SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Agroalimentaire. Chez Knorr, les vilaines recettes d’Unilever

Salariés, syndicats et élus sont lancés dans une course contre la montre pour éviter la fermeture des usines alsaciennes et la perte de 261 emplois.

 

« Cela a été un non catégorique ! » Dorothée Unterberger, la secrétaire générale de l’Ustaf CGT (Union des travailleurs de l’agroalimentaire et des forêts), ne cachait pas son indignation, mardi dernier, à la sortie de la réunion au cours de laquelle les cinq syndicats de l’usine ont demandé à la direction de Knorr-Unilever un accord de méthode qui aurait permis de rallonger le délai de négociation du plan dit de sauvegarde de l’emploi (PSE), fixé à quatre mois. La loi le permet. La Direccte (ex-Inspection du travail) y était favorable. Mais pas la direction, qui veut aller vite.

 

Le groupe est connu pour ses restructurations et délocalisations

 

Fin mars, elle annonçait la fermeture totale des deux usines de soupe, liquide et déshydratée, implantées à Duppigheim, un village situé à une quinzaine de kilomètres au sud-ouest de Strasbourg. La direction justifiait sa décision par une baisse « structurelle » des ventes de soupe industrielle, ainsi que par un sous-emploi des capacités de production du site, qui ne tournerait qu’à 40 % de ses moyens. « Ils disent tout et son contraire », estime André Hemmerlé, le secrétaire général adjoint CGT de l’Ustaf, qui rappelle que, depuis que la multinationale Unilever s’est emparée, en 2000, des usines Knorr, installées en Alsace depuis 1953, le groupe néerlando-britannique n’a eu de cesse de les vider de ses productions, sans y réaliser de nouveaux investissements nécessaires. « C’est une stratégie de déshabiller la production sur les sites pour y faire des profits », complète Dorothée Unterberger. Ainsi, en 2007, le secteur de recherche et développement avait été transféré en Pologne. Et, en 2014, la production de soupes déshydratées, délocalisée en Allemagne, avait déjà entraîné un PSE pour 41 salariés. La relocalisation, dans le même temps, de la production de Maizena n’avait eu aucun effet positif, selon les syndicats. Cette fois, ce sont 261 emplois qui sont directement menacés par la fermeture du site, ainsi que plusieurs centaines d’emplois dans la sous-traitance. Lors de la manifestation devant l’usine, le 28 avril, des élus locaux ont avancé le nombre de 700 emplois induits, dans les secteurs du transport, du stockage et de la maintenance. Les cinq organisations syndicales de l’usine font front pour défendre le maintien des activités du site alsacien, accompagné de nouveaux investissements. Ils rappellent que, si le groupe Unilever est connu pour ses restructurations et ses délocalisations – par son volume de vente, la multinationale, implantée dans plus de 100 pays, est le quatrième groupe mondial du marché de l’agroalimentaire –, il peut aussi être combattu victorieusement. En 2014, la lutte menée par les salariés à la suite de la fermeture par Unilever de l’usine de Thé Éléphant à Gémenos, près de Marseille, avait abouti, à l’issue de 1 336 jours d’occupation des locaux, au versement d’indemnités et au rachat des machines, permettant la création d’une Scop par les salariés. Unilever envisage de conserver en France la part de production (53 %) destinée au marché français, en la confiant à un sous-traitant. « Pourquoi pas à Duppigheim ? » questionne Dorothée Unterberger. Une pétition demandant le maintien de l’usine et des emplois dans le village alsacien a déjà obtenu plus de 23 000 signatures.

 

Publié par l'Humanité

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Les défenseurs patentés des droits de l'homme, dorts soucieux du sort de Navalny se taisent.

Il ne faut surtout pas faire de peine au grand allié sud américain des USA,  prompt à agresser le Venezuela, pas vrai ?

