SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
DEPUIS 20 ANS LA PRECARITE EST SOUTENUE PAR LES GOUVERNEMENTS SUCCESSIFS

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Les demandeurs d’emploi en catégorie A (demandeurs d’emploi sans emploi) sont 3 483 200 inscrits à Pôle Emploi en Juin 2017 soit 0.3 % de moins qu’au mois de Mai. Les inscrits en catégorie B et C (demandeurs d’emploi ayant travaillé une partie du mois) sont 2 079 400 inscrits à Pôle Emploi soit 0.6 % de plus qu’il y a un mois. Pour les inscrits en catégorie D qui regroupe principalement les personnes en formation nous pouvons enregistrer une baisse de 1.2 %, soit 3500 demandeurs d’emploi en moins. La catégorie E qui concerne en grande partie les personnes en contrat d’insertion est en hausse de 1.3 %, soit une augmentation de 5400 demandeurs d’emploi. Au total c’est 3900 demandeurs d’emploi en plus pour le premier mois de la coalition Macron Philippe soit 6 281 200 demandeurs d’emploi, toutes catégories confondues.

Toutes les politiques, qui se succèdent depuis vingt ans, vont dans le même sens : baisser le coût du travail en privilégiant la précarité. C’est ainsi qu’en Juin 1997, il y avait 829 570 demandeurs d’emploi en catégorie B+C, pour passer à 986 020 en Juin 2002, puis 1 109 910 en Juin 2007, puis 1 488 960 en Juin 2012, pour être à ce chiffre honteux de 2 079 400 salariés en sous-emploi en Juin 2017. Les conditions de vie de ces salariés sont catastrophiques, ils doivent justifier de leur précarité à tout moment pour tenter de trouver de quoi boucler les fins de mois. Pour eux, les vacances n’existent pas, l’accès au logement est des plus compliqué, les emprunts sont prohibés, la santé passe après…

Le gouvernement en place devrait inverser la tendance, hors il n’en est rien, toutes les mesures, qu’il prend, vont dans le sens de plus de misère, avec deux buts, celui de faire baisser artificiellement le nombre d’inscrits en catégorie A pour une politique de « faux-semblant » et celui de faire grossir réellement les capitaux des plus privilégiés.

La CGT n’est pas dupe, elle agira avec force afin de faire du 12 septembre une journée de mobilisations et de luttes importantes dont le but consiste à dire au gouvernement qu’il faut changer de cap au plus vite.

Montreuil

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La forêt tropicale de Sumatra en Indonésie est largement sacrifiée. Une étude récente accuse les grandes firmes telles que Unilever ou Nestlé de déforestation.

 
Unilever et Nestlé accusés de déforestation en Indonésie

Une étude de Rainforest Action Network accuse les géants de l’agroalimentaire de déforestation. Des milliers d’hectares sont coupés en Indonésie pour produire de l’huile de palme.

Déforestation et huile de palme

Pour faire produire de l’huile de palme, ce sont des pans entiers de la forêt de Sumatra en Indonésie qui disparaissent chaque année. Une récente étude menée par Rainforest Action Network (RAN) accuse les firmes internationales Unilever et Nestlé de prendre part à ce désastre écologique. McDonald’s, Mars, Kellogg’s et Procter & Gamble sont également pointés du doigt.

Les conséquences sur l’écosystème sont immenses. Outre les espèces d’arbres sacrifiées, la faune souffre aussi. En effet, la forêt tropicale de Sumatra abrite des éléphants, des orangs-outans, des rhinocéros, des tigres. Autant d’espèces qui cohabitaient à merveille dans cette région du monde.

deforestation indonésie

Déforestation de la forêt tropicale en Indonésie © Rich Carey

Qu’en est-il des engagements “zéro déforestation” ?

Pourquoi ces pratiques perdurent alors que de nombreuses grandes firmes ont signé des engagements “zéro déforestation” ? La traçabilité des pratiques d’importation de l’huile de palme est parfois rendue difficile car les groupes font appels à des producteurs locaux pour obtenir cette huile. 

“Les marques et les commerçants ont tendance à se cacher derrière la complexité de la chaîne d’approvisionnement“, a déclaré Gemma Tillack, directrice des campagnes agroalimentaires de RAN avant d’ajouter, “mais les consommateurs doivent savoir si oui ou non l’huile de palme qu’ils utilisent est liée à la destruction des forêts tropicales“.

Rédigé par Maylis Choné

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STOPPER MACRON
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Communiqué de l'Union des Etudiants de France !

