SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Dans les faits ils n'ont JAMAIS admis les CONQUIS de la Libération, une sécu gérée par les travailleurs portés par le mouvement populaire puissament organisé syndicalement et politiquement !

____________________

 

Publié par FSC

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux

La branche française du géant de l'agroalimentaire et des produits d'hygiène a été réprimandé par la Répression des fraudes ce lundi.

Deux millions d'euros d'amende contre Unilever France pour retards de paiement
 

Une amende de deux millions d'euros a été infligée au géant de l'agroalimentaire et des produits d'hygiène Unilever en France en raison de « retards dans le paiement des factures de ses fournisseurs », a annoncé ce lundi la Répression des fraudes (DGCCRF) sur son site internet.

L'amende ciblant Unilever France a été prononcée par la Direction régionale et interdépartementale de l'économie, de l'emploi, du travail, et des solidarités (DRIEETS) d'Île-de-France. Elle fait suite à une enquête lancée par la DGCCRF « sur le respect des règles du Code de commerce en matière de délais de paiement », précise sur son site le service dépendant du ministère de l’Économie.

Un géant de l'agroalimentaire

La multinationale Unilever est née en 1929, de la fusion des compagnies néerlandaise Margarine Unie et britannique Lever Brothers. Employant plus de 127 000 salariés dans le monde, Unilever se positionne en quatrième place du marché de l'agroalimentaire derrière Nestlé, PepsiCo et Coca-Cola. Parmi les marques du groupe, on retrouve : Magnum, Carte d'Or, Amora, Lipton, Eléphant, Maille, Maïzena, Dove, Axe, Rexona, Signal, Cajoline, Omo, Skip, Ben & Jerry's, Timotei... Unilever France, dont le siège se situe à Rueil-Malmaison, emploie plus de 2 500 salariés.

Plus de 1 800 amendes depuis 2014

Chaque année, la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes réalise des contrôles pour s'assurer du respect des délais de paiement entre entreprises, dont les retards pénalisent avant tout les petites et moyennes entreprises (PME).  « Depuis 2014, plus de 1 800 amendes administratives pour non-respect des délais légaux de paiement ont ainsi été notifiées aux professionnels, pour un montant total d'environ 140 millions d'euros », expliquait Bercy début novembre. 

Depuis le début d'année, la DGCCRF a infligé de lourdes amendes pour ce même motif à des entreprises bien connues, notamment 1,6 million d'euros d'amende pour Veolia, 1,1 million d'euros à l'encontre de la société Métropole Télévision (M6), la même somme pour Brico Dépôt, 865 000 euros à JCDecaux ou encore 850 000 euros au groupe de câbles industriels Nexans et 800 000 euros pour Sanofi.

Publié par La rédaction avec AFP

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux

 

 

 

Publié par FSC

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux

SOURCE : Actu.fr

Le chef de la CGT santé du Gers était jugé pour injure publique envers le député Jean-René Cazeneuve. Il a été relaxé.

Le syndicaliste a été relaxé en raison de la prescription des faits.
Le syndicaliste a été relaxé en raison de la prescription des faits. (©Illustration Fabien Hisbacq – Actu Occitanie)
Par Fabien HisbacqPublié le 

Ce n’est pas la meilleure des périodes pour le député du Gers Jean-René Cazeneuve. Alors qu’il est accusé par une autre députée de dérapage à l’Assemblée nationale, l’élu vient de subir un revers face à un responsable de la CGT dans une autre affaire.

 

Le secrétaire départemental de la CGT Santé du Gers, Christophe Bukovec, était jugé le 14 décembre pour injure publique envers l’homme politique étiqueté Renaissance. Mais il a été relaxé.

 

Une affiche injurieuse

Les faits remontent au 20 mars 2023, lors d’une manifestation contre la réforme des retraites. La CGT était passée devant la permanence parlementaire de Jean-René Cazeneuve à Auch. Une affiche y est accrochée. Entourée de sacs poubelle elle dit « Déchetterie 32, une ordure peut en cacher une autre ».

Reconnaissant avoir rédigé le texte, Christophe Bukovec est convoqué au commissariat. Mais la procédure traîne. Or, au moment du procès, quelques mois plus tard, fautes de poursuites concrètement entamées pour ce délit, la prescription s’applique. Résultat, le syndicaliste a été relaxé. Sans que le fond puisse être jugé.

Publié par FSC

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Jacquet 2000 à Clamecy : "Plus rien ne sort de l'usine" : la grève à est reconduite

SOURCE : Le Journal du Centre

Ce jeudi 14 décembre, à l’appel de la CGT, des salariés ont observé une grève de 24 h sur le site de Jacquet 2000 à Clamecy. Le mouvement de grève a été reconduit ce jeudi.