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SOURCE RT FRANCE

 

 

 

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Airbus fait 362 millions de benefice net : les travailleurs payent l’addition

Après le plan social historique concernant 15.000 suppressions d’emploi à échelle internationale, dont 5000 en France et 3500 sur les sites aux alentours de Toulouse, Airbus a réalisé un bénéfice net de 362 millions d’euros pour le premier trimestre de l’année 2021. Les travailleurs payent la crise.

Aéronautique

eudi 29 avril, Airbus a annoncé avoir réalisé un bénéfice net de 362 millions d’euros pour le premier trimestre de l’année 2021. L’action d’Airbus a également gagné près de 3% en bourse. Le secret de ce succès en plein crise ? Comme l’explique le COE d’Airbus Guillaume Faury , « les bons résultats du premier trimestre reflètent principalement nos livraisons d’avions commerciaux, la réduction des coûts et les mesures de sauvegarde de la trésorerie, l’avancement du plan de restructuration et les contributions positives de nos activités hélicoptères, défense et spatial. ».

En d’autres mots, ce sont les salariés qui en ont payé les frais de la crise. En effet, la « reduction des couts » ou « le plan de reestructuration » ne sont que des beux mots pour ne pas parler du plan social historique annoncé fin juin 2020 par Airbus et impliquant 15.000 suppressions d’emploi à échelle internationale, dont 5000 en France et 3500 sur les sites aux alentours de Toulouse. Comme le rapporte Actu Toulouse, les effectifs ont « chuté de 3% par rapport au premier trimestre 2020. Airbus recense désormais un effectif global de 127 814 personnes (contre 131 349 en 2020), ce qui représente 3 535 postes en moins en l’espace d’un an. ». Ainsi, ce qui pour les uns c’est traduit par chômage, précarité et surcharge du travail, pour les autres c’est traduit par des bénéfices millionnaires.

Ce carnage à l’emploi n’a pas été seulement l’œuvre du patronat du donneur d’ordre, il a été validé par l’Etat mais aussi accompagné par la bureaucratie syndicale de l’entreprise qui a refusé batailler contre les suppressions d’emploi. En effet le 12 octobre, FO, CFE-CGC et CFTC signaient le plan de suppressions d’emploi et un accord sur l’activité partiel de longue durée (APLD). A l’époque Jean-François Knepper, délégué central FO ainsi que les medias et le personnel politique comme Elisabeth Borne se félicitaient de cet « excellent accord » qui devait exclure tout « licenciement sec » mais donner feu vert à des milliers des suppressions d’emploi. Aujourd’hui on voit clairement que le principal bénéficiaire de cette opération de « dialogue sociale » n’a été que le patronat d’Airbus.

Ce fait nous rappel encore une fois que la régression sociale ne peut pas être un sujet mis sur la table de négociations. Face à la crise et à l’offensive combinée du patronat et du gouvernement pour la faire payer aux travailleurs, la seule issue favorable aux salariés va passer par la lutte. Comme le montrent les bénéfices engragés par Airbus lors de ce premier trimestre, face à l’argument de difficultés financières ou risques de faillite, les travailleurs devraient toujours revendiquer la possibilité de pouvoir regarder les comptes de leurs entreprises, les profits et les bénéfices engrangés lors des dernières années, et ne pas adapter leur niveau de vie à la soif de rentabilité du patronat comme le prétendent les directions syndicales de FO, CFE-CGC et CFTC.

Dans ce sens, le devoir des directions syndicales n’est pas de faire valoir les intérêts patronaux sous couverture de « départs volontaires » ou autre, mais de ne pas perdre du temps dans le « dialogue social » et de préparer un plan de bataille pour l’ensemble des salariés de l’aéronautique, donneur d’ordre et sous-traitants. Un plan de bataille qui dénonce clairement l’offensive patronale, qui refuse de « négocier le poids des chaînes » qui ne cède pas un pouce dans la défense des intérêts fondamentaux des travailleurs et qui vise à construire la grève en coordonnant les usines pour imposer 0 suppressions d’emploi et 0 baisse de salaire. ce n’est pas aux travailleurs de payer la crise !