Alors que le gouvernement envisage la baisse des Aides Personnelles au Logement et ce dès la rentrée prochaine, l’UNEF rappelle que ces aides sont indispensables aux étudiant∙e∙s dans l’acquisition du logement autonome, et que toute baisse de celles-ci constituerait une attaque grave.

La baisse des APL : une mesure qui toucherait 800 000 étudiant∙e∙s

Ce Jeudi 20 juillet 2017, Gérald Darmanin, Ministre des comptes publics, auditionné lors du débat d’orientation budgétaire 2018 de l’Assemblée Nationale, a annoncé la volonté du gouvernement de réduire les dépenses publiques et en particulier les aides personnalisées au logement (APL). Matignon a par la suite confirmé que les APL seraient baissées de 5 euros par mois à partir d’octobre prochain. 40% des alocataires de cette aide sont les étudiant∙e∙s, qui sont 800 000 à en bénéficier pour un montant moyen de 225 euros par allocataire, ils seraient donc les principales victimes de cette mesure.

Les APL : une aide indispensable pour l’accès au logement

L’accès au logement autonome est indispensable afin de permettre l’accès à l’autonomie, à la filière de son choix, mais également la réussite au sein de l’enseignement supérieur. Pourtant de nombreux obstacles empêchent l’accès au logement autonome, en premier lieu le coût des loyers.

Représentant près de 54% des dépenses mensuelles, le loyer pèse lourdement sur le budget des étudiant-e-s et pénalise les plus précaires. Alors que les tarifs de loyer sont en constante augmentation d’année en année et que la mise en place de l’encadrement des loyers est retardée dans les principales villes universitaires, les étudiant-e-s ont plus que jamais besoin d’aides publiques importantes pour réussir à se loger.

Permettant de couvrir jusqu’à la moitié des dépenses de logement, les APL sont donc indispensables pour garantir un droit au logement au plus grand nombre. Ces 20 milliards de dépenses publiques que constituent les APL sont donc un investissement favorisant ainsi la réussite universitaire et l’autonomie des jeunes.

Alors que la moitié des étudiant-e-s se salarient d’ores et déjà pour financer leurs études, une baisse des APL signifierait une dégradation des conditions de vie et une attaque contre la réussite à l’université.

L’UNEF appelle le gouvernement à reculer sur sa volonté de baisse des APL, et exige des mesures fortes en faveur des étudiant∙e∙s.

L’UNEF appelle donc le gouvernement à reculer sur cette mesure. Au contraire les étudiant∙e∙s attendent des gestes forts leur permettant l’accès au logement de toutes et tous.

L’UNEF revendique donc :

-L’augmentation de 20% des APL

-La mise en place de l’encadrement des loyers dans toutes les villes universitaires

-La construction de logements CROUS.

L’UNEF appelle enfin tous les jeunes à signer massivement la pétition pour démontrer leur volonté de voir les APL sauvegardées.

Décidémment plus que jamais à cette heure des contre-réformes généralisées :

 

PAR FSC

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A écouter jusqu'au bout... Le 19 juillet  2017 à l'Assemblée Nationale, la députée Caroline FIAT (France insoumise) alerte sur les conditions de travail dégradées des personnels de santé, et interpelle la ministre de la santé.

PAR EL DIABLO

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http://clipartix.com/wp-content/uploads/2016/08/Questions-question-mark-clip-art-to-download-dbclipart-3.jpeg

Ci-dessous les questions de la CGT pour le prochain CE/DP :

Questions CE :

- Point volume shampoing. Résultat usine, volume HAIR/SHAMPOING, Coûts usine, l’objectif est-il atteint ? Etat pour oral/hair sur les fins de plan des lignes.

- Pourquoi avons-nous toujours autant de retard pour recevoir les habillages et les matières premières ?

- Ressenti de M. Odru après sa participation au changement de produit sur la remplisseuse de la ligne F le we du 15 juillet

- Demande d’une prime de 150 euros pour les salariés WE qui vont venir travailler en semaine (perte de prime de nuit, organisation ....)

- Retour sur visite et audit de début juillet

- Résultat du chronométrage transit

- transit : où en est-on sur l'étiqueteuse et quelle sera l’organisation une fois que celle-ci sera installée ?

- Point sur les embauches

- Point de la direction concernant le courrier d’une « mise en demeure » de la DIRECCTE ?

 Questions DP :

- Vacances : est-ce qu’il y avait un intérêt sur le shampoing de modifier les vacances d’été des salariés

- Ou en est-on sur la création du poste expert technique au process dentaire ? Est-ce toujours d’actualité ?

- Peut-on avoir en libre-service un distributeur de pansement ?

- Quel sera la fonction et tache du futur électricien ?

