF en passant par le ministre de l’intérieur Gérald Darmanin et que BFM TV a sans surprise intégralement retransmis en direct.

Au cours de cette retransmission, une journaliste présente sur place a expliqué :
« On a même croisé des dames Gilets Jaunes qui sont venues soutenir les Policiers. On leur a demandé mais comment ça vous venez soutenir les Policiers ? Elles nous ont dit : « tous les samedi on les voit, on manifeste et ils nous protègent »

Décidément BFM TV a une façon bien singulière de présenter l’actualité. Il faudrait donc croire en la présence de soutiens gilets jaunes à la manifestation pro-police. Si l’existence de gilets jaunes atteints du syndrome d’Alzheimer est pensable, l’affirmation de la journaliste est d’une audace folle. Après 2448 blessés (dont des dizaines de mutilés) des mains de la police, 440 incarcérés, et plus de 11 000 gardes à vues celle-ci aurait pourtant « protégé » les gilets jaunes chaque samedi.

L’œuvre de BFM consiste une nouvelle fois à inverser l’ordre des choses, en sous-entendant que la police est d’abord du côté des manifestants, et des Gilets Jaunes. Si la police a bien « protégé » le samedi, ce ne fut non pas les gilets jaunes, mais les intérêts de ceux-là même contre qui s’exprimaient leur colère. C’est au nom de la préservation des intérêts de l’ordre dominant, dont la police est le garant que les gilets jaunes ont non pas été protégés mais mutilés et arrêtés.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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La Sécurité Sociale

De chacun selon ses moyens,
à chacun selon ses besoins.
4 ans de guerre pour la penser,
75 ans pour la détruire...
Maintenant, c’est à vous de décider !

Publié par la CGT Facebook Compiègne

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Pas-de-Calais. L’usine Maxam Tan licencie 72 salariés et les oblige à ranger avant de partir

Ce lundi, l’ancienne usine Total de Mazingarbe, dans le Pas-de-Calais, ferme définitivement ses portes après plusieurs mois de lutte. Les 72 salariés, contraints de restés jusqu’au bout pour surveiller un dangereux stock de nitrate d’ammonium, vont se retrouver sur le carreau

Crise économique

Ce lundi 17 mai, c’est le jour de fermeture pour les 72 salariés de l’usine Maxam Tan, à Mazingarbe, dans le Pas-de-Calais. Un énième plan social, remarque l’un d’eux : « C’est uniquement parce qu’il y avait un impact sur la sécurité des villages alentour qu’on a parlé de nous ». L’entreprise classée Seveso « seuil haut » et dont les produits entrent dans la composition d’explosifs civils et d’engrais, était en redressement judiciaire depuis le 26 octobre. Cette usine fabriquait du nitrate d’ammonium, un explosif pour les carrières, le même produit qui a détruit l’usine AZF de Toulouse et le port de Beyrouth.

Les salariés accusent la direction d’avoir procédé à « une faillite organisée pour avoir des contrats avec le principal concurrent en Europe, Yara », selon Virginie Govaert de la CFDT.

Rappelons que le groupe Yara international, qui a quasiment triplé son bénéfice net en 2019 à 59 millions d’euros, a reçu en février le « prix Pinocchio 2020 » du greenwashing, décerné par l’association Les Amis de la terre et la Confédération paysanne. Les organisateurs reprochaient à Yara de se présenter comme un promoteur de « l’agriculture intelligente face au climat », alors que ses émissions de gaz à effet de serre ont augmenté de 20% entre 2009 et 2017 et que l’usage de produits chimiques provoque « de graves dommages sur le climat, la santé, l’air et l’eau », selon les ONG.

Sur le site de l’usine, à l’arrêt depuis le 17 juin 2020, est resté un réservoir plein de 1000 tonnes d’ammoniac liquide. « A température et pression ambiante, il redevient un gaz de façon naturelle en un à deux jours », explique Rudolph, de la maintenance. « S’il n’y a personne pour contrôler, à la moindre petite panne, c’est la catastrophe. » Avec le risque de dispersion d’un nuage toxique, potentiellement mortel, au cœur d’une zone densément peuplée, entre Lens et Béthune.

Le préfet a tapé du poing sur la table, a saisi le procureur de la République de Béthune pour mise en danger de la vie d’autrui. Histoire de ranger avant de partir, on a alors demandé aux ouvriers du site de rester plus longtemps, le temps de vider la sphère d’ammoniac et de sécuriser le reste des matières dangereuses encore présentes. Une demande scandaleuse sachant que si les salariés refusaient, le préfet ferait appel à « des tiers », une perspective que les ouvriers jugent « impensable » sur le plan de la sécurité. « C’était comme leur demander de fabriquer leur cercueil, videz la sphère et ensuite on pourra vous licencier », s’exclame Philippe Dutkiewicz, adjoint aux affaires économiques de la ville de Mazingarbe. « On ne pouvait pas la laisser péter », soupire Stéphane Hugueny, le délégué syndical CFDT, membre de l’intersalariale formée avec la CGT.