Jeudi 14 décembre, l’usine Jacquet 2000, qui fabrique des pains spéciaux, était à l’arrêt et les grévistes avaient installé un barnum sur le parking de l’entreprise. Dénonçant un management "très dur avec une pression constante", ils ont demandé "le départ" du directeur du site et celui de la directrice des ressources humaines.

Dans la plus grosse entreprise agroalimentaire de la région, le conflit couvait depuis des mois mais l’ambiance se serait détériorée avec l’arrivée cet été de Jérôme Werner (déjà à la tête du site voisin du Helder) à la tête de Jacquet 2000. La CGT dénonce une absence globale de dialogue, évoque des dysfonctionnements et des troubles sociaux.

Selon la CGT, le préavis de grève de 24 h, lancé dès 6 h, dans le cadre d’un ras-le-bol généralisé aurait été bien suivi, "à 95 %" (des chiffres contestés par Jacquet-Brossard, qui parle de 10 à 20 % de grévistes, lire ci-dessous), impliquant la fabrication mais aussi la partie logistique de Jacquet. "Plus rien ne sort de l’usine", a souligné Hervé Rivière.

 

Enquête sur les conditions de travail

Vers 13 h, ce dernier, délégué syndical CGT, secrétaire et trésorier du CSE a rendu compte aux grévistes de la réunion qui s’était tenue en fin de matinée avec la direction représentée par Jérôme Werner et le responsable de production, en présence de trois autres élus du CSE : Olivier Ravignot, Perrine Pellé, Annie Lipovac. "Une enquête est menée par une société extérieure sur les conditions de travail. Ils nous demandent d’attendre au moins jusqu’à janvier pour les conclusions de l’enquête", souligne d’emblée le syndicaliste. 

"Non", a répondu unanimement la cinquantaine de salariés présents, remontés, car encore sous le coup du décès d’un ancien collègue, ancien cadre, licencié après avoir passé dix-neuf ans dans la société

Dans la plus grosse entreprise agroalimentaire de la région, le conflit couvait depuis des mois mais l’ambiance se serait détériorée avec l’arrivée cet été de Jérôme Werner (déjà à la tête du site voisin du Helder) à la tête de Jacquet 2000. La CGT dénonce une absence globale de dialogue, évoque des dysfonctionnements et des troubles sociaux.

Selon la CGT, le préavis de grève de 24 h, lancé dès 6 h, dans le cadre d’un ras-le-bol généralisé aurait été bien suivi, "à 95 %" (des chiffres contestés par Jacquet-Brossard, qui parle de 10 à 20 % de grévistes, lire ci-dessous), impliquant la fabrication mais aussi la partie logistique de Jacquet. "Plus rien ne sort de l’usine", a souligné Hervé Rivière.

 

Enquête sur les conditions de travail

Vers 13 h, ce dernier, délégué syndical CGT, secrétaire et trésorier du CSE a rendu compte aux grévistes de la réunion qui s’était tenue en fin de matinée avec la direction représentée par Jérôme Werner et le responsable de production, en présence de trois autres élus du CSE : Olivier Ravignot, Perrine Pellé, Annie Lipovac. "Une enquête est menée par une société extérieure sur les conditions de travail. Ils nous demandent d’attendre au moins jusqu’à janvier pour les conclusions de l’enquête", souligne d’emblée le syndicaliste. 

"Non", a répondu unanimement la cinquantaine de salariés présents, remontés, car encore sous le coup du décès d’un ancien collègue, ancien cadre, licencié après avoir passé dix-neuf ans dans la société

"Les intérimaires doivent être mieux accueillis"

Les problématiques de panne sur les lignes par manque de personnel de maintenance ont donc été évoquées ainsi que les rémunérations, jugées globalement trop faibles, dans un contexte inflationniste. "On nous a promis une formation avec l’encadrement. Nous sommes d’accord. Ils ont également promis de travailler avec les sociétés d’intérim et sur les intérimaires pour qu’ils soient mieux accueillis. Pour l’instant, ils ne sont pas assez bien formés. Et il faut les recevoir au mieux pour qu’ils acceptent de rester chez nous. Cela figure au budget mais ce n’est pas encore acté."

Par contre, le directeur aurait garanti à la délégation "qu’il n’y aurait pas de suppressions de postes à Clamecy tant qu’il resterait en fonction".

Jeudi 14 décembre, la CGT a décidé de reconduire le mouvement sans aucune limite de date. Dans la journée, des grévistes ont assisté aux obsèques de l’ancien salarié de Jacquet, célébrées à la collégiale de Clamecy.

"C'est un mouvement limité" assure la direction du Groupe Jacquet-Brossard

Contacté ce jeudi, le Groupe Jacquet-Brossard a souligné être "très triste" du décès de son ancien salarié, âgé de 41 ans.

