SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Unilever : Deux actionnaires réclameraient des changements

(CercleFinance.com) - Deux actionnaires majeurs d'Unilever réclament une scission d'actifs et un changement à la tête du géant des produits de grande consommation, à en croire le Financial Times.

Le fonds d'investissement luxembourgeois Flossbach Von Storch, l'un des 10 premiers actionnaires du groupe, estimerait ainsi que le groupe doit revoir sa structure en conservant ses actifs dans l'alimentation, mais en se séparant de ses autres activités.

Un autre actionnaire, qui n'est pas nommé par le quotidien financier mais qui ferait partie des 20 premiers actionnaires, réclamerait pour sa part le remplacement pur et simple de l'actuel président du conseil d'administration, Nils Andersen.

Pour les analystes parisiens d'Oddo BHF, l'idée d'une scission des métiers non-alimentaires constitue une option 'peu attractive' dans l'état actuel des choses.

'Nous estimons que le groupe a au contraire les moyens de construire un leader du 'consumer care' (soins personnels, NDLR)', soulignent-ils dans une note.

A en croire Oddo, une telle réorientation passerait passe par une cession des crèmes glacées, des sauces, des aides culinaires mais aussi de la beauté de prestige, segment sur lequel Unilever n'a pas réussi à créer de taille critique.

Les fonds ainsi levés pourraient être utilisés pour se renforcer sur les activités de produits d'entretien pour la maison, d'hygiène ou de santé grand public, explique la banque privée.

'A ce titre, une fusion avec Reckitt Benckiser est l'une des voies qui nous vient le plus facilement à l'esprit', indique Oddo.

L'action Unilever cotée à la Bourse d'Amsterdam progressait de plus de 0,8% suite à ces informations.

Unilever a prévu de publier ses résultats de 4ème trimestre et ses comptes annuels jeudi.

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Capture d'écran

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Oh, gouvernements de gauche et de droite, qu'avez-vous fait du grand âge? Rien, que du profit pour le capital!

Ma mère vient de décéder dans un Ehpad public dépendant de l'hôpital public de Lézignan-Corbières: l'unique établissement public de santé pour le grand âge dans tout le département, avec peu de moyens humains et matériels comme est gangréné au niveau national l'hôpital public en France.

Pour autant, rien à voir avec un Ehpad à but lucratif.

 

Cependant, avec une pension de retraite indigne de 975 euros, mon frère et moi avons abondé chaque mois pour honorer le tarif hospitalier. Et après le décès de notre mère, mon frère a remis à l'intendance de l'Ehpad des effets féminins et de toilette qui consolideront le "bien-être" de certains résidents. Il faut savoir que nombre de patients atteints par le grand âge sont dans le dénuement complet.

Avant d'intégrer l'Ehpad, un médecin du département, plus gestionnaire que praticien de la santé, n'avait pas retenu suffisamment le grand âge et la maladie en conséquence. Ce fut ainsi que pour rester dans son domicile, le département ne lui alloua ce qu'on peut considérer comme une aumône. De ce fait, j'ai pris sur moi de rémunérer une aide-ménagère pour compléter  le quota d'heures alloué par le département de l'Aude.

Quant aux aides-ménagères de la communauté de commune, elles sont rémunérées au SMIC et souvent en cdd, alors que c'est un emploi pérenne et utile à la nation.

Et gaffe aux assistances sociales, plus gestionnaire que sociale, qui ne vous disent pas la vérité au sujet d'un hébergement en Ehpad! Si, par aventure, vous n'avez pas aidé au financement de votre ascendant, au décès de celui-ci, les Impôts reviennent vers vous. La loi impose au conjoint ou, par défaut, aux enfants et petits-enfants, une obligation alimentaire pour contribuer aux dépenses d'hébergement et d'alimentation de la personne âgée.

Ceci ne sont malheureusement que des exemples dans la politique de santé dévolue au grand âge.

