SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
La chute du salaire des enseignants

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« Que faire face à l’explosion du prix de l’électricité ? » Billet de Gaëtan Gracia, ouvrier dans l’aéro

Les prix de gros de l'électricité explosent : plus de 1000 euros par MWh d'ici 2023 contre 85 euros il y a un an. Pourtant, le gouvernement annonce la fin du « bouclier tarifaire » pour 2023 présageant des hausses énormes de nos factures d'électricité. Que faire face à ça ?

Inflation

Crédit : PATRICK HERTZOG / AFP

Tout d’abord, il ne faut pas croire le ministre de l’Économie Bruno Le Maire qui promet que les hausses de prix seront « contenues ». Il faut se rappeler que c’est ce même ministre qui nous disait que l’on était au pic de l’inflation et qu’elle ne monterait pas plus haut à chaque fois qu’elle franchissait un palier. Aussi, il ne faut pas croire les médias « mainstream » qui expliquent que les causes de la hausse du prix de l’électricité sont liées à la hausse du prix du gaz et à l’arrêt de nombreux réacteurs nucléaires en France. Si en effet, le prix de l’électricité dépend du prix du gaz, c’est une absurdité qui ne correspond pas à la réalité de la production d’électricité, et augmente artificiellement les prix.

En réalité, c’est aussi le fonctionnement de l’ARENH (Accès régulé à l’énergie nucléaire historique) qui explique une partie de la hausse phénoménale des prix. Charles Carlhant, secrétaire général de la CGT de la centrale nucléaire de Nogent-sur-Seine (Aube) expliquait ce mécanisme pour Révolution Permanente : « cela (L’ARENH) consiste à imposer à l’opérateur public qu’est EDF, la vente à prix coûtant, sans aucune marge, de 25 % de sa production nucléaire aux concurrents privés, les concurrents privés réceptionnent cette électricité qu’ils ne produisent pas, qu’on leur donne, et eux, ils la revendent en faisant des marges à des usagers devenus clients. »

Pour résumer, EDF doit vendre à prix coûtant un partie de son électricité à des concurrents privés qui eux le revendent beaucoup plus cher avec des grosses marges. De plus, EDF distribue aussi d’énormes dividendes à ses actionnaires, 66 milliards d’euros sur les dernières années d’après le responsable syndical. Un montant bien supérieur à l’actuelle estimation de la dette d’EDF qui s’élèverait à 43 milliards d’euros pour la fin 2021.

L’explosion des prix de l’électricité n’est donc pas seulement due au coût de l’énergie, elle s’explique aussi par une situation absurde due à la libéralisation du marché de l’énergie ainsi qu’au versement de dividendes astronomiques totalement déconnecté de la réalité économique de l’entreprise.

Face à l’explosion de prix, se préparer à lutter

C’est dans ce contexte d’explosion des prix que Macron nous parle de « la fin de l’abondance » et nous promet une véritable guerre sociale à la rentrée.

De son coté, la NUPES vient de se fixer la perspective d’un référendum d’initiative partagée (RIP) sur la taxation des superprofits, initiative de Olivier Faure qu’a salué Jean-Luc Mélenchon lors de l’université d’été de La France insoumise. Une revendication qui ne pose pas l’enjeu d’une mobilisation unitaire dans les entreprises et qui se cantonne au cadre institutionnel, dans la continuité de la proposition d’une conférence sur les salaires.

A l’inverse pour nous défendre, il faut dès maintenant se préparer à lutter. Depuis un an, on assiste en France à une épidémie de grèves pour des augmentations de salaires. Seulement ces dernières sont menées de façon désynchronisées, entreprises par entreprises, chacune rythmée en fonction de son propre calendrier des NAO (négociations annuelles obligatoires).

Dans les prochains mois, on va devoir se battre pour essayer de coordonner toutes ces colères qui ne sont pas retombées, et avancer ainsi vers une lutte nationale pour les salaires. C’est le seul moyen pour peser vraiment et obtenir de véritables avancées collectives pour garantir une vie digne aux travailleurs face à l’explosion des prix. Or, pour mener cette lutte commune, il nous faut aussi des mots d’ordre qui valent la peine de se battre ensemble :

  • Une augmentation des salaires de minimum 300 euros comme l’ont revendiqué les grévistes de Roissy
  • L’indexation des salaires sur l’inflation, car aujourd’hui, l’inflation a atteint plus de 6 % et les augmentations de salaires consenties par les entreprises ne dépassent pas 3,5 % en moyenne
  • Le contrôle ouvrier sur les comptes des entreprises, car trop souvent on nous dit des mensonges sur la situation financière d’une entreprise pour nous faire croire qu’il n’y a pas d’argent.
  • La nationalisation sans indemnités ni rachat des grandes entreprises qui profitent de la crise pour s’enrichir, comme c’est notamment le cas pour EDF
  • La mise sous contrôle des ouvriers et de la population de ces entreprises, car ce n’est pas le gouvernement Macron qui va organiser la production en fonction des besoins de la population.

