SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Unilever Monde

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Vue de Kinshasa

Jeudi 1er mai, c’était la fête du travail, l’occasion pour les salariés du monde entier de faire état de leurs revendications. En RDC, un conflit salarial défraie la chronique depuis treize ans. C’est l’histoire de 686 agents d’une multinationale licenciés en 2001 et jamais indemnisés. A plusieurs reprises, la justice congolaise leur a donné raison. Mais l’entreprise refuse d’obtempérer. Les vingt-quatre millions de dollars d’indemnités n’ont toujours pas été versés. Retour sur cette histoire à dormir debout.

C'est un conflit qui dure depuis treize ans. En 2001, c’est la restructuration : Unilever, fabricant historique d'huile et de savon au Congo, passe la main à un nouveau gérant.

Dans la foulée, plus de 800 personnes sont licenciées. Sans emploi et sans indemnité, 686 d’entre elles se tournent vers la justice. En 2007 la cour d’appel, puis en 2013 la Cour suprême du pays, leur donnent raison. L’ancien employeur doit verser 24 millions de dollars d’indemnités (soit l'équivalent d'un colis mensuel composé d'huile et de savon remis à chaque employé).

Refus

Le problème, c’est que le gérant en RDC refuse d’obtempérer. A deux reprises le Premier ministre rappelle l’entreprise à l’ordre. En vain. Jean-Marie Lokoto, ex-salarié s’insurge face à cette injustice : « Un arrêt de la Cour suprême ! C’est la haute cour de la République ! Aucune décision de ce pays décidée par la Cour ne peut être contredite. Ce n’est pas correct. Et nous, cela fait 13 ans qu’on n’a pas d’emploi. On peut se poser la question : comment vivent ces gens-là ? »

Le 14 avril dernier, nouveau progrès : le ministre du Travail cette fois a ordonné l'ouverture d'un compte pour que les indemnités soient transférées. Depuis rien. Les années passent et pas un centime n’a encore été versé.

 

Vue de Kinshasa

Hier jeudi 1er mai, c’était la fête du travail, l’occasion pour les salariés du monde entier de faire état de leurs revendications. En RDC, un conflit salarial défraie la chronique depuis treize ans. C’est l’histoire de 686 agents d’une multinationale licenciés en 2001 et jamais indemnisés. A plusieurs reprises, la justice congolaise leur a donné raison. Mais l’entreprise refuse d’obtempérer. Les vingt-quatre millions de dollars d’indemnités n’ont toujours pas été versés. Retour sur cette histoire à dormir debout.

C'est un conflit qui dure depuis treize ans. En 2001, c’est la restructuration : Unilever, fabricant historique d'huile et de savon au Congo, passe la main à un nouveau gérant.

Dans la foulée, plus de 800 personnes sont licenciées. Sans emploi et sans indemnité, 686 d’entre elles se tournent vers la justice. En 2007 la cour d’appel, puis en 2013 la Cour suprême du pays, leur donnent raison. L’ancien employeur doit verser 24 millions de dollars d’indemnités (soit l'équivalent d'un colis mensuel composé d'huile et de savon remis à chaque employé).

Refus

Le problème, c’est que le gérant en RDC refuse d’obtempérer. A deux reprises le Premier ministre rappelle l’entreprise à l’ordre. En vain. Jean-Marie Lokoto, ex-salarié s’insurge face à cette injustice : « Un arrêt de la Cour suprême ! C’est la haute cour de la République ! Aucune décision de ce pays décidée par la Cour ne peut être contredite. Ce n’est pas correct. Et nous, cela fait 13 ans qu’on n’a pas d’emploi. On peut se poser la question : comment vivent ces gens-là ? »

Le 14 avril dernier, nouveau progrès : le ministre du Travail cette fois a ordonné l'ouverture d'un compte pour que les indemnités soient transférées. Depuis rien. Les années passent et pas un centime n’a encore été versé.

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Vue de Kinshasa

Hier jeudi 1er mai, c’était la fête du travail, l’occasion pour les salariés du monde entier de faire état de leurs revendications. En RDC, un conflit salarial défraie la chronique depuis treize ans. C’est l’histoire de 686 agents d’une multinationale licenciés en 2001 et jamais indemnisés. A plusieurs reprises, la justice congolaise leur a donné raison. Mais l’entreprise refuse d’obtempérer. Les vingt-quatre millions de dollars d’indemnités n’ont toujours pas été versés. Retour sur cette histoire à dormir debout.