- Peut-on faire quelques choses pour les caddies du process dentaire qui ne roule pas

 - Comment peut-on faire le plan mensuel avec un manque de matière première en weekend et en semaine ?

 - Comment le process dentaire peut travailler correctement avec un seul silo de silice abrasive pour les deux clusters ?

 

Ci-dessous l'ordre du jour :

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Il est des proverbes qui sont à écouter avec soin. Celui qui dit que l’on ne prête qu’aux riches en fait partie.

Surtout en Macronie.

Riches citoyens, dormez tranquilles ! Alors que l’Observatoire des conjonctures économiques (OCDE) a calculé que 46% des baisses d’impôts profiteraient aux 10% des français les plus riches, les annonces faites par le ministre Darmanin lors du débat d’orientation des finances publiques abondent en ce sens. 

Alors,non la lutte contre la fraude fiscale ne fait décidément pas partie des objectifs de ce gouvernement.
Ces ambitieux envisagent ni plus ni moins pour ces prochains mois, d’orienter "l’action réformatrice" (entendez la recherche d’économies substantielles), vers le logement social, la formation professionnelle et les interventions sociales. 

Emmanuel 1er semble faire sienne la déclaration de Warren Buffet, 3ème homme le plus riche du monde (oui oui du monde !) : "Il y a une lutte des classes, évidemment, mais c’est ma classe, la classe des riches qui mène la lutte. Et nous sommes en train de gagner."

à moins que....

PAR CGTFINANCES

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Le 18 juillet 2017 à l'Assemblée nationale était examiné le règlement des comptes pour l'année 2016. À cette occasion, Jean-Luc Mélenchon a débattu de la dette et de la réduction du déficit public. Il a répondu aux interpellations de Charles de Courson (Les Constructifs) et Éric Alauzet (En Marche).

PAR EL DIABLO

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Le 13 juillet 2017, l’Assemblée nationale a voté le démantèlement du Code du travail

Le 13 juillet, l’Assemblée nationale a voté le « projet de loi d’habilitation à prendre par ordonnances les mesures pour le renforcement du dialogue social », autrement dit le démantèlement du Code du travail.

 

Que contient ce projet de loi ?

 

L’article 1er du projet de loi remet en cause le principe de faveur (principe selon lequel un accord d’entreprise ne peut être inférieur aux conventions collectives et aux accords de branche, ces derniers ne pouvant être inférieurs au Code du travail). Avec les ordonnances, l’accord d’entreprise pourrait être moins favorable pour les salariés que la convention collective, l’accord de branche ou le Code du travail.

 

L’article 2 instaure la fusion des instances représentatives du personnel et réduit le nombre d’élus du personnel. En limitant le nombre de mandats successifs d’un élu, les ordonnances s’ingèrent dans la désignation par le syndicat de ses candidats aux élections professionnelles et fragilise la position des élus du personnel.

 

L’article 3 vise clairement à faciliter les licenciements par l’adaptation des règles de procédure, la réduction des délais de recours, le plafonnement des dommages et intérêts, etc. Il vise aussi à faciliter le recours au travail précaire.

 

Parmi les contre-réformes du gouvernement Macron-Philippe, il faut souligner la suppression, dès 2018, des cotisations sala- riales et patronales au titre de l’assurance maladie et de l’assurance chômage (lire ci-dessous).

 

Face à une attaque d’une telle ampleur, il n’y a qu’une réponse possible :

l’unité des travailleurs et des organisations pour la bloquer !

A bas les ordonnances !
Non à la primauté de l’accord d’entreprise !
Retrait des projets du gouvernement contre la Sécurité sociale !

 

Le 18 juillet 2017

Parti Ouvrier Indépendant Démocratique

 

« (…) La réforme de l’impôt sur la fortune et la réforme du prélèvement forfaitaire unique des revenus de l’épargne, pour arriver à un taux de 30 %, seront mises en place, elles aussi, dès 2018, ce qui est un élément d’attractivité très fort.

Nous commencerons, dès 2018, la baisse de l’impôt sur les sociétés. Et nous basculerons la même année les cotisations sociales, salariales et patronales, maladie et chômage, vers la CSG afin de mieux rémunérer le travail.

Le sens de cette stratégie est de favoriser le travail, l’innovation, les transitions. »

Des milliards pour les patrons… et la liquidation de la Sécurité sociale de 1945 fondée sur le salaire différé et la solidarité ouvrière, dès 2018 : voilà réaffirmé le programme de guerre de Macron contre la classe ouvrière.

 

Le texte en PDF (lien ci-dessous):

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Avec son plan d’économies, c’est la recette du groupe pour maintenir son cours élevé après le rejet d’une OPA.

