SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

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Dans une conférence de presse qu'il vient de tenir dimanche soir, le dirigeant du syndicat automobile américain UAW, Shawn Fain, a déclaré que les importants contrats remportés par l'UAW chez les constructeurs automobiles de Détroit représentent "un appel à l'action" pour que les travailleurs du monde entier déploient leurs muscles collectifs contre "la classe des milliardaires".
 
Shawn Fain vise à ce que le succès contre Ford, Stellantis et bientôt GM profite au mouvement syndical le plus largement possible alors que les travailleurs sont en train d'exiger actuellement par des luttes nombreuses des salaires plus élevés dans l'ensemble de l'économie et forment des syndicats notamment dans des entreprises comme Starbucks et Amazon.
Fain considère les contrats records remportés dans le cadre d'accords de principe chez Ford Motor et Stellantis (et probablement bientôt chez General Motors) comme « un tournant dans la guerre des classes qui fait rage dans ce pays depuis 40 ans » a-t-il dit.
Par exemple, un détail symbolique, l’UAW a obtenu que le contrat expire le 30 avril 2028, afin que la prochaine grève, si elle a lieu, coïncide avec la Journée internationale des travailleurs du 1er mai, pour la journée de huit heure, et permette d'étendre la lutte.
 
Fain a invité les autres syndicats à aligner également les dates d'expirations de contrats pour qu'elles tombent au même moment. "Si nous voulons vraiment nous attaquer à la classe des milliardaires et reconstruire l'économie", a-t-il déclaré, "... il est important non seulement de faire grève, mais aussi de faire grève ensemble."
Il a expliqué que ce qu'ils ont obtenu allait faciliter leur implantation dans les entreprises non syndiquées
L’accord comprend une augmentation de 25% dont une augmentation immédiate des salaires de 11 % , de 3 % au cours de chacune des trois prochaines années et de 5 % la dernière année. Cela signifie que les ouvriers d'usine qui gagnent aujourd'hui le taux le plus élevé de 32,05 dollars de l'heure (30,28 euros) gagneront 42,60 dollars (40,25 euros) d'ici la fin de l'accord en avril 2028.
 
Entre les augmentations de salaire, une prime de ratification de 5 000 dollars et environ 8 800 dollars d'ajustements au coût de la vie, la plupart des travailleurs de l'UAW devraient bénéficier d'une augmentation d'une valeur de 68 200 dollars (64 500 euros) sur la durée du contrat de 4 ans - les employés les moins bien payés verront "leur vie changer"avec des prestations diverses approchant un total de 200 000 $ (190 000 euros)
Les travailleurs bénéficieront également de prestations de participation aux bénéfices et de retraite améliorées, y compris une contribution de l'entreprise de 10 % à leurs plans 401k (un système d'épargne retraite par capitalisation très largement utilisé aux États-Unis.)
Les travailleurs accéderont au taux le plus élevé des salaires en trois ans, au lieu de huit, auparavant.
Les travailleurs temporaires et les employés les moins bien payés des usines de composants Ford bénéficieront des augmentations de salaire les plus importantes en vertu du contrat, qui élimine un système salarial à deux niveaux et convertit les intérimaires en employés permanents dans un délai de 90 jours.
 
Les travailleurs ont obtenu des avantages en matière de sécurité d'emploi, notamment un engagement de Ford de consacrer 8,1 milliards de dollars à de nouveaux investissements dans le secteur manufacturier.
Le syndicat a également obtenu l'assurance que les travailleurs syndiqués des futures usines de batteries Ford ne seront pas soumis à des salaires inférieurs comme on le craignait lors du passage aux véhicules électriques.
En résumé, l'UAW n'a pas obtenu tout ce qu'il voulait – des retraites traditionnelles plus élevées et une semaine de travail de quatre jours, par exemple – mais les contrats provisoires sont les plus riches depuis des décennies.
La grande victoire des ouvriers de l’automobile américaine va-t-elle faire monter la marée pour tout le monde ?
APRÈS L’ÉNORME VICTOIRE DES OUVRIERS AMÉRICAINS DE L’AUTOMOBILE, LE DIRIGEANT DU SYNDICAT AUTOMOBILE AMÉRICAIN APPELLE LES TRAVAILLEUR DU MONDE ENTIER A L’ACTION CONTRE LA CLASSE DES MILLIARDAIRES

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La conférence de presse organisée jeudi dernier avait déjà des airs de comité de soutien voire de lutte. Des représentants de nombreuses entités du syndicat avaient fait le déplacement pour montrer que 'l’union locale ne sera pas seule dans cette bataille', prévient Nicolas Bourcy, son secrétaire général.

