SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

SANOFI est une transnationale française. L’entreprise détient la 3e position mondiale dans le secteur de la santé avec un chiffre d’affaire de 35 milliards d’Euros en 2018. Elle pointe en 11e position pour la capitalisation boursière avec 99 milliards d’Euros. Elle est leader dans toute une série de spécialité médicamenteuse et des vaccins. Elle réalise 72 % de son chiffre en dehors de l’Europe, elle compte 100.000 salariés dans 100 pays et 25.000 salariés en France.

Son investissement en recherche est de l’ordre de 5,9 milliards d’Euros en 2018 soit environ 17 % de son chiffre d’affaire. La société s’est profondément restructurée dans la dernière période avec ,en France, une perte de 2.000 emplois tout particulièrement dans le secteur de la recherche. Elle bénéficie depuis 2008 d’un Crédit Impôt Recherche (CIR) d’environ 130 millions d’Euros par an. L’entreprise a été dans la dernière période sous les feux de l’actualité avec un versement de dividendes importants à ses actionnaires en pleine crise sanitaire et tout récemment fait l’objet d’une polémique sur la première exclusivité d’un éventuel vaccin contre Covid19 aux USA. Pour en savoir plus, nous avons posé quelques questions Pascal Collemine délégué syndical central CGT à Sanofi Recherche&Développement.

     1. Sanofi est le 3e groupe mondial dans le secteur de la santé et la 11e capitalisation boursière dans le monde. Le groupe est internationalisé et s’est profondément restructuré avec           une diminution sensible en France des emplois en particulier de recherche. Qu’en est-il au juste ?

Pascal Collemine

En 10 ans, les effectifs en Recherche&Développement (R&D) ont quasiment diminué de moitié. Il y avait 6300 salariés en 2008, il n’y aura plus que 3500 fin 2020. Le nombre de centres de R&D est passé de 11 à 4.
Sanofi va fermer encore un site spécialisé dans la sécurité du médicament (Toxicologie ) en fin d’année dans le cadre du dernier plan de restructuration. La direction a aussi engagé une forte externalisation de nos activités de R&D, de nombreux métiers en interne disparaissent au profit d’entreprises sous-traitantes (en anglais C.R.O) comme EVOTEC qui a maintenant repris l’intégralité du site de Toulouse. Sanofi, lors du plan de 2012, s’est désengagé de ce site. Ils ont cédé les bâtiments, les matériels et le personnel restant à l’époque à une société allemande du nom d’EVOTEC. Les frais de personnel ont été payés de plus par Sanofi pendant 5 ans en échange de travail de sous traitance.

 

     2. Quelles sont les orientations générales de la production de SANOFI aujourd’hui ?

Pascal Collemine​​​​​​​

 

Les orientations générales sont de plus axées autour des produits biothérapeuthiques, et notamment en Oncologie et Immuno-oncologie. Les axes de recherches en Neurologie (Alzheimer), en cardiologie, en infectiologie et récemment dans le diabète ont été externalisés. Le « marché » n’est pas assez juteux pour les actionnaires. Il faut des produits qui coûtent plusieurs milliers d’euros pour générer les profits !
La Chimie médicinale (des petites molécules) disparaît peu à peu car ce n’est pas assez rentable. Les traitements bio thérapeutiques valent une fortune ! C’est en partie pour cette raison que la stratégie de Sanofi est orientée dans ce domaine afin de pouvoir générer beaucoup de cash (si les systèmes de santé remboursent, ce n’est pas forcément gagné …)
Il faut remarquer que les approches immunologiques sont une réelle avancée dans le traitement du cancer et d’autres maladies. C’est une approche personnalisée mais les petites molécules ont encore de l’avenir (beaucoup plus simple à produire mais facilement copiables) et peu chères donc plus accessibles pour les pays du Sud par exemple. Un traitement biothérapeuthique, vu son prix, ne sera certainement vendu que dans les pays riches. C’est un gros problème d’accès au médicament !

 

     3. Quelles sont les conséquences des restructurations pour l'entreprise en France et sur la recherche dans le domaine des médicaments. Est-ce qu'ils ont arrêté la production de                certains types de médicaments ces dernières années pour des raisons de rentabilité ?

