SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Tout cela comme de bien entendu dans un complet silence médiatique !

 

La manif du 22 juin

 

 

 

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SOURCE : France Bleu

N'en déplaise à France bleu qui intitule son article :

Clermont-Ferrand : la CGT Michelin joue les trouble-fêtes devant le nouveau siège des Carmes

La CGT ne joue pas les trouble fête (quelle fête quand Michelin annonce des centaines de suppression d'emploi) mais joue son rôle de syndicat défenseur des intérêts des travailleurs!

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Par , France Bleu Pays d'Auvergne
L'inauguration de la "Canopée", nouvel accueil du siège social du manufacturier devait avoir lieu ce mercredi sur la place des Carmes à Clermont-Ferrand. Événement reporté en raison d'un mouvement syndical de la CGT Michelin qui dénonce des suppressions de postes.
MICHELIN CLERMONT : la CGT à l'offensive

Une centaine de manifestants étaient rassemblés devant le nouvel accueil du siège de Michelin, place des Carmes à Clermont-Ferrand © Radio France - Benjamin DUCORNAIT

D'abord réuni place du 1er Mai, le cortège s'est rendu place des Carmes, devant le siège mondial de Michelin, bien accueilli par des dizaines de CRS venus protéger l'entrée du bâtiment. À l'appel de la CGT Michelin et de la Fédération Nationale des Industries Chimiques (FNIC CGT), une centaine de manifestants ont répondu présents.


Avant même l'arrivée des manifestants, les CRS étaient en position devant le siège du fabricant de pneus. © Radio France - Benjamin DUCORNAIT

Avant même l'arrivée des manifestants, les CRS étaient en position devant le siège du fabricant de pneus.

Inauguration annulée

Le secrétaire fédéral de la FNIC, Éric Sellini, regrette cet accueil accusant la direction de Michelin : "ils veulent nous faire passer pour des casseurs et des irresponsables alors que les irresponsables ce sont eux". Pas de coupé de ruban comme c'était prévu pour Olivier Bianchi, maire de Clermont-Ferrand et président de la métropole, et Florent Menegaux, président du groupe Michelin. 

La métropole et le géant du pneumatique devaient présenter en grande pompe le nouvel accueil du siège et le réaménagement de la place.  Inauguration "reportée" en catastrophe suite au communiqué de presse de la CGT appelant à cette manifestation. 

L'argent public ne doit pas servir aux intérêts privés.

Les manifestants dénoncent des suppressions de postesprévues jusqu'en 2025 malgré de nombreuses aides de l'État. Emmanuel Lépine, secrétaire général de la FNIC CGT France, ne comprend pas que d'un côté des emplois soient supprimés alors qu'un tout nouveau siège est inauguré. 

"L'argent public ne doit pas servir aux intérêts privés" note Emmanuel Lépine. "Les investissements doivent permettre le développement de l'emploi industriel en France et non pas à délocaliser des machines à l'étranger."

La CGT Michelin dénonce entre autres la suppression de plusieurs milliers d'emplois. © Radio France - Benjamin DUCORNAIT
La CGT Michelin dénonce entre autres la suppression de plusieurs milliers d'emplois.

Toute l'industrie française concernée

Du côté des salariés Michelin, on ne cache pas son exaspération. Ahmed Bouazaoui est agent de production Michelin, il dénonce des baisses de salaires : "plus on en fait, moins on est payé". C'est la colère des salariés Michelin qui s'est exprimé ce mercredi place des Carmes, mais plus généralement de toute une filière : l'industrie chimique

Éric Sellini appelle à "une convergence des luttes". "Aujourd'hui, les suppressions d'emplois, il n'y en a malheureusement pas que chez Michelin, toute l'industrie est concernée." Il déplore la disparition de l'industrie en France. "On est en train de privatiser tous nos services publics, de mettre en place une société où il y aura d'un côté une grosse majorité de laissés pour compte et une petite minorité qui continuera à se gaver sur notre dos." 

 
Les manifestants étaient moins que prévu place des Carmes ce mercredi 23 juin.

Une centaine de protestataires, c'est moins que ce qui était attendu. Insuffisant pour Éric Sellini qui appelle les salariés à _"_se déconfiner" en se mobilisant. "C'est un début, mais maintenant on va travailler tout l'été pour que la rentrée soit la plus chaude possible et que d'autres rassemblements soient organisés !"

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Les tribunaux du commerce : un instrument au service du patronat et de l'oligarchie

Une fois de plus à propos du jugement du tribunal de commerce de Dijon, ce 22 juin, condamnant la fonderie de Saint-Claude (JURA) à la  liquidation et  refusant le seul repreneur en lice on peut s'interroger sur le rôle de ces tribunaux essentiellement composés de patrons.