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Blanquefort. Répression syndicale à Magna : le combat continue !

Ce mardi 4 Mai un nouveau rassemblement avait lieu pour soutenir Gilles, représentant syndical de la CGT, convoqué par la nouvelle direction, Magna, en vu de sanctions disciplinaires pouvant aller jusqu’au licenciement. Le prochain rendez-vous sera le 10 mai pour soutenir Vincent, convoqué à son tour.

Mouvement Ouvrier
Un plan d’attaque prémédité envers les salariés : de la répression syndicale à la casse de l’emploi

Pour rappel, Magna a conclu, avec Ford (entreprise qu’ils détenaient tous les deux à 50/50) le rachat de l’usine le 1er Mars dernier. Avec des perspectives quasi-inexistantes concernant l’avenir de la boite, à défaut de nouveau client (Ford reste monoclient de Magna et son donneur d’ordre) ou d’un nouveau produit, l’inquiétude s’est rapidement faite ressentir au sein des salariés, obligeant les représentants syndicaux à s’organiser pour demander des réponses claires. Un droit d’alerte avait été déposé l’été dernier. Une situation que la direction se refuse d’éclaircir puisqu’il n’y a toujours pas eu de communication de leur part concernant l’avenir du site blanquefortais. Une affaire que nous suivons de près depuis la fermeture de l’usine voisine, Ford, en 2019, qui avait mis plus d’un millier d’ouvriers sur le carreau (emplois directs et induis)

C’est dans un contexte tendu, en présence de la gendarmerie, qu’une cinquantaine de soutiens étaient présents ce mardi matin à 10h sur le parking du site, à l’occasion de la convocation de Gilles ce jour là : des représentants CGT et FO de la boîte, des syndicalistes de différents secteurs tels que Stryker, La poste, la Monnaie, et Cerexagri, des anciens travailleurs de Ford et de la jeunesse autour de la banderole du NPA Jeunes dont le NPA – Révolution Permanente, pour soutenir les représentants syndicaux menacés. Tous, dénoncent les pratiques scandaleuses employées par la nouvelle direction qui s’attaque, plus généralement, aux droits des travailleurs, à leurs emplois, et au rôle que jouent les syndicats dans leur défense. Dans l’après-midi, le rassemblement s’est poursuivi avec un appel de FO à débrayer, plusieurs travailleurs du site se sont retrouvés à ce moment-là également.

Un rendez-vous succin et des motifs hasardeux

Malgré des motifs bancals - pour ceux dont on a d’ores et déjà connaissance -, et des sanctions encore inconnues, la nouvelle direction persiste à dire que la convocation des trois représentants syndicaux n’est qu’une simple coïncidence. Or il s’agit d’une initiative consciente de s’attaquer aux élus, qui défendent l’ensemble des salariés, dans un contexte où pourraient se multiplier les menaces de la direction sur le site. C’est seulement après de courtes minutes d’entretien avec la direction que Gilles rapporte les quelques motifs saugrenus qui lui sont reprochés (faute de mieux de la part des nouveaux patrons). A titre d’exemple, la direction reproche à Gilles d’avoir utilisé une enceinte sonore au sein de l’usine prenant donc le risque de couvrir le son de l’alarme incendie en cas de feu potentiel. Des motifs douteux visant simplement à intimider le représentant syndical et à décourager l’ensemble des travailleurs dans leur lutte. Parmi les trois menacés, Régis, représentant syndical de Force Ouvrière, qui a eu son entretien en avril, a déjà reçu sa notification de procédure de licenciement. Un ancien travailleur de l’usine, présent sur place, nous raconte que ces méthodes sont monnaies courantes de la part du patronat. Il nous décrit le harcèlement moral, portant atteinte à la vie privée de certains salariés, qu’avait déjà utilisé, à l’époque, la direction de Ford. Des méthodes de répression qui se généralisent autant dans le secteur privé que dans le secteur public, comme en témoignent la nouvelle convocation disciplinaire de la secrétaire générale CGT de la blanchisserie du CHU de Bordeaux, ou encore les assignations abusives employées par la même direction du CHU en Janvier, qui permettent de réduire l’impact de la grève. C’est en imposant un rapport de force conséquent, que ces mêmes travailleurs avaient démontré, en avril 2020, en faisant valoir leur droit de retrait collectivement pour imposer la fermeture du site à la direction face au risque de cluster, que les ouvriers auront gains de cause.