 

Pascal Collemine​​​​​​​

La R&D se meurt en France. On assiste à un véritable démantèlement de nos activités de recherche qui n’est absolument pas remis en cause par l’État. Le gouvernement Macron accompagne les décisions de Sanofi. Il ne faut pas oublier que Macron a un lien tout à fait privilégié avec Serve Weinberg, président du conseil de surveillance. Une réunion du cercle des entreprises a eu lieu en présence du 1er ministre peu après l’élection de macron au centre de recherches de Vitry. Il y avait tous les grands patrons français à cette réunion…
En termes de production, les principes actifs ont été externalisés depuis longtemps (Paracétamol par exemple).
Nous n’assistons pas vraiment à de nouveaux arrêts de production en France. La direction a de plus en plus tendance à produire un peu partout en Europe et aussi dans les pays à bas coûts mais la récente pénurie de médicaments va obliger la direction a rapatrier plus de production en Europe. Cependant, ce nouveau groupe sera financé à hauteur de 30 % par Sanofi (projet Pluton)
Deux usines pourraient quitter le groupe (Vertolaye et Elbeuf), encore une diminution de la masse salariale et une perte de savoir-faire en interne. La CGT combat bien sur ce projet qui pourrait être financé entièrement par le Groupe. Les 4 milliards € de bénéfices dégagés en 2019 seraient bien utilisés.

 

      4. Sanofi puissante multinationale dans le système de santé est-ce compatible avec la réponse aux besoins de santé ? Que proposez -vous?

Pascal Collemine​​​​​​​

La CGT propose que le médicament fasse partie d’un pôle publique. Notre santé ne doit plus être confiées aux rapaces de la finance. Les besoins en santé publique sont encore conséquents, de nombreuses maladies ont besoin de traitement accessibles à tous. Le capitalisme et les profits sont contraires à une politique de santé accessible à tous, et notamment pour les pays du Sud ou en voie de développement. Il faudrait réquisitionner des usines, surtout dans la période actuelle, et pourquoi pas recourir à la licence d’office afin de produire des médicaments essentiels pour la santé.

 

      5. Ces choix semblent validés par des profits importants si l’on s’en réfère aux dividendes distribués y compris très récemment, mais qu’en est-il de l’emploi en nombre et en                      qualité  et des conditions de travail en général et en France en particulier ?

Pascal Collemine​​​​​​​

L’emploi diminue fortement depuis une dizaine d’années, plus de 5000 postes ont été supprimés en France dans le groupe (toutes les activités sont compressées). De nombreuses expertises ont disparus en R&D notamment avec le recours aux plans de restructurations. Il n’y a quasiment plus aucune embauche de jeunes chercheurs, la pyramide des âges est une véritable toupie. Les plans de départ en mesures d’âge permettent aux plus anciens de partir sans aucun remplacement. C’est un désastre pour la transmission des expertises qui sont indispensables dans nos métiers
Les orientations stratégiques de Sanofi ne sont pas comprises par les salariés (même à un niveau hiérarchique élevé), les salariés ne pensent qu’à quitter le groupe, avec des bonnes mesures d’accompagnement que la CFDT négocia au plus haut à chaque fois (pour les plus anciens). Les quelques plus jeunes vont dans d’autres laboratoires plus offrant ou dans les boites sous-traitantes qui elles recrutent mais avec un statut révisé à la baisse.

      6. Les déclarations récentes de Paul Hudson sur le vaccin contre Covid19 ont ému et donné lieu à un large concert de réprobation plus ou moins sincères que faut-il retenir de cela ?

Pascal Collemine​​​​​​​

Il faut retenir que Paul Hudson, est un anglo-saxon, aux ordres des actionnaires comme nos anciens patrons. La direction de la R&D a été décentrée aux États-Unis depuis longtemps et ça s’accélère. Il essaye de faire pression sur l’Europe pour encore chercher des financements publics. La CGT a dénoncé aussitôt ses propos ! Si le vaccin est trouvé, la CGT revendique la mise en commun pour tous de ce traitement. Pas de profits pour les actionnaires : Notre santé avant tout !
Les réprobations sont justes mais il va falloir batailler sérieux pour que ce vaccin soit entre nos mains et pas aux mains des financiers de tout poil

 

      7. La CGT chimie appelle au développement des luttes pour les salaires, l’emploi et les conditions de travail qu’en est-il à SANOFI ?

