SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
NAO UNILEVER USINE LE MEUX

Demain mardi 23 mars 2021, Septième jour de grève pour une réelle augmentation de salaire.

 

Rendez-vous devant l'usine à 05H00

 

Le Combat continue !

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Usine Unilever le meux toujours en grève

La lutte continue

Toujours avec la même détermination, nous bloquons l'accès de l'usine aux intérimaires.

Nous sommes nombreux à ne pas accepter les miettes proposées par Unilever, c'est insuffisant et indécent !

Le mouvement continu ce soir et demain avec toujours la même énergie.

A 16H10, nous n'avons toujours pas de nouvelle de notre direction !

Battons-nous pour nos salaires !

’heure est à la mobilisation pour imposer de réelles augmentations de salaires
l’heure est à la mobilisation pour imposer de réelles augmentations de salaires
l’heure est à la mobilisation pour imposer de réelles augmentations de salaires
l’heure est à la mobilisation pour imposer de réelles augmentations de salaires
l’heure est à la mobilisation pour imposer de réelles augmentations de salaires
Notre Solidarité est notre force !!

 

l’heure est à la mobilisation pour imposer de réelles augmentations de salaires

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
NAO Unilever Usine Le meux

A cet instant, il n'y a toujours pas d'intérimaire dans l'usine, nous leur interdisons sans relâche l'accès !

La production est fortement pénalisée !

Pour cette fin d'après-midi, nous appelons à la solidarité des salariés pour faire bloc devant l'usine.

Nous vous demandons de venir nombreux à 17H30 devant la porte de l'usine.

Continuons à montrer notre détermination

On lâche Rien !

Et lundi matin à 05H00, on poursuit la lutte

Tous ensemble

 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Depuis mercredi, les négociations annuelles obligatoires font l’objet de tension entre les salariés et la direction du site d’Unilever au Meux.

Depuis mercredi, les négociations annuelles obligatoires font l’objet de tension entre les salariés et la direction du site d’Unilever au Meux.
Depuis mercredi, les négociations annuelles obligatoires font l’objet de tension entre les salariés et la direction du site d’Unilever au Meux.

Depuis mercredi, les négociations annuelles obligatoires font l’objet de tension entre les salariés et la direction du site d’Unilever au Meux.

Ce vendredi matin, des intérimaires, environ 80 sur le site, se sont retrouvés bloqués à l’entrée de l’usine Unilever, située au Meux. À l’appel de la CGT et de FO, une centaine de salariés ont participé à cette action alors que se tenait, ce mercredi, la dernière réunion au sujet des négociations annuelles obligatoires, les « NAO ».

«  En empêchant les intérimaires de travailler, on tape là où ça fait mal, c’est-à-dire au niveau de la production  », indique David Bongard, délégué syndical CGT. L’usine est spécialisée dans le conditionnement des dentifrices, shampoings et gels douche.

Les syndicats demandent une augmentation de salaire de l’ordre de 50 euros pour les 300 salariés du site. «  La direction nous propose qu’une augmentation de 0,5 %. Cela correspond, pour un salaire de base de 2 000 euros, à une augmentation de dix euros. Ce n’est pas assez. On a fait tourner l’usine en 2020 et voilà comment on est remerciés…  »

 

Publié par Courrier Picard

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
NAO week-end suite le combat continu

La lutte continue

 

Cette nuit sur le peu de ligne qui on tourné, seulement 200 tubes ont été conditionnés !!!

Voilà notre force quand les salariés sont solidaire !

Ce matin nous étions devant le portillon pour bloquer l'accès aux salariés intérimaire.

Et la deuxième équipe week-end a embrayé le pas de poursuivre le mouvement de grève.

C'est un succès !

 

Continuons le combat, ne lâchons rien, soyons déterminés dans notre lutte.

Tous ensemble lundi matin à 05H00 devant l'usine

 

La lutte et la révolte impliquent toujours une certaine quantité d'espérance, tandis que le désespoir est muet.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Et un appel à voter de mars 1871 des citoyennes et des citoyens qui reste de tous les temps, en y ajoutant naturellement le rôle essentiel des femmes pour la construction ensemble d'une société humaine et de progrès social.

Il y a 150 ans, le 18 mars 1871: la Commune de Paris

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Roissy. Face aux 30.000 suppressions d’emplois, une manifestation unitaire et combative !

Un millier de manifestants étaient présents ce jeudi 18 mars à Roissy-Charles-De-Gaulle pour s’opposer au 30 000 suppressions d’emploi dans cet aéroport. Travailleurs d'Air France, d'ADP, de la sous-traitance et soutiens se sont retrouvés pour le début d'un bras de fer contre ce massacre social.

Mouvement ouvrier

La nouvelle a fait l’effet d’une bombe. À Roissy Charles de Gaulle, ce sont 30 000 emplois qui sont menacés sur 94 000. Que ce soit chez Air France et ses sous-traitants ou chez ADP, ce véritable massacre social est massivement contesté par les travailleurs.