C'est un conflit qui dure depuis treize ans. En 2001, c’est la restructuration : Unilever, fabricant historique d'huile et de savon au Congo, passe la main à un nouveau gérant.

Dans la foulée, plus de 800 personnes sont licenciées. Sans emploi et sans indemnité, 686 d’entre elles se tournent vers la justice. En 2007 la cour d’appel, puis en 2013 la Cour suprême du pays, leur donnent raison. L’ancien employeur doit verser 24 millions de dollars d’indemnités (soit l'équivalent d'un colis mensuel composé d'huile et de savon remis à chaque employé).

Refus

Le problème, c’est que le gérant en RDC refuse d’obtempérer. A deux reprises le Premier ministre rappelle l’entreprise à l’ordre. En vain. Jean-Marie Lokoto, ex-salarié s’insurge face à cette injustice : « Un arrêt de la Cour suprême ! C’est la haute cour de la République ! Aucune décision de ce pays décidée par la Cour ne peut être contredite. Ce n’est pas correct. Et nous, cela fait 13 ans qu’on n’a pas d’emploi. On peut se poser la question : comment vivent ces gens-là ? »

Le 14 avril dernier, nouveau progrès : le ministre du Travail cette fois a ordonné l'ouverture d'un compte pour que les indemnités soient transférées. Depuis rien. Les années passent et pas un centime n’a encore été versé.

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Hier jeudi 1er mai, c’était la fête du travail, l’occasion pour les salariés du monde entier de faire état de leurs revendications. En RDC, un conflit salarial défraie la chronique depuis treize ans. C’est l’histoire de 686 agents d’une multinationale licenciés en 2001 et jamais indemnisés. A plusieurs reprises, la justice congolaise leur a donné raison. Mais l’entreprise refuse d’obtempérer. Les vingt-quatre millions de dollars d’indemnités n’ont toujours pas été versés. Retour sur cette histoire à dormir debout.

C'est un conflit qui dure depuis treize ans. En 2001, c’est la restructuration : Unilever, fabricant historique d'huile et de savon au Congo, passe la main à un nouveau gérant.

Dans la foulée, plus de 800 personnes sont licenciées. Sans emploi et sans indemnité, 686 d’entre elles se tournent vers la justice. En 2007 la cour d’appel, puis en 2013 la Cour suprême du pays, leur donnent raison. L’ancien employeur doit verser 24 millions de dollars d’indemnités (soit l'équivalent d'un colis mensuel composé d'huile et de savon remis à chaque employé).

Refus

Le problème, c’est que le gérant en RDC refuse d’obtempérer. A deux reprises le Premier ministre rappelle l’entreprise à l’ordre. En vain. Jean-Marie Lokoto, ex-salarié s’insurge face à cette injustice : « Un arrêt de la Cour suprême ! C’est la haute cour de la République ! Aucune décision de ce pays décidée par la Cour ne peut être contredite. Ce n’est pas correct. Et nous, cela fait 13 ans qu’on n’a pas d’emploi. On peut se poser la question : comment vivent ces gens-là ? »

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C'est un conflit qui dure depuis treize ans. En 2001, c’est la restructuration : Unilever, fabricant historique d'huile et de savon au Congo, passe la main à un nouveau gérant.

Dans la foulée, plus de 800 personnes sont licenciées. Sans emploi et sans indemnité, 686 d’entre elles se tournent vers la justice. En 2007 la cour d’appel, puis en 2013 la Cour suprême du pays, leur donnent raison. L’ancien employeur doit verser 24 millions de dollars d’indemnités (soit l'équivalent d'un colis mensuel composé d'huile et de savon remis à chaque employé).

Refus

Le problème, c’est que le gérant en RDC refuse d’obtempérer. A deux reprises le Premier ministre rappelle l’entreprise à l’ordre. En vain. Jean-Marie Lokoto, ex-salarié s’insurge face à cette injustice : « Un arrêt de la Cour suprême ! C’est la haute cour de la République ! Aucune décision de ce pays décidée par la Cour ne peut être contredite. Ce n’est pas correct. Et nous, cela fait 13 ans qu’on n’a pas d’emploi. On peut se poser la question : comment vivent ces gens-là ? »

Le 14 avril dernier, nouveau progrès : le ministre du Travail cette fois a ordonné l'ouverture d'un compte pour que les indemnités soient transférées. Depuis rien. Les années passent et pas un centime n’a encore été versé.

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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