Pascal Collemine​​​​​​​

Nous appelons régulièrement les salariés à se rebeller contre ces orientations mortifères pour l’emploi et l’avenir de nos métiers en France. Hélas, la CGT est souvent bien seule pour mobiliser. En R&D, l’évolution de nos Catégories Sociaux Professionnelles est aussi un frein à la mobilisation. De plus en plus de cadres sont présents dans l’entreprise. Plus aucun ouvrier ne travaille en R&D. Très peu de jeunes aussi qui pourraient certainement donner de la dynamique dans nos syndicats.
L’accompagnement des syndicats réformistes comme la CFTC et la CFDT fait moins peur aux salariés qui sont plutôt déjà très résignés du fait de l’accumulation des plans de suppressions d’emploi. Nous n’échappons pas à la généralisation de l’individualisme sur les salaires, des nouvelles techniques de « management », de l’augmentation du télétravail qui brise souvent le lien social, etc etc...
Malgré tous ces inconvénients, nous arrivons quand même à mobiliser les salariés contre le dernier plan de restructuration et aussi contre la réforme des retraites qui a été un moment fort en région parisienne et ailleurs, Sanofi était bien représenté dans les cortèges.

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Les tenants du capitalisme et leurs chiens de garde pointent eux aussi effectivement les injustices et inégalités monstrueuses et flagrantes qui s'affichent aux USA.

Tout en refusant de pointer les raisons profondes de ces injustices et en s'efforçant de sauver un système de plus en plus mis en cause par les opinions et les travailleurs.

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REPRIS du site Unilever CGT Le Meux

SOURCE Anti K

 

 

Jeff Bezos est toujours l’homme le plus riche du monde, mais avec 34,6 milliards de dollars en plus.

Si la crise du coronavirus a porté un coup à l’économie mondiale, elle profite au moins à quelques-un·es. Entre le 18 mars et le 19 mai 2020, la valeur nette des 600 plus grosses fortunes américaines a augmenté de 434 milliards de dollars. Cela représente 398 milliards d’euros, et un bond de 15% en seulement deux mois.

Les cinq premiers milliardaires américains, Jeff Bezos, Bill Gates, Mark Zuckerberg, Warren Buffett et Larry Ellison, ont à eux seuls gagné 75,5 milliards de dollars (69,3 milliards d’euros).

La valeur nette de la fortune du fondateur et PDG d’Amazon, Jeff Bezos, a augmenté de 30,6% pendant la pandémie de Covid-19, atteignant désormais les 147,6 milliards de dollars (soit à peine moins que le PIB de la Hongrie). Avec Zuckerberg, qui a gagné 25 milliards de dollars, il est le plus gros bénéficiaire de la crise.

Jackpot pour les entreprises tech
Les géants du secteur technologique sont ceux qui tirent le mieux leur épingle du jeu, pendant que le reste de l’économie s’effondre, laissant les personnes à faibles revenus dans une plus grande précarité.

Depuis la mi-mars, 47% des Américain·es ont déclaré qu’eux-mêmes ou une autre personne de leur ménage avait perdu des revenus depuis le début de la pandémie. La semaine dernière seulement, 2,4 millions de personnes supplémentaires demandaient des allocations de chômage temporaires aux États-Unis.

«Alors que des millions de personnes risquent leur vie et leur gagne-pain en tant que travailleurs mis en première ligne, ces milliardaires bénéficient d’une économie et d’un système fiscal qui est câblé pour canaliser la richesse vers le sommet», a déclaré Chuck Collins, directeur du programme sur l’inégalité à Institute for Policy Studies.

On estime que 16 millions de travailleurs et travailleuses américaines ont perdu l’assurance maladie fournie par leur employeur.

Repéré par Léa Polverini

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Les milliardaires américains ont gagné 398 milliards pendant la pandémie de Covid-19
Jeff Bezos, le fondateur et PDG d'Amazon, à Las Vegas, le 6 juin 2019. | Mark Ralston / AFP

Slate, 22 mai 2020

Jeff Bezos est toujours l’homme le plus riche du monde, mais avec 34,6 milliards de dollars en plus.

Si la crise du coronavirus a porté un coup à l’économie mondiale, elle profite au moins à quelques-un·es. Entre le 18 mars et le 19 mai 2020, la valeur nette des 600 plus grosses fortunes américaines a augmenté de 434 milliards de dollars. Cela représente 398 milliards d’euros, et un bond de 15% en seulement deux mois.

Les cinq premiers milliardaires américains, Jeff Bezos, Bill Gates, Mark Zuckerberg, Warren Buffett et Larry Ellison, ont à eux seuls gagné 75,5 milliards de dollars (69,3 milliards d’euros).

La valeur nette de la fortune du fondateur et PDG d’Amazon, Jeff Bezos, a augmenté de 30,6% pendant la pandémie de Covid-19, atteignant désormais les 147,6 milliards de dollars (soit à peine moins que le PIB de la Hongrie). Avec Zuckerberg, qui a gagné 25 milliards de dollars, il est le plus gros bénéficiaire de la crise.