Ce 18 mars, ce sont 24 organisations syndicales et politiques, dont Sud Aérien, Hilton CDG, FO Air France ou encore CGT Air France qui appelaient donc à une manifestation à l’aéroport. Une deuxième marche unitaire face à "ce licenciement en masse" comme le qualifie Samir, délégué CGT du groupe sous-traitant WFS. Rappelant que le donneur d’ordre Air France a touché 7 milliards d’euros de la part de l’Etat soit-disant pour maintenir les emplois, il dénonce non seulement l’attitude de cette entreprise mais aussi celle des 800 sociétés de sous-traitance qui ont bénéficié du chômage partiel mais souhaite désormais supprimer des emplois, alors que "la sous-traitance, c’est le noyau de l’aéroport".

Nicolas Huard, salarié bagagiste chez CBS filiale du Groupe WFS annonce la couleur : « au niveau bagagiste, ça va faire très mal »,qui vient de demander sa liquidation judiciaire ce qui lui permet d’effacer d’un coup de baguette ses dettes et de se débarrasser du personnel sans dépenser un centime. Le groupe WFS se propose de reprendre la CBS avec le maintien de seulement 180 salariés, un scandale ! 

De fait, du côté de la sous-traitance les conditions de travail sont particulièrement terribles. "On est malmené tous les cinq ans suite à des appels d’offre. Maintenant ils profitent du contexte pour pouvoir licencier" explique Imad.

Travailleurs du donneur d’ordre et de la sous-traitance, c’est main dans la main qu’ils ont donc défilé à Roissy pour faire entendre leur voix, indiquant vouloir mettre un terme à un "PSE catastrophique selon l’expertise : celle-ci confirme qu’il n’y a aucune raison de licencier !" poursuit Imad. 

De son côté, Tayeb de Sud aérien explique que ce combat représente un bras de fer pour l’avenir de dizaines de milliers de personnes : "Nous on veut maintenir l’emploi, qui représente plusieurs familles menacées. L’aéroport il nourrit pas 30 000 salariés, mais 30 000 familles. Ils licencient des salariés de 55, 56 ans qui ont donné leur vie et leur santé à l’aéroport c’est inacceptable"

L’objectif est clair : "mobiliser tous les salariés d’Air France pour montrer à ce gouvernement qu’on refuse de ce modèle là, où ce sont les salariés qui paient la mauvaise gestion de la crise". À leurs côtés pour le prouver, de nombreux soutiens étaient présents. Les travailleurs de l’infrapole, en grève depuis 60 jours, exprime leur solidarité et la nécessité d’un "mouvement unitaire, où on est tous ensemble". Adrien Cornet, délégué CGT de la raffinerie Grandpuits ayant mené une grève exemplaire contre 700 suppressions d’emplois sur le site de Total, abonde dans ce sens là : "il faut que les patrons comprennent que quand les travailleurs vont se lever et faire grève, il y aura plus aucun avion qui va décoller". Aussi, un représentant de la CGT Orly est venu soutenir les travailleurs de Roissy et tisser des liens qui vont être très importants dans la période ouverte. En effet, à l’Aéroport de Orly aussi, des suppressions d’emplois commencent à tomber.

Nathalie Arthaud (LO) et Alexis Corbière (LFI), ce sont aussi des militants politiques et élus qui sont présents pour donner de la force aux travailleurs de Roissy. Ce dernier souligne cette nécessaire unité dans le combat contre la crise économique alors qu’il "y a une logique d’ensemble dans les entreprises en ce moment pour licencier, y compris dans les entreprises qui réalisent du profit"

Cette manifestation est donc un premier pas dans la construction d’un rapport de force capable de faire plier les entreprises et empêcher les suppressions d’emplois. Mais pour ce faire, les travailleurs on besoin d’un véritable plan de bataille de la part des directions syndicales, capable d’unir les salariés de ADP, Air France et de toute la galaxie de sous-traitants aujourd’hui menacés, avec pour objectif zéro suppressions d’emplois. Au-delà des journées de manifestations isolées, il s’agit désormais de développer des cadres d’auto-organisations les plus larges possibles, rassemblant syndiqués et non syndiqués, pour inclure dans le combat et la direction de celui-ci les contingents massifs de travailleurs aujourd’hui menacés.

L’ensemble de la gauche syndicale et politique doivent mettre leurs moyens politiques, médiatiques, matériels et financiers au service de la construction d’une lutte dont dépendra l’avenir de dizaines de milliers de familles. L’aéroport Roissy Charles de Gaule représente rien de moins qu’une des principales concentrations ouvrières de l’Ile-de France. Pour préparer l’ensemble des autres combats contre les suppressions d’emploi, la lutte des salariés de l’aéroport doit pouvoir aller jusqu’au bout.