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Gaz, matraque et charges policières. La police réprime violemment les lycéens de Brequigny mobilisés

Jeudi, les lycéen de Bréquigny à Rennes ont bloqué de nouveau leur établissement pour revendiquer une université gratuite et ouverte à toutes et tous. La police a répondu à coups de matraque et de gaz lacrymogène.

Violence policières

Crédits photo : AFP

Ce jeudi 3 février les lycéens de Bréquigny et plusieurs étudiants à Rennes se sont mobilisés pour dénoncer la sélection parcoursup en master comme en L1. Face à l’&accroissement de celle-ci à l’université, ils revendiquent une université publique ouverte à tous et toutes, loin des diktats de l’élitisme.

Les plusieurs dizaines de lycéens qui bloquaient leur établissement ont fait face à une forte répression policière, au gaz lacrymogène, à la matraque et à de multiples charges. Ces violences s’inscrivent dans la politique ultra répressive du gouvernement qui, pas plus tard que la semaine dernière, avait mené une lycéenne de ce même établissement à l’hôpital. On pense aussi au lycée Corbière à Paris où les lycéens avaient reçu des coups de taser.

Plus tard dans la journée, alors qu’un départ groupé du lycée était organisé pour rejoindre la manifestation, la police est de nouveau violemment intervenue. A proximité de la rue de Nantes, plusieurs lycéens ont été tabassés à coups de matraque. L’un d’entre eux a été interpellé.

Colloque contre le « wokisme » de Blanquer, université publique payante, fin des 35 heures,… Alors que les classes dirigeantes commencent à lancer leurs futures attaques en direction de la jeunesse pour l’après 2022, une nouvelle fois le gouvernement répond par le mépris à une jeunesse qui se mobilise. Face à la colère lycéenne il utilise tous ses moyens de force pour intimider les lycéens mobilisés : gaz, matraque, charges sont les maîtres mots de la gestion des blocus.

Soutien aux lycéens et personnels mobilisés de l’ensemble des établissements !

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Selon le Canard enchaîné, Zemmour aurait déclaré 8 fois moins que le montant réel de ses revenus

Zemmour un candidat qui se veut « anti-système » aurait menti sur ses revenus devant la justice. Selon Le Canard Enchaîné, celui qui a déclaré 5000 euros de salaire gagnerait près de huit fois.

Extrême-droite

Crédits photos : AFP

Le 14 janvier dernier, alors qu’il comparaissait devant la justice pour provocation à la haine raciale, Zemmour déclare qu’il ne gagne que 5 000 euros par mois. Mais ce chiffre serait bien en-deçà de la réalité. Le Canard enchainé a ainsi révélé que Zemmour aurait touché en réalité plus 265 000 euros en 2019. D’autant plus qu’il faudrait ajouter à cette période la somme perçue pour ses droits d’auteurs, de l’ordre de 240 000 euros. Un total titanesque de 505 000 euros par an soit 42 000 euros par mois, soit plus de 8 fois plus de ce qu’il a déclaré.

Loin du profil anti-système qu’il cherche à se donner, Zemmour s’inscrit dans la lignée de nombreux politiciens en cherchant à falsifier ses revenus pour réduire le montant de son amende pour provocation à la haine.

Par ailleurs, au delà de ses scandaleux revenus, Zemmour touche aussi des sommes astronomiques pour sa campagne présidentielle par le biais de soutiens financiers comme les 35 donateurs identifiés par Médiapart dans une enquête : Chantal Bolloré, soeur de Vincent Bolloré, Xaviers Caïtucoli, l’ex-PDG de direct Energie, ou encore des cadres dirigeants de Vinci ou Channel

Si Zemmour veut se donner l’image du candidat au soutien populaire, les faits le contredisent constamment. C’est un candidat travailleur, qui ne ment pas sur son salaire, qui peut représenter honnêtement et modestement les jeunes, les travailleurs, les quartiers populaires. C’est la voix d’Anasse Kazib, qui jongle entre les ⅜ et sa campagne, que nous voulons entendre aux présidentielles 2022, la voix d’une campagne financée par les dons de tous ceux qui se retrouvent dans celle-ci, et pas par des multimilliardaires.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Grève chez Total. Des ouvriers étrangers sans salaire depuis 2 mois : "C’est de l’esclavage moderne"

Laissés sans salaire depuis 2 mois, 58 travailleurs de l’entreprise CIPA, sous-traitante de Total, sont en grève depuis 4 jours pour réclamer leur dû. Ils ont également envahi les locaux administratifs de Total du site de Donges. Nous avons interviewé deux syndicalistes Michael Hemer et David Arnould, tous deux de la CGT.