Jackpot pour les entreprises tech

Les géants du secteur technologique sont ceux qui tirent le mieux leur épingle du jeu, pendant que le reste de l’économie s’effondre, laissant les personnes à faibles revenus dans une plus grande précarité.

Depuis la mi-mars, 47% des Américain·es ont déclaré qu’eux-mêmes ou une autre personne de leur ménage avait perdu des revenus depuis le début de la pandémie. La semaine dernière seulement, 2,4 millions de personnes supplémentaires demandaient des allocations de chômage temporaires aux États-Unis.

«Alors que des millions de personnes risquent leur vie et leur gagne-pain en tant que travailleurs mis en première ligne, ces milliardaires bénéficient d’une économie et d’un système fiscal qui est câblé pour canaliser la richesse vers le sommet», a déclaré Chuck Collins, directeur du programme sur l’inégalité à Institute for Policy Studies.

On estime que 16 millions de travailleurs et travailleuses américaines ont perdu l’assurance maladie fournie par leur employeur.

Repéré par Léa Polverini

Publié par anti-K

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Bruno Le Maire annonce des "faillites et des licenciements". Stop aux milliards pour les grands groupes !

Le ministre de l’Economie a précisé son plan de relance de l’économie. Avec avec la fin du chômage partiel, il promet « des faillites et des licenciements » pour les travailleurs. Les grands groupes, quant à eux, jouissent d'aides de plusieurs milliards d’euros, tout en préparant des plans de restructuration.

Interdiction des licenciements

“Il y aura des faillites et il y aura des licenciements dans les mois qui viennent” a annoncé le ministre de l’Economie au micro d’Europe 1, d’un ton prophétique. La fin du chômage partiel qui concerne aujourd’hui 12,7 millions de travailleurs va d’une part infliger un coup fatal à de nombreuses TPE et PME pour qui le chômage partiel était une béquille importante pour ne pas mettre la clé sous la porte. Ces petits patrons, étranglés par les crédits, vont concrètement se retrouver face au risque de faillite. D’autre part, le chômage va exploser et les licenciements s’enchaîner. Si le dispositif de chômage partiel avait pour un temps permis d’éviter une vague de licenciements comme aux États-Unis, il commence aujourd’hui à coûter trop cher à l’État qui souhaite progressivement le faire disparaître. Certaines entreprises ont déjà commencé à licencier massivement ou à annoncer des plans de licenciements, comme c’est le cas de Daher, Derichebourg, ou encore Rolls Royce.

Pour Bruno Le Maire, la solution aux licenciements se trouve dans la relocalisation de la production en France. Dans son interview au Figaro, le ministre a précisé comment il comptait encourager ces relocalisations. Sans surprise, toute augmentation des impôts de production est exclue, tout comme le rétablissement de l’ISF, qui, pour Bruno Le Maire, constituerait une “idée du XXe siècle”. Pour ce dernier, ces relocalisations doivent se faire soit en baissant le coût du travail, soit en diminuant les salaires. La stratégie du gouvernement, une fois de plus, consiste à persister dans les attaques contre les travailleurs, sous prétexte de ne pas faire fuir les entreprises.

Face au chômage de masse qui s’annonce, nous devons exiger l’interdiction des licenciements et le partage du travail entre toutes et tous ! Alors que des milliers de travailleurs vont se retrouver sans emploi, il est inacceptable que le gouvernement remette en cause les 35h. Il est insensé que des salariés travaillent deux fois plus qu’avant pendant que d’autres sont sans emploi. La seule solution est le partage du temps de travail, pour que personne ne se retrouve au chômage. Plus encore, nous devons revendiquer la fin des contrats précaires, variables d’ajustement face à la crise ainsi qu’une augmentation générale des salaires. Il est également indispensable d’exiger l’ouverture des livres de comptes : si les capitalistes veulent licencier, qu’ils nous prouvent qu’ils sont bien en faillite ! Face au chantage à la fermeture sur fond de faillites, il est indispensable de réclamer la nationalisation, sous contrôle des travailleurs, des entreprises concernées. Quant aux TPE, PME, petits artisans, commerçants et agriculteurs, le mouvement ouvrier doit se saisir de leurs problèmes et proposer un programme alternatif à ces secteurs. Exigeons la nationalisation sous contrôle des travailleurs et des épargnants des banques privées en un système bancaire unique d’État afin d’en finir avec l’endettement et octroyer des prêts à des taux favorables pour l’ensemble de ces secteurs.

Crédits photo : Eric PIERMONT/AFP

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Le 28 juin, le palais de l'élysée rouvre le carnaval: venez masqués!

