SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Malgré les menaces et les intimidations proférées par le géant du e-commerce Amazon, dix caristes ont saisi la justice pour faire reconnaître leurs droits et leurs statuts. Depuis son installation en France en 2013, Amazon sous-qualifie et sous-paye ses caristes. Dix d'entre eux intentent donc une action en justice pour faire appliquer la convention collective nationale du commerce du détail non alimentaire (CDNA) et faire en sorte qu'ils soient reconnus au niveau 5, alors qu'ils ne sont pour le moment qu'au niveau 2.

Cette reconnaissance portera leur rémunération de 1671 euros à 2254 euros. Les caristes réclament aussi le paiement des arriérés de salaire et des dommages et intérêts à hauteur d'environ 32 000 euros chacun. "Je suis cariste à Amazon depuis septembre 2012. Je devrais être au niveau 5 selon la convention collective, mais Amazon refuse de nous reconnaitre notre statut de cariste. En négociation, la direction argue qu'il n'y a pas de caristes chez Amazon, mais uniquement des conducteurs d'engins", explique Alain Jeault, délégué syndical central chez Amazon, l'un des dix caristes qui a porté l'affaire en justice. "Amazon a peur que la reconnaissance de notre statut fasse jurisprudence dans les pays qui n'ont pas encore de convention collective, où Amazon est implanté. Pour eux le niveau 5 est réservé au techniciens en informatique par exemple, ils n'y mettent pas les caristes, alors que la convention leur donne tort."

 

Confiant, Alain Jeault pense gagner la reconnaissance de son statut de caristes, même s'il avoue que la bataille est semée d'embûche. "Outre cette procédure, avec notre avocat nous avons déposé une plainte pour discrimination syndicale et non-paiement d'un droit de retrait."

PAR FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

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Avant de rentrer dans le vif du sujet, peut-on parler de survie dans notre situation ?

Cela fait plus de trente ans que l’on nous matraque du matin au soir dans les médias et sur les lieux de travail que c’est la Crise, pourtant les richesses n’ont jamais été aussi grande, les dividendes remontés aux actionnaires aussi importantes, on se fout de nous !

Plusieurs fois nous vous avons démontré le contraire. Jamais Unilever n’a autant prospéré et comme à son habitude nous devrions nous plier à ses volontés, se soumettre et se taire pour être plus compétitif !

Jamais nous n’avons été aussi productifs mais ce n’est pas encore assez.

La réduction des effectifs est une pratique bien présente chez Unilever. Certaines entreprises l’utiliseront dans un contexte de survie, alors que d’autres s’en serviront afin d’augmenter leur profitabilité et Unilever rentre bien dans ce cadre-là. Quoi qu’il en soit, des importantes de réduction des effectifs ont eu lieu et ont laissé des traces indélébiles.

Maximiser son efficacité et sa compétitivité en procédant à une réduction des effectifs à un impact négatif sur l’organisation, beaucoup d’études le prouvent.

On nous parle toujours de « coût » nous qui sommes créateur de richesse. Que devrions-nous dire de ceux qui touchent plusieurs centaines de SMIC (1480,27€, brut/mois) par an chez Unilever qui nous bourre le crâne prétextant qu’il faut baisser les coûts (nos salaires, nos droits), on marche sur la tête !

Comment peut-on croire à ce baratin !

Pour la CGT, il est important d’élaborer une nouvelle orientation stratégique en tenant compte de l’Humain et ne pas nous résumer à une variable d’ajustement. Il doit y avoir une analyse approfondie et ce n’est pas en écartant les élus que les choses iront mieux, même si elle connait notre point de vue, elle ne peut faire abstraction à notre présence, il en va du dialogue Social au sein de l’usine !

Comment avoir une vision claire de l’orientation future face à des requins qui ne reculent devant rien pour plus de profitabilité !

Malheureusement, leur seule préoccupation est de satisfaire à n’importe quel prix les actionnaires peu importe les remises en cause de nos droits sociaux. Regardez ce qui se passe en Allemagne, Suisse et Autriche… (Restructuration d’Unilever. A voir sur le blog CGT Unilever, publié le 26 juillet 2017)

Ce n’est qu’une question de temps aujourd’hui c’est eux et Demain… ?