Et sur le rôle du procureur de la République !

 

En effet, l'article L. 412-5 du code de l'organisation judiciaire prévoit que le «procureur de la République près le tribunal de grande instance dans le ressort duquel se trouve le siège du tribunal de commerce exerce son ministère public devant cette dernière juridiction ».

 

Les travailleurs ont donc raison de mettre en cause à la fois le patronat et l'état !

Mais ce sont ces instances de décision sur le sort des entreprises qui doit également être mis en cause qui excluent toute possibilité d'intervention légale des travailleurs!

Et il ne s'agit pas seulement de réforme d'instances existantes, mais du réel pouvoir des travailleurs sur les entreprises et sur leur vie !

 

VOIR article sur notre site en 2013 à propos de pétroplus :

http://www.frontsyndical-classe.org/article-tribunaux-de-commerce-independants-de-quoi-et-de-qui-117159634.html

RETENONS l'ouvrage suivant :

Résumé

En dix ans, les magouilles au sein des tribunaux de commerce et la malhonnêteté avérée de trop nombreux magistrats consulaires et mandataires de justice ont coûté au pays un million d'emplois et, aux entreprises, des milliards de francs ! Tel est le bilan affligeant dressé par Antoine Gaudino au terme d'un hallucinant tour de France de cette forme de corruption institutionnalisée. De la Bretagne à la côte méditerranéenne, de Bordeaux à Boulogne-sur-Mer, en passant par Bobigny ou Nanterre, l'ancien inspecteur de la brigade financière de Marseille, qui avait révélé le scandale des financements politiques occultes, ouvre ses dossiers, dénonce un système perverti, brosse le portrait sans complaisance de nombreux acteurs et en appelle au respect du droit. Comment admettre ce partage concerté des dépouilles entre initiés, au mépris des textes ? Comment comprendre que des dossiers puissent traîner des années, alors que le compteur des honoraires continue de tourner ? Pour avoir osé dénoncer ces pratiques, un avocat breton s'est retrouvé en prison. Car nul ne doit, semble-t-il, perturber le repas des vautours... Tous les gouvernements, bien que conscients de l'ampleur des dérèglements, ont jusqu'à présent reculé devant la pression des magistrats et différé une réforme indispensable. Antoine GAUDINO en appelle aujourd'hui encore aux Français.
 
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Les élus CGT tiennent à vous informer que contrairement à ce qui avait été annoncé initialement sur la distribution des chocolats et du sac caddie pour célébrer la fête des mères et pères,

La direction est revenue sur sa décision de participer, les élus CGT déplorent cette décision de ne pas honorer sa parole et de ne pas avoir prévenu en amont.

Nous laissons a chacun le libre arbitre de cette décision…de notre point de vue la direction NOUS fait payer les derniers évènements (mouvement social, tribunal….)

INFORMATION CGT

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Fête de la Musique 2021: soirée de luxe pour Macron à l'Elysée et baston pour la jeunesse ailleurs

Pour la 40e Fête de la Musique, le pouvoir a frappé fort. Surtout sur la jeunesse comme à Paris, dans la petite couronne parisienne, à Nantes ou à Redon.

 

Dans son palais de l'Elysée, notre monarque élu avec Madame recevaient deux bonnes centaines d'invités pour symboliser le "retour des jours heureux après de longs mois difficiles pour tous", selon le communiqué officiel de sa Majesté. Concert électro avec champagne et pour invités d'honneur Michel Jarre et Marc Cerrone. Pour l'occasion, qui ne fait pas le larron, non, non, Macron a fait le premier, commandeur de la Légion d'honneur et le second, chevalier. Et sans vergogne aucune, notre roi élu a chaudement remercié les jeunes "qui ont fait beaucoup d’efforts" au cours de la crise.

Mais ailleurs, c'était une autre musique orchestrée par la police et les gendarmes mobiles de Gérard Darmanin, le chambellan du palais qui en a la charge.

Cette solide partition avait débuté la veille à Redon où un jeune en a eu la main arrachée. Là, pas de concert techno, mais de la baston et des gaz lacrymogènes. Plus la destruction par les forces, dites de l'ordre, du matériel de sonorisation. Au nom de quel article de loi?

Le 21 juin 2021, les charges des forces de l'ordre sont intervenues à Paris, Nantes ou dans la petite couronne parisienne. Gérard Darmanin sera-t-il à son tour promu dans l'ordre de la Légion d'honneur?

Quant à Roselyne Bachelot, ministre de la Culture(sic), elle a regretté "les débordements" et appelé à "la responsabilité". Mais parlait-elle vraiment de son pote qui est ministre de l'Intérieur?

