SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #INFO importante usine

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Alors que l’on attend depuis plusieurs mois une balance pour le PROCESS, nous dépouillons les lignes pour faire tourner d’autres lignes parce qu’il n’y pas les pièces de rechange au magasin et j’en passe…

erettertertLors du CE, la direction nous annonce la mise en place des caméras et des casiers dans le couloir principal dans les mois à venir, le montant de cette mascarade est d’environ 60 000€.

Il y a du fric pour ces conneries mais quand il s’agit de reconnaitre les efforts des salariés, il y a plus personne !

Lors de la commission mutuelle de cette semaine, la direction n’a pas voulu prendre à sa charge les 6 000€ d’augmentation sur les cotisations en prétextant l’excuse des réductions des coûts.

                                     Elle préfère investir sur le flicage des salariés que sur la santé.

Totalement écœurant

                                                                                                                                        tzerrtretertret

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #INFO importante usine

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #FRALIB

Le conseil des prud’hommes de Marseille a une nouvelle fois prorogé son délibéré dans l’affaire concernant les représentants du personnel, suite aux retenues de salaire totalement injustifiées dont ils ont fait l’objet.

Nous le regrettons et souhaitons que les salariés concernés soient rétablis rapidement dans leurs droits.

 L’inspecteur du travail vient de rendre sa décision suite au recours gracieux formé par la société FRALIB sur  le refus de licenciement des représentants du personnel.

Une nouvelle fois l’autorisation de licenciement a été refusé.

L’inspecteur du travail a confirmé sa décision.

 Depuis le début de notre lutte, nous n’avons cessé de mettre l’accent sur les irrégularités manifestes ayant caractérisé les procédures d’information et de consultation du Comité d’Entreprise, et notamment la dernière.

 Nous avons d’ailleurs fait appel de l’ordonnance rendue le 20 avril 2012 par le juge des référés du TGI de Marseille.

La dernière décision de l’inspecteur du travail confirme ces irrégularités ainsi que l’absence d’un quelconque motif économique justifiant la fermeture de notre usine.

  Autres revers et pas des moindre !

Depuis le mois de mars, nous dénonçons le véritable scandale d’Etat lié au blocage de la lettre d’observations établie par les services de la DIRECCTE (13) dans le cadre de la 3ème procédure d’information /consultation du CE ; et ce suite  à l’intervention des services du Ministère de Xavier BERTRAND.

 Après de multiples demandes et sollicitations nous avons enfin obtenu une réponse  de Monsieur Michel SAPIN,  Ministre du Travail.

 Dans sa réponse, le Ministre indique que suite à nos demandes, une enquête interne a été menée.

Cette enquête confirme l’existence d’une lettre d’observations préparée par les services de la DIRECCTE (13) qui n’a jamais été adressé à la société FRALIB

Cette lettre mettait en avant la nécessité d’une mise à jour des informations économiques remises au Comité d’Entreprise.

Elle mettait aussi l’accent sur la question du périmètre du PSE, considérant que les 41 salariés ayant accepté un protocole d’accord transactionnel, suite à la décision de la Cour D’Appel du 17 novembre 2011, auraient dû être intégrés dans le périmètre du PSE, puisqu’ils étaient encore inscrits à l’effectif de l’entreprise à la date de présentation du PSE. 

 C’est ce que nous avons d’ailleurs soutenu devant le tribunal.

 Dans sa réponse, le Ministre indique que malgré le fait que cette lettre d’observation n’a pas été effectivement adressée à la société FRALIB,  l’inspecteur du travail en a largement repris le contenu dans sa décision du 13 aout dernier aux termes de laquelle il a refusé d’autoriser le licenciement des salariés protégés.

 Décision confirmée par la toute dernière rendue le 19 novembre 2012.

 La lumière est enfin faite sur ce véritable scandale d’état.

 UNILEVER à bel et bien magouillé avec le gouvernement Sarkoziste pour faire valider son Plan de Sabordage de l’Emploi en toute impunité.

