SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Toulouse. Les grévistes de Tisséo tentent d’envahir le « salon des mobilités », la sécurité réprime

Au salon des mobilités, les salariés des transports ne sont pas les bienvenus ! Venus en cortège pour exprimer leurs revendications, les salariés ont été agressés par la sécurité : coups de béquilles, clefs de bras. Pas suffisant pour entamer le moral des grévistes qui ont réussi à rentrer dans le parc des expositions.

Répression

Après la tenue d’un piquet depuis 4h30 devant le dépôt de Garossos, les salariés de Tisséo se sont rendus en cortège au salon des mobilité qui se tient actuellement au Parc des expositions. Ce « Mobility Solutions Show », qui invite des représentants de la SNCF, d’Air France ou de Renault Trucks, et qui est sponsorisé entre autres par le MEDEF, ne semble pas être ouvert à tous les « acteurs de la mobilité ».

A leur arrivée, les salariés ont été accueillis par la sécurité privée et violentée. La sécurité a tenté d’empêcher les grévistes de passer les grilles du lieu à coup de béquilles. Des syndicalistes ont été molestés, certains ont reçu des coups de pied, un agent de sécurité a fait une clef de bras à un syndicaliste.

Mais la volonté des grévistes a été plus forte et ils ont pu pénétrer dans l’enceinte du Parc des expositions. Sur le retour au dépôt, des renforts de gendarmerie ont été appelés pour mettre la pression aux grévistes.

Aujourd’hui ce salon se tenait dans une ville sans transport en commun. Il y a pourtant une « mobility » solution simple pour résoudre ce problème : que Jean-Luc Moudenc et Jean-Michel Lattes remette la clause de sauvegarde qui permet que les salaires suivent l’inflation. Pour le moment, la direction de Tisséo et les élus de la métropole s’obstinent à vouloir faire baisser les salaires chez Tisséo !

 

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Disneyland Paris : un millier de grévistes manifestent pour des augmentations de salaire

Pour leur troisième journée de mobilisation contre le coût de la vie depuis le 10 mai dernier, un millier de salariés des parcs d’attractions, des hôtels et des restaurants du groupe américain font grève et revendiquent une hausse de leur rémunération et de meilleures conditions de travail.

GREVE pour les salaires à Disneyland Paris

Le Parisien

« Cast members, on est là ! », hurle ce mardi matin devant l’hôtel New Port Bay Club, à Disneyland Paris, en Seine-et-Marne, un millier de salariés en grève. Pour leur troisième journée de mobilisation, après les mouvements sociaux des 10 et 23 mai derniers, des salariés des parcs d’attractions, des hôtels et des restaurants du groupe américain sont à nouveau mobilisés contre l’inflation, ils revendiquent une hausse de leur rémunération et de meilleures conditions de travail.

« C’est historique, un tel mouvement a Disneyland Paris ! L’initiative est partie de salariés qui ont fondé le collectif baptisé Mouvement anti-inflation. Les syndicats Unsa et CGT les ont rejoints pour les soutenir. Il y a tous les corps de métiers représentés. Il y a beaucoup de salariés avec de l’ancienneté et aussi beaucoup de jeunes et même des CDD. Tous les corps de métiers sont représentés. Hôtellerie, restauration, sécurité… Et pas uniquement les petites mains, il y a aussi des managers », commente Ahmed représentant de l’Unsa.

Euro Disney SAS, qui possède et exploite le complexe de loisirs, emploie quelque 17 000 salariés dans le secteur du Val-d’Europe où le premier parc a ouvert en avril 1992.

De 40 à plus de 1200 salariés mobilisés en un mois et demi

Le mouvement a débuté mardi 10 mai dernier par une première mobilisation plutôt discrète rassemblant tout de même 200 grévistes, selon les organisateurs. Mardi 23 mai, ils étaient 500, toujours selon le Mouvement anti-inflation. « La direction ne nous propose que des mesurettes depuis le début de notre mouvement, comme une revalorisation de 125 euros. Nous demandons une augmentation de 200 euros net par mois et des horaires plus réguliers », résume Fabien. Les salariés grévistes demandent aussi les dimanches payés double, afin de répondre à l’inflation. Ils réclament aussi le doublement des indemnités kilométriques ainsi que la fin des horaires adaptés mis en place après la période du Covid.

« Avant on travaillait sept heures par jour. C’était régulier. Maintenant parfois on peut faire dix heures certains jours et d’autres seulement quatre heures. Cela impacte nos vies de famille », témoigne un trentenaire, chef de partie dans un restaurant du parc. " Moi je travaille à Disneyland Paris depuis vingt-six ans. Je gagne 1 700 euros : je suis toujours à découvert. Avec mon loyer de 800 euros je n’arrive jamais à joindre les deux bouts et avec l’inflation c’est encore pire. » Abonde un quinquagénaire employé à la plonge dans un restaurant.