"C’est une situation terrible et nous comprenons que les salariés et sa famille soient très touchés. Mais nous n’avons pas eu connaissance d’un lien entre son décès et son licenciement pour faute grave". La direction affirme que le mouvement de grève de ce jeudi n’a touché "en moyenne que 30 salariés sur 330, 10 à 20 % de salariés sur la journée à Jacquet 2000. C’est donc un mouvement limité". 

Le souhait d'investir 

Jacquet-Brossard a rappelé son souhait d’investir massivement sur les sites du Helder et de Jacquet 2000 : "Plus de 2,9 M € l’an prochain. Nous avons la volonté de transformer ce site en travaillant étroitement avec les salariés et les managers pour développer la production. On constate une petite crispation du climat social. Dès l’annonce vendredi dernier du préavis de grève, le directeur industriel (de l'ensemble des usines du groupe) et le DRH national de Jacquet-Brossard se sont rendus lundi à Clamecy pour rencontrer les partenaires sociaux et les salariés. Nous sommes aux côtés du directeur de l’usine."

Notre volonté est de rétablir le dialogue car c’est un site sur lequel nous croyons. Nous voulons trouver des solutions.

Le groupe met en avant sa politique salariale : "Le salaire fixe moyen des ouvriers de  J2000 est de 2.158 € brut par mois, treizième mois compris, avec en plus des primes sur les conditions de travail, d'habillage, de nuit. À ceci s'ajoutent 1.487 € brut pour un temps plein d'intéressement et de participation. Et cette année, dans le cadre de la Négociation annuelle obligatoire (NAO), chaque ouvrier a obtenu plus de 100 € brut pour un temps plein". 

Jacquet-Brossard a refusé de s’exprimer sur les éventuels départs du directeur et de sa DRH, réclamés par la CGT : "Le directeur du site a compris le message qui lui a été adressé par les partenaires sociaux. Il veut échanger avec les salariés pour sortir de cette situation. Nous poursuivons ce dialogue."

 

Christophe Belhomme

 

Publié par FSC

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux

 

 

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux

SOURCE :

 

GRAND PARIS EXPRESS : DES SYNDICALISTES CGT DENONCENT LES « TRIBUNAUX DE CHANTIERS » DU GROUPE EIFFAGE

 

Dans une expression diffusée sur les chantiers d’Ile de France en direction des ouvriers d’Eiffage et TSO et à tous les ouvriers « exploités sur les chantiers du Grand Paris Express », des syndicalistes CGT dénoncent un « régime de bagne », une « chasse aux syndicalistes », les « tribunaux de chantiers ».

Alors que les prises de paroles officielles et rassurantes se multiplient pour éteindre (en vain) les doutes légitimes de la population, notamment en Ile de France, face aux perspectives d’un été 2024 chaotique et incertain, on apprend que les convocations pour « entretien préalable à licenciement » se multiplient sur les chantiers, notamment dans les entreprises des travaux de la voie ferrée.

Comme partout, et singulièrement dans les industries et services du Bâtiment et de la Construction, les intimidations et la répression s’appuient avant tout sur l’arbitraire, l’impunité et la toute-puissance patronale.

Cette politique patronale, qui s’articule avec les différents mécanismes de répression d’Etat, cherche bien entendu à saboter et interdire l’activité syndicale, en particulier CGT. « Ils craignent que le syndicalisme s’implante sur les chantiers et freine leur exploitation sans limites et les empêche de violer les droits des travailleurs » ; C’est pourquoi ils sabotent les élections professionnelles et répriment, en amont comme en aval, ceux et celles qui se présentent pour être délégué. 

Pour ces syndicalistes CGT, « cette politique d’intimidation et d’expulsion des ouvriers résistants a pour seul but de semer la peur parmi les ouvriers du chantier afin de les discipliner au régime de bagne et à l’arbitraire des chefs (heures supplémentaires forcées, heures non-payées tous les mois chez Eiffage Rail, travail dans des conditions dangereuses imposées etc…) pour que les ouvriers aient peur de formuler leurs justes revendications qu’ils ont déjà fait circuler sur les chantiers : augmentation des salaires, embauche en CDI pour tous, prise en charge de l’entretien des vêtements de travail, respect des 15 minutes pour le temps d’habillage déshabillage, les mêmes primes pour tous etc… »

« Aucun ouvrier ne doit être sanctionné, aucun licenciement ne doit être accepté ! » :  il est possible de s’opposer aux licenciements et aux sanctions, par l’union des travailleurs dans leurs syndicats CGT et « uniquement par l’action de solidarité entre [les ouvriers], en s’opposant aux convocations aux tribunal patronal. » ; « Lorsqu’un collègue est convoqué, répondez-y systématiquement en posant les outils, par la grève, et exigez » la transparence effective, en public « devant tout le monde », des griefs reprochés, afin notamment de révéler et casser le pouvoir discrétionnaire des petits chefs et du patron, dans un secteur particulièrement marqué par la sous-traitance, la précarité, l’exploitation brutale.

