SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI
Syndicat CGT Unilever HPCI France
En donnant en particulier la parole aux acteurs de terrain !
Et pas comme le fait France Inter ce matin, n'est-ce pas Léa Salamé et Nicolas Demorand, en invitant exclusivement Laurent Berger qui fait tout ce qu'il peut pour torpiller le mouvement et dégager le terrain pour un " dialogue social" bidon qui a conduit le mouvement ouvrier de reculs en reculs.
A remarquer que le soldat (la soldate ?) Aurore Bergé reprend le nouveau terme à la mode mis en circulation par Berger de " grève préventive" pour tenter de retourner l'opinion contre les travailleurs en lutte.
En oubliant de rappeler que le conflit en cours comme le rappelle dans la vidéo ci-après Adrien Cornet, syndicaliste CGT à Total Grandspuits a été précédé d'une grève le 24 juin dernier, le 28 juillet puis de 3 jours les 27-28 et 29 septembre, la direction de TotalEnergies faisant la source oreille.
Et ce n'est pas le moindre mérite des travailleurs des raffineries dans leur détermination ET à la direction de l'entreprise ET au pouvoir macronien ET aux médias système d'avoir imposé un agenda des luttes et de l'intervention du monde du travail dans l'espace public du pays au détriment de toutes les entreprises de diversion médiatiques.
Publié par FSC
Face au déferlement politico-médiatique contre les grévistes des raffineries, une piqure de rappel s'impose
C'est la camarade Danielle qui nous envoie
Publié par FSC
Ils craignent par dessus tout (il n'y a qu'à regarder le " C dans l'air" d'aujourd'hui) MAIS paradoxalement leurs mesures de répression mettent le feu aux poudres !
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La décision du gouvernement de réquisitionner des personnels d'Esso-Exxon le mardi 11 octobre a mis le feu aux poudres. La raffinerie TotalEnergies de Donges rejoint le mouvement. Piquet de grève dès ce mercredi matin. « Pas une goutte de produit ne sortira du site » prévient la CGT.
La Loire-Atlantique était plutôt épargnée jusqu'ici par la pénurie d'essence. Ca ne va pas durer. La raffinerie TotalEnergies à Donges revient dans le mouvement de grève. Il y avait eu au tout début du mouvement, une grève de 72 heures mais très peu suivie.
POURSUIVRE LA LECTURE :
Publié par FSC
Publié par CGT COMPIEGNE FACEBOOK
Comme l’a rappelé l’OIT dans sa condamnation de la France en 2010, la réquisition ne doit concerner que les activités essentielles (véhicules sanitaires, de secours, de sécurité, etc.)
SOURCE : France Info
Le porte-parole du gouvernement Olivier Véran a indiqué ce mardi sur RTL que l'exécutif envisageait d'"intervenir" pour débloquer les accès aux raffineries et aux dépôts de carburant.
Si le gouvernement décidait de réquisitionner des salariés grévistes pour faire fonctionner les raffineries et permettre d'approvisionner à nouveau les stations-service en carburant, "ce serait la guerre", prévient sur franceinfo ce mardi Emmanuel Lépine, le secrétaire général de la Fédération professionnelle de pétrole de la CGT, qui représente des stations Esso et Total.
>>> Pénurie de carburant : suivez l'évolution de la situation dans notre direct
Alors que près d'un tiers des stations-service connaissent des difficultés d'approvisionnement, le mot "réquisition" a été prononcé lundi lors d'une réunion tardive, à Matignon, entre la Première ministre et quatre ministres concernés.
"Nicolas Sarkozy avait commis cet acte illégal [le président avait fait déloger les grévistes des raffineries lors d'une grève contre la réforme des retraites en 2010], pointe Emmanuel Lépine, et la France a été condamnée en 2011, l'année suivante, puisque ça enfreint la convention 87 de l'Organisation internationale du travail [sur le droit de grève et la liberté syndicale], donc si Emmanuel Macron veut également faire condamner l'Etat et surtout veut une extension rapide sur les autres secteurs économiques parce que là je peux vous garantir que ce serait la guerre, qu'il le fasse".
Le porte-parole du gouvernement Olivier Véran a indiqué ce mardi sur RTL que l'exécutif envisageait d'"intervenir" pour débloquer les accès aux raffineries et aux dépôts de carburant. Emmanuel Lépine répond qu'il "n'y a pas de barricade qui gêne l'entrée ou la sortie des camions" mais qu'il s'agit d'une grève.