Enfin, pour imposer tout ça, il nous faut un plan de bataille sérieux, qui aille au-delà des journées isolées. Il y a bien une journée interprofessionnelle de mobilisation de prévue le 29 septembre prochain. Une seule date qui ne suffira pas mais dont il faut se saisir pour développer un vrai plan de bataille qui s’appuie sur les grèves qui ont existé pour commencer à coordonner les différents secteurs en vue d’une mobilisation unitaire.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Pour nous annoncer des jours sombres, une nouvelle fois E. Macron joue les provocateurs avec la morgue et le mépris qui deviennent sa marque de fabrique. De quelle abondance parle-t-il ? Des masques et des tenues de protection qui nous manquaient lors de la première vague de l’épidémie de COVID.

Des lits de réanimation qui nous ont fait défaut et qui continuent à être en nombre insuffisant dans les hôpitaux. Des salaires des personnels de santé qui restent toujours indigents malgré le fameux Ségur de la santé. S’agit-il des budgets des hôpitaux passés au rabot depuis des années avec le fameux « trou de la Sécu », sciemment créé pour enchainer les plans d’économies successifs. Ou alors il s’agit des EHPAD avec leur abondance d’agents, notamment chez ORPEA ! Il est aussi possible d’évoquer l’abondance de services d’urgences ouverts 24 h sur 24, 365 jours sur 365 par an.

Il ne faut pas oublier la pléthore de médecins traitants en ville et la profusion des rendez-vous proposés sur Doctolib. Sans compter la multitude de dermatologues ou d’ophtalmologues, notamment dans les Hauts-de-France ou en Seine-Saint-Denis. Et plus globalement le très grand nombre de spécialistes sans dépassement d’honoraires, notamment de chirurgiens dans les cliniques privées. En ce qui concerne l’insouciance, il faut sûrement évoquer celle des soignants travaillant avec des masques en tissu et habillés avec des sacs poubelles pour assurer la protection contre les maladies contagieuses.

Il y a aussi celle de ceux qui viennent aux urgences par plaisir car il y fait chaud, il y a de la lumière la nuit et parfois des informations intéressantes sur les écrans de télé en salle d’attente. Puis, il y a cette désinvolture des directeurs généraux d’ARS qui ferment ici un service, là un hôpital, tout en octroyant des autorisations d’ouverture de cliniques ou d’EHPAD dans le secteur marchand. Nous avons pu constater également ce flegme et cette bonhomie de notre nouveau ministre de la Santé qui est très satisfait de lui en considérant avec le plus grand aplomb que « régulation de l’accès » et « fermeture » sont synonymes.

N’en jetons plus, la cour est pleine. De fait, E. Macron nous fait le même cinéma qu’avec son « il suffit de traverser la rue pour trouver un emploi ». Alors nous lui répondons qu’il veut sûrement évoquer l’abondance et l’insouciance de ses amis. Abondance de dividendes pour les actionnaires d’ORPEA, KORIAN, RAMSAY, ELSAN, etc. qui pillent la Sécurité sociale et échappent à l’impôt en profitant des paradis fiscaux. Insouciance des mêmes vis-à-vis des conditions de travail et des rémunérations des personnels, ainsi que de la qualité du service rendu aux résidents et aux patients.

Une première réponse des personnels de la santé et l’action sociale sera donnée lors de la journée d’action du 22 septembre car ils sont très soucieux de la dégradation de leurs conditions de travail et ils appelleront la population à se joindre à eux pour contrer l’abondance des mesures de casse de notre système de santé et de protection sociale.

Docteur Christophe Prudhomme

Praticien hospitalier -SAMU 93

Publié par EL DIABLO

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Face à la pénurie d'enseignants: la position de la CGT

Le 1er septembre, 12 millions d’élèves feront leur rentrée, et de l’aveu même du ministère de l’Éducation nationale, plus de 4 000 enseignants manquent à l’appel.