Christophe Castaner, ministre de la police et des amendes à 135 euros, et aussi de la santé publique à l'intérieur des bureaux de vote, l'a dit:  "Chaque électeur devra porter un masque de protection qui pourra être un masque grand public". Les membres du bureau de vote devront porter "un masque chirurgical tout au long de l'opération de vote", tout comme "les scrutateurs au moment du dépouillement".

Apporter également son stylo perso pour émarger.

Pour le premier tour des municipales, le 15 mars, il y a si longtemps qu'on ne s'en rappelle plus. Mais l'abstention avait été de 55% et le Conseil scientifique avait dit OK pour que le premier tour se fasse. Pour le deuxième tour, ledit Conseil dira au palais de l'Elysée si c'est toujours OK. Bon, si c'est comme pour la réouverture des écoles et des crèches...

En tout cas, que dit la presse libre et non faussée à l'égard d'un ex-banquier d'affaires rendu justement aux affaires du capital en France? Encore que ne n'est qu'un aperçu succinct des titres aux ordres et sans parler des infos à la télé

Le 28 juin, le palais de l'élysée rouvre le carnaval: venez masqués!

En tout cas, au final et je dis ça, mais ce n'est pas pour rien...

Le 28 juin, le palais de l'élysée rouvre le carnaval: venez masqués!

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Ils s'enflamment contre la CGT  ... et la justice à propos de Renault Sandouville les accusant de faire obstacle à la reprise économique (pour raisons sanitaires exclusivement) MAIS lorsqu'il s'agit de suppressions biens réelles de milliers et de milliers d'emplois ALORS on attend les CONTRAINTES à imposer aux détenteurs de capitaux dont les décisions pèsent sur des milliers et des milliers de salariés, de précaires ...

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Les syndicats CGT de plusieurs sites industriels ont réclamé mardi, lors d'une visioconférence de presse, des «gestes concrets» de l'État pour maintenir les emplois industriels en France et «des lois concrètes pour protéger l'industrie». «Les multinationales qui nous licencient ont des centaines de milliards d'euros en réserve (...) Dans la situation actuelle», avec la pandémie de Covid-19, «l'État doit les contraindre à utiliser ces moyens pour que nos activités se poursuivent ou reprennent et empêcher nos licenciements», écrivent, dans une pétition, ces syndicats CGT dont certaines usines sont menacées de suppressions de postes ou de fermeture.

Les organisations CGT de Cargill à Haubourdin (Nord), Michelin à La Roche-sur-Yon, General Electric à Villeurbanne (Rhône), Famar à Lyon, Bosch à Rodez et Luxfer à Gerzat (Puy-de-Dôme) souhaitent également que les conseils régionaux «votent une motion de suspension de toute mesure de démantèlement» de ces sites et des suppressions d'emplois. «La collectivité qui a la possibilité d'intervenir dans le cours des événements économiques et sociaux, c'est le conseil régional», a affirmé Me Fiodor Rilov, participant à cette visioconférence. Pour l'avocat, «le conseil régional est parfaitement dans son rôle» d'adresser «une injonction» à une entreprise pour «arrêter les licenciements», «réinjecter des moyens pour que la production puisse se poursuivre» ou «cesser de violer telle ou telle règle sur la reprise des activités économiques».

«Lorsqu'on entend des politiques qui disent qu'il faut garder absolument l'emploi en France, ce qu'on attend, nous, ce sont vraiment des gestes concrets avec des usines qui restent en France», a déclaré Antony Guilloteau, délégué CGT de l'usine Michelin de La Roche-sur-Yon, comptant 619 emplois et qui doit fermer d'ici à la fin de l'année.

«Imaginez ce qui va se passer après la crise du Covid-19 si on ne met pas des lois en place pour sauver l'industrie dans notre pays!» s'est inquiété Axel Peronczyk, délégué de Luxfer, dont l'usine de bouteilles d'oxygène médical a fermé il y a un an.

«On veut des actes», «des lois concrètes pour protéger l'industrie en France», a-t-il insisté. Délégué de l'usine Cargill d'Haubourdin, Dorian Vallois a indiqué que «la direction a annoncé hier (lundi) qu'elle repoussait de trois mois» son plan de suppression de 183 postes. «Une petite victoire», mais «on ne sait pas du tout où on va», a-t-il ajouté.

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Leurs soucis ne datent pas de la crise née de l’épidémie. Mais des salariés de sites soumis à PSE, promis à fermeture, voire déjà fermés sont regonflés par les discours politique émaillés de "souveraineté" ou de "relocalisation des chaînes de valeur". En gros disent-ils, vous chantez une ode à la réindustrialisation du pays et bien agissez maintenant. "Le jour d’après et la souveraineté industrielle, elle ne va pas se faire en claquant des doigts, il faut une volonté politique" déclare Axel Peronczyk, le délégué du site Luxfer de Gerzat (Puy-de-Dôme).