"Je souhaite bon courage aux policiers ou à qui que ce soit d'autres qui viendrait, on lui dirait vas-y redémarre la raffinerie. C'est un travail de haute qualification"
Emmanuel Lépine
à franceinfo
Le syndicaliste dit n'avoir "aucune confiance" dans la direction de Total qui propose à la CGT d'avancer d'un mois la date des négociations sur les salaires à la condition qu'elle suspende son mouvement de grève, ce qu'elle se refuse à faire. Emmanuel Lépine dénonce d'ailleurs le "mensonge" du groupe qui a dit des "choses fausses" en affirmant que les opérateurs de raffinerie gagnaient 5 000 euros brut par mois.
Le secrétaire général de la Fédération professionnelle de pétrole de la CGT réfute avoir organisé une "grève préventive" comme plusieurs responsables politiques le dénonce : "On a fait des demandes d'ouverture de négociations depuis mars 2022, on est en octobre. Il y a eu une grève en juin de 24 heures chez Total et en juillet de 48 heures, sans impact sur l'approvisionnement de carburant, il n'y a eu aucune réaction de la direction et donc on en est arrivés aujourd'hui à l'extrémité, à savoir l'arrêt de l'outil de production pour se faire entendre. Aujourd'hui, nous attendons toujours une date de négociation avec Total et aussi des propositions concrètes."
La CFDT a signé à son tour une proposition d'accord du groupe ExxonMobil-Esso, après la CFE-CGC en septembre, mais la CGT ne compte pas le signer, affirme Emmanuel Lépine. "Pour les grévistes qui ont été consultés ce matin sur les deux raffineries [du groupe], ça ne change rien, la grève continue."
Publié par FSC
Suite à la procédure de réquisition des grévistes d'ExxonMobil lancée par le gouvernement, la CGT du Havre et la CGT Ports et Docks de Marseille ont publié des communiqués pour rappeler leur soutien et appeler à une réaction de tous les salariés.
Crédits : CLEMENT MAHOUDEAU / AFP - Grève des dockers de Marseille en 2019
Les démonstrations de solidarité s’enchaînent depuis l’annonce de la réquisition des grévistes d’ExxonMobil par Elisabeth Borne cet après-midi. Parmi elles, l’union départementale CGT du Havre a publié mardi après-midi un communiqué appelant « toute ses bases, tous ses militants » à venir directement sur le piquet de grève pour montrer leur soutien aux grévistes d’Exxon. Ce faisant, elle affirme : « Les pseudos-syndicats ont trahi la grève pour une prime, mais la lutte CGT continue pour augmenter les salaires ! »
De son côté, la CGT des dockers du port de Marseille, a rappelé dans un communiqué que la lutte des raffineurs « devait se poursuivre jusqu’à la satisfaction totale de leurs revendications », tout en prévenant l’Etat et le patron d’Exxon qu’il seraient « solidaires et réactifs » si des réquisitions avaient lieu.
Une manière d’opposer la solidarité ouvrière au coup de poignard dans le dos qu’est la signature par la CFDT et la CFE-CGC de l’accord proposé par la direction, sur laquelle le gouvernement s’appuie aujourd’hui pour justifier la mesure de réquisition des grévistes d’ExxonMobil et pour menacer ceux de Total. Comme développé dans le communiqué : "Dans un moment où la grève se poursuit, les syndicats de complaisance apportent une caution anti-gréviste au discours du patronat et du gouvernement, permettant à la direction Exxon d’agiter de pseudo-concessions pour délégitmer la poursuite du conflit."
Pour faire plier le gouvernement et le patronat et obtenir des augmentations de salaires, face au piège des négociations par entreprise menées avec la direction de syndicats qui n’ont jamais participé au mouvement, la meilleure arme des grévistes d’ExxonMobil et de Total est leur unité par la base au sein de la pétrochimie, mais aussi avec l’ensemble des secteurs du monde du travail et de la population qui subissent de plein fouet la crise et l’inflation. En ce sens, c’est l’ensemble du mouvement ouvrier qui doit dénoncer la procédure de réquisition et appeler à soutenir les raffineurs en grève.
Publié par REVOLUTION PERMANENTE
Arguant d'une multiplication des cas, la droite et la majorité ont voté pour l’assimilation de l'abandon de poste à une démission, privant ainsi d’indemnités chômage toutes les personnes concernées.
Le projet de loi en examen la semaine dernière ne devait être qu’une reconduction pure et simple de la convention d’assurance-chômage actuelle, qui expire à la fin du mois. Il ouvre finalement la porte à la perte de droits des chômeurs.
Mercredi dernier, les députés ont adopté un amendement prévoyant d’instaurer la présomption de démission en cas d’abandon de poste. Loin d’être anecdotique, le texte, présenté par « Les Républicains » et soutenu par la majorité présidentielle, permettra de priver d’indemnités chômage toutes les personnes ayant été licenciées à la suite d’un abandon de poste.
« Le phénomène est en augmentation constante », a justifié la ministre déléguée chargée de la Formation professionnelle, Carole Grandjean, se félicitant d’un amendement permettant d’endiguer la situation.