Donc syndicalement parlant il est inadmissible que la direction agisse de cette façon. Les salariés doivent faire très attention aux discours de dupe. Rappelez-vous du projet « Colibri », la CGT a toujours contesté la suppression des postes et n’a jamais voulu entendre parler d’une compensation financière. A cette époque on avait prévenu les salariés des conséquences néfastes de ce projet et les années nous ont donné raison, malencontreusement. Aujourd’hui le constat est là, entre les personnes qui à l’époque ont préféré prendre l’argent en compensation de la suppression des postes, entre les personnes qui ont pris le pognon et qui ne font même pas le travail (le laisse faire par les intérimaires). Il y a les jeunes embauchés qui font le travail et ne bénéficient même pas de cette compensation financière !

Tout est fait pour créer la division.

Nous nous dirigeons de nouveau à des suppressions d’emplois, il est à craindre pour la santé des salariés. Aucune compensation financière ne pourra rendre aux salariés une bonne santé. Les TMS et les tendinites on les a à vie !

Devons-nous tout accepter ?   La création du chômage de masse est faite pour que tous nos acquis et nos droits sociaux soient remis en cause. Le chantage à l’emploi est là pour faire peur, c’est une grande porte ouverte pour l’exploitation sans limite du salariat !

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

les violences de l'opposition et la tentative d'empêcher le scrutin de mise en place de la Constituante, 8 millions d'électeurs se sont rendu aux urnes, ranimant l'espoir d'une solution pacifique.

Fidèles à leurs pratiques mensongères les médias occidentaux dans leur très grande majorité jettent de l'huile sur le feu en encourageant les menées fascistes visant à créer un climat de guerre civile.

L'Union européenne dans la plus pure tradition de sa vassalité aux  des USA se comporte pitoyablement.

Ce que le peuple vénézuélien attend de nous c'est davantage l'expression de notre solidarité pour une issue pacifique et démocratique à la grave crise qu'il traverse.

 

 

SOURCE : L'Humanité d'aujourd'hui

 

" Les Vénézuéliens ont fait mentir les pronostics de tous ceux, qui dans le pays comme à l'extérieur, qui s'opposaient à la tenue de l'élection d'une assemblée nationale constituante (ANC), oulue par le Président Nicolas Maduro...

Ils ont pour cela bravé les violences orchestrées par une opposition arc-boutée sur son refus du scrutin sans aucune volonté de partici per à la recherche de la paix dans le pays et la propagande éhontée des médias internationaux opposés au pouvoir chaviste ..."

 

Article signés du correspondant sur place Pierre Barbancey suivi de l'interview de la sociologue vénézuélienne Tania Delgado.

Un sain contre-poison au déferlement médiatique de soutien aux actions violentes et illégales de ceux qui veulent revenir en arrière au Vénézuela et effacer toutes les conquêtes populaires de la période chaviste.

PAR FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Qui sont les 10 plus grosses fortunes de France ?

Le magazine Challenges publie le classement des 10 plus grosses fortunes de France en 2017

Bernard Arnault est l’homme le plus riche de France, d’après le classement de Challenges. Avec un patrimoine estimé à 46,9 milliards d’euros, le PDG du groupe de luxe LVMH a vu sa fortune bondir de près de moitié depuis un an, une performance qui lui permet de repasser devant Liliane Bettencourt, héritière des cosmétiques L’Oréal, et ses proches (35,8 milliards d’euros).

Sur la troisième marche figure une autre figure du luxe, Axel Dumas, à la tête d’Hermès, et la famille Hermès, avec 30,9 milliards d’euros.

Un nombre de milliardaires "hallucinants"

"Le nombre de milliardaires est hallucinant", avec 92 personnalités dans le classement, a jugé Éric Tréguier, journaliste au magazine Challenges et co-auteur du classement. Alors que le classement 2016 avait été marqué par une performance mitigée des très grandes fortunes, sur fond de morosité de la Bourse, elles ont cette fois bénéficié de l’élan des marchés financiers lors des derniers mois.