En tout cas, Roselyne Bachelot ne sera pas dans l'ordre de la Légion d'honneur en 2021. En 2013, ex-ministre de la Santé de Sarkozy président, initiatrice du plan de casse de l'hôpital public à ce poste,  elle fut faite chevalier sous Hollande président. Lequel président socialiste de la République ne changea en rien la politique de casse de la Santé publique, tout comme celle d'autres services publics dont la SNCF.

Bon, ça n'a peut-être rien à voir. Mais aux régionales de 2021, il faut voter "Union des gauches". C'est dire que pour ma part, je suis particulièrement mobilisé à ce sujet.

 

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Des salariées de la fonderie MBF Aluminium, en grève de la faim devant le ministère de l’économie, le 21 mai.

De rage et de désespoir, ils ont retourné et incendié devant la cité judiciaire une voiture au logo de leur usine, MBF Aluminium. Sur la carrosserie, tagués en rouge : « Renault assassin », « Etat assassin ». Les 270 salariés de la fonderie de Saint-Claude (Jura) venaient d’apprendre la décision du tribunal de commerce de Dijon, mardi 22 juin, de mettre leur entreprise, principalement sous-traitant de Renault, en liquidation.

Douloureuse conclusion de mois de combat, depuis le placement en redressement judiciaire, le 4 novembre 2020. Tout aurait pu s’arrêter dès janvier, mais le tribunal a accordé, à deux reprises, des délais supplémentaires pour trouver un repreneur. Entre-temps, les salariés se sont mis en grève, le 31 mars. Mi-mai, à la veille d’une audience devant le tribunal de commerce, la tension était montée d’un cran quand quatre d’entre eux avaient entamé une grève de la faim, à Paris, devant le ministère de l’économie et des finances, alors que leurs collègues menaçaient de faire sauter l’usine si l’unique offre de reprise n’était pas acceptée. La sentence avait été repoussée. Jusqu’à ce 22 juin.

« Le dossier, il avait juste besoin d’un coup de pouce de l’Etat. Mais c’est un Etat corbillard ! Le gouvernement a fait le choix de liquider les fonderies » , Nail Yalcin, délégué CGT

« Ça fait quatre-vingt-trois jours qu’on est en grève, qu’on se bat… réagit Nail Yalcin, délégué CGT, sous le choc. Le dossier, il avait juste besoin d’un coup de pouce de l’Etat. Mais c’est un Etat corbillard ! Le gouvernement a fait le choix de liquider les fonderies : FVM, Fonderie du Poitou Fonte, maintenant MBF, à qui le tour ? », s’emporte-t-il, faisant allusion à deux autres fonderies en liquidation, l’une en Meurthe-et-Moselle, l’autre dans la Vienne.

 

La filière est confrontée à une crise de ces débouchés à moyen terme, alors que la France a voté l’interdiction des moteurs diesel et thermiques pour 2040. Une étude, commandée par le gouvernement et la Plateforme automobile au cabinet Roland Berger et remise en mai 2020, suggérait de reconsolider toute la filière fonderie en trois ans, avec l’aide de l’Etat, autour de « deux champions » nationaux. Mais non sans casse sociale : il faut « accepter qu’on ne pourra pas sauver tout le monde », disait le rapport, sans détour, en annonçant que « 40 % des emplois de la fonderie automobile devraient disparaître d’ici à dix ans », soit plus de cinq mille emplois.

« Saint-Claude est en deuil ! »

Fin avril, le gouvernement et les constructeurs se sont accordés sur un plan de 50 millions d’euros pour aider à la reconversion des salariés. Mais ces derniers espéraient des investissements pour maintenir l’outil industriel. Ils désignent en outre un autre mal : la délocalisation, par Renault et Stellantis, leurs principaux clients, de volumes de production de plus en plus importants vers d’autres sites en Europe.

A Saint-Claude, la seule offre de reprise avait été formulée par un entrepreneur français Mickaël Azoulay. Il aurait notamment manqué de financements. La présidente socialiste de la région Bourgogne-Franche-Comté, Marie-Guite Dufay, en lice pour sa réélection, avait évoqué dernièrement un projet d’entrée de la région au capital, dans le cadre d’un consortium public-privé. Mais le calendrier électoral a placé la décision du tribunal entre les deux tours des élections régionales.