AGROALIMENTAIRE Cinq mois après avoir repoussé l’assaut de Kraft Heinz, Unilever repart de l’avant. Le géant anglo-néerlandais de la grande consommation (Knorr, Magnum, Dove, Persil), qui avait réagi à ce projet d’OPA en présentant début avril un nouveau plan de bataille, en recueille les premiers fruits.

Dans un «environnement commercial restant volatil », ses profits ont augmenté de 22,4% au premier semestre, tandis que son chiffre d’affaires a crû de 5,5 %. Sa marge s’est améliorée, à 17,8%, « reflétant un déploiement plus rapide des économies et un échelonnage des investissements», et se rapproche de celle du groupe Reckitt Benckiser. Un soulagement pour son PDG, Paul Polman, qui a fermement rejeté les avances de Kraft Heinz. Ce dernier s’est félicité de la « validité à long terme du modèle de croissance » d’Unilever. Depuis février, le cours du titre a gagné 25 %. Un moyen de dissuader les éventuels prédateurs.

Nouvelles menaces

Sous pression, le groupe avait revu à la hausse, de 4 à 6 milliards d’euros, au printemps, les économies à réaliser, tout en maintenant son objectif de croissance annuelle entre 3 à 5 %. « Nous sommes en bonne voie pour atteindre nos objectifs à 2020 », a déclaré Paul Polman. Tous les départements ont été passés au régime sec. Les dépenses publicitaires ont été coupées. Même les frais de déplacements des salariés du groupe ont été revus à la baisse (-24 % par billet d’avion en moyenne).

Parallèlement, Unilever a augmenté ses prix de 3 %, contribuant à doper sa croissance. « Le seul point négatif est que 100 % de la croissance vient des prix, tandis que les volumes ont stagné», indiquent les analystes de Bernstein Research. L’activité de produits d’entretien a ainsi enregistré sa plus faible croissance en sept ans.

Sur la feuille de route d’Unilever figure la cession de ses activités de margarines. «La préparation à la sortie des margarines via une vente ou une scission est bien en route », a confirmé le groupe. Il a aussi prévu de regrouper ses activités alimentaires (Amora, Knorr, Maille) et ses boissons et crèmes glacées (Ben & Jerry’s, Carte d’Or, Lipton, Magnum) dans une seule division, avec l’objectif qu’elle atteigne 20 % de marge en 2020 (contre 16,4% l’an passé) grâce à une optimisation des coûts.

En s’imposant un tel régime minceur, Unilever entend être plus offensif. Cela lui permettra de continuer à procéder à des acquisitions après avoir été actif au premier semestre. Il souhaite aussi accélérer en matière d’innovation en les déployant plus vite et en répondant mieux aux attentes locales.

Comme Unilever, l’ensemble des poids lourds de la grande consommation sont désormais confrontés à des menaces d’un genre nouveau. Des prédateurs, à l’image de Kraft Heinz et de son actionnaire 3G, qui font la chasse aux coûts et contraignent les groupes à une revue stratégique, sont apparus dans le paysage. De même, l’offensive d’actionnaires activistes, à l’image de celle de Nelson Peltz chez Procter&Gamble, menace les états-majors des groupes. Une nouvelle ère pour le secteur.

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Alors que le gouvernement s’apprête, conformément aux engagements du président Macron au cours de sa campagne, à augmenter la CSG, pour tous, actifs comme retraités et compenser cette augmentation -un peu- pour les seuls actifs, en diminuant leurs cotisations sociales ( le salaire différé), pour "redonner du pouvoir d’achat" (sic), un petit rappel sur les raisons, les causes et le fonctionnement de cette CSG s’impose.
C’est ce que fait la CGT en publiant un "4 pages" sur l’historique de cette mesure

Il est utile de rappeler que la mise en place de la contribution sociale généralisée (CSG), mesure impopulaire, a été adoptée elle aussi au 49.3 (la motion de censure, qui a recueillie 284 voix, soit cinq voix de moins que la majorité absolue, a été rejetée).

La CSG est une contribution sociale créée en 1990 pour « diversifier », mais aussi pour fiscaliser (passer de la cotisation à l’impôt), les sources de financement de la Sécurité sociale. De même, la contribution pour le remboursement de la dette sociale (CRDS) est de fait un impôt créé en 1996 pour combler les déficits de la Sécurité sociale.

Ces deux contributions sont prélevées directement sur les revenus du travail et du patrimoine des particuliers.

CSG : 27 ans déjà
 
PAR CGTFINANCES

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La LOI TRAVAIL; c'est toujours NON ! Faites-vous entendre le 12 SEPTEMBRE !
PAR EL DIABLO

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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