Signe de l’accélération des grandes fortunes, le ticket d’entrée de ce classement, dans lequel figurent cette année une petite cinquantaine de nouveaux arrivants, a quasiment été multiplié par dix depuis son lancement par Challenges en 1996, passant de 14 à 130 millions d’euros.

Sur la même période, le montant total des 10 plus grandes fortunes françaises a été multiplié par 12, un chiffre que le magazine présente comme un élément du débat sur les inégalités puisque le produit intérieur brut (PIB) du pays n’a pas même doublé entretemps.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
source : Bastamag

source : Bastamag

La France va-t-elle suivre le modèle allemand et transformer ses chômeurs en travailleurs pauvres ?

par Rachel Knaebel

 

Après les lois Macron, Rebsamen et El-Khomri sous le précédent quinquennat, le gouvernement d’Edouard Philippe prépare une réforme encore plus profonde du droit du travail, précédant une remise à plat de l’assurance chômage. Ce big bang annoncé a un modèle : les réformes « Hartz », engagées en Allemagne au début des années 2000, aujourd’hui parées de toutes les vertus par de nombreux commentateurs avec, en apparence, l’un des taux de chômage les plus bas d’Europe. La réalité des chiffres montre au contraire que ces réformes du marché du travail n’ont pas radicalement réduit le chômage et la sous-activité et, surtout, ont provoqué une explosion des travailleurs pauvres, dont le nombre est l’un des plus élevés d’Europe.

 

Emmanuel Macron et son gouvernement vont désormais entrer dans le vif du sujet : s’atteler à des « réformes structurelles », notamment celle du « marché du travail », qui serait une condition indispensable à la baisse du chômage. Le gouvernement français emboîte ainsi le pas à son voisin allemand. Le taux de chômage en Allemagne s’élevait, il y a quinze ans, à 10,5 % selon l’agence allemande pour l’emploi. La première réforme du marché du travail allemand – la loi dite Hartz, du nom de Peter Hartz, ancien DRH de Volkswagen qui a dirigé la commission qui a concocté ces réformes sous le gouvernement du social-démocrate Gerhard Schröder – entre alors en vigueur. Trois autres réformes ont suivi : elles se sont attaquées à l’assurance chômage, en réduisant la durée d’allocation et en renforçant les contrôles et la surveillance des chômeurs, et ont ouvert grand la porte au développement des emplois à bas-salaire.

(...)

LIEN VERS LA SUITE DE L’ARTICLE CI-DESSOUS:

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
photo d'illustration (source: Le Huffington Post)

photo d'illustration (source: Le Huffington Post)

Pendant que Macron baisse les APL la fortune des milliardaires multipliée par 10 : alors qu’il y a 2,6 millions de logements vacants en France, le nombre de gens privés de domicile personnel atteint presque les 700 000. Les personnes vivant dans des conditions de logement très difficiles sont, eux, aux nombre de 2,8 millions. Dans la 6e économie la plus riche du monde !

Concernant les 18-28 ans ne vivant pas chez leur parents, 29% vivent dans un logement trop petit et ont des difficultés à se chauffer… 21% ont déjà des découverts bancaires et 17% sont en retard de paiement…

Le nombre de SDF a doublé en 10 ans, atteignant désormais entre 150 000 à 240 000 selon les rares données disponibles.

Dès 2015, le PRCF et www.initiative-communiste.fr alertaient contre la baisse des APL (lire ici). En effet, le rapport de la cour des comptes expliquait clairement que les mesures proposées – reprises depuis par Macron – s’inscrivent dans le cadre des critères d’austérité budgétaire imposés par l’Union Européenne et la BCE, Union Européenne qui dispose du droit d’invalider le budget de la France s’il ne lui convient pas, BCE qui dispose – l’exemple de la Grèce l’a montré – des moyens d’étrangler un pays qui préférerait satisfaire les besoins essentiels de sa population (tel que le droit fondamental au logement) plutôt que de protéger les profits de l’oligarchie capitaliste.