La bataille en question est née d’un courrier daté du 21 septembre - que La Provence s’est procuré - dans lequel le maire d’Arles Patrick de Carolis (Horizons) informe le syndicat que la Ville, propriétaire du bâtiment, 'n’entend pas voir la convention' d’occupation de la Bourse du travail, en cours depuis 1995 et dont la prochaine échéance est le 31 mars 2024, 'se reconduire aux mêmes clauses et conditions, sans pour autant remettre en cause...

 

 

L’Union Locale CGT d’Arles a décidé d’éditer un ouvrage sur la longue et belle histoire, de 4 siècles, de la Bourse du Travail d’Arles !

Imprimé début septembre, il sera présenté le vendredi 20 septembre à 18h en présence des historiens, à la Bourse du Travail.

D’une lecture très agréable, avec des pages couleurs et de nombreuses illustrations, format A4, 82 pages, et édité en nombre limité, l’ouvrage est vendu au prix de 15€, frais de port en sus.

Notre Union Locale, attachée à l’histoire du mouvement social, trop souvent occultée ou écornée, vous invite à cette présentation et bien sûr à vous procurer ce livre passionnant.

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Hors effet de change et à périmètre comparable, le chiffre d’affaires ressort toutefois en progression de 5,2% sur la période. (Photo: 123RF)

Hors effet de change et à périmètre comparable, le chiffre d’affaires ressort toutefois en progression de 5,2% sur la période. (Photo: 123RF)

Londres — Le géant de l’agroalimentaire et des produits d’hygiène Unilever, qui traverse une période de turbulences, a dévoilé jeudi un nouveau «plan de relance» dans la foulée d’un chiffre d’affaires en baisse au troisième trimestre, en particulier dans la catégorie des desserts glacés.

Les ventes ressortent en recul de 3,8% sur un an à 15,2 milliards d’euros pour le troisième trimestre, lestées principalement par un effet de change défavorable, mais aussi l’impact d’une cession, a-t-on indiqué dans un communiqué.

Hors effet de change et à périmètre comparable, le chiffre d’affaires ressort toutefois en progression de 5,2% sur la période.

Le groupe lance en parallèle un « plan d’action focalisé sur une croissance plus rapide, une plus grande productivité et simplicité, et une culture de performance plus forte ».

« Notre performance des dernières années n’était pas à la hauteur de notre potentiel », déplore le directeur général Hein Schumacher, qui a pris ses fonctions le premier juillet.

La nouvelle stratégie va se focaliser sur 30 marques « motrices » qui représentent conjointement 70% des recettes du groupe, et viser une croissance du chiffre d’affaires sous-jacent de 3% à 5%.

 

Les desserts glacés fondent

Au troisième trimestre, les ventes ont été tirées par la division de beauté et cosmétique, dont les prix et les volumes augmentent. À l’inverse, les recettes provenant des desserts glacés ont chuté de 6,5%, malgré ou peut-être à cause d’une forte hausse des prix de 8,2%.

Les volumes, qui ont reculé de 10% sur la période, ont pâti du fait que les consommateurs, en pleine crise du coût de la vie, choisissent les « formats offrant un meilleur rapport qualité prix », tandis que « le temps » cet été en Europe a été « moins favorable ».

Unilever, connue pour les savons Dove, les déodorants Axe, les soupes Knorr ou les desserts Magnum, répercute depuis des mois l’envolée des coûts face à l’inflation élevée, mais avait prévenu cet été que les hausses des prix allaient s’atténuer d’ici la fin de l’année.

L’inflation dans de nombreux pays est largement redescendue de ses pics d’il y a un an, même si au Royaume-Uni en particulier, elle reste, à 6,7%, encore loin de l’objectif de 2% des autorités monétaires.