 

Certains, à gauche, avaient pourtant tressé des louanges à l'encontre du nouveau ministre de l'éducation nationale adoubé par l'Elysée -de droite- dans sa saison 2. Comme si la droite au pouvoir, et aussi la social-démocratie, faut-il s'en souvenir sous Hollande président, avaient amélioré l'Education nationale.

Pour cette rentrée 2022, malgré les listes complémentaires ouvertes aux derniers concours enseignants. « Il y a aura un professeur devant chaque classe, dans toutes les écoles de France », a pourtant promis le 26 août Pap Ndiaye, le nouveau ministre de tutelle.

"Mais c’est-à-dire des profs non titularisés qui ont suivi trois jours de formation (au lieu d’un stage d’un an pour ceux reçus aux concours enseignants), « avec un statut précaire, des contrats de moins d’un an, des salaires payés en retard parce que les logiciels de paie sont inadaptés à la situation", s'insurge Charlotte Vanbesien, secrétaire générale adjointe de la Ferc, la Fédération de l'éducation, de la recherche et de la culture CGT.

Pour attirer ces contractuels, certaines académies comme Versailles ou Toulouse ont organisé des « job dating », des rencontres professionnelles express « comme si c’était un métier lambda. Dans l’académie de Créteil, où 10% des enseignants sont des contractuels, cela a été un flop : sur les 100 candidats potentiels attendus, seulement 20 se sont présentés », ajoute la FERC-CGT

Des effets d’annonces

Comme pris dans un vent de panique, Emmanuel Macron et son ministre de l’Éducation nationale ont fait des annonces à quelques jours de cette rentrée à haut risque : le 25 août, le président de la République a promis qu’ « aucun enseignant ne débutera sa carrière sous les 2 000 euros net mensuels en 2023 ».
Contre 1 500 euros aujourd’hui, sans les primes, et 1 400 euros pour un enseignant stagiaire. "Il faudrait alors revoir les points d’indice et toute la grille de salaires qui s’est tassée", prévient la porte-parole de la Ferc-CGT.

Depuis 2000, les salaires des enseignants ont baissé de 21% par rapport à l’indice des prix à la consommation. Pas de quoi susciter des vocations!

Le 26 août, pour sa première rentrée scolaire, c’était au tour de Pap Ndiaye d’annoncer qu’un concours exceptionnel de titularisation « d’un certain nombre de contractuels » serait ouvert au printemps 2023.

Cela fait des années que la CGT alerte sur la situation de l’Éducation nationale qui connait aujourd’hui une pénurie structurelle d’enseignants.
La CGT demande de vraies revalorisations salariales pour les enseignants, mais aussi les infirmières scolaires, les accompagnants d'élèves en situation de handicap (AESH) qui sont à temps partiel imposé, le personnel administratif. 

 

Il faut abolir les réformes Blanquer dont l’application a dégradé les conditions de travail des enseignants. Réduire les effectifs en classe, recruter des enseignants et des AESH. Et améliorer le statut des contractuels. Avant, ils voyaient leur contrat interrompu pendant l’été. Cette année, il a été prolongé jusqu’au 31 août et renouvelé à la rentrée. « Et pourquoi pas leur proposer des CDI ? », interroge la Ferc-CGT. 

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

 

SOURCE : Info'Com CGT

Publié par EL DIABLO

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
BILAN des ordonnances Macron : Très fort recul en matière de santé et de sécurité au travail !

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
PLAN SOCIAL EN VUE CHEZ UN SOUS-TRAITANT FERROVIAIRE NORMAND, SELON LA CGT
PS avec AFP
Compin est un fabriquant de sièges de trains, bus, métros, TGV, tramways

Compin est un fabriquant de sièges de trains, bus, métros, TGV, tramways - Jean Ayissi-AFP

Le fabricant de sièges ferroviaires Compin, basé à Evreux, va supprimer la moitié de ses effectifs via 55 licenciements sur 113 salariés.
 

Le fabricant de sièges ferroviaires Compin, basé à Evreux, va supprimer la moitié de ses effectifs via 55 licenciements, a affirmé vendredi la CGT dans un communiqué à l'AFP.

"La direction annonce la mise en place d'un PSE et la moitié de l'effectif sera licenciée. 55 salariés sur 113 seront sur le carreau!", écrit le syndicat pour qui Compin est "un maillon essentiel de l'industrie ferroviaire" en fabriquant "les sièges de trains, bus, métros, TGV, tramways qui transportent les voyageurs en France et dans le monde entier".

L'entreprise, "qui annonce pourtant une augmentation constante de son activité globale dans ses usines européennes, a décidé de fermer la production en France", affirme encore la CGT.