“La capacité à poursuivre le financement des aides, dont le montant pourrait dépasser 19 Md€ en 2017, n’est cependant pas assurée. Elle dépend non seulement des crédits budgétaires mais aussi d’une mise à contribution de la participation des employeurs à l’effort de construction, appelée en principe à diminuer fortement à partir de 2015. Malgré les annonces faites en avril 2015 par le Gouvernement dans le cadre du programme de stabilité, les mesures d’économie avancées par les ministères concernés – qui n’ont pas retenu à ce jour les recommandations émises par les inspections ministérielles en août 2014 dans le cadre de la modernisation de l’action publique (MAP) – ne sont pas clairement identifiées, à l’exception du changement de mode d’indexation du paramètre de prise en compte des revenus des bénéficiaires intervenu en décembre 2014″. Rapport de la cour des comptes 16 sept 2015

De fait, le principal et seul guide de la politique du logement de ce gouvernement qui n’est que le majordome de l’Europe patronale, c’est le diktat de l’Union Européenne du capital de l’euro-austérité pour les travailleurs : baisse des aides aux logement pour les jeunes et les travailleurs, augmentation des allègement de cotisation sociale pour les patrons pour continuer à appliquer respecter le pacte de stabilité ! Merci l’Europe du Capital ! Merci le pacte de stabilité : quand on pense que certain, fort heureusement de moins en moins nombreux, tel P Laurent ose encore s’adresser aux travailleurs et aux jeunes en leur demandant de défendre “l’euro qui protège”… les patrons !

Retrouvez les propositions pour le logement du programme franchement communiste du PRCF

5 euros de baisse des APL par mois ? cela fait rire les députés En Marche, mais c’est une catastrophe pour 12 millions de français qui courent après chaque centime !

Alors que la France, 6e économie mondiale compte désormais plus de 8 millions de pauvres, la priorité de Macron, après avoir augmenté la CSG des retraités, baisser les salaires des fonctionnaires, geler le SMIC, c’est de couper dans les APL.

Mais également de supprimer partiellement l’ISF et de diminuer les impôts des plus riches.

Alors les députés En Marche, comme la cynique C O'Petit qui officie comme propagandiste sur la radio du milliardaire Drahi (RMC) dans l’émission "les grandes gueules", se permettent de justifier la mesure en vociférant contre “ces jeunes qui pleurent après 5 euros !”.

5 euros c’est sans doute rien pour elle, riche et privilégiée appartenant à la classe capitaliste. Mais c’est énormes pour des millions de travailleurs.

Rappelons que selon les dernières études publiées sur le sujet en juin 2015, à la fin du mois, il ne reste que 50 € pour 54% des français une fois leurs dépenses courantes et fixes payées (impôts, loyer, gaz/electricité, téléphone et nourriture). Pour 11,4 millions de français, c’est à dire un français sur cinq, c’est moins de 10 euros qui restent à la fin du mois.

Ces 5 euros pris dans leurs poches par Macron et sa clique pour obéir à l’Union Européenne et remplir les coffres de l’oligarchie capitaliste, c’est deux repas qui manqueront ou un jouet pour les enfants. Oui, cette politique n’est pas seulement scandaleuse, elle est ignoble. Et les propos froids et cyniques des députés LREM apparaissent particulièrement ignobles dans ce contexte. Rappelons que les mêmes viennent de voter contre la remise en cause de la réserve parlementaire qui leur permet de disposer à loisir de millions d’euros (on parle de plus de 80 millions d’euros au moins par ans, .

Baisse des APL : Cette jeune active montre ce que représentent 5€ de courses pour un étudient, un retraité, un travailleur pauvre

Jeunesse et logement : contre le scandale agir avec les JRCF !

Pendant que Macron baisse les APL la fortune des milliardaires multipliée par 10 !

Lorsque Macron et son gouvernement prennent de l’argent aux plus pauvres en baissant les APL, ils aggravent le déjà dramatique scandale des inégalités en France. En 20 ans, d’après le classement annuel de Challenges, les fortunes des plus riches ont été multipliées par 10. Le 10 plus gros milliardaires français ont vu leur fortune passer de 22,9 milliards d’euros en 1997 à 240,8 milliards d’euros en 2017 ! Soit une augmentation de plus de 10 fois plus importante que celle du PIB sur la même période.