 

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Greenwashing : Volkswagen veut supprimer jusqu’à 5000 emplois sous couvert d’écologie

Le géant allemand de l’automobile Volkswagen a annoncé dimanche un plan de suppression d’emplois qui pourrait concerner jusqu’à 5 000 postes d’ici fin 2023, sur les 300.000 que compte le groupe en Allemagne, dans le cadre d’une réduction des coûts destinée à financer une soi-disant transition écologique vers l'électrique.

Suppressions d'emplois

Crédits photo : AFP

Alors qu’en 2016 le groupe Volkwagen prévoyait déjà la suppression de 30 000 postes dans le monde, dont 23 000 pour l’Allemagne après le scandale du « dieselg gate », aujourd’hui il s’agit de milliers d’autres emplois qui doivent être supprimés par le géant de l’Autombile. Le groupe cherche à amortir le coup, en expliquant que ces suppressions d’emplois n’impliqueraient pas de licenciements, avec plus de 900 salariés départs en retraite anticipée, et environ 4000 personnes qui quitteraient l’entreprise avec des retraites partielles. Un moyen de mettre sur le carreau des milliers de travailleurs allemand, en utilisant des compromis.

Comme l’explique les Echos : « Le constructeur allemand, numéro deux mondial du secteur, a annoncé dimanche être parvenu à un accord avec son comité d’entreprise sur un plan de préretraite pour ses salariés : il consisterait à ouvrir la retraite partielle aux personnes nées en 1964, et à proposer des départs à la retraite anticipée à celles nées entre 1956 et 1960 ». Pour le groupe, ces suppressions d’emploi doivent « contribuer de manière importante à une gestion rigoureuse des coûts ».

L’entreprise cherche à faire payer la crise, et ses 15% de baisse de profits par rapport à 2019, liés à la situation sanitaire, aux travailleurs. Cela, tout en se redonnant un visage vert, en justifiant ces suppressions d’emplois par une soi-disant transition écologique vers des modèles électriques. Ce qui nécessiterait la « poursuite d’une gestion stricte des coûts afin de financer les investissements nécessaires à l’avenir ». Après, le scandale du “dieselgate” qui pointait le groupe pour avoir faussé des tests sur les émissions de polluants de ses moteurs, difficile de croire en ce regain d’intérêt pour l’écologie du groupe.

Comme nous l’écrivions dans un autre article sur Révolution Permanente : « Les capitalistes ont pour objectif permanent de baisser leurs coûts de production que ce soit sur le dos du travail, des coûts d’exploitation ou des coûts environnementaux. Cette recherche de profit, par la baisse des coûts de production, les pousse à conquérir de nouveaux marchés sur le terrain des énergies mais aussi dans le développement des nouvelles technologies.

Pourtant le groupe s’attend pour 2021, selon 20 minutes, à une « hausse significative » de son chiffre d’affaires malgré la persistance de la pandémie. De plus, si l’on se penche sur les profits de la marque sur la dernière décennie, rien ne semble justifier la suppression d’emplois pour financer la transition électrique.

Dans une situation de crise économique, où les plans de suppression d’emplois pleuvent, il est nécessaire de s’organiser pour refuser que ce soit aux travailleurs de payer la crise. Alors que les entreprises tentent d’utiliser des prétextes écologiques pour justifier la casse sociale, il faut revendiquer zéro suppressions d’emplois. Par ailleurs, pour que les entreprises ne puissent plus se cacher derrière la crise sanitaire, il s’agit de demander l’ouverture des livres de comptes de ces entreprises qui licencient et mettent sur le carreau des milliers de travailleurs.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
NAO week-end, la grève continue

La lutte continue

Les salariés du week-end poursuivent le mouvement de grève.

 

Tout comme les salariés de semaine, ils refusent les miettes proposées par la direction, cela ne reflète en aucun cas les efforts et les résultats de tous !

 

Pour cette nuit, et comme c'était prévu, nous avons bloqué l'accès aux intérimaires. (pas un seul intérimaire sur le site)

 

Un week-end où la production sera extrêmement faible, dérisoire !

 

La force des travailleurs, la Grève !

 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
La grève continue chez Unilever usine Le meux

Aujourd'hui les salariés ont répondu massivement présent au mouvement de grève.

 

Le mot d'ordre reste toujours le même :

50€ d'augmentation générale pour les créateurs de richesses !

 

Afin que ce mouvement prenne plus d'ampleur, l'assemblée générale a décidé depuis hier soir, de bloquer l'accès aux salariés intérimaires.

Cette action est une grosse réussite, il n'y a pratiquement plus aucune ligne qui tourne !

L'assemblée a décidé de continuer la lutte et se donne rendez-vous lundi matin à 05H00.

Ce soir, un point sera fait avec les salariés du week-end sur la poursuite du mouvement de grève.

Merci au camarade de la CGT Manpower qui ont apporté leur soutien à ce mouvement et aux salariés intérimaires.

 

La lutte continue !!!

La force des travailleurs, la grève !

 

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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