Publié par FSC
Syndicat CGT Unilever HPCI France
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Cela devrait interroger
dans les citées
et zones pavillonaires
Pourquoi sont-ce les exilés fiscaux, premier capteurs et par pompages intensifs s'assurant détournement de ce ruissellement si cher à son principal défenseur politique, qui sont en première ligne pour défendre le prélèvement à la source des impôts ?
Un peu comme si les responsables de la fonte des pôles éditaient une théorie pour justifier de brancher l'eau du sahel pour alimenter leur piscine. c'est d'ailleurs ce qu'il font.
SOURCE : Le Républicain Lorrain
« La gare est à nous ! Rien n’est à eux ! » Le slogan, scandé par Jacques Maréchal, secrétaire départemental du Parti communiste français, au moment de pénétrer dans le hall de la gare, résume le ton du rassemblement initié hier par la CGT cheminots et le PCF, à Hayange. Il y a de la défiance dans l’air.
L’objet de cette mobilisation : la disparition de l’accueil humain au guichet. En clair, fini les renseignements donnés de vive voix. Il faudra désormais se familiariser avec un guichet automatique. L’employée, partie à la retraite, ne sera pas remplacée.
« On a vu ce que ça a donné à Sierck, déplore Christophe Achoub, secrétaire général CGT cheminots Thionville. Sans personnel, les anciens sont perdus. Plus moyen d’avoir un conseil, un renseignement. Sauf que l’usager, lui, paye cher son billet. Pour un service qui se dégrade. »
Même constat amer chez Serge Jurczak, le maire de Serémange-Erzange, sur place aux côtés d’autres maire communistes de la vallée de la Fensch : « A terme, on redoute une fermeture, avec tous les usagers renvoyés sur Uckange… »
Des craintes que ne partage pas le maire de Hayange : « La gare n’est pas menacée, martèle-t-il. La direction de la SNCF s’y est engagée. Après, seules treize personnes par jour prennent le train à Hayange. On va faire de la pub parce que je pense que beaucoup ignorent que la gare est encore ouverte. »
J. M.
Publié par FSC
En 2017, la CGT avait mis à jour de fausses offres d’emploi diffusées en toute transparence par... Pôle emploi ! Forte du succès médiatique rencontré l’an dernier dans sa dénonciation de la tartufferie de l’agence nationale pour l’emploi, la CGT a décidé de remettre les plats cette année. Du 30 au 31 août, des militants aguerris vont analyser quelque 1 000 offres d’emploi diffusées sur le site de Pôle emploi, à la recherche de toute anomalie qui rendrait ces offres... illégales.
Selon la CGT, une offre sur deux est illégale : « Pôle emploi, qui souhaite renforcer les sanctions en cas de refus d’offre d’emploi “raisonnable” diffuse des offres non réelles, illégales, et non-conformes au contrat de travail », dénonce la CGT. Qui s’élève contre les discours stigmatisant, assimilant les privés d’emploi à des « paresseux », des « profiteurs » et des « assistés ».
Comme le rappelle la CGT, les manquements à la réglementation de la diffusion d’offre d’emplois sont de plusieurs types :
-l’offre n’existe pas ;
-le type de contrat n’est pas conforme à la réalité ;
-la durée de contrat n’est pas indiqué ;
-aucun planning hebdomadaire pour les temps partiels…
La CGT exige de Pôle emploi de remettre en place un contrôle systématique de chaque offre, avant diffusion, par un agent public formé à cette tâche. Car l’algorithme de vérification des offres, pour le moins, ne fonctionne pas comme il le devrait.
Le 31 août 2018
SOURCE :
Dans un rapport publié lundi 22 janvier 2018, OXFAM nous révèle que 50% de la population mondiale n’a pas touché le moindre bénéfice de la croissance mondiale l’an dernier, alors que la richesse des 1% les plus riches a augmenté de 762 milliards de dollars.
762 milliards de dollars, sept fois le montant qui permettrait d’éradiquer la pauvreté
Le rapport d’OXFAM paru ce lundi 22 janvier a pourtant un titre prometteur, « Partager la richesse avec celles et ceux qui la créent ». Au vu de l’ampleur des inégalités présentées dans le document, le chemin paraît bien long, alors que les ressources sont largement suffisantes. En effet, 762 milliards de dollars, c’est sept fois le montant qui permettrait d’éradiquer la pauvreté extrême dans le monde !