Bernard Arnault, le riche PDG du groupe de luxe LVMH et magnat des médias a rempli ses coffres de près de 46,9 milliards d’euros. la famille Arnault augmentant sa fortune de 50% en un an. Lilliane Bettencourt la propriétaire de L’OREAL et sa famille sont assis sur un tas d’or de près de 36 milliards d’euros, tandis que Axel Dumas et la famille Hermès peuvent remplir des piscines de billets avec leurs quelques 31 milliards d’euros. La France compte désormais 92 milliardaires, mais pour Macron l’urgence c’est de tailler dans les APL.

Rappelons que l’accroissement de la fortune de ces 10 milliardaires en 20 ans (218 milliards d’euros, soit 11 milliards chaque année) permettrait à lui seul de payer à 4 millions de familles les APL !

 

Par el diablo

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Les Salopards
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Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Des mineurs entassés comme des animaux. .
Nos anciens ont connu la barbarie patronale. Ils se sont battus et défendus pour obtenir la dignité et un code du travail qui les protègent des méthodes esclavagistes du Grand Patronat et du gouvernement pour acquérir des droits sociaux.
À notre tour de faire plier ce gouvernement Macron qui veut rayer 100 ans de combats sociaux en un été. ..

http://www.laboiteverte.fr/wp-content/uploads/2012/09/gjkl.jpg
 
 
PAR CGT FACEBOOK COMPIEGNE
 

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HOMMAGE à CHE GUEVARA (par Cuba Si France)
HOMMAGE à CHE GUEVARA (par Cuba Si France)HOMMAGE à CHE GUEVARA (par Cuba Si France)HOMMAGE à CHE GUEVARA (par Cuba Si France)
HOMMAGE à CHE GUEVARA (par Cuba Si France)HOMMAGE à CHE GUEVARA (par Cuba Si France)

Le 27 juillet 2017, au siège du PCF, place du Colonel Fabien à Paris, devant une salle archicomble (beaucoup de personnes debout), pour le 50ème anniversaire de son assassinat, un très bel hommage au Che a été rendu par Jean Ortiz (auteur de "Vive le Che") et par Aleïda Guevara (sa fille).

Organisée par l'Ambassade de Cuba, le PCF et Cuba Si France, cette soirée autour du livre de Jean, "Vive le Che" et d'Aleïda Guevara, pleine de belles émotions, a mis en valeur la personnalité exceptionnelle du Che, son courage, sa témérité même, la profondeur de sa pensée, son abnégation, son éthique rigoureuse et que sa vie courte mais prestigieuse reste pour les peuples une référence universelle.

Le Che est plus vivant que jamais. Malgré tous leurs efforts et les ignominies qu'ils répandent et répandront encore, tous les nantis, les impérialistes qui asservissent les peuples, les contre-révolutionnaires de tous poils, les médias et leurs maîtres, les ignorants et les imbéciles, aucun d'eux ne pourra jamais plus assassiner sa pensée et son exemple.

Au contraire, sa pensée, son action s'enracinent dans les têtes et les cœurs, des plus anciens aux plus jeunes, pour y faire fleurir l'espérance et le combat pour un monde où le bonheur des hommes serait sa seule obsession.

A la tribune : Aleïda Guevara (médecin et conférencière, fille du Che), Jean Ortiz (Maître de conférences, journaliste, écrivain, syndicaliste et militant politique) et Muriel Ortiz (interprète remarquable), Laurent Peréa (responsable Amérique Latine au PCF), Camille Lainé (Secrétaire Mouvement JC), Michel Mujica (Ambassadeur du Venezuela).

Cuba Si France a organisé la venue de Jean et Muriel Ortiz à Paris, décoré la tribune, et tenu la table des ventes du livre de Jean Ortiz "Vive le Che", et de l'affiche-poster du Che par Mustapha Boutadjine et dédicacé par l'artiste lui-même et Aleïda Guevara.