 C’était sans compter sur la détermination des salariés de FRALIB en lutte pour le maintien de leurs emplois et de l’activité industrielle.

 Nous attendons maintenant dans la plus grande sérénité de voir notre affaire évoquée devant la Cour d’Appel d’Aix en Provence et obtenir une nouvelle fois l’annulation d’un PSE manifestement entaché de nombreuses irrégularités.

 Nous espérons une nouvelle fois être  rétablis dans nos droits.

 Non Messieurs POLMAN et WITVOET, le dossier FRALIB n’est pas clos contrairement à ce que vous avancez !!!!

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Pour la troisième année consécutive, les salariés prennent à leur charge 100% de l’augmentation, la direction estime pour sa part que sa participation est déjà assez importante.

Pour rappel, il n’y a pas d’abus au niveau de la consommation mais une augmentation des taxes et un désengagement de l’état très importants depuis 3 ans.

Afin de maintenir le régime dans le vert pour 2013, l’augmentation des 1.8% correspond à la majoration PMSS (plafond mensuel de la Sécurité Sociale, est un seuil servant de base de calcul pour de nombreuses valeurs).

Pour autant nous avons rappelé à la direction, si elle prenait à sa charge cette augmentation cela représenterait moins de 6000€, une goutte d'eau pour le Groupe. Eh bien, NON !

Toujours le même discours, les coûts !!!!!

DIFFERENTIEL ENTRE 2012 ET 2013 AVEC LA MAJORATION DE 1.8% 

 

1 personne

2 personnes

3 pers. Et +

Part employeur

64€

64€

64€

Part salarié

12.03€ > 13.40€

+ 1.37€

35.79€ > 37.59€

+ 1.80€

48.92€ >50.95€

+2.03€

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #INFO importante usine

REPONSE AU COURRIER DE LA DIRECTION

 

Nous n’avons que faire de votre lettre anti-syndicaliste CGT, encore une fois, c’est l’hôpital qui se fout de la charité avec votre morale sur le rappel des règles ; rappelez-vous « La Commission européenne inflige 315 millions d'euros d'amendes aux géants mondiaux du secteur.  Entre 2002 et 2005, Procter & Gamble, Unilever et Henkel s'étaient entendus sur les prix dans huit pays d'Europe »…

Pile : « Je triche et je ne me fais pas prendre, je gagne 730 millions »
Face : « Je triche, je me dénonce (ou pas), et je rends la moitié de mes gains »

Nous n’avons aucune leçon syndicale à recevoir de votre part.

Vos manières de faire depuis deux ans et vos méthodes de répression et de délation sont méprisables et honteuses, ceci rend le climat de cette usine très malsain, elle reflète complètement votre personnalité. (Dernièrement, lors des fouilles pour l’équipe week-end, on se serait cru sous le régime de VICHY, heureusement que la CGT était présente cette nuit, sinon vous auriez été plus loin…)

On se demande si vous êtes là pour casser du salarié ou faire tourner cette usine, quand on voit les résultats des lignes en chutes libre depuis votre arrivée, il serait temps de vous remettre en question au lieu de renvoyer la faute sur les élus et les salariés.

Au lieu d’agir comme vous le faites avec autant de mépris envers certains délégués et cet acharnement envers les salariés, vous et vos sous-fifres mettez vos ressources au bon fonctionnement de l’usine dans le respect du savoir vivre. « L’HUMAIN D’ABORD. »

 Mais il est plus simple pour vous de licencier, mettre des avertissements, fliqués les salariés, organiser des fouilles et faire de la répression.

Je vous remercie de respecter et de veiller à ce que les salariés de cette usine puissent travailler dans de bonnes conditions et de respecter l’exercice des mandats des élus CGT.

Je vous prie de croire, Monsieur, la sincérité de chaque mot de cette lettre.