Nos vies valent plus que leur profit !

Crédits photo : CGT interpro

Depuis 2 mois 58 travailleurs de l’entreprise CIPA ne sont pas payés. L’entreprise est familière de ces situations. C’est la troisième fois que la situation est révélée à la Raffinerie de Donges. En juillet dernier, dans la même situation, la société CIPA suite à un mouvement de grève et des plaintes de la diplomatie roumaine au ministère du travail avait promis, par écrit, de payer les salaires. Mais pas seulement car la même situation s’est produite sur d’autres plateformes comme nous le rapporte l’élu CGT au CSE (Comité social et économique) Michael Hemery.

Les travailleurs concernés, 54 roumains et 4 italiens sont allés voir la CGT interpro qui s’est précisément créée pour représenter l’ensemble des travailleurs du site de la raffinerie dont ceux qui sont sous-traités par Total Energies, comme c’est le cas ici. En effet, les travailleurs concernés sont employés par l’entreprise CIPA, sous-traitante de Kinetics Technology, une entreprise italienne, elle-même sous-traitante de Total Energies. Nous avons interrogé David Arnould de la CGT interpro qui précise que "ce ne sont même pas des travailleurs détachés", ces travailleurs de CIPA sont exploités avec des contrats de travail français.

Michael nous fait part de sa colère : « C’est de l’esclavage moderne. Ils n’ont plus un rond. La dernière fois, certains ont mangé du pop-corn comme seul repas ! ». Cette situation a conduit les travailleurs a commencé une grève lundi 31 janvier pour réclamer le paiement de leur salaire par l’entreprise Total qui est le principal donneur d’ordre. Le mercredi 2 février, après 3 jours de grève, les grévistes accompagnés de la CGT ont investi les locaux administratifs de Total Energies sur le site de Donges. « C’est la première fois que ça arrive. On a défilé dans l’entreprise pour faire entendre les revendications ». Mais aussi pour lutter contre les pratiques de la direction qui sont abjectes comme nous le raconte Michael Hemery : «  ils prennent des mecs pendant 2 mois, les renvoient chez eux et en prennent d’autres  ».

 
 

Les travailleurs se battent contre le géant Total Energie qui est le principal responsable. C’est en effet Total qui donne les ordres pour la construction de la nouvelle unité de production, c’est Total qui sous-traite et donc qui est responsable de CIPA.

La sous-traitance, et ici la sous-traitance de sous-traitance, dégrade considérablement les conditions de travail qui permet à des multinationales comme Total d’exploiter de façon encore plus décomplexée. Ici ce sont les salaires qui ne sont pas versés, le 5 janvier c’était un ouvrier qui décédait sur son lieu de travail, comme des dizaines chaque mois.

Face aux capitalistes qui n’ont que faire de nos vies, il faut un plan de bataille de l’ensemble des travailleurs pour lutter contre nos conditions de travail, la précarité et le chômage !

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Débrayage chez Safran : « Ils prônent l’écologie et l’humain mais c’est toujours l’argent qui tranche »

Depuis quelques semaines, dans le cadre des négociations annuelles, les salariés de Safran se mobilisent pour exiger de meilleures conditions de salaire et de travail. Nous avons interviewé Jenny Grandet, secrétaire générale Safran Nacelles, au Havre.

"Augmentez les salaires maintenant"

Révolution permanente : est-ce que tu peux te présenter ?

Jenny Grandet : Je m’appelle Jenny Grandet, je suis ajusteur monteur cellule pour Safran Nacelle au Havre, et secrétaire générale CGT Safran Nacelle le Havre. Mon métier consiste à faire de l’assemblage en production, on fabrique des nacelles, des inverseurs de poussée pour les avions. J’exerce ce métier depuis 2005.