Photos et texte : Michel Taupin

SOURCE:

Michel Taupin sur Facebook

PAR EL DIABLO

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

c'est l'Humanité qui a révélé la nouvelle affaire dans laquelle est empêtrée  la ministre du travail, Muriel Pénicaud, qui à l'occasion d'un plan de licenciement chez Danone dont elle était la directrice des ressources humaines a empoché la bagatelle de 1,13 millions d'euros en 2013.

Chargée de la sale besogne de démolir le code du travail pour soit-disant créer des emplois, la titulaire du ministère s'est donc surtout illustré dans sa capacité à faire fructifier ses intérêts personnels en profitant de la mise sur la paille de nombreux salariés de sa propre entreprise.

Malgré ses arguments de justification, on est en droit de se demander si cet enrichissement relativement exceptionnel ne relève tout simplement pas du délit d'initiés.

Des révélations qui laissent le roi nu : le nouveau pouvoir et sa majorité dans leur ensemble ne peuvent absolument pas se réclamer de l'intérêt général dans l'application de leur politique au service exclusif d'une minorité de privilégiés!

 

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SOURCE : L'Humanité

80 c’est, en années de smic net, l’équivalent de la plus-value touchée par Muriel Pénicaud sur la revente de ses stock-options. Photo : Bertrand Guay/AFP

Révélation. Muriel Pénicaud a réalisé en 2013 une plus-value de 1,13 million d’euros sur ses stock-options en tant que dirigeante de Danone, profitant de la flambée en Bourse qui a suivi l’annonce de 900 suppressions d’emplois du groupe en Europe.

Plus d’un million d’euros de plus-values boursières par un simple jeu d’écritures : c’est la somme gagnée en une journée par Muriel Pénicaud comme directrice générale des ressources humaines (DGRH) chez Danone, le 30 avril 2013. Et cela alors que le groupe s’apprêtait à supprimer 900 emplois de cadres, dont 230 en France. L’information fait tache sur le CV de la ministre du Travail, au moment où celle-ci défend mordicus au Sénat l’idée que faciliter les licenciements sera in fine bénéfique à l’emploi et donc aux salariés.

Selon les comptes officiels de Danone pour l’année 2013 que l’Humanité a consultés, Muriel Pénicaud a en effet perçu un gros paquet de stock-options pour ses états de service au comité exécutif du groupe alimentaire. Enregistrée par l’Autorité des marchés financiers à la date du 30 avril 2013, la transaction porte sur un lot de 55 120 actions acquises à une valeur de 34,85 euros l’unité, bien en dessous du cours de l’action ce jour-là, et revendues aussitôt pour l’essentiel (52 220 actions) à 58,41 euros l’unité, au cours du marché. Soit 1 920 932 euros à l’achat, et 3 049 966,54 euros à la revente. Bilan de l’opération : une plus-value immédiate de 1 129 034,54 euros, non comptées les 2 900 stock-options restant alors en sa possession.

La cagnotte boursière de 1,13 million d’euros de Muriel Pénicaud n’est pas tombée du ciel. Pour réaliser un tel bénéfice de près de 60 % sur sa mise de départ, la ministre a profité de la remontée de l’action qui a suivi l’annonce d’un plan de restructuration du groupe, faisant grimper le cours dans les semaines qui ont précédé la transaction. Dans le cadre d’« économies de fonctionnement » de 200 millions d’euros décidées en 2012, la direction de Danone a, en effet, annoncé, le 19 février 2013, la « suppression d’environ 900 postes managériaux et administratifs répartis dans 26 pays européens ».

Le titre Danone s’envole à 55-60 euros en avril-mai

Un choix immédiatement salué par les marchés financiers par un bond du titre, comme l’a relevé toute la presse à l’époque. « La Bourse achète ce discours : l’action prenait presque 5 % mardi matin (19 février 2013 – NDLR) en début de séance », soulignait ainsi le Figaro. « À court terme, des destructions d’emplois peuvent remonter le cours de l’action et vont donc bénéficier au capital, contre la production et la valeur ajoutée », confirme l’économiste spécialiste des entreprises qui siège au Conseil économique, social et environnemental (Cese), Frédéric Boccara, membre des Économistes atterrés et de la direction du PCF.