Un nouveau rendez-vous est donné le lundi 10 Mai à 13H30 pour soutenir Vincent qui est convoqué à son tour, continuer à lutter contre la répression syndicale, et contre la politique répressive et autoritaire que tente d’imposer le gouvernement pour faire payer la crise aux travailleurs. Dans ce contexte, il est plus que jamais nécessaire de lier le combat contre la répression syndicale à celui contre la casse de l’emploi : à Magna, la direction avec ces menaces, prépare le terrain pour un éventuel PSE voire une fermeture totale du site.

C’est aux travailleurs de décider de leur avenir par eux mêmes et aux capitalistes de payer leur crise ! Nous rappelons ici tout notre soutien à Gilles, Vincent et Régis ainsi qu’à l’ensemble des travailleurs de Magna dans leur lutte. Rendez-vous le 10 mai pour continuer à crier haut et fort : « S’ils touchent à l’un d’entre nous, ils touchent à tous ! »

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Airbus Defense & Space : Quatrième jour de grève pour les salaires !

Ce mardi 4 mai, les travailleurs de Airbus Defense and Space ont fait leur quatrième journée de grève pour contester les propositions de la direction au sujet des salaires de la branche aérospatiale alors même que les salaires avaient été gelés l'année dernière.

Airbus

Ce matin, les salariés de Airbus Defense and Space (ADS) se sont rassemblés devant l’entrée de l’Astrolabe, proche de Ramonville, pour le quatrième jour de leur mouvement de grève lancé depuis mercredi dernier sur différents sites situés entre Paris (Elancourt) et Toulouse. La colère des travailleurs, en grande majorité jeunes, de cette branche d’Airbus spécialisée dans l’aérospatiale qui assemble et teste les satellites vient de plusieurs mois de mépris de la part de la direction et d’une dégradation des conditions de travail après le premier confinement. La direction leur avait imposé un gel des salaires laissant ainsi les salaires stagner sur les deux dernières années.

Comme le raconte Sébastien, représentant du CGT Airbus DS : « Il y a vraiment un ras-le-bol généralisé concentré beaucoup sur des jeunes parce que c’est des bas salaires. Technicien, ouvrier, cadre... », aussi il dénonce le danger que court la convention métallurgie : « Le fait d’avoir des progressions automatiques de carrière pour les jeunes techniciens qui ont un BTS ou pour les jeunes cadres est remise en question par la signature des centrales syndicales, du Medef et de l’UIMM. »

En effet, le début de la mobilisation, appelée par le syndicat CGT, fait suite aux propositions faites par la direction de l’entreprise dans le cadre des Négociations Annuelles Obligatoires (NAO) avec une augmentation des salaires de 1,5% et une mise au minima sociaux pour les jeunes cadres. Les salariés et la CGT ADS demandent une augmentation générale de 4% pour tous qui comprend les 2% non donnée pour l’année 2020 ainsi que ceux de l’année 2021. Ils revendiquent aussi un budget spécifique pour les promotions, un rattrapage sur les inégalités salariales et la réintégration de la part variable dans le salaire.

Au cours de la quatrième réunion de négociations qui avait lieu ce mardi, la direction d’ADS a avancé le chiffre d’une augmentation de 1,9%. Cette proposition reste loin des revendications des grévistes pour qui il s’agit de « mesurettes » et d’une « forme de provocation » de la part de la direction. Selon Actu-Toulouse, les grévistes ont annoncé la fin de la grève en disant réfléchir à d’autres modes d’action comme un ralentissement de la production qui impacterait l’assemblage de satellites.