Révolution permanente : peux-tu présenter le mouvement ?

Jenny Grandet : Aujourd’hui, on a débrayé à nouveau en réaction à la « politique salariale » catastrophique de la direction. En fait, suite à la crise sanitaire, il n’y a eu aucune réelle politique salariale, les salaires ont été gelés, mise à part quelques cas particuliers. En clair, il n’y a pas eu de politique salariale. Cette année, cependant, il y a eu des changements : les négociations ont eu lieu à échelle nationale, c’est quelque chose d’inédit. Il y a eu un cadrage des augmentations en masse à hauteur de 2,8 % maximum, et une répartition entre les augmentations générale et individuelle à hauteur de 50 % 50 % maximum. Ensuite, c’est chaque société qui répartit comme elle le souhaite.

Du coup, à Safran Nacelle, ça a été très rapide, il n’y a eu que de deux réunions. Certaines organisations syndicales ont signé directement les accords (CFDT, CFE-CGC) et ont complètement faussé les négociations. Les NAO ont été entérinées le 24 janvier. Nous, à la CGT, on revendiquait un budget en masse de 5 % avec un plancher en augmentation générale pour les catégories socio-professionnelle à 75 euros et un budget pour l’augmentation individuelle de 2 %. On a proposé cela pour compenser l’inflation, notamment. Forcément, ça n’a pas été admis par la direction.

Par ailleurs, les accords de sortie de crise, que la CGT n’a pas signés, ont été adoptés en se basant sur 2 % d’inflation, ce qui est bien en dessous de la réalité. Aujourd’hui, les estimations tablent sur 2,8 % pour cette année. Encore une fois, les salariés ont fait des sacrifices pendant la crise et derrière la direction a continué de dégrader nos conditions de travail.

Révolution permanente : le mouvement est-il toujours bien suivi ?

Jenny Grandet : La signature des accords par les autres syndicats, nous a mis un coup forcément. Mais mouvement de groupe engagé les semaines passées se maintient et prend de la force. On sent un réel élan de contestation face à ces propositions salariales bien en dessous des attentes. Aujourd’hui, on était quand même assez massifs, surtout au niveau des ouvriers. On doit être à 80 % d’ouvriers mobilisés. Sur la population globale, on doit être à 10 %. La plupart des salariés tenaient à manifester leur mécontentement vis-à-vis de ces accords. C’est un symbole pour nous de se mobiliser aujourd’hui et on s’en sert pour annoncer également la couleur pour l’année prochaine. Ça ne va pas se passer comme ça.

Révolution permanente : quelles sont les perspectives pour le mouvement ?

Jenny Grandet : On ne sait pas encore comment le mouvement va évoluer, mais on va pas en rester là. On ne peut pas se contenter de ça. Cependant, avec la signature des accords, on a très peu d’espoir de pouvoir les remettre en cause. Mais ce qui est sûr c’est qu’on se prépare déjà pour les combats futurs et cela participe déjà à construire le rapport de force pour les batailles de demain.

Révolution permanente : vous travaillez dans un secteur qui a connu de grosses vagues de licenciement pendant la crise, est-ce que tu voudrais revenir sur vos conditions de travail aujourd’hui et votre situation pour l’avenir ?

Jenny Grandet : En effet, ne serait-ce que pour notre site, durant la crise sanitaire il y a eu 200 départs anticipés. Auparavant, nous étions 1700, aujourd’hui, nous ne sommes plus que 1500. Les conditions de travail se sont beaucoup dégradées, la direction nous met beaucoup la pression. Toute la charge de travail qu’on effectuait avant la crise sanitaire, on doit la faire avec les salariés qui restent, donc, forcément, la charge de travail a énormément augmenté. À cela, on peut rajouter le climat anxiogène lié au COVID-19. De plus, la direction nous met énormément de pression en nous parlant de concurrence tout le temps. Avec tout ça, on a des collègues qui partent en vrille.