                                                                                      LA CGT

 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Unilever Monde

 

Voici quelsques chiffres qui donnent le tournis ...

 

Salaire net mensuel : 222 250,00€ / mois

 

Salaire annuel qui se décompe ainsi :

 - 1 058 000,00€ de salaire net

- 149 000,00€ d'indemnités

- 1 429 000,00€ de bonus

- 31 000,00€ en avantages

 

Pour la retraite de votre grand patron monde, UNILEVER, lui a mis de côté en 2011 la somme de 363 000,00€ !!!!! Ils sont mignons ...

 

Ce n'est pas fini, ce Monsieur, à en plus 3 631 000,00€ d'actions qui lui sont attribuées.

 

340x.jpg"Merci les petits salariés de votre contribution, et attention c'est la crise !!!" AMEN

 

 

 

 

 

 

 

Infos UNILEVER Monde :

Il faut savoir qu'en 2011 , Unilever Monde à versé 2 500 000 000,00€ de dividendes à ses actionnaires, c'est une augmentation de +8% par rapport de 2010 et 47% depuis 2004.

Pour 2011 cela représente 60% des bénéfices de 2011. Bénéfices nets 2011 : 4 600 000 000,00€ !!!

L'action d'Unilever monde à pris + 14% en 1 an pou l'année 2011 et une croissance cumulée de 64% depuis 2004.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Réunions de CE et DP

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

cotisations-sociales.jpgPas un jour sans qu’on entende la ritournelle : les néolibéraux clament sur tous les tons qu’il faut « alléger les charges sociales » sur les salaires. Mais cela n’existe pas les « charges sociales sur les salaires » ! C’est une pure invention idéologique, ce n’est que de la propagande électorale. Dans aucun texte de loi, on ne lit qu’il y a des « charges ».

Regardez vos feuilles de paie : ce qu’il y a, c’est un « salaire brut » en haut et un « salaire net » en bas. Expliquez-le autour de vous : dans les deux cas, c’est du « salaire ». Un « salaire net » qu’on touche et que l’on consomme tout de suite. Et un « salaire brut » constitué d’une partie de « cotisations sociales » : c’est une part de salaire socialisé, mutualisé, mise dans un pot commun et redistribuée à chacun selon ses besoins. C’est-à-dire que chacun cotise pour celui qui est dans le besoin lorsqu’il est malade, en accident du travail ou maladie professionnelle, au chômage, en charge de famille nombreuse, en difficulté de logement, ou encore en retraite. C’est un prélèvement volontaire et progressif, avec redistribution égalitaire. Les libéraux haïssent cela.

Cette part de salaire mutualisée, c’est pourtant ce qu’il y a de plus beau en France, de plus solidaire, de plus fraternel, de plus protecteur, ce n’est pas une « charge sociale » c’est du bonheur social ! Mais ils appellent cela une « charge » pour rendre confuse, et discréditer la perception de ce bonheur. Ils disent « allégeons les charges sociales » mais c’est une manipulation pour ne pas dire « allégeons les salaires bruts », « allégeons votre bonheur ».

Un salarié m’avait dit : « mon patron me licencie parce qu’il a trop de charges ». J’en aurai pleuré. Croyait-il que son salaire était trop élevé ? Nul ne lui avait expliqué que son « brut » était du salaire indirect ou différé ? Même s’il ne le touchait pas tout de suite, c’était encore plus précieux : sa vie en dépendrait tôt ou tard. Demain à l’hôpital. Demain au chômage. Demain en retraite. Par exemple, le système de retraite par répartition, ce n’est pas une épargne (ouf, car sinon nos retraites seraient parties avec Madoff ou Lehmann-Brothers ) mais c’est une part de salaire versée en temps réel par ceux qui travaillent chaque mois pour assurer la retraite des aînés. En temps de crise, c’est ce salaire mutualisé qui résiste le mieux, cent mille fois plus que les fonds des assurances et des banksters. Mais c’est précisément ces cotisations-là que Sarkozy s’acharnait à bloquer, et que le Copé veut supprimer et remplacer par une « TVA sociale » que chacun de vous paiera au lieu que ce soit l' employeur qui la paie ! C’est le coût du capital qui est trop cher, le coût du travail n’est pas trop élevé, au contraire, il faut hausser massivement les salaires (le Smic à 1600 euros) et c’est ainsi qu’on remplira les caisses socialisées de la protection sociale en diminuant les surprofits.