Sur France Bleu Besançon, mardi soir, elle a dénoncé « une catastrophe sociale sans précédent ». « Saint-Claude est en deuil ! », a réagi le maire divers droite de Saint-Claude, Jean-Louis Millet, dans Le Progrès. Depuis des mois, les salariés n’ont cessé de rappeler le poids de cette fermeture pour la ville qui a déjà perdu plus de deux mille habitants en dix ans.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Cette contre-réforme sanctionnant LOURDEMENT plus d'1 million de privés d'emploi devait s'appliquer dès ce 1er juillet !

Premier fiasco de la volonté du pouvoir qui après le "quoi qu'il en coûte" en particulier pour les entreprises entend faire payer la crise, la dette publique aux travailleurs et en continuant à démanteler les services publics !

 
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ASSURANCE chômage: revers cinglant pour le pouvoir macronien ... qui ne renonce cependant pas à sa triste besoogne !

Elisabeth Borne, Ministre du Travail d'Emmanuel Macron, mise en échec par le Conseil d'Etat : la réforme de l'assurance-chômage faisait partie des injonctions de la Commission européenne, conditionnant son "aide" de 50 milliards à la mise en route de "réformes" visant une nouvelle réduction du budget social au détriment des plus pauvres.

Et cela au moment où la présidente de la Commission européenne, l'allemande Ursula von der Leyen, venait justement à Paris vérifier l'application de cette politique, condition du "prêt " européen !

ASSURANCE chômage: revers cinglant pour le pouvoir macronien ... qui ne renonce cependant pas à sa triste besoogne !
Ça n'empêche pas Nicolas                 Ça n'empêche pas Nicolas

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« Ce n’est que le début de la lutte » : grève des salariés de l’aéroport de Paris

La situation sanitaire s'améliorant en France, l'été s'annonce très favorable pour le secteur de l'aéronautique, très touché par la crise sanitaire. Mais les patrons n'oublient pas l'argent perdu pendant le confinement -et la crise économique qui se profile- et veulent le récupérer à tout prix à travers des baisses de salaire sur le dos des travailleurs.

Crise économique

Crédits photo : AFP/THOMAS COEX

La direction des aéroports de Paris avait déjà signé avec les bureaucraties syndicales de la CGT, CFE-CGC et UNSA un accord de rupture conventionnelle collective (RCC) qui prévoyait, selon un article de Franceinfo « 1.150 départs en 2021, dont 700 non remplacées », soit une des premières mesures pour faire payer la crise.

Néanmoins, insatisfaite, la direction de L’ADP (Aéroport de Paris), veut faire passer un plan d’adaptation des contrats de travail (PACT). Ce dernier permettrait de supprimer des primes comme celle de « l’indemnité kilométrique » ou les heures majorées de nuit, qui se traduirait par des baisses de salaire pouvant représenter jusqu’à un mois de salaire. Sachant qu’il ne sera pas toléré par les salariés, un refus pourrait exposer le salarié à un licenciement via un PSE. Selon d’autres mots, ils veulent faire travailler plus souvent les salariés en les payant moins, le tout sans aucun moyen de le refuser sans mettre concrètement en danger leur poste.

Ce sont ainsi plusieurs centaines de salariés, notamment du secteur opérationnel ainsi qu’aux services administratifs et d’ingénierie, qui ont manifesté et fait grève ce week-end, à l’aéroport de Roissy-Charles de Gaulle et Orly pour exiger le retrait total du PACT. Organisés en assemblée générale, ils prévoient de continuer la lutte et les travailleurs ont déjà prévu une nouvelle grève du 1er au 5 juillet, pour perturber le fonctionnement de l’aéroport au moment du début de l’été. En effet, comme l’affirme Ramesh Monsard, qui s’occupe de la gestion des parkings de la plateforme en horaire décalé, la direction « nous fatigue psychologiquement et financièrement » et veulent continuer à le faire à travers des menaces : « Ils se servent du Covid pour essorer la masse salariale. Ils veulent nous dégoûter : si on ne signe pas (l’avenant au contrat de travail, NDLR), on est dehors », affirme la collègue de Ramesh, Eva Leroi.

La direction, menacée par les préavis de grève déposés pour le début de l’été et qui pourraient avoir un impact sur les achats de billets, essaye de se défendre à travers les médias. En effet, Augustin de Romanet, PDG du groupe Aéroport de Paris, a affirmé sur Europe 1 qu’ils allaient « prendre toutes les mesures qui vont permettre à l’intégralité du trafic aérien de s’écouler » et donc que le trafic aérien ne serait pas perturbé. En profitant également de justifier les réductions de salaire et les plans sociaux prévus pour 2021 : « Incontestablement, le secteur aérien est frappé. L’an dernier, nous avons perdu 70% de notre chiffre d’affaires, et il ne nous a pas été possible de maintenir exactement dans les mêmes conditions les rémunérations de nos collaborateurs. Donc, nous avons dû faire un certain nombre d’efforts, nous avons signé un accord avec les syndicats pour permettre des départs volontaires », explique-t-il. « Par ailleurs, nous avons dû prendre des mesures unilatérales de réduction de certaines primes tout en garantissant que les contrats de travail ainsi modifiés ne donneraient jamais lieu à des licenciements forcés. » Une justification qui ne reflète qu’un grand mépris envers les salariés et une volonté de leur faire payer la crise.