À l’origine du texte, le député LR Jean-Louis Thiériot raconte avoir « rencontré depuis des mois toute une série d’entreprises qui vont de la petite boulangère aux restaurateurs et aux transports scolaires qui sont victimes d’abandons de poste du jour au lendemain par quelques salariés (…) qui l’utilisent pour obtenir le chômage », assure-t-il.
Pourtant, aucune statistique n’a été produite pour démontrer qu’un tel phénomène existe, ni qu’il porte préjudice aux employeurs. Pas plus qu’une étude d’impact sur les effets qu’aura un tel amendement sur les bénéficiaires d’indemnités chômage.
Qu’importe pour le ministre du Travail, Olivier Dussopt, qui, sans étude chiffrée, a reconnu en amont du vote qu’il existait « une faille », « dans la mesure où un salarié qui procède à un abandon de poste a accès à des conditions d’indemnisation plus favorables qu’un salarié démissionnaire ».
L’amendement vise ainsi à calquer les conditions d’indemnisation sur les règles existantes en cas de démission, à savoir, pour l’écrasante majorité des situations, quatre mois de privation d’indemnités chômage.
Aujourd’hui, seule une poignée de personnes en démission peuvent prétendre à des allocations, notamment si elles suivent un conjoint ou créent une entreprise. « La véritable solution serait d’arrêter de faire le distinguo entre les démissions légitimes et illégitimes, entre le chômage soi-disant volontaire ou involontaire, et de proposer à toute personne de bénéficier du chômage », suggère Denis Gravouil, de la CGT.
Alors que la droite et la majorité décrivent l’abandon de poste comme un stratagème pour bénéficier facilement de l’allocation chômage, l’équation serait en fait inverse pour le syndicaliste. « Ce sont surtout des employeurs qui conseillent à leurs salariés d’abandonner leur poste quand ils veulent s’en séparer sans signer une rupture conventionnelle », affirme- t-il.
La disposition priverait aussi les salariés en souffrance d’une porte de sortie de l’entreprise, lorsque la rupture conventionnelle leur est refusée. L’amendement est une attaque à « la protection des salariés », ont jugé des députés dans les rangs de la Nupes.
Publié par L'humanité .fr
SOURCE : Révolution Permanente
Ce matin, BFM TV recevait le directeur raffinage Europe de Total sur la grève en cours. L’occasion pour lui de s’en prendre aux grévistes et de répandre des fake news. Benjamin Tange, délégué syndical central CGT Total lui a répondu sur Révolution Permanente.
lundi 10 octobre
Crédits photo : Reuters
Suite à l’intervention d’un haut responsable de Total sur BFM TV ce matin, nous avons interviewé Benjamin Tange, délégué syndical central CGT, pour avoir ses impressions sur la séquence.
Révolution Permanente : premièrement, dans la présentation du sujet, BFM TV met l’accent sur les automobilistes tout en invitant un membre de la direction de Total. Qu’est-ce que tu penses du traitement médiatique réservé à la mobilisation ?
Benjamin Tange, CGT Total :
On voit clairement que BFM cherche à retourner l’opinion publique contre les grévistes. Ils ne font qu’interroger des automobilistes, dont on comprend l’agacement et dont on partage les difficultés qui nous touchent aussi ainsi que nos proches, sans parler de nos revendications. Nous ne sommes ni sourds ni aveugles face aux difficultés que beaucoup de français rencontrent. Mais, aujourd’hui, la seule responsabilité des pénuries revient à la direction de TotalÉnergies.
De fait, Jean-Marc Durand est le directeur du raffinage Europe en pétrochimie chez TotalEnergies et c’est un dirigeant qu’on a l’habitude d’avoir autour de la table des négociations, avec ses provocations et sa rigidité face aux demandes des salariés. Il a également dirigé la raffinerie de Grandpuits et a œuvré à la casse industrielle du site.
Révolution Permanente :
Dans l’interview, il revient sur le fait que la direction voudrait négocier pour arrêter « ce qui empoisonne la vie des Français », évoquant ainsi les grèves. Qu’en est-il de l’état des négociations et de la volonté de négocier pour la direction de Total ?
Benjamin Tange, CGT Total
Sur le contenu de son intervention, on a l’habitude des promesses non tenues et les salariés grévistes n’ont plus confiance en elles non plus. En plus de cela, depuis le mois de juin, l’ensemble des organisations syndicales ont interpellées, à plusieurs reprises et sous différentes formes, la direction pour rouvrir les négociations par rapport à l’inflation. Il y a déjà eu des journées de mobilisation où la direction aurait très bien pu commencer à négocier. Mais son obstination a engendré cette situation.