 

Le CSE de l'entreprise, détenue majoritairement par le fonds d'investissement Trainvest, avait été "informé" mardi de ce PSE et de la tenue d'une autre réunion jeudi 1er septembre afin que le CSE soit "consulté", a expliqué le syndicat à l'AFP. Contactée par mail l'entreprise n'a pas donné suite et n'était pas joignable par téléphone.

Délocalisations de la production

L'entreprise, dont le second actionnaire est la Banque publique d'investissement, a déjà subi des suppressions de postes, précise le syndicat: "en 2010, 280 salariés et 120 intérimaires travaillaient pour Compin à Evreux". Le syndicat dénonce l'attitude des donneurs d'ordre.

"Les délocalisations de la production, responsables du déclin de notre site, vers les usines du groupe Compin-Fainsa en Pologne, Espagne, Turquie ont été décidées par la direction et encouragées par les clients ALSTOM et SNCF", pense la CGT.
"Les clients finaux, uniquement des entités publiques (villes, conseils régionaux, Île-de-France-Mobilités, SNCF...) ont-ils conscience que les sièges de leurs moyens de transport ne seront plus réalisés par Compin Evreux ?", interpelle-t-il encore.

Selon un syndicaliste de la CGT qui a préféré rester anonyme "depuis 2017 et le contrat d'équipement des trains Omnéo de la Région Normandie, il n'y a pas eu de nouveaux contrats". "Nous souffrons aussi d'un manque d'activité localement. Même si on vivait avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête, nous sommes choqués", a-t-il ajouté.*

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Unilever Hongrie va mettre fin à la production de son usine du sud de la Hongrie

L’unité locale du géant des produits de grande consommation Unilever va arrêter la production dans son usine de Röszke (Hongrie du Sud), licenciant 80% des 190 travailleurs, a annoncé Unilever vendredi. Le nouveau propriétaire de l’usine, Mezőker, reprendra 20% des travailleurs. La société hongroise Mezőker est le fournisseur d’Unilever depuis près de 30 ans.

Unilever externalisera la production de près d’un tiers des produits actuellement fabriqués dans l’usine à Mezőker et transférera les deux tiers restants vers ses propres usines en Roumanie et en Allemagne et vers un partenaire européen de fabrication sous contrat. Unilever a déclaré qu’il devait s’adapter à l’évolution des besoins des consommateurs et des conditions du marché et concentrer la production dans ses plus grandes usines. Il a ajouté que les possibilités d’expansion de l’usine de Röszke seraient limitées.

Unilever possède également une usine de crème glacée à Veszprém (ouest de la Hongrie) et une usine de produits chimiques ménagers à Nyírbátor (nord-est de la Hongrie). Elle a investi 65 millions d’euros dans ces deux usines au cours des dernières années et prévoit de nouveaux investissements de 35 millions d’euros dans un avenir proche. Unilever Hongrie a réalisé un chiffre d’affaires de 99,5 milliards de forints (24,9 millions d’euros) en 2021.

 

Publié par lesoleildedebrecen

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Après les scandaleuux propos d'un ex-gérant d'une banque d'affaires réélu à l'Elysée

Le même jour où le président de notre mauvaise république, qui n'est ni sociale ni démocratique, parlait de fin d'abondance et d'insouciance, le journal patronal Les Echos titrait : "Exclusif. La distribution de dividendes atteint un record en France et dans le monde."

 

Oui, dans le pays où l'impôt sur les grandes fortunes n'existe plus, ou des milliards d'argent public sont offerts au patronat sans aucune contrepartie, quand l'inflation galope, que la précarité et le chômage ne comptent pas pour rien et que les mots salaire et conditions de travail n'ont pas été prononcés par Emmanuel Macron!

Dès lors, mieux qu'une longue tribune pour exprimer ma colère:

Après les scandaleuux propos d'un ex-gérant d'une banque d'affaires réélu à l'Elysée

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
CHERS TOUS, VOUS L’AVEZ ÉCOUTÉ, LE GRAND FADA ? « FIN DE L’ABONDANCE, BASCULE DANS LES SACRIFICES … » L’A PRIS UN COUP DE SOLEIL SUR LE CABOCHON AU FORT DE BRÉGAN-ÇON, LE MACRON ? C’EST POURTANT SES MOTS AU CONSEIL DES MINISTRES, LE 24 AOÛT. EN DIRECT SUR BFM  !

Publié par Info'Com-CGT

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
CONTRE LA PRIVATISATION DES FORÊTS

Publié par Info'Com-CGT

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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