SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Retraite aux flambeaux à Compiègne
Jeudi 16 mars devant l'UTC Centre Benjamin Franklin à 18h.
 
Soyons nombreux
Retraite aux flambeaux à Compiègne

Publié par CGT COMPIEGNE FACEBOOK

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
La République des patrons : trois ministres, douze députés et six sénateurs actionnaires de Total

Mediapart a révélé que nombreux responsables politiques, du RN au Parti socialiste, ainsi que plusieurs ministres détiennent des actions chez Total. Un nouvel exemple d’une classe politique et d’un gouvernement qui flirtent de très près avec le pire de la bourgeoisie française.

Indécence

© AFP

Ce lundi 13 mars, après avoir épluché les déclarations de patrimoines de nombreux responsables politiques, Mediapart a révélé que « plus d’une vingtaine de responsables publics détiennent des actions du géant pétrolier français ». Parmi eux six sénateurs, ainsi que douze députés, dont des élus de la Macronie, des Républicains, du Rassemblement National ou encore du Parti socialiste. Mais aussi trois ministres : Pap Ndiaye, ministre de l’Éducation nationale et de la jeunesse, Amélie Oudéa-Castéra, ministre des Sports, et Agnès Firmin Le Bodo, ministre déléguée auprès du ministre de la Santé.

Du Rassemblement national au Parti socialiste, cette (nouvelle) « révélation » témoigne (une fois de plus) des liens très forts qui existent entre la caste politique et la grande bourgeoisie française. De quoi nous rappeler que dans un Etat capitaliste, la corruption, même légale est là à tous les étages. Comment, en effet, ne pourrait-il pas y avoir de conflit d’intérêt permanent, de conflit de classe, quand ceux qui gouvernent pour les profits de Total, historiques cette année (inflation oblige), essayent de nous faire croire qu’ils veulent résoudre la crise climatique et sauver le « pouvoir d’achat » des plus précaires ?

De quoi éclairer aussi sous une autre lumière, la partition de l’Etat aux côtés des patrons, pour casser les grèves et les luttes des salariés. On se rappelle alors que quand les raffineurs étaient en grève il y a 6 mois pour exiger des augmentations de salaires, l’Etat n’avait pas manqué d’appeler à la réquisition des grévistes pour mettre fin au blocage économique provoqué par la pénurie de carburant. Pour cause, au-delà de « servir leurs copains », les politiciens bourgeois se servent grassement au passage.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
La mobilisation paie : Derichebourg stoppe sa « collecte d’urgence » face aux menaces de blocage

Suite aux menaces de blocage des éboueurs et égoutiers de la ville de Paris, l’entreprise Derichebourg a annoncé arrêter sa « collecte sanitaire d’urgence » entamée à la demande de la mairie de Paris face à la grève reconductible des éboueurs.

Grève

C’est une démonstration de force que rapporte l’AFP. L’entreprise privée Derichebourg avait été mandatée par la ville de Paris pour collecter une partie des déchets accumulés suite à la grève reconductible entamée par les éboueurs de Paris à partir du 5 mars. Mais suite à des menaces de blocages de la part des éboueurs de la ville de Paris, l’entreprise a choisie d’arrêter sa collecte qui n’avait pour autre objectif que de casser la grève des éboueurs.

Les éboueurs « ont menacé de bloquer les entrées et sorties de notre site de Charenton si nous poursuivions la collecte sanitaire, pourtant légale et contractuelle » explique Thomas Derichebourg, président de Derichebourg Environnement, à l’AFP.

Une démonstration que la lutte paie alors que la grève des éboueurs est reconduite depuis le 5 mars et ne cesse de faire parler à mesure que les déchets s’accumulent dans les rues de Paris. Face à cette démonstration de force des grévistes, le gouvernement qui craint la contagion de ce type de grève reconductible offensive ne cesse de s’attaquer aux éboueurs et cherche à casser leur grève.

Après avoir cherché à décrédibiliser les grévistes dans les médias, le gouvernement a passé un cap en menaçant les grévistes de réquisitions ce mardi. Une offensive face à laquelle les éboueurs et égoutiers sont prêts à riposter. Il faut être à leurs côtés !

Pour cela, apportons notre soutien aux éboueurs et égoutiers mais surtout suivons leur exemple en élargissant la grève reconductible !

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Au rond-point du Buissonnet, sur la route nationale 31, en périphérie de Compiègne (Oise). Un rond-point surgissant au milieu de nulle part, en sortie de forêt, une zone ni commerciale, ni industrielle, ni résidentielle, mais remplie de poids lourds, et, depuis midi, de manifestants contre la réforme des retraites. Depuis quelques semaines, la mobilisation reprend le chemin des ronds-points, un peu partout en France, avec le souvenir pas si lointain qu’ils avaient (très bien) fait tourner le mouvement des gilets jaunes. Josyane, 77 ans, est venue en manif en famille, avec sa fille et son fils. Ancienne syndiquée à la CGT, quand elle travaillait dans l’usine Unilever du coin, elle a connu la retraite à 60 ans. Un luxe quand elle se retourne, gommé par la maladie. Elle est de tous les rassemblements des environs, «les petits, les grands», et parle de mépris quand on la confronte au silence de Macron. «De toute façon, quoiqu’il se passe, je continuerai jusqu’au bout.» Quel bout ? Josyane ne sait trop dire. De notre journaliste Romain Boulho.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Cet article est reposté depuis coco Magnanville.

Publié par caroleone

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

REPRIS de Commun Commune

 

 

 

 

 

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
La régression sociale ne se négocie pas, elle se combat !

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Vendredi 10 mars 2023, après discussion avec la direction, nous avons trouvé un accord ce midi.

Le week-end du 18/19 mars 2023, ne sera pas travaillé, la direction ne prendra pas de congés payés aux salariés.

Les salariés devront par la suite faire 3 jours en semaine pour récupérer ce week-end du 18/19 mars 2023.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

RAPPEL : BFM est la propriété de l'oligarque Drahi, celui qui par ailleurs utilise intensément les jets privés pour ses déplacements.

Mais bien sûr la rédaction de BFM (ses salariés) n'y voit pas d'atteinte à l'environnement !

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ça y est leur dispositif est en place (Toussaint en première ligne) pour tenter de discréditer le mouvement passant en ligne les désagréments des actions pour la population (annulations de trains, coupures de courants, poubelles qui s'entassent dans les villes, IRM en panne

 

Voilà les images qu'ils diffusent :

là c'est le maire de droite de Charleville-Mézières

qui monte au créneau contre le mouvement

 

Ils ont également tenté d'exploiter la coupure de courant dans l'EPHAD Sain-Léoanard du PAS-de-Calais.

Tout en étant obligés de prendre en compte la démarche de la CGT énergie de la Région très bien accueillie à la fois par les résidents et le directeur :

 

En un mot la guerre de l'information est lancée dans la phase cruciale das laquelle nous entrons où les phrases douceureuses sur l'esprit de responsabilité des syndicats et le déroulement sans gros incidents des manifestations cède la place à l'artillerie médiatique des médias des oligarques en particulier!

Avec leurs chiens de garde qui aboient !

Publié par FSC

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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