Publié par FSC

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux

SOURCE :

 

Quelles sont les raisons de la grève en cours à ArcelorMittal ? Les réquisitions anti-grévistes ont-elles été contre-productives pour le géant industriel ?

>Quelle est la suite du mouvement de grève ? Quelles sont les revendications de la CGT ?

Depuis maintenant plus d’une semaine, des milliers d’ouvriers décembre, ArcelorMittal à Dunkerque, mais aussi à Mardyck et ailleurs, sont en grève, un mouvement ignoré par la presse nationale.

 

L'interview en VIDEO :

 

Publié par FSC

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux

 

 

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
LE RUISSELLEMENT RÉEL
 
Plus les capitalistes font de bénéfices, plus il y a de smicards
LE RUISSELLEMENT RÉEL

Publié par Luttesinvisibles

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
UNILEVER, Pas de Zwan chez Colruyt en raison des discussions sur les prix
Shutterstock.com
 

En raison de discussions persistantes sur les prix entre Colruyt et Unilever, des produits Zwan et Knorr sont actuellement absents des rayons du leader du marché, qui s’est également heurté à AB InBev ces dernières semaines.

« Continuer à négocier de manière constructive »

La semaine dernière, on apprenait déjà que les bières Jupiler et Stella Artois avaient disparus temporairement des rayons de Colruyt en raison de négociations annuelles difficiles. Entre-temps, le détaillant est parvenu à un accord avec le producteur AB InBev. Mais le brasseur n’est pas le seul fabricant à se heurter aux acheteurs du discounter. Les produits de Zwan et de Knorr, marques populaires d’Unilever, ont également disparu des rayons depuis un certain temps.

« Comme toujours en cette période, nous nous mettons autour de la table avec nos fournisseurs pour les négociations annuelles », répond Colruyt à Sudinfo. « Certaines négociations se concluent plus vite que d’autres. Les négociations autour de Zwan sont en cours et il est vrai qu’il n’y a pas de Zwan dans nos magasins en ce moment. Nous continuerons bien sûr à négocier de manière constructive et sommes convaincus que nous parviendrons à un accord, comme nous le faisons chaque année. » Unilever exigerait une augmentation de prix que Colruyt n’est pas disposé à accorder.

 

Publié par www.retaildetail.be

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux

SOURCE :

 

 

La grève a été engagée sur le site de Dunkerque dans l’après-midi du lundi 4 décembre après l’échec des premières discussions des Négociations Annuelles Obligatoires (NAO), par les salariés de l’usine ArtcelorMittal à Dunkerque. Ce mouvement s’est considérablement amplifié après l’annonce de la réquisition par la préfecture du Nord dans la nuit du lundi 4 au mardi 5 décembre de 5 salariés du site.

Ces réquisitions – une première pour le site dunkerquois – ont fait l’effet d’une bombe auprès des salariés et de la CGT. L’indignation et la colère face à la tentative d’intimidation des salariés par l’Etat, main dans la main avec le géant industriel, se sont transformées en détermination. Et ont dépassés les murs de l’usine dunkerquoise. En effet, dès le 5 décembre, les ouvriers du site de Mardyck, situé à quelques kilomètres de celui de Dunkerque, mais aussi les salariés de Fos-sur-Mer, dans les Bouches du Rhône, sont entrés en grève. D’autres sites pourraient également rejoindre cette grève.

« La CGT AMF Dunkerque a honte de travailler dans cette boîte! Nous appelons l’ensemble du personnel à la grève! » a ainsi immédiatement réagi le syndicat CGT. Il va de soit que le timing des annonces préfectorales posent question, tant la rapidité de la décision démontre et révèle la connivence entre les autorités et l’entreprise sidérurgique.

Cité par la presse, Gaétan Lecoq, secrétaire général CGT de l’usine, a dénoncé ces pratiques et souhaite que la grève, contre les réquisitions et pour l’augmentation des salaires, fasse tache d’huile sur l’ensemble des sites du groupe.

Rappelons également le « contexte » plus global concernant le secteur de la métallurgie. Cette bataille pour les salaires (devenue, du fait du patron, également une bataille pour faire respecter le droit inaliénable de grève) s’inscrit dans un mouvement général de luttes pour les salaires dans un grand nombre de secteurs et branches professionnels.

Rappelons aussi que la grève secoue le groupe quelques semaines avant l’entrée en vigueur de la nouvelle convention nationale de la Métallurgie, un texte qui illustre parfaitement la dynamique de régression sociale absolue dans notre pays.

Publié par FSC

Voir les commentaires

<< < 1 2 3 4 5 > >>

Visiteurs

528605

 

Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

Archives

Articles récents

Hébergé par Overblog