Face à cette situation, Stéphane Hugueny, l’un des porte-parole du CSE, déclarait à l’AFP « nous devons élaborer un accord avec le groupe et un calendrier pour mettre en sécurité le site » et réclamait des primes supra légales, notamment « pour suppléer à tous les manquements qu’on a connus depuis longtemps ». Consultés mercredi par le CSE, ils ont par ailleurs voté à 45% en faveur d’une prime de « sécurisation » proposée par le liquidateur judiciaire, et à 18% contre, 35% s’en remettant à la décision du tribunal, selon le porte-parole du CSE. A cette prime, la direction de la maison-mère MaxamCorp a proposé d’ajouter 1,4 million d’euros d’indemnités supra-légales, montant que les salariés jugent insuffisant.

Furieux, ils ont pendu un mannequin sur la sphère de 1000 tonnes d’ammoniac, emblème du site, qu’il a fallu surveiller jusqu’au bout..

Face au chômage grandissant et aux plans de licenciements par centaines que nous réserve le patronat, notre réaction ne doit pas être celle de négocier des indemnités de départs. Il faut rompre avec la politique de dialogue social des directions syndicales et mettre en place un plan de bataille qui allie l’ensemble des travailleuses et des travailleurs. Nous devons combattre et refuser en bloc tous licenciements et toutes baisses de salaire !

Le cas de Maxam Tan montre encore une fois toute l’irrationalité de la gestion écologique des capitalistes. Alors que les conséquences d’un accident peuvent être catastrophiques pour des milliers de personnes, seule une poignée de gens décident de ce qui est produit, comment, pourquoi, dans quelles conditions et quelles sont les mesures de protection nécessaires. Les patrons de cette usine préfère ainsi mettre des dizaines de familles sur le carreaux et aller faire des profits chez un groupe qui a déjà fait ses preuves en terme de gestion écologique criminelle. C’est les ouvriers de l’usine qui ont été le plus raisonnable concernant la sûreté des produits toxiques, pour le bien de la planète et de la population, pas les patrons. Nous ne pouvons laisser une minorité de personnes à la recherche de bénéfices toujours plus important prendre des décisions aussi irréversibles. Nous devons revendiquer l’expropriation sous contrôle des travailleurs et de la population locale de ces usines. Il faut que les premiers concernés par les risques soient ceux qui s’assurent que la production est la moins dangereuse possible.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Antisystème ? Marine Le Pen suspectée d’un détournement de 6,8 millions d’euros

Dans son édition du 16 mai, le Journal du Dimanche a révélé les conclusions d’une enquête sur le RN ouverte en 2015 : 6.8 millions d’euros auraient été détournés par le parti via des emplois fictifs d’assistants parlementaires. Des conclusions accablantes, en particulier pour la présidente du RN.

Candidate de la bourgeoisie corrompue

Crédits photo : AFP

L’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales a rendu son verdict quant à une enquête ouverte il y a 5 ans sur des soupçons d’emplois fictifs au RN (qui était encore à l’époque le Front National). Le rapport conclut ainsi que le parti a « par l’intermédiaire de ses cadres et dirigeants, mis en place un système organisé frauduleux de détournement des fonds européens à son profit, par le biais d’emplois fictifs d’assistants parlementaires ». Au total, ces détournements s’élèvent à hauteur de 6.8 millions d’euros de fonds publics dont l’actuelle présidente du RN, Marine Le Pen, aurait été la principale bénéficiaire. Cette dernière, ainsi que 17 membres du parti, ont été mis en examen pour « abus de bien public », « détournements de fonds publics » et « escroquerie en bande organisée ». La supercherie qui a permis de détourner les fonds alloués par l’UE consistait à faire passer des collaborateurs pour assistants parlementaires alors que leur activité ne bénéficiait qu’au RN (qui a ainsi réalisé de grandes économies sur les salaires).

En guise de défense, Marine Le Pen a réagi sur Twitter à ce qu’elle perçoit comme une énième tentative du gouvernement Macron de redorer son image face à celle que les sondages le voient déjà affronter en 2022. Il est clair qu’en vue des prochaines élections, de telles révélations pourraient avantager l’actuel gouvernement qui s’imagine déjà en duel avec la présidente du RN pour la course à l’Elysée.

Ce que révèle cette affaire c’est avant tout que le Rassemblement National n’a rien d’un parti antisystème contrairement à ce qu’il aime à se proclamer. Au contraire, il est un parti qui profite pleinement de ce système mais qui joue sur les qualificatifs pour s’afficher en alternative à contre-courant des partis libéraux. Marine Le Pen voudrait se faire passer pour la présidente des classes populaires et des milieux ruraux, pourtant son programme n’est qu’une promesse supplémentaire de cadeaux au patronat et aux plus riches. La présidente du RN a récemment affirmé la nécessité de rembourser la dette Covid « contre vents et marées », expression qui laisse entendre que si elle accède à l’Elysée, elle usera de tous les moyens pour protéger l’économie et les profits, y compris la hausse des impôts et la taxation des plus pauvres. Marine Le Pen a également multiplié les tentatives de ralliement de la droite à sa base électorale notamment par des alliances à d’anciens membres LREM ou LR (elle avait d’ailleurs affiché son soutien à Sarkozy lors de sa condamnation) mais également par son opposition à la hausse du SMIC.