Alors que la direction veut se montrer confiante et essaye de justifier la baisse salariale et les licenciements, les travailleurs semblent déterminés à les faire reculer en mettant un ultimatum à la direction : ils n’attendront pas le 5 juillet pour faire grève si elle refuse de revoir sa copie. Ils ont aussi démenti les propos tenus par Romanet sur les médias, en affirmant : « Quand Augustin de Romanet dit que cela se traduira par deux minutes de perdues pour les passagers, il se trompe, prévient Laurent Garssine. Tous les services opérationnels sont impactés et ce n’est que le début de la lutte. ». Mais ils sont conscients qu’ils devront convaincre plus largement et se radicaliser car « Si un très grand nombre de salariés refuse de signer le Pact, les avions ne décollent plus car nous sommes sur des métiers spécifiques, qui nécessitent parfois six mois de formation. », explique Véronique Pigueron, présidente de la CFE-CGC ADP.

Alors que la crise sanitaire semble s’améliorer en France, la crise économique ne fait que continuer de frapper et les patrons, main dans la main avec les gouvernements, profitent et se préparent pour que ce ne soit pas eux qui la payent. Les plans sociaux se multiplient dans tous les secteurs et les directions syndicales, débordées, tentent de canaliser cette colère qui s’exprime dans le monde du travail, à travers le dialogue social.

Néanmoins, ce n’est pas aux travailleurs de payer une crise qui n’est pas la leur. La seule voie pour cela est la lutte, qu’elle soit syndicale ou dans la rue. Il est nécessaire que les salariés des ADP continuent et multiplient les grèves, qu’ils continuent à s’organiser au sein des AG pour établir un vrai plan de bataille mais surtout aussi de converger avec d’autres secteurs de lutte qui se retrouvent face aux mêmes contraintes. Ce n’est que comme ça qu’il sera possible de construire un vrai rapport de force pour exiger qu’aucune suppression d’emploi ni de baisse salariale n’aient lieu !

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Chantage patronal : GMD menace de virer 115 salariés pour obtenir « encore plus de subventions »

Après la saignée opérée par le rachat de l’usine par le groupe GMD en 2017 et la lutte intense pour contester cette décision, les travailleurs de LSI (ex-GM&S) voient leur site menacé de fermeture. Une menace qu’ils dénoncent comme une pression pour récupérer de l’argent public. Nous les avons interviewés.

Crise économique

Crédits photo : AFP/Les salariés de LSI en lutte en 2018

L’ex-site de GM&S menacé de fermeture malgré les millions d’argent public et les promesses des politiques

La semaine dernière, à l’occasion de la visite du député LFI du Nord Adrien Quatennens, le directeur de l’usine LSIndustrie (LSI), ex-GM&S, annonçait, entre les lignes, la possible fermeture en 2022 du site. Une annonce qui avait déjà été évoquée en CSE et qui n’a malheureusement pas surpris les syndicats. « Il n’y a pas 36 solutions, et à l’allure où ça va, leur logique voudrait qu’en 2022 le site ferme », explique ainsi Patrick Brun, délégué CGT de l’ex-usine GM&S de la Souterraine en Creuse contacté par Révolution Permanente. Spécialisée dans l’emboutissage et l’assemblage des pièces pour l’industrie automobile et mise à mal par le rachat en 2017 par l’entreprise GMD, l’usine avait été l’objet d’un licenciement massif de 157 employés sur 277.

Une menace de fermeture à laquelle les salariés ont réagi en interpellant Emmanuel Macron dans une lettre ouverte la semaine dernière. Ils y pointent notamment le fait que GMD « se sert de nous pour faire pression sur la république pour avoir encore plus de subventions. » En effet, l’entreprise met en avant le prétexte de l’épuisement des fonds sous séquestres, accordés par l’État pour faire pérenniser le site, ainsi que sa volonté de ne pas investir lui-même un centime de plus dans le bon fonctionnement et la survie de l’usine pour tenter d’arracher de l’argent public supplémentaire.