Ce sera bon pour tous.

A bon entendeur

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Appel Cgt et Communiqué usine

4-daltons.jpeg new_029-copie-1.gifDimanche, la direction de l'usine a procédé à une fouille des sacs des salariés de week-end en ne respectant aucunes règles du code de travail et du Code civil.

À 18h00 il y avait DEVILLERS, LOTO MAN, et WANG qui ont contre toute règles de respect demandé aux salariés d'ouvrir leurs sacs.

La direction n'a même pas prévenu les délégués et élus de cette initiative, qui émane des membres du CDU et plus particulièrement du directeur DESOMBRE.

Cette façon de faire de la direction est totalement inadmissible, inacceptable et scandaleuse. La CGT était présente ce matin dés 3h30 afin de faire face à cette nouvelle provocation gratuite de la direction, et pour lui rappeler les règles légales pour ce genre de pratique.

Ce matin à 4h00 le directeur, ODRU, IMBAUT et WANG avaient l'intention de fouiller les voitures puisqu'ils avaient préparé une table dehors, devant le poste de garde.

C'est quand ils ont constaté la présence de la Cgt, David BONGARD, Frédéric BRIESMALIEN et Lucien JEAN, que la direction a préféré remettre la table à l'intérieure pour effectuer la fouille des sacs à l'intérieur comme à 18h.

Il a fallu qu'on insiste explicitement auprès du directeur afin que celui-ci respecte les règles lors d'une fouille.

La direction allant même jusqu'à faire signer le salarié qui ne sougaitait pas obtempérer et donc ouvrir son sac !!!

Ceci est purement honteux ; du vrai flicage.

Imaginez l'attitude et le sentiment des intérimaires !!!!

Les règles sont les suivantes :

-          la direction doit informer au préalable le salarié  et les délégués d'une fouille et de ses droits  ; à savoir qu'il y a une fouille, que le salarié peut être accompagné d'un délégué et que le salarié peut refuser d'ouvrir son sac.

-          La direction n'a pas le droit d'elle-même d'ouvrir le sac, de fouiller dans le sac et encore moins de toucher le sac. À de nombreuses reprises ce matin ODRU s'est permis de le faire avec le sourire

-          Seul un officier judiciaire de la police , ou de la gendarmeire qui est assermenté peut le faire

La direction a annoncée qu'elle effectuerait ces fouilles dans toutes les équipes en fin de poste.

A la question au directeur, si il allait fouiller les cadres : la réponse " peut-être" !!!

Les élus CGT seront présents à chaque fois.

Elle annnonce aussi vouloir fouiller les placards perso. Les reègles sont les mêmes que pour les sacs, même sui les casiers sont dans l'usine ;  c'est de la vie privèe.

Nous allons de suite en informer l'inspection du travail du non-respect de ces règles.

Bon courage et faire suivre l'info.

La CGT

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #FRALIB

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #INFO importante usine

Veuillez cliquer sur les images afin de prendre connaissance du nouveau contrat de travail à Le meux ainsi que le tract avec les explications.

 

 

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                        MODELE DE CONTRAT DE TRAVAIL                                                  TRACT

 

 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #INFO importante usine

Veuillez prendre connaissance du tract en cliquant sur l'image.

   Le CHE et la Cgt

Un bus partira de compiègne à 11H00 de cours Guynemer pour aller sur Paris. Prenez contact avec les élus CGT pour vous inscrire.

 

AGISSONS !

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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