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A l’origine du mouvement, initié il y a un mois et demi au sein du personnel, Anthony Adoux, 31 ans, travaille à l’atelier animation depuis neuf ans. « On s’est structuré avec quelques personnes de la maintenance. Nous avons fait un groupe et on se réunissait le soir, la nuit. Au début on était une quarantaine de personnes à se demander ce qu’on allait faire, à essayer de trouver de plus en plus de monde autour de nous et des métiers différents. Suite à ça nous sommes montés à 80, 120, 200 puis 500 la semaine dernière. Et, là, il paraît qu’on serait 1 200 ; je pense qu’on est beaucoup plus », résume le salarié.

La direction, qui a recensé ce mardi matin 954 grévistes, précise qu’à l’issue d’ « une rencontre avec organisations syndicales avec qui elle maintient le dialogue, elle a proposé une prime de 125 euros et la possibilité de monétiser des jours de repos ainsi que la mensualisation du 13e mois 

Publié par FSC

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Des faits divers dramatiques en cascade alimentent, en ces jours nos informations quotidiennes. Les médias, s'en font largement l'écho. En particulier, BFMTV, qui leur réserve une très large place, suscitant de nombreux débats sur le thème : : la violence envahit-elle la France ?

Voyons d'abord la nature disparate des faits.

« Fusillade à Marseille entre bandes rivales, qui se disputent les territoires de vente de drogues et le bilan toujours en progression des morts accumulé », accidents mortels occasionnés par des chauffards sous l'emprise de la drogue, crimes commis, ou à l'aveugle contre des fonctionnaires, des infirmières, des policiers par des faibles d'esprit, menaces contre des maires, dont on conteste la gestion,

Et d'ajouter à cette liste noire, des actes contre des élus et leur permanence. Et pour faire bon poids, l'attitude de députés qui manifestent leur opposition en utilisant toutes les armes, que leur confère leur statut d'élus de la nation...

Et de ce bilan global, nombre de commentateurs en tirent gravement la conclusion que la violence ne fait que croître dans la population, avec, au bout, subversion, l'émeute et l'avenir de notre nation.

Disons pour commencer que les faits divers rassemblés n'ont guère de ressemblance, que chacun d'eux n'est pas nouveau, qu'ils posent tous un problème particulier que les autorités publiques n'ont pas réglé.

La drogue, ses trafics au plus haut niveau, les filières internationales, leurs profits colossaux. L'usage des stupéfiants d'automobilistes inconscients et les mesures pour concrètes y faire face. Quant aux maires pris pour cibles, n'est-ce pas le gouvernement - et le Président - qui les privent de recette en les chargeant de tâches, dont ils le plus grand mal à s'acquitter, face à une population frustrée ?

Et sur chaque sujet traité, justice, santé, police, c'est bien Macron et sa bande qui ont désossé les services publics, les mettant à l'os au profit du privé. S'il il y avait davantage de fonctionnaires bien formés et bien payés, les citoyens se sentiraient protégés.

Ajoutons que dans la liste des violences recensées, le pouvoir et ses médias ont oublié de citer la violence sociale, dans un pays, comme la France, où des millions de gens sont obligés, au 10 du mois, de choisir par défaut, de quoi se priver pour manger, ou comment se loger, Ne parlons pas des vacances, ils sont loin les congés vraiment payés qui permettent à chacun de se reposer loin du foyer.

Le pouvoir et ses médias utilisent également la violence contre les salariés : celle des patrons qui font appel aux policiers contre les grévistes, les utilisant comme milice pour briser leurs droits, prévus dans la Constitution.

Dernier exemple : à l'usine Vertbaudet, où les ouvrières très mal payées, en grève pour leur salaire, sont agressées, à la demande du préfet, et par d'autres policiers, kidnappés, enlevés et maltraités, sans que ce fait divers fasse longtemps la une des journaux télévisés.

En fait, la campagne orchestrée sur la violence galopante dans notre pays vise à susciter une réaction populaire de désir d'ordre pour tenter de prévenir une explosion sociale annoncée et préparer la nation à une droitisation d’un futur gouvernement, associant les macronistes aux élus LR, et pourquoi pas, demain, avec Marine Le Pen ?

JEAN LÉVY

Publié par EL DIABLO

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Décidémment

MACRON tu ne pourras pas tourner la page !

Et cette fois c'est la Palme d'or du Festival 2023 qui met les points sur les i

 

 

 

Publié par FSC

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REPRIS de 20 minutes :

DISPARITION La dernière survivante du camp de Choisel, militante féministe, avait dîné avec Fidel Castro et avait connu une idylle avec le résistant Guy Môquet

 

 
Odette Niles, résistante française de la Seconde Guerre mondiale, pose à Drancy, près de Paris, le 24 janvier 2023.