Maintenant, elle tente de renvoyer la responsabilité sur les grévistes et la CGT alors que son comportement a été irresponsable. La direction doit immédiatement ouvrir des négociations sans faire de chantage sur la levée de la grève, surtout qu’elle a les moyens de répondre aux revendications.
Pendant des mois, Total s’est gavé sur le dos des Français grâce à des prix à la pompe très haut ce qui leur a permis d’augmenter la pompe à dividendes en versant 2,6 milliards supplémentaires aux actionnaires. Mais ils ne seraient pas capables de répondre aux revendications des grévistes ?
Révolution Permanente :
Pour revenir sur les revendications et la question des salaires, Jean-Marc Durand a affirmé que le salaire moyen pour un opérateur était de 5000€. Peux-tu préciser ce qui en est réellement question aujourd’hui ?
Benjamin Tange, CGT Total
Sur les revendications, les grévistes posent la question des revalorisations salariales pour répondre à l’inflation mais aussi en lien avec les résultats de la compagnie. Le problème dans ce groupe, c’est le manque de répartition de la richesse créée par les salariés.
Quant aux chiffres sur les salaires, ils sont faux ! C’est la provocation ultime qui augmente encore la détermination des grévistes et rajoute de l’huile sur le feu. Dans la pétrochimie, on a des métiers à très haute valeur ajoutée, avec des conditions de travail difficiles et une exposition prolongée à des produits chimiques dangereux. On a par ailleurs des rémunérations qui sont le fruit de nombreuses luttes. Il faut prendre en compte l’intégralité de ces dimensions.
Mais de là à dire qu’un opérateur touche 5000 € en moyenne c’est totalement erroné. Pour donner un exemple, un opérateur entre 15 et 20 ans d’ancienneté peut toucher 3000€. On est très loin de ce qu’il annonce. La question des rémunérations est un argument avancé par la direction de Total pour mettre une cible sur les grévistes pour la population.
Révolution Permanente :
Dans l’extrait, on a aussi l’impression que la direction de Total ne s’étend pas trop sur la question de l’ampleur de la mobilisation. Peux-tu nous dresser un état actuel des mobilisations sur les différents sites ?
Benjamin Tange, CGT Total
Jean-Marc Durand tente de minimiser la mobilisation : il oublie de souligner la grève aux dépôts de Flandres, à l’agro-raffinerie à la Mède, dans l’usine d’Oudalle, des actions de blocage sur Grandpuits. De plus, il y a aussi des discussions à Donges pour rejoindre le mouvement. Le constat c’est que le mouvement n’est pas prêt de s’éteindre, il gagne en rapport de force et il y a de moins en moins de ravitaillement dans les stations-services.
Ils doivent arrêter leur cinéma, nous convoquer urgemment aux négociations et sortir les premiers chiffres que les grévistes étudieront. De plus, les deux autres revendications ne sont pas oubliées non plus, il y a des problèmes de maintenance à régler. Total ne sait plus où planquer les milliards, il faut absolument que l’argent soit mieux dépensé et mieux réparti.
Révolution Permanente :
Pour finir, Jean-Marc Durand semble être confiant sur le réapprovisionnement logistique des stations. On a aussi entendu des élus LR parler de réquisitions des travailleurs par la répression. Comment vois-tu la suite de la mobilisation en termes de perspectives ?
Benjamin Tange, CGT Total
Premièrement, la situation est loin d’être sous contrôle comme l’annonce Total ou le gouvernement. La direction ne fait pas tout ce qu’elle peut pour arrêter les grèves : elle doit revenir au bon sens et nous convoquer immédiatement sans l’exigence d’arrêter les blocages. Sur la réquisition par l’armée ou la police, ce sont des tentatives d’intimidation qui ont déjà été jugées illégales par l’OIT à Grandpuits en 2010, qui ne calmeront pas la situation mais risquent de l’envenimer.
J’aimerais aussi m’adresser à la population tout entière. On est parfaitement conscient de la situation que vivent des millions de Français. Moi, j’appelle toutes celles et ceux qui sont en colère contre leurs conditions de travail et de salaire à rejoindre le mouvement pour revendiquer des salaires qui couvrent a minima l’inflation et pourquoi pas l’indexation des salaires sur l’inflation comme cela a été réalisé en Belgique. Le gouvernement est responsable de la situation : si on avait les salaires indexés à l’inflation cela réglerait en grande partie les problématiques
En général, ce mouvement n’a pas pour objectif d’embêter les Français, c’est la conséquence d’un mouvement de grève que Total peut rapidement délier. Les fins de mois sont difficiles pour l’ensemble des travailleurs, il y a une nécessité absolue de participer pour augmenter les salaires de l’ensemble des travailleurs et des travailleuses.
Publié par FSC
501542
Se syndiquer CGT ?
Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.
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