Nos camions n'ont-ils pas besoin de pneus ? 


Chacun de ces sites a son histoire, ses problèmes. Et aussi des arguments. Le délégué CGT de Michelin à La Roche-sur-Yon (Vendée), Antony Guilloteau  fait valoir : "avec la fermeture de notre site, plus aucun pneu poids lourds ne sera produit en France. Est-ce que l’on n’a pas besoins de pneus pour nos camions ? Michelin engrange plus d’un milliard de bénéfices par an depuis la fin de la crise de 2008. Est-ce qu’il n’a pas les moyens de le conserver ? D’autant qu’avec la pandémie, il va y avoir beaucoup de monde sur le carreau dans ce merveilleux bassin vendéen que l’on nous vendait. On entend les belles paroles des politiques mais on attend des gestes concrets pour maintenir les usines en France."

D’autant que certains de ces sites n’ont pas chômé pendant le confinement. Chez Cargill à Haubourdin (Nord), où un PSE de la moitié des effectifs (183 personnes) a été annoncé en novembre dernier, Damien Vallois déclare que  "le site a eu une activité plutôt soutenue ces deux derniers mois en particulier pour produire des poches de glucose pour les hôpitaux anglais." Une partie de l’activité doit être supprimée et pour lui, c’est la chronique d’une mort annoncée pour celle qui reste. Compte-tenu de la situation, le PSE a été repoussé de trois mois.  

Des soupçons de monopole

Luxfer, fermé depuis un an, se mobilise pour relancer son usine de bouteilles de gaz, en particulier d’oxygène médical. Pour Axel Peronczyk, il y a un marché et un savoir-faire "Le groupe vend des produits faits au Royaume-Uni, desquels il tire une plus forte marge. Ce sont des bouteilles en acier qui pèsent 3,4 kilos pour une contenance de 2 litres, alors que nous savons réaliser des bouteilles d’une plus forte contenance qui ne pèsent qu'1,2 kilo. La demande pour ce type de produit n’a pas disparu."

Selon lui, la direction de cette entreprise anglaise fait tout pour barrer la route à des repreneurs et s’est mise en situation de monopole. "Il ne joue même pas avec les règles du capitalisme", s'exclame Axel Peronczyk.

Chez le façonnier de médicament du site Famar de Lyon, on craint la fermeture et on en appelle à la responsabilité de son principal client, Sanofi qui prône un retour à la production française.

Tous ces syndicats sont réunis sous la houlette du célèbre avocat Fiodor Riloff connu pour son activisme judiciaire et son intervention sur de nombreux dossiers industriels (Goodyear, Continental, Flodor ...), pas toujours couronnée de succès quant à la pérennité des sites en question. De manière constante, il conteste les justifications de fermeture au nom de la compétitivité, estimant qu’elle relève en réalité d’un enjeu de profitabilité pour nourrir les actionnaires.

Appel aux conseils régionaux

Tous ces dossiers sont suivis par Bercy et certains PSE ont déjà été acceptés par les Dirrecte mais ces syndicats CGT en appellent de nouveau au gouvernement et aux dirigeants des collectivités. Ils ont, en particulier, rédigé une motion adressée à leurs Conseils régionaux, car Maître Riloff estime qu’ils sont légitimes à intervenir au égard au code des collectivités territoriales qui leur donne des responsabilités en matière économique. Pour Axel Peronczyk, concrètement, "Il faut interdire les licenciements dans les entreprises bénéficiaires en agissant tout de suite,  car le motif économique de nos licenciements, sera, on le sait déjà, jugé irrecevable par les prud’hommes …mais dans trois ans. Et oui, il faut accepter de revenir sur le droit de propriété pour transférer le site à des repreneurs."

Pour l’instant seuls deux conseils régionaux, Pays de la Loire et Auvergne-Rhône-Alpes ont seulement accusé réception de la motion.

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Les organisations et les personnels ne s'en laissent pas compter Ou ne comptent que sur leur propre action.

A RETENIR madame NOTAT !

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SOURCE : Rapport de Force

 

Pas question d’attendre sagement le plan santé promis par le chef de l’État avant l’été pour les personnels hospitaliers. Les collectifs nées d’un an de lutte à l’hôpital (inter-Urgences, Inter-Blocs et Inter-Hôpitaux) ainsi que les syndicats CGT, SUD et Unsa, l’association des médecins urgentistes de France ou le Printemps de la psychiatrie, appellent à une journée de mobilisation pour l’hôpital le mardi 16 juin.