À partir de cette date, le cours de l’action marque en effet une césure nette : d’une cotation située au-dessous de 52 euros l’action avant l’annonce du plan de destruction d’emplois, le titre Danone s’envole à 55-60 euros en avril-mai, accélérant plus vite que la moyenne du CAC 40, pour ne plus redescendre avant octobre 2013. Tout bon pour Muriel Pénicaud, qui fait valoir ses stock-options pile à l’expiration du délai de garde de quatre ans exigé par Danone pour en bénéficier.

Quand il procède à cette restructuration, le groupe est pourtant loin d’être au bord de la faillite. Danone vient au contraire de battre le record de son chiffre d’affaires, passant pour la première fois en 2012 le cap des 20 milliards d’euros dans le monde, en hausse de 8 % en un an. Et les perspectives pour 2013 sont bonnes, avec une nouvelle progression escomptée d’au moins 5 %. Mais, pour le PDG du leader mondial des produits laitiers et numéro deux des eaux en bouteilles, Franck Riboud, la marge avant impôts de Danone, déjà très élevée à 14,18 %, soit près de 3 milliards d’euros, est encore insuffisante. L’Europe montre des signes de fléchissement, avec une baisse des ventes de 3 % et une marge de « seulement » 15,66 %, supérieure aux autres continents, mais en recul par rapport à 2011 (17,37 %). Cela, le PDG de Danone, qui vient de proposer un dividende en hausse de 4,3 % à ses actionnaires, ne le supporte pas : « C’est une équation qui n’est pas pérenne, et une situation que nous allons surmonter », grâce à « une adaptation de nos organisations » visant à « redonner de la compétitivité et de l’efficacité en Europe », déclare-t-il. L’idée d’un plan de suppression d’emplois est lancée, à la grande joie de la Bourse… et du porte-monnaie de la future ministre du Travail.

D’autant que celle-ci n’a pas seulement fait une affaire à la revente. Le prix d’achat de ses actions s’est aussi avéré ultrarentable : à 34,85 euros l’unité, elle en a fait l’acquisition au cours proche du plancher de ces dix dernières années. Le mécanisme des stock-options est ainsi fait que le prix d’acquisition est fixé lors de l’attribution des actions plusieurs années avant que son bénéficiaire ne les achète réellement : on parle d’« option d’achat ». Quand vient le moment pour le haut dirigeant de « lever l’option », c’est-à-dire de débourser l’argent pour les acquérir, il le fait au prix fixé à l’avance. Pour Muriel Pénicaud, cela s’est très bien agencé : ses stock-options, et le prix qui leur était attaché, lui ont en effet été attribuées le 23 avril 2009, juste après l’effondrement des valeurs boursières du CAC 40 à la suite du krach de 2008-2009. Entre le 8 janvier 2008 et le 19 mars 2009, l’action Danone a perdu ainsi près de la moitié de sa valeur, passant de 63,71 euros à 33,67 euros. À quelques mois près, la ministre, qui siégeait au comité exécutif du groupe en tant que DGRH depuis mars 2008, aurait peut-être dû mettre ses stock-options à la poubelle !

C’est en effet l’autre avantage de ce mode de rémunération prisé des PDG, à l’instar de ceux de Danone ou de Renault : comme il s’agit d’une « option d’achat », le dirigeant ne court aucun risque, puisqu’il peut tout simplement renoncer à acheter s’il constate que l’action a perdu de sa valeur. Ici, rien de tel : si la terrible crise économique a fait des perdants, elle a aussi fait des gagnants et Muriel Pénicaud en fait partie. La chance lui a souri d’ailleurs jusqu’au bout, puisqu’elle est l’une des dernières dirigeantes de Danone à avoir bénéficié de stock-options avant que l’entreprise ne renonce à ce type de rémunération en 2010, au profit d’attributions d’actions liées à la performance.