Toutefois, si les autres syndicats, de la CFDT à FO en passant par la CFE-CGC préfèrent la stratégie du dialogue, tout en dénonçant, pour ces deux derniers l’outil de la grève comme moyen de lutte pour arracher des victoires, il est tout de même important de noter qu’une avancée dans les propositions de la direction s’est faite après quatre jours de grève. Ce qui démontre que tous améliorations dans les conditions de vie et de travail des salariés ne peut passer que par la lutte et la grève.

Cette mobilisation a lieu dans un contexte où les attaques sur les travailleurs de l’aéronautique se sont multipliés avec dans le cas de ADS le renforcement du plan de réduction d’effectifs avec 388 suppressions de poste qui font partie des 5000 sur tout le groupe en France seulement si on enlève les sous-traitants et les intérimaires, à partir de quoi le chiffre s’élèverait à 15 000. Et ce alors même que Guillaume Faury, PDG de Airbus, avait déclaré en février dernier à BFM Business que ADS avait vu des « succès et des réussites » en 2020 malgré la crise qui lui avait fait « jouer un rôle de stabilisateur de la quille d’un bateau dans la tempête ».

Après les subventions données par l’État à l’industrie aéronautique de l’ordre de 15 milliards d’euros et les 50 millions d’euros de bénéfice net fait lors du premier trimestre 2021 par la branche Defense and Space, les patrons d’Airbus comptent sur les travailleurs décharger le poids d’une crise dont ils ne sont pas responsables. A petite échelle la grève qui a émergé à Defense & Space montre la possibilité de lutter contre les plans du patronat et avancer vers une issue favorable aux salariés.


 

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Ben oui, c'est le bicentenaire de la mort de Napoléon Bonaparte et surtout pas le 150e anniversaire de la Commune de Paris

Macron commémore Napoléon le premier du prénom

J'ai piqué ce dessin dans le Courrier international: Emmanuel Macron affublé d'un tricorne rappelant une 2 CV rouillée. Ressemblant, non?

 

Bien, ceci dessiné, normal que le palais de l'Elysée commémore le bicentenaire de la mort de Napoléon.

Ce dernier n'a-t-il pas perpétré le coup d'Etat du 18 brumaire pour s'emparer du pouvoir, en faire une dictature et intronisant sa fratrie et ses janissaires rois ou princes partout en Europe?

Napoléon Bonaparte n'a-t-il pas rétabli l'esclavage aboli par la Révolution française?

N'a-t-il pas institué le Livret ouvrier qui fliquait tous les déplacements d'un ouvrier, à faire viser par la police de l'Empire sous peine de prison, et qu'un patron avait droit d'annoter?

Et le Code civil qu'il fit rédiger instituant la prédominance masculine : "La femme doit obéissance à son mari". Et il faut rappeler la lettre du général Bonaparte à son frère Joseph, le 8 septembre 1795: "Les femmes sont l’âme de toutes les intrigues, on devrait les reléguer dans leur ménage, les salons du gouvernement devraient leur être fermés."

Et l'article 1781 dudit Code civil: "En matière de salaire, le maître est crû sur son affirmation". Article supprimé en 1868 et que des avocats d'employeurs plaident toujours devant le Conseil de prud'hommes.

Comme quoi, oui, fallait célébrer aujourd'hui la mémoire de Napoléon.

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Projet planning UNILEVER

Un petit mot concernant le projet de réorganisation du planning décidé par Unilever.

Vendredi 30 avril 2021 se tenait le CSE mensuel et les élus devaient se prononcer sur le vote d’une expertise sur le sujet.

Considérant l’importance du projet et les questions qu’il soulève sur la santé, la sécurité et les conditions de travail, le CSE décide, conformément à ses missions de prévention et en application des articles L.2315-80 et L.2315-96 du Code du travail, de recourir à un expert habilité par le Ministère du travail.

A l’unanimité les élus se sont prononcés « POUR ».