Une tactique qui constitue un chantage à l’emploi, menaçant 115 salariés, et ce alors que ce même constructeur, GMD, a « choisi délibérément de ne pas affecter de productions au site alors que des marchés lui avaient été attribués par Renault et PSA entre 2017 et 2021 ». Un choix catastrophique pour l’usine, qui a conduit à 5 millions d’euros de pertes l’année du rachat, ces chiffres allant sans surprises de mal en pis. Un événement qui ravive chez les 115 ouvriers restants sur le site le spectre de 2017.

 
Un nouveau drame après les suppressions d’emplois de 2017

La menace de fermeture de site fait en effet écho aux licenciements massifs de 2017. A l’époque, Bruno Lemaire bramait à qui veut l’entendre que les GM&S ouvriers « ne seront pas laissés sur le bas-côté ». Malheureusement, à la Souterraine, quatre ans plus tard, le bilan est amer : « Sur les 157 qui ont été licenciés, à peine la moitié ont retrouvé du boulot, ils sont dans une grande misère, ils n’ont pas le droit au chômage, rien du tout » raconte le délégué CGT en évoquant le licenciement de ses anciens collègues.

Des collègues toujours en difficulté aujourd’hui, et dont les licenciements sont à l’origine de la menace de fermeture comme le rappelle le délégué CGT : « 157 collègues licenciés, ça fait un sacré coup, on a tout de suite vu que ce n’était pas viable. L’association de soutiens et de défense des ex-GM&S et la commission de suivi créée en coordination avec la DIRECCTE et l’ANPE ne devait durer qu’un an. Trois ans et demi plus tard le suivi au cas par cas est toujours primordial, des rendez-vous sont fait tous les trois mois pour le suivi, la volonté de continuer est toujours là. La situation est très difficile ici, surtout en Creuse, la moyenne d’âge ici sur le site est 55 ans, je vous laisse imaginer le désastre que ça serait.

Mais ce souvenir douloureux, dont l’actualité reste vive, rappelle également la grande bataille juridique menée en 2017 par les ouvriers de GM&S : « Quand on a commencé la lutte, nos actions n’étaient pas du tout médiatisées, on a alors employés les grands moyens pour attirer le regard de la France entière et des médias. ». Bouteilles de gazs installées autour du site, ils menacent alors de faire sauter l’usine. Un coup d’éclat qui attirera à l’époque l’attention de tous les médias nationaux, en pleine période d’élections présidentielles. Le vent tourne toutefois trop vite courant 2017, et la répression s’accélère : « Avec l’investiture de Macron, le changement a été total. Les gendarmes nous ont empêchés d’exprimer notre droit de grève et de soutien aux ouvriers de l’usine PSA à Poissy, 50 camions de CRS, en bref une catastrophe... » Une lutte suivie d’une longue bataille juridique qui s’est soldée en mars dernier par l’annulation du licenciement de 4 salariés->https://www.revolutionpermanente.fr/Victoire-Le-licenciement-des-salaries-proteges-de-GM-S-annule-par-le-tribunal-administratif].

Face à cette nouvelle offensive patronale, ce n’est cependant pas Macron qui risque d’apporter des réponses, lui qui a versé des milliards aux entreprises tout en les laissant licencier selon leur bon vouloir, ou qui a accompagné la fermeture de Bridgestone. Plus que jamais, seule la lutte des travailleurs de GMD et la solidarité qui doit être la plus large possible peut permettre de faire reculer les patrons du site.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Régionales. Lutte Ouvrière en progression, en toute indépendance de classe !

Dans des élections régionales marquées par une abstention record, les listes de Lutte Ouvrière, seule liste d'indépendance de classe présente au scrutin, ont réalisé des scores modestes mais non négligeables, faisant mieux en pourcentage qu’en 2015, tout en maintenant le nombre de voie en termes absolu, une gageure en ces temps d’abstention !

Malgré le contexte réactionnaire

Photo : Révolution Permanente

Ces élections régionales ont été marquées par une abstention, record la droite traditionnelle faisant une percée, le Rassemblement National faisant beaucoup moins bien qu’annoncé, et LREM se prenant une importante claque. La gauche institutionnelle est en trompe l’œil, tandis que les tractations et les compromis commencent à quelques jours du second tour pour arracher coûte que coûte des sièges de conseillers régionaux.

Dans une campagne marquée très à droite durant laquelle les médias et la classe politique ont imposé une thématique sécuritaire à laquelle s’est largement adaptée la gauche institutionnelle, seules les listes de Lutte Ouvrière se sont réellement démarquées en se positionnant clairement en faveur des travailleurs et des classes populaires, en toute indépendance de l’État, ses institutions et des classes dominantes.