Déjà, avant la crise, on avait peu de perspectives. Maintenant, avec l’arrêt de l’ancien A320 et de l’A380, cela ne va pas vers le mieux. Le nouvel A320 a lui été négocié avec le Maroc avec 60 % de la production à réaliser là-bas. Beaucoup de notre activité a été délocalisée. Concrètement, on a beaucoup d’incertitude pour notre emploi. Ils se sont servis de la crise du Covid pour réorganiser la production afin d’aller produire à bas coût à l’étranger.

Révolution permanente : les grands groupes comme Safran aiment parler d’écologie pour promouvoir leur activité économique, quel est ton point de vue sur cette question, en tant qu’ouvrière ?

Jenny Grandet : Effectivement, Safran se lance sur l’écologie, mais il y a beaucoup d’hypocrisie et de comm’. Dans les actes, ce n’est pas du tout ça, il y a plein de non-sens. Le bilan carbone est loin d’être bon. Ces boites n’ont en réalité que le rendement comme objectif. C’est très contradictoire, ils prônent l’écologie et l’humain, mais, au final, c’est toujours l’argent qui tranche. C’est comme Total et son greenwashing. En réalité, l’écologie, ils la pensent comme la politique salariale, en fonction de ce qui leur coûte le moins cher. Les patrons ne font pas, et ne feront pas le nécessaire, alors si eux ne le font pas, qui va le faire ? C’est donc à nous de nous en préoccuper.

Révolution permanente : quelque chose à rajouter ?

Jenny Grandet : Oui, grâce aux sacrifices faits par les salariés, on a rempli les objectifs de l’entreprise. Mais derrière, tous les bénéfices partent dans les poches des actionnaires. Cette répartition des richesses n’est plus possible !

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Ils appellent cela délit d'initié !

Sous-entendu c'est une entorse au fonctionnement " normal " des entreprises.

Comme si la règle du capitalisme qui écrase toutes les autres n'était pas la recherche du profit maximum ... dans le laps de temps le plus court !

Contre toute autre considération et contre toute morale !

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Révélations
Délit d’initié au sommet d’Orpea? Le DG a vendu un gros paquet d’actions à l’annonce du livre-scandale
Selon «le Canard enchaîné», Yves Le Masne, limogé dimanche soir, a revendu 5 456 actions du leader mondial des Ehpad en juillet. Reste à savoir s’il y avait un lien direct entre cette opération boursière et les défaillances dénoncées par Victor Castanet.

par LIBERATION

publié le 2 février 2022 à 8h02
 

Yves Le Masne, directeur général du groupe Orpea pendant vingt-huit ans, a revendu en juillet dernier 5 456 actions du groupe, révèle le Canard enchaîné. Selon l’hebdomadaire, cette opération boursière d’un montant de 588 000 euros a été réalisée «trois semaines seulement après que la direction d’Orpea a été informée de la parution prochaine du livre» enquête de Victor Castanet les Fossoyeurs, qui dénonce une maltraitance quasi institutionnalisée dans les établissements du groupe. Selon le journal satirique, cette vente s’apparenterait donc à un «délit d’initié».

Les informations du Canard ont fait exploser la ministre chargée de l’autonomie des personnes âgées, Brigitte Bourguignon. «On est là au cœur d’un système, je pense», a-t-elle déploré sur LCI. Les deux principaux dirigeants du groupe, qu’elle a convoqués mardi dans son bureau, «ne se remettent pas en question, ont l’air de dire qu’ils ont des explications pour tout, des preuves pour tout».

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

C'est Lucien MASCART qui nous informe suite à la publication de notre article de ce jour :

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

C'est cela qu'il voudrait faire disparaître :

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Le tribunal de Compiègne vient d'annuler la délibération du CSE Unilever Le meux  d'une expertise pour risques graves.

Malgré cette décision, le combat continu !

Les salariés doivent prendre conscience de ce qui nous attend !

 

Ci-dessous un récapitulatif.

 

Décision du tribunal suite et fin (CSE Unilever usine Le meux)

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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