Odette Niles, résistante française de la Seconde Guerre mondiale, pose à Drancy, près de Paris, le 24 janvier 2023. — ALAIN JOCARD

 

 

Elle était la dernière survivante du camp de Choisel et avait vécu une idylle avec Guy Môquet. La résistante communiste, Odette Nilès, est décédée dans la nuit de vendredi à samedi à 100 ans. « Odette Nilès représentait un siècle d’engagement et de liberté », lui a rendu hommage Emmanuel Macron, en ce samedi jour anniversaire de la création du Conseil National de Résistance.

Longtemps, elle a été discrète sur une idylle naissante avec le jeune héros de la Seconde Guerre mondiale Guy Môquet. Deux adolescents de 17 et 18 ans pour une amourette séparée par des barbelés, aussi éphémère qu’éternelle. Même son fils, né juste après guerre et prénommé Claude-Guy, n’apprendra que tardivement que son état civil fait référence à ce symbole de la Résistance à l’occupant allemand.

Guy Môquet, son amour de jeunesse

Et puis, quand Nicolas Sarkozy annonce en 2008 que la dernière lettre de Môquet sera lue dans les lycées, les micros se tendent vers son ancienne amoureuse, qui a alors 84 ans. Alors elle raconte, dans les médias puis dans un livre Guy Môquet, mon amour de jeunesse, cette rencontre au camp d’internement de Choisel, à Châteaubriant (Loire-Atlantique). Elle y a été transférée en septembre 1941, un mois après son arrestation à Paris.

Ils font connaissance « à la barrière », la limite entre le camp des hommes et celui des femmes. Et échangent de part et d’autre de la bande de terre qui sépare les clôtures. Il joue de l’harmonica, écrit des poèmes et a vite le béguin pour Odette. Il lui demande un jour si elle voudrait bien lui donner « un patin » (un baiser en argot). « Je ne savais pas ce que c’était mais j’ai dit d’accord », se remémore-t-elle. Il lui offre une bague confectionnée dans une pièce de monnaie. Et lui fait passer un mot doux d’adieu avant de partir pour le peloton avec 47 camarades, le 22 octobre 1941 : « je vais mourir (…) Sans avoir eu ce que tu m’avais promis ».

Près de trois ans internée dans plusieurs camps

Fille d’ouvriers, Odette - Lecland de son nom de jeune fille - naît le 27 décembre 1922 à Paris. Elle s’installe à trois ans avec sa famille en banlieue, à Drancy, au cœur de la future ceinture rouge. Son père a adhéré au PCF dès le congrès de Tours. Elle fait partie du Secours rouge puis des Jeunes filles de France. Ses héroïnes sont Rosa Luxemburg et Dolores Ibarruri, la Pasionaria espagnole.

Dès le début de la guerre, la lycéenne distribue des tracts et participe aux manifestations sur les Grands boulevards à Paris. Elle se fait arrêter par la police française le 13 août 1941 au métro Richelieu-Drouot en se rendant à l’une d’elles. En même temps que 16 garçons. Pendant près de trois ans, Odette est internée dans plusieurs camps. Jusqu’à celui de Mérignac, d’où elle s’évade en 1944 et rejoint la résistance à Bordeaux. C’est là qu’elle rencontre un certain Maurice Nilès, jeune commandant FFI (Forces françaises de l’intérieur). Son futur époux.

Militante féministe

 

Après guerre, lui devient député (1958-1985) et maire PCF (1959-1997) de Drancy. Elle aussi reste toute sa vie fidèle à son idéal communiste et milite pour les droits des femmes. Directrice du patronage laïque de la ville d’Aubervilliers, elle rencontre Youri Gagarine et dîne avec Fidel Castro.

Pendant des décennies, elle témoigne dans les écoles, inlassablement, pour faire vivre la mémoire de ses camarades fusillés. La dernière survivante du camp de Choisel avait passé paisiblement fin décembre le cap des 100 ans dans sa maison de retraite de Drancy. Mais restait hantée par cette Marseillaise chantée à tue-tête avec les autres pour accompagner au peloton leurs frères, ce 22 octobre 1941.

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Décidemment ils utiliseront tous les moyens pour tenter de museler le mouvement populaire. EN VAIN :

 

NON MACRON la page des retraites ne sera pas tournée !

 

 

 

 

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

C'est bien sûr au nom de la légalité et du droit (bourgeois au service des intérêts de l'oligarchie) que les militants CGT qui ont procdé aux coupures de courant sont soumis à la répression .

RAPPEL :

c'est par des actions illégales (grèves avec occupations d'usines, piquets de grève ...) que l'immense majorité des conquis sociaux ont été obtenus comme les emblématiques congés payés en 1936.

Au grand dam des bien pensants patronaux de l'époque qui ne concevaient pas que les travailleurs puissent être payés sans travailler !

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Retraite : deux syndicalistes CGT jugés en novembre pour une vaste coupure d'électricité à Bordeaux
Criminalisation de l'action syndicale pour imposer la contre-réforme des retraites

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Même si " nos " médias sont très discrets  là-dessus et s'efforcent de parler de tout autre chose !

 

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