Contacté à plusieurs reprises par l’Humanité, le cabinet de la ministre du Travail n’a pas souhaité donner suite à nos demandes de réactions de sa part. Quant à Danone, l’entreprise s’est contentée de confirmer nos informations sur les stock-options dont a bénéficié son ex-DGRH, sans dévoiler d’autres éléments de rémunération.

« Muriel Pénicaud n’a rien à voir avec le monde du travail »

Reste que cela écorne sérieusement le portrait de la ministre, dépeinte dans la presse comme une DRH attentive à la démocratie sociale et au facteur humain. « C’est quelqu’un qui se prétend salarié mais qui se situe objectivement du côté des intérêts du capital, et qui s’est trouvé à ce titre directement intéressé aux destructions d’emplois, estime l’économiste Frédéric Boccara. Elle a peut-être une fibre sociale quand elle va à confesse, mais elle n’a rien à voir avec le monde du travail, celui des salariés, mais aussi celui des artisans et même des petits patrons. » Lors de sa nomination, la fédération CGT de l’agroalimentaire avait d’ailleurs dénoncé les « bons et loyaux services » de l’ex-DGRH qui a « estampillé » le plan social de 2013 déguisé en « départs volontaires », selon le syndicat, une « véritable Bérézina pour les salariés ».

Muriel Pénicaud, qui a cumulé les rémunérations de Danone avec celles perçues au conseil d’administration d’Orange (58 000 euros de jetons de présence perçus en 2013 pour l’exercice 2012) et a occupé les fonctions de directrice générale adjointe de Dassault-systèmes et d’administratrice de la SNCF, ne s’est d’ailleurs pas appliquée à elle-même la recommandation d’un rapport qu’elle a cosigné en 2010, et qui préconisait de prendre en compte la « performance sociale » dans la rémunération variable des dirigeants d’entreprise, plutôt que la seule « performance économique ». En l’occurrence, concernant les stock-options, l’indexation sur le seul cours de la Bourse.

Un amendement propose d’interdire toute suppression d’emploi boursière

Mais le plus embarrassant est sans doute la réponse faite le 12 juillet en présence de la ministre par le rapporteur de la loi travail bis, le député macroniste Laurent Pietraszewski, à un amendement de Sébastien Jumel (PCF). Ce dernier proposait d’interdire « toute suppression d’emploi (…) lorsque l’entreprise a distribué des dividendes ou des stock-options ou des actions gratuites ». Soit exactement ce qui s’est passé chez Danone en 2013. « Nous sommes tous au clair là-dessus, lui a répondu le rapporteur en motivant le refus de l’amendement. Nul ne souhaite en effet qu’une entreprise qui réalise un bénéfice ou distribue des dividendes à ses actionnaires puisse en même temps licencier en toute impunité des salariés pour des raisons d’opportunité financière. » Et la ministre d’ajouter dans l’Hémicycle : « Même avis »…

Des fermetures d’usines très profitables aux actionnaires

Après le plan de restructuration de 2013, le groupe a annoncé en juin 2014 la fermeture pour la mi-2015 de ses usines de Casale Cremasco en Italie, de Hagenow en Allemagne et de Budapest en Hongrie, entraînant la suppression de 325 postes. La faute à une « baisse significative des ventes » en Europe qui a entraîné des « situations de surcapacité locale » de production, a expliqué la direction. En revanche, dans le même temps, la profitabilité de la branche Europe de Danone s’est spectaculairement redressée, passée de 14,42 % de taux de marge avant impôt en 2013 à 17,26 % en 2015, tirant vers le haut toute l a rentabilité du groupe au niveau mondial. Les dividendes servis aux actionnaires ont suivi le même chemin, passant de 1,45 euro par action pour l’exercice 2013 à 1,60 euro en 2015 (+ 10,3 %).

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SOURCE : BFM après les révélations de l'Humanité

L'actuelle ministre du Travail a réalisé une plus-value de 1,13 million d'euros en revendant, en 2013, ses stock-options, profitant de l'annonce de la suppression de postes au sein de Danone, où elle travaillait à l'époque.

 

PAR FSC

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