Avant cette échéance, le ministre de la Santé organisera une réunion de concertation le lundi 25 mai sur le « Ségur de la santé », du nom de l’avenue où se trouve le ministère. Au programme : la revalorisation de la rémunération des soignants pour se hisser dans la moyenne européenne. Si l’augmentation des salaires faisait bien partie des revendications des hospitaliers en grève l’an dernier, leurs autres exigences pour sauver l’hôpital n’ont pour l’heure fait l’objet d’aucune annonce gouvernementale. En effet, rien sur des embauches en nombre de soignants. À la place : un aménagement des 35 h qui pourrait bien être une manœuvre pour ne pas recruter de personnel supplémentaire dans les hôpitaux. Aucun engagement non plus à mettre fin aux suppressions de lits.

Faute de voir leurs revendications essentielles prises en considérations, les 12 syndicats et collectifs déjà mobilisés repartent en « guerre » avec une date de mobilisation le 16 juin, pour qu’il n’y ait pas de « retour à l’anormal », après la crise du Covid-19.

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
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Un revenu sans travailler…

Publié par anti-K

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Dans 79 hôpitaux en première ligne, seuls 40% des effectifs auront droit à la prime de 1500€

La prime exceptionnelle promise par le gouvernement aux soignants, ne concernera dans les 61 départements les "moins touchés", que 79 hôpitaux et que 40 % de leurs effectifs, comme le révèle Médiapart. Les autres ne toucheront que 500 euros ...

Santé

Depuis le début de la crise du coronavirus, le président Macron n’a eu de cesse de glorifier les héros hospitaliers, en première ligne dans la lutte contre l’épidémie. La dernière idée en date du président est de profiter du 14 juillet pour « manifester l’hommage et la reconnaissance de la nation à tous ceux qui se sont engagés dans la lutte contre le Covid-19 » et leur remettre une médaille.

Surtout, le gouvernement avait promis depuis le 25 mars dernier qu’en guise de récompense, pour les efforts et cette extrême prise de risque, que les hospitaliers seraient récompensés par une prime de 1500 euros. Pourtant, depuis cette date, il n’y avait aucune trace de cette prime ni des heures supplémentaires majorés, en l’absence de la publication de décrets.

Le décret relatif au versement de la "prime exceptionnelle" a finalement été publié le 15 mai dernier. Et ce décret ministériel est venu mettre le feu aux poudres.

Les 40 départements qui ont été les plus touchés par le COVID-19 verront ainsi l’ensemble de leur personnel hospitalier bénéficier de la prime à hauteur maximale, 1500 euros, sous condition d’avoir travaillé une « durée minimum » (entre le 1er mars et le 30 avril). Pour les 61 autres départements que comptent le pays, la prime ne serait versée qu’à hauteur de 500 euros annonce le projet ministériel.

Hors des 40 départements seulement 79 hôpitaux ont été listés par le ministère, comme étant ceux ayant reçus des patients atteints du virus, et dans lesquels les directeurs pourront élever la prime de 500 euros jusqu’à 1 500 euros « pour les services ou agents impliqués dans la prise en charge de patients contaminés (...) ou mobilisés par les circonstances exceptionnelles d’exercice ». Les directeurs des établissements devront informer les représentants du personnel ainsi que l’ARS de la remise de cette prime exceptionnelle qui ne pourra se faire que « dans la limite de 40% du personnel » précise un projet d’instruction ministérielle, rédigé par la Direction Générale de l’Offre de Soin (DGOS), dont l’AFP s’est procuré une copie. Cette nouvelle précision signifie que la très grande majorité des personnels hospitaliers de l’hexagone ne recevra que 500 euros de prime voire juste une jolie médaille.

Une annonce qui commence à provoquer des remous du côté des personnels qui ont découvert depuis vendredi que leur hôpital n’était pas dans la liste des hôpitaux bénéficiant de la prime exceptionnelle, comme au centre hospitalier de Chollet. Ce mépris gouvernemental envers les personnels hospitaliers est d’autant plus flagrant au regard des actions du gouvernement en faveur du patronat et des grandes entreprises. En effet, il semble plus facile, et rapide, pour le gouvernement de trouver 7 milliards à offrir à Airbus, avec en contrepartie des licenciements ou encore 5 milliards de prêt pour Renault, qui pourrait fermer quatre usines. Les priorités du gouvernement sont on ne peut plus claires, sauver les grandes entreprises face à la crise économique et laisser quelques miettes pour les hospitaliers. Hospitaliers qui ont dès le début de la crise été « au front sans équipements », qui se sont confrontés au virus sans masque ni respirateur et qui ont aussi pour certains, perdu la vie. Il est tout simplement scandaleux que la prime soit encore revue à la baisse et soumise à des conditions sur-conditionnée. Par ailleurs, qu’en est-il des aides à domiciles, des infirmiers et infirmières libérales, des soignants en Ehpad ?