Dans son programme, la présidente du RN entend « aggraver les sanctions contre les dirigeants d’entreprise coupables de fraude », ironie du sort pour l’instigatrice d’un détournement de fonds à plus de 6 millions d’euros d’argent public.

Finalement on ne peut que souligner les contradictions de la candidate issue de la grande bourgeoisie : eurosceptique qui se sert dans les caisses de l’UE et anti-système qui s’inscrit en réalité dans la continuité des politiques néolibérales de Macron. Marine Le Pen ne sera jamais la “candidate du peuple” mais bien celle des classes dominantes corrompues.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Et le grand gagnant de la loterie des dividendes est ... Blackrock!!
 Et le grand gagnant
 
 
de la loterie des
 
dividendes est ...
 
Blackrock!!  

Chers lecteurs, chères lectrices,

L'équipe d'Allô Bercy? a lancé ce 11 mai sa deuxième vague de révélations sur la rémunération des actionnaires en 2021. Un focus sur les principaux bénéficiaires de ces fameux 51 milliards d'euros, chiffre que nous révélions mardi 27 avril et qui est depuis sur toutes les lèvres (Cf "Allô Bercy? dans les médias").
Qu'avons-nous déniché cette fois? Deux informations proprement scandaleuses. Un indice : la première est dans le titre!

 

Découvrez le projet

 
LE CHIFFRE DU JOUR
- 1,7 MILLIARD -

C'est l'information que nous avons révélé en exclusivité ce 11 mai : 

le principal bénéficiaire des dividendes versés par les 40 entreprises françaises les plus riches n'est autre que Blackrock. Ce fonds d'investissement américain, le plus puissant de la planète, reçoit la coquette somme de 1,7 milliards d'euros. Vous avez dit crise ?

À nouveau, quelques comparatifs simples s'imposent pour comprendre à quoi correspond cette somme folle avalée par Blackrock :

Et le grand gagnant de la loterie des dividendes est ... Blackrock!!
LE PODIUM DES DIVIDENDES
- Une incroyable médaille d'argent -
Notre seconde information du jour concerne le deuxième du classement des bénéficiaires des dividendes du CAC 40. Et là, c'est encore plus surprenant: il s'agit tout simplement de ... l’État français! Alors que le gouvernement avait promis que les groupes dont l'État est actionnaire (Orange, ST MicroElectronics, Thales, Veolia, Vivendi...) ne verseraient pas de dividendes par temps de pandémie...
Allô Bercy? C'est un peu voyant votre hypocrisie, là.

Juste derrière, on retrouve les habituels grands nababs du capitalisme français, la plupart boostés par l'envolée de l'industrie du luxe : Arnault (LVMH), Bolloré (Vivendi), Bettencourt (L’Oréal), Hermès (groupe éponyme), Pinault (Kering), del Vecchio (EssilorLuxottica), ainsi que deux multinationales (Nestlé, actionnaire de L’Oréal, et L’Oréal, actionnaire de Sanofi).

Le podium complet en graphique :
Et le grand gagnant de la loterie des dividendes est ... Blackrock!!

Publié par http://canempechepasnicolas.over-blog.com

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Le 19 mai, à vos marques! Prêts? Partez!

Non, vous ne savez pas? Ce mercredi, pas ce lundi selon notre astrologue en chef siégeant à l'Elysée, réouverture des terrasses des bars et des restaurants. Il paraît qu'il y aura foule, il me l'ont dit à la télé. On n'attendait ce jour plus que le Messie revenant sur terre pour la sauver.

 

- Un pastis, patron! Mais sans eau ni glaçon. Avec le temps qu'il fait, je tendrai mon verre hors de la terrasse. Dites, il n'y a pas de chauffage sous votre guitoune? A cause de l'écologie ou parce que vous avez des frais? Ben, c'est comme moi. On est dans la même galère. Je n'ai pas eu un centime de plus en pouvoir d'achat depuis qu'un ex-banquier d'affaires est assis dans un palais présidentiel. Ah, vous ne faites pas de politique. C'est drôle, je connais beaucoup de commerçants qui font comme vous dans ce centre ville. C'est combien votre pastis?... Tant que ça! C'est le marché noir ou pas, à ce tarif-là? Si je n'aime pas mon pays, j'ai qu'à le quitter? Mais c'est de la fille de Le Pen tout craché, ça. Mais c'est vrai que vous ne faites pas de politique ni ne revendiquez pas l'augmentation des salaires et des retraites. Que O centime pour vos charges sociales.

Note de ma pomme : Naturellement, cette prose provient de l'imagination du très mauvais citoyen que je suis. Il n'y a rien de vrai. Même le marché noir. Sauf peut-être sous l'occupation nazie, quand l'extrême droite et le patronat collaboraient avec l'économie de guerre de l'Allemagne nazie. Mais ça, c'est du passé qui n'existe plus. Non mais!

C'est comme ce dessin très malvenu!

Le 19 mai, à vos marques! Prêts? Partez!

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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