Le cabinet Progexa sera là pour nous éclairer et nous permettre de rendre un avis sur cette stratégie du groupe.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Agresssions contre la CGT, 1er mai 2021 à Paris: mise au point de l'UD CGT 94

La CGT a toujours organisé des manifestations pour le 1er mai. Souvent, les gouvernements les ont interdites ou lancé ses forces de l'ordre et ses supplétifs contre les manifestants entrainant morts et blessés. Pour le 1er mai 2019, la police de Macron avait eu la dent dure contre la manif parisienne et sans que la CGT n'outrage la République. et l'ordre public.

En ce 1er mai 2021, la complaisance de la police à l'égard des casseurs est manifeste. Et le communiqué mensonger de la préfecture de Paris, affirmant notamment que les véhicules cégétistes n'auraient pas suivi l'itinéraire prévu, en illustre la chose.

Enfin, lorsque la fille de Le Pen se réunit autour de la statue de Jean D'Arc à Paris, ce même jour, aucun casseur d'aucune sorte n'est venu perturber ce rassemblement d'extrême droite. Non, ils ont opté pour traiter de collabo la CGT, quand de 1940 à la Libération de la France, la CGT combattait dans la Résistance contre l'extrême droite française qui elle gouvernait le pays en collaborant avec l'Allemagne nazie.

Le communiqué de l'UD CGT 94 appelle un chat un chat et un fasciste un fasciste. Cela me va bien en ce temps ou du brun, colporté pas spécialement par ses partisans, obscurcit démesurément le paysage.

Agresssions contre la CGT, 1er mai 2021 à Paris: mise au point de l'UD CGT 94

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Parce que la bête immonde

pour commettre ses forfaits

sait se présenter en victime.

1er mai , suite (et certainement pas fin)

En guise de préambule, pas inutile de rappeler quelques faits et principes : 

De même qui si quelqu’un vient stationner devant votre sortie d’immeuble et vous empêche de passer il y a obstruction, quiconque empêche de le passage d’une manif ou pire tente de la forcer ou scinder le cortège en pénétrant sur son emprise est de tout temps la cause de tous les incidents. c’est aussi simple que cela.

Ce premier mai, le service d’ordre  de la CGT n’a JAMAIS quitté les emprises du cortège dont il a la charge….et donc la responsabilité des p’tits fachos de service n’est même pas à discuter.

Toutes les vidéo, je dis bien toutes, prises par eux, présentées par les auteurs des violences et se voulant être à charge contre les militants de la CGT, TOUTES sans aucune exeption montrent que le S.O. de la CGT ne quitte jamais le cortège et que toutes les échauffourrées, je dis bien TOUTES, sont dues à des agressions et tentatives de s’infiltrer DANS le cortège ou de le scinder.

Sauf à vouloir clairement casser du syndicaliste ? dès lors pourquoi s’en prennent-ils systématiquement qu’à la CGT ?

S’ils se présentent « antifa » pourquoi agresser la CGT et non pas les fascistes qui perroraient le matin avec la Führerin de la Haine ? Parce que leurs commandiataires étaient à ses côtés ou parce qu’ils étaient dans le cortège? 

Pourquoi les forces de l’ordre présentes non seulement ont laissé faire mais ont fermé les issues (déposées avec le parcours de la manif) pour bloquer les camionettes et ainsi permettre l’agression?

Pour justifier leur forfaits, ceux qui dénigrent les « Zappareils » attendent, embusqués, que ceux ci prennent des initiatives pour venir y jouer les coucous, certains s’y comporter en hyènes mais jamais ne prennent initiatives propres pour voir combien ils pourraient rassembler.

En biologie ou botanique on appelle cela du parasitisme un peu comme le lierre sur le troncs des arbres sains ou comme des tiques porteurs de la maladie de Lyme.

On peut parler ici de parasistisme social.

Tout cela démontre bien que ces parasites sociaux sont les supplétifs du patronat et du pouvoir.

CQFD 

Publié par Par Canaille Lerouge

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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