Dans le camp d’en face, ce n’est pas une prime que demandent les personnels hospitaliers mais bien une augmentation de leur salaire. Une revendication à laquelle, confronté à la colère des soignants, le gouvernement cherche à répondre avec son "Ségur de la santé" et l’annonce d’une revalorisation des salaires au niveau de la moyenne européenne, sans plus de précisions. Face à ce gouvernement qui n’a que mépris, matraques et austérité à proposer aux « premières lignes » il est nécessaire de se mettre en mouvement pour réclamer une augmentation des salaires pour les hospitaliers, mais y compris plus largement pour l’ensemble des classes populaires, paupérisées par les conséquences économiques de la crise sanitaire et de la politique criminelle du gouvernement.

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Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Aéronautique : Rolls Royce va supprimer au moins 9000 postes

Alors que le secteur de l’aéronautique voit ses profits chuter avec la crise sanitaire et économique, Rolls-Royce revoit son plan de licenciement à la hausse : 9 000 emplois au minimum seront menacés.

Interdiction des licenciements

Crédit photo : REUTERS / EDGAR SU

Tellement utiles quand il s’agit de faire du profit, les travailleurs restent en temps de crise la classe à sacrifier - toujours au nom du profit. Chez Rolls Royce, après avoir annoncé il y a 10 jours un plan de licenciements qui pourrait atteindre les 8000 suppression d’emploi, on apprend aujourd’hui que ce sera au minimum 9000 postes qui vont être menacé. Un changement d’échelle notable, qui ouvre les portes à un nombre de licenciements plus importants et aux limites imprécises. Un plan de suppression d’emploi, qui, s’il est appliqué au minimum, promet la fermeture de 17 % de la main d’oeuvre totale.

L’arme de la bourgeoisie face à la crise : promettre la misère aux travailleurs

Avec la crise économique qui suit la crise sanitaire et avec le confinement mondialisé, le secteur de l’aéronautique voit ses débouchés se restreindre et la demande s’effondrer pour les prochains mois, voir les prochains années. C’est là dessus que s’appuie Warren East dans un communiqué cité par La Tribune : « Nos clients dans l’aviation et l’aéronautique doivent s’adapter et nous aussi », et ici s’adapter signifie mettre dehors une partie de ses salariés. Une fois de plus, la classe dominante s’offre le moyen d’éviter la crise en la faisant porter aux travailleurs.
C’est toute la logique du capitalisme qu’on voit agir ici, quand un ralentissement de plusieurs mois est insupportable à ces entreprises qui ne produisent que pour un profit immédiat. Entre les injonctions boursières et l’impératif du marché, l’étau se resserre sur les salariés... pour sauver les patrons. 

Dans cette situation, on voit bien que les travailleurs ne sont pour les entreprises que des outils au service du profit, une classe qu’on peut "liquider" quand les patrons doivent s’acheter un peu de temps avant que les affaires reprennent. 
Et pourtant, si ces 9 000 salariés avaient le pouvoir de décider de leur production et de s’approprier les moyens technologiques de leur entreprise, que ce passerait-il ? Interdisons les licenciements et posons la questions de la nature de la production, sous contrôle des travailleurs. Dans un moment où le matériel médical manque cruellement, les usines Rolls-Royce de moteurs d’avions pourraient servir à produire des respirateurs, d’autres matériel médicaux, d’instruments utiles dans la crise sanitaire présente.

Pas d’argent magique ? Et le profit, alors, c’est quoi ?

 

Dans les temps du capitalisme ordinaire, le profit fait toujours du chantage aux besoins des exploités : si on a du fric, on pourra se payer ce qui manque, si on n’en a pas, ce sera la galère pour tout. Et quand le profit ralentit, c’est les besoins des exploités que les patrons sacrifient au nom de ce fameux "argent magique" qui n’est que l’autre nom du profit qu’ils tirent de notre exploitation. Mais dans la situation présente, les besoins sont criants et vitaux : il est temps que l’on décide collectivement que, pour les profiteurs, "magic is gone" ("la magie n’y est plus) et qu’on reprenne la main sur nos outils de travail et sur la production. 

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Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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