Présente dans l’ensemble des régions, les listes de Lutte Ouvrière ont engrangé en moyenne 2,3 % des suffrages exprimés au niveau national, soit près de 320 000 voix au total en faveur de la seule organisation, représentant le monde du travail, ses listes étant composées à 100 % de travailleurs, d’ouvriers et d’enseignants. Dans les Hauts-de-France par exemple, LO dépasse les 3% avec un score de 3,6 %.

Aux dernières élections régionales de 2015, LO avait fait un score national de 1,45% avec là encore 320 000 voix, soit presque autant qu’en 2021. Ces scores, s’ils restent bien entendu modestes, montrent qu’en réussissant à se maintenir par rapport à 2015 dans un contexte marqué par l’offensive sécuritaire et les attaques contre le monde du travail, des listes ouvrières en indépendance de classe, peuvent réussir à mobiliser une partie de l’électorat populaire pour faire entendre le camp du « monde du travail ».

Les résultats des listes Lutte Ouvrière montrent aussi le potentiel qu’aurait pu exprimer un front anticapitaliste entre LO et le NPA - qui aurait pu exister si le NPA n’avait pas capitulé avec ses alliances avec LFI qui n’ont eu de bien maigres scores. De faite, LO a talonné l’alliance LFI-NPA en Nouvelle-Aquitaine.

Loin du scepticisme et du fatalisme, ces résultats au milieu de l’abstention et d’élections marquées à droite montrent à quel point notre camp social à besoin d’être représenté par lui-même, en toute indépendance de la bourgeoisie et de ses institutions, loin des compromis et des trahisons de la gauche institutionnelle. Des compromis qui commencent d’ores-et-déjà avec des unions au deuxième tour comme celle de la FI en Île-de-France avec des partis bourgeois comme le PS ou avec EELV qui défend un capitalisme vert tout aussi mortifère pour les travailleurs.

Dans un communiqué, Lutte Ouvrière a ainsi indiqué de manière très claire qu’elle « ne cautionnera pas la supercherie consistant à présenter aux travailleurs des hommes politiques qui sont souvent aussi réactionnaires, aussi anti-ouvriers que ceux d’extrême droite, comme un rempart contre la menace du RN au pouvoir. Il n’est pas question pour Lutte ouvrière de soutenir quelque variante que ce soit du Front républicain. Cette république est celle de la bourgeoisie ».

En ne donnant pas de consigne de vote au deuxième tour, LO refuse à juste titre d’entretenir toute illusion vis-à-vis de la classe politique bourgeoise. Les listes LO présentes au premier tour des régionales refusent ainsi toute logique de « front républicain » ou « d’union de la gauche » avec des partis comme le PS qui ont mené historiquement des politiques anti-ouvrière, avec dernière en date, la loi Travail qui a cassé le code du travail au service des grands capitalistes.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Pourtant, tous les partis politiques, que comptent la France, avaient plébiscité qu'une double élection, régionale et cantonale pourtant aux modalités électives et prérogatives différentes, ait lieu les 20 et 27 juin 2021.

 

A l'unanimité donc, chacun croyait y trouver du grain à poudre pour sa petite paroisse. On s'allia parfois étrangement, comme dans le canton de Mantes-la-Jolie avec le PS, Eelv et Lfi, quand au niveau de la région parisienne, Ps, Eelv Lfi étaient sur 3 listes différentes. On s'est également affronté dans ce même canton entre sections voisines du Pcf

Chacun dans son bunker aseptisé, espérait donc pour leur clos. Mais avec 68% d'abstentions, la gifle est tombée. La France est devenue une démocratie sans électeurs. En effet, même un nombre de votants à 2 chiffres est à diviser par 3 avec cette abstention abyssale.

Pourtant la colère existe, notamment parmi les catégories populaires et la jeunesse qui subissent le joug du capital ordonné depuis l'Elysée par l'homme de chez Rothschild. Pourtant, La crise sociale et sanitaire, engendrée par la pandémie, a aggravé plus encore le quotidien des gens.

Mais aussi, depuis trop, la chose politique dite de justice sociale et de progrès s'est liquéfiée sans remettre en cause l'illusion d'une EU sociale ni le renversement du capitalisme en France par des nationalisations au seul service de la Nation. Surtout dans ces élections départementales et régionales, en optant dans des alliances à géométrie variable au gré des cantons et des régions

Les élections professionnelles avaient déjà montré la désaffection des salariés devant les urnes. Mais ce 20 juin 2021, peu importait, on allait raser gratuit en faisant du neuf avec du vieux, toujours dans une France bâillonnée par les traités européens, le FMI, notre partenariat économique et militaire avec l'impérialisme américains.