[…]
LA SUITE EN LIEN CI-DESSOUS :
Depuis l'université d'été du NPA, Gaël Quirante, secrétaire de Sud Poste 92, fait le point sur la grève historique de 150 postiers des Hauts-de-Seine, exigeant depuis plus de 5 mois sa réintégration et l'arrêt des restructurations à la Poste. Il esquisse également un tableau des nombreux cas de répression antisyndicale à l'oeuvre dernièrement, et des perspectives pour une rentrée lutte de classe.
Pour soutenir les postiers en grève :
fête des 160 jours de grève ce samedi 1er septembre à 19h30 au square Tino Rossi, 2 quai Saint Bernard, Paris 5e (métro Austerlitz ou Jussieu)
caisse de grève en ligne
page Facebook du comité de soutien
commander le calendrier 2019 des postiers en grève :
Publié par REVOLUTION PERMANENTE
Le 12 août 1946, il y a 72 ans, (en moins de 6 mois dans un pays ruiné) la Sécurité Sociale était mise en place . tout allait changer dans le sens de la dignité pour des millions de francais...
Merci le Conseil National de la Résistance !
Bâtie sous la maitrise d'oeuvre Ambroise Croizat, elle visait « à en finir » comme le soulignait le ministre du travail « avec le rejet, l’exclusion, l’impossibilité d’accéder aux soins et surtout, disait-il en des termes très novateurs, en finir avec la souffrance et les angoisses du lendemain ».Un peu partout, elle s’organisa à l’aide de bénévoles des entreprises essentiellement des militants CGT hors leur temps de travail ou sur leurs congés. Deux tiers des français n’étaient alors couverts par aucune assurance sociale. La plupart, vivaient à l’heure de la charité ou de quelques petites mutuelles dont les caisses étaient épuisées à la moindre épidémie de grippe. La sécurité sociale donna à tous les salariés la possibilité d’accéder à l’hôpital, au médecin ou à la pharmacie sans débourser un centime dans la plupart des cas. «C’était une véritable révolution, raconte un ouvrier. Avant, on ne se soignait pas. On laissait la maladie nous affaiblir ou nous emporter ! ». « Je me souviens, surenchérit un paysan, qu’avant la fameuse « Sécu », l’intervention chirurgicale était une terreur. On n’y pensait même pas. Pour les familles, il fallait parfois vendre deux vaches, la moitié de son cheptel pour se faire opérer. »
Autre grande conquête toujours proclamée sous les auspices d’Ambroise Croizat le 12 août : la retraite. 82 % des français ne bénéficiaient d’aucune allocation vieillesse. « Il fallait alors travailler jusqu’à 70 ans ou plus, glisse un ancien, pour espérer une petite obole donnée par les municipalités. Alors, on se tuait au travail jusqu’au bout! Mon père d’ailleurs y est mort, à l’usine !» Tout change avec l’institution de ce qui fut appelée « celle qui vous doublait la vie ». On comprend le sens de cette appellation quand on se souvient que la vieillesse fut dès lors envisagée non plus comme une « antichambre de la mort » mais au contraire, dira encore Ambroise Croizat, « comme une nouvelle étape de la vie ».
Parmi les grandes conquêtes du CNR fut aussi proclamée par la loi Croizat, la généralisation des comités d’entreprises qui offrirent aux enfants d’ouvriers le droit à la lecture, aux vacances et aux bourses scolaires qui permirent à beaucoup d’envisager des carrières impensables pour des familles des cités. On vit naître également, peu de gens le savent, le CNRS, outil de recherche de premier plan qui, avec les nationalisations des banques, des mines et de l’énergie, ainsi que la mise en place de la fonction publique et de la médecine du travail furent les pierres angulaires de ce renouveau social aujourd’hui menacé.
Michel Etiévent
SOURCE:
https://www.facebook.com/michel.etievent
Publié par EL DIABLO
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Se syndiquer CGT ?
Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.
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