L’action reculait de 2,72% à 3 904,50 pence peu après l’ouverture à la Bourse de Londres.

« On dirait que les consommateurs ont du mal à justifier le supplément pour un pot de Ben&Jerry’s (l’une des marques du groupe, NDLR) étant donné que les ventes de glace continuent à enregistrer des difficultés », remarque Matt Britzman, analyste de Hargreaves Lansdown.

Il remarque cependant que le groupe continue à « briller » dans les marchés émergents même si la reprise en Chine est « plus lente qu’attendu », tout en ajoutant que les ventes ressortent globalement en ligne avec les prévisions du marché.

Le groupe annonce aussi jeudi s’être doté d’un nouveau directeur financier, Fernando Fernandez.

En mai, avant l’arrivée de M. Schumacher, les actionnaires d’Unilever avaient rejeté à près de 60% le plan de rémunération des dirigeants du groupe, à l’issue d’un vote consultatif au cours de son assemblée générale annuelle.

Il s’agissait d’un coup de semonce pour la direction, alors que la stratégie du précédent directeur général Alan Jope, à la tête d’Unilever depuis 2019, était contestée depuis des mois par des investisseurs influents.

M. Jope s’était notamment retrouvé sous le feu des critiques après l’échec de son projet d’acquisition à grands frais de la division de produits de santé de grande consommation du laboratoire GSK, qui avait suscité les protestations d’actionnaires de premier plan.

Le directeur général avait alors fait machine arrière et renoncé à faire des acquisitions majeures à court terme.

Publié par www.lesaffaires.com

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VENDÔME : TROIS CÉGÉTISTES ENTENDUS POUR DÉGRADATIONS
La permanence de Christophe Marion a été prise pour cible le 16 mars 2023. Photo : Equipe de CM.

Trois militants vendômois de la CGT ont été entendus par la justice ce mardi 24 octobre à Blois. Ils devaient répondre de dégradations commises sur la permanence parlementaire du député Renaissance de Loir-et-Cher Christophe Marion en mars 2023, suite à la plainte déposée par ce dernier.

"Je suis serein, et presque content ! Si nous sommes là, c’est que nous gênons un petit peu", estime Ludovic Loiseau. Le secrétaire de l’Union locale CGT de Vendôme fait partie des trois personnes qui ont été reçues à tour de rôle par le délégué du procureur ce mardi matin, tout comme Rebecca Vacher. "Dans ma convocation, il m’est reprochée d’avoir fourni les œufs qui ont été jetés sur la permanence", tandis que Ludovic aurait scotché l’entrée et Mouedh badigeonné le tout de sauce Ketchup…

Le parquet a proposé leur participation à un stage de citoyenneté sur une journée, ce que les trois mis en cause ont refusé. "A voir s’il décide d’éteindre la procédure, ou de nous renvoyer devant une audience publique", expliquait le secrétaire de l’UL vendômoise en fin de journée.

 

LIBERTÉ SYNDICALE REMISE EN CAUSE ?

Rappelons déjà le contexte. Lors d’une manifestation contre la réforme des retraites qui s’est déroulée dans la soirée du 16 mars 2023, des participants s’en sont pris au local du député de la majorité Christophe Marion. « Dès qu’il y a des dégradations, je ne suis plus d’accord », indique le parlementaire qui a donc décidé « de porter plainte contre X, et non pas contre un syndicat, la CGT ou des militants », précise-t-il pour répondre aux voix qui l’accuse de « criminaliser le mouvement social », comme celle d’Emmanuel Léonard.

Dans une lettre ouverte, le conseiller régional et secrétaire du PCF 41 parle aussi « de tentative de bâillonner toute contestation de la politique menée par le gouvernement ». Mais pour Christophe Marion, « la liberté syndicale ne permet pas tout ! »

Publié par FSC

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Affrontements entre policiers et pompiers en grève depuis 4 mois pour des effectifs et des conditions de travail, à Orense en Galice en Espagne

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Eh Macron et les médias doivent cesser d'imposer et de justifier des atteintes aux libertés publiques, au droit de manifester, de s'aligner sur les positions guerrières atlantistes, de procéder à des amalgammes innacceptables facteurs de division ... !

 

 

 

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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