 Les électeurs, en ne se déplaçant pas massivement devant les urnes, ont pensé  que ces élections étaient des piège à cons. N'ont-ils pas eu raison ?

Avec une abstention à 68%, la gifle à la chose politique

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Le 22 JUIN c'est donc bien d'une convergence des luttes qu'il s'agit et d'une montée à Paris contre les politiques macroniennes, pour le service public et contre son démantèlement ...

 

La direction SNCF et le Gouvernement entendent poursuivre la privatisation de la SNCF et la casse des conditions sociales de tous les cheminots. Une réaction collective est indispensable et possible. La première étape aura lieu le 22 juin 2021 à Paris !

22 JUIN – 11h00 – SIÈGE DE LA SNCF – SAINT-DENIS
POUR NOS SALAIRES, NOS EMPLOIS, NOS DROITS !

L’ouverture à la concurrence est le fil rouge qui a conduit Gouvernement et direction SNCF à écrire ensemble la réforme de 2018 qui vise à l’éclatement de l’entreprise publique SNCF.

C’est pour favoriser l’ouverture à la concurrence qu’ils ont modifié le statut juridique de l’entreprise, qu’ils ont éclaté la SNCF en sociétés anonymes, qu’ils ont signé la fin des embauches au Statut, qu’ils ont créé de multiples contrats de travail, différents selon les SA, les établissements, les régions, qu’ils ont ajouté à la loi dite « du pacte ferroviaire » une multitude d’ordonnances, de textes de loi visant à éclater le réseau, à livrer les infrastructures aux régions pour les concéder plus tard aux opérateurs de toute nature.

Aujourd’hui, la direction SNCF entend positionner ses propres filiales dans les appels d’offres, envisage les transferts des cheminots de la SNCF et surtout, espère bien les priver de leurs droits sociaux. C’est inacceptable !

Les cheminots ont besoin de réponses positives concernant principalement trois axes :

• Les questions budgétaires, particulièrement leurs volets recrutements et augmentation générale des salaires ;

• L’organisation de la production, les conditions de travail et l’avenir des activités de transport de marchandises, de voyageurs, et de l’infrastructure ;

• Le futur statut social (à l’échelle du groupe et de la branche), le maintien des facilités de circulation pour les actifs et les retraités.

C’est pourquoi, la Fédération CGT appelle les cheminotes et les cheminots actifs et retraités à se rassembler MASSIVEMENT devant le siège de la SNCF ! A cette occasion, nous remettrons les plus de 20 000 pétitions salaires et facilités de circulation impulsées par la seule CGT.

22 JUIN – 13h30 – PLACE DE LA RÉPUBLIQUE – PARIS

CHEMINOTS/ÉLECTRICIENS, MÊME COMBAT :
LE SERVICE PUBLIC

Le scénario de l’éclatement d’EDF, prénommé « HERCULE » puis « grand EDF » est semblable au tristement célèbre « pacte ferroviaire » de 2018. Ce sont les mêmes recettes qui sont appliquées.

Le projet « Hercule » a été élaboré par des banques d’affaires, à la demande de la direction d’EDF, afin de répondre aux préconisations de la Commission de Bruxelles en matière d’ouverture à la concurrence et de démantèlement des services publics.

En introduisant en bourse la partie la plus rentable de l’entreprise (EDF Vert) et en préparant la cession future des barrages électriques, ce projet s’apparente à un schéma purement financier et vise à spolier un bien public sans envisager la moindre amélioration du service rendu à la collectivité nationale.

Non seulement les tarifs augmenteraient significativement, mais ils pourraient également être différents dans chacune des nouvelles sociétés privées, ce qui risquerait de marquer la fin du tarif unique au niveau national et donc la fin de l’égalité de traitement des ménages.

En tant que cheminots, mais aussi citoyens et usagers de la SNCF comme d’EDF, nous sommes légitimes à agir en convergence avec toutes celles et tous ceux qui se battent au quotidien pour que vivent nos services publics.

Les agents d’EDF qui mènent la lutte depuis plusieurs mois seront dans la rue le 22 juin à Paris. Nos revendications liées au maintien et au développement des services publics, à l’égalité de traitement, à un véritable développement humain durable, à un statut social protecteur, sont communes !

C’est pourquoi la Fédération CGT appelle les cheminotes et les cheminots actifs et retraités à converger, à l’issue de notre rassemblement à Saint-Denis, vers la place de la République, afin de rejoindre la manifestation nationale des électriciens d’EDF. À cette occasion, la Fédération CGT des Cheminots prendra la parole pour réaffirmer les intérêts communs que nous avons à lutter ENSEMBLE !

LE 22 JUIN :

ON SE RETROUVE ENFIN !

Publié par FSC

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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