SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Bien sûr, le bilan et les enseignements du combat contre la réforme des retraites macroniste n'est pas épuisé, au-delà des compréhensibles réactions de colère et de déception !

Mais l'absence de mise en cause de la politique impulsée par l'Union européenne par les organisations syndicales affilées à la CES ne laisse pas d'interroger et de révolter comme le suivisme atlantiste dont elles font preuves à l'occasion de la guerre en Ukraine !

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Arsène Schmitt – mon coup de gueule.


 

 

Macron, le sous-préfet de la von der Leyen (plutôt von der l’hyène) a mis tranquillement en œuvre les directives européennes.

Oui, la destruction sociale sur ordre de l’UE continue !

Vraiment, on est mal barré. Il ne faut pas s’étonner que cette saloperie de contre-réforme est passée. C’est la CFDT qui a dirigé et programmé les opérations dès le départ avec les manifestations saute-moutons qui ne pouvaient que conduire à l’échec. Elle ne voulait pas paralyser le pays, d’ailleurs les autres organisations non plus. Aucun mot d’ordre concernant la grève générale. Elle ne se décrète pas disent les Etats-majors syndicaux. Mais je dis qu’elle se prépare !! Oui, en amont la grève générale aurait dû être préparée contre cette barbarie de voler deux ans de vie aux travailleuses et travailleurs. Avec un blocage général de 2-3 jours cette contre-réforme aurait atterri dans la poubelle.

Un commentaire de Frédéric Lordon, économiste : c’était pourtant le mouvement imperdable. Une conjonction comme on n’en avait jamais vue : une réforme inique, indéfendable, un pays exaspéré de la destruction néolibérale, un président haï, un pouvoir d’une brutalité qui indigne le monde entier, des sondages d’opposition à des niveaux inouïs, une colère noire partout, accumulée depuis des années. C’était le mouvement imperdable, et s’il reste aux mains de cette Intersyndicale il sera perdu.

Les directions syndicales par leur rencontre avec la Première ministre ont donné une gifle aux millions de travailleurs qui depuis 4 mois battent le pavé pour l’abrogation de cette loi. Pourtant elles avaient juré et promettaient de ne pas se rendre à Matignon ni à l’Elysée tant qu’ils n’auront pas abrogé cette loi.

Oui, les directions syndicales inféodées à cette CES financée par cette UE de malheur (qui ne génère que misère et guerre), préparent un enterrement de première classe de la contestation populaire.

Il est extraordinaire que jamais cette UE de malheur n’est mise en cause par nos directions syndicales ; que cette contre-réforme est dictée par Bruxelles. Pourquoi ? Parce qu’elles inscrivent leurs actions dans le cadre de cette UE maastrichtienne qui démolit méthodiquement tous nos acquis sociaux.

Et il faut noter, comme l’ont signalé le commissaire européen Paolo Gentiloni, chargé de l’économie, ainsi que Christine Lagarde, présidente de la BCE, qu’en échange de fonds européens, il faut que les Etats appliquent les réformes exigées concernant les retraites, protection sociale, marché du travail… Oui, les Etats européens auront des fonds européens à condition qu’ils détruisent nos systèmes de retraite, l’assurance chômage, la Sécu, nos services publics, conventions collectives… Un nouvel exemple vient à l’appui de cette responsabilité. En effet, la Belgique vient de se voir signifier par la Commission européenne que les crédits communautaires qui lui avaient été promis sans toujours bloqués pour cause de non-réforme des retraites !!!

Ci-dessous deux liens intéressants sur la Confédération européenne des syndicats (CES). Le commentaire de la CGT est affligeant.

Et que dire de la position de la CES sur la tragédie en Ukraine !!! TOUTES ses organisations otanisées, le petit doigt sur la couture, sont en phase avec le terroriste no 1 de la planète que sont les USA. Ceux-ci ont provoqué et déclenché cette tragédie avec l’appui, bien entendu, de cette UE de malheur qui avait appuyé fortement le putsch de Maidan en 2014. Oui honteux ! Rosa Luxemburg, Karl Liebknecht, Jaurès… n’arrêtent pas de tournée dans leur tombe.

 https://www.initiative-communiste.fr/articles/luttes/congres-de-la-confederation-europeenne-des-syndicats-de-qui-se-moque-t-on/

CFDT &cie : le match n'est fini que pour les mauvais bergers du mouvement social - INITIATIVE COMMUNISTE (initiative-communiste.fr)

http://www.frontsyndical-classe.org/2023/06/la-gauche-imperialiste-se-relance-a-paris-devinez-grace-a-qui.htm

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Eh oui Macron on oublie pas et la page n'est toujours pas tournée malgré tes simagrées et la multiplication des diversions ... et de la répression !

 

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
 le salaire c’est essentiel !

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

JO 2024 : des travailleurs immigrés assignent des entreprises du BTP en justice pour « exploitation »

Ce mardi 20 juin, Franceinfo a révélé que dix travailleurs tout juste régularisés ont assigné quatre géants et huit sous-traitants du BTP devant le conseil des prud’hommes. Ils expliquent avoir été exploités sur les chantiers des JO de Paris 2024, sans contrat de travail ni fiche de paye. Des cas qui sont loin d’être isolés.

Jeux Olympiques 2024

Photo : Chantier de la piscine olympique de Saint-Denis en octobre 2022. Par Arne Müseler, Licence creative commons

Dix travailleurs immigrés, ayant travaillé sur les chantiers des Jeux Olympiques de Paris 2024, viennent de se saisir du conseil des prud’hommes de Bobigny, en Seine-Saint-Denis, et y ont assigné quatre géants du BTP : Vinci, Eiffage, Spie Batignolles et GCC, ainsi que huit sous-traitants de ces groupes. Se comparant aux travailleurs des chantiers du Mondial au Qatar, ces dix travailleurs, pour la plupart d’origine malienne ou congolaise, dénoncent l’exploitation qu’ils ont subit. Ayant réussi à obtenir leur régularisation, notamment grâce à l’aide de la CGT, ces travailleurs ont dénoncé la situation qu’ils subissaient tant qu’ils étaient sans-papiers, une situation que de nombreux autres travailleurs immigrés des chantiers des JO continuent de subir.

« La France n’est pas mieux que le Qatar »

Alors que le gouvernement promettaient des chantiers des JO « exemplaires », la réalité rapportée par les travailleurs est toute autre. Moussa, l’un d’eux, témoigne « Tout le monde savait que je n’avais pas de papiers. Et c’est Spie Batignolles qui commande sur le chantier. Un jour, j’avais mal au genou. J’ai demandé à mon patron si je pouvais prendre un ou deux jours de repos. Il m’a dit : ’Si tu n’es pas là lundi, tu prends tes affaires’. J’ai dû continuer à travailler malgré la souffrance. La France n’est pas mieux que le Qatar. »

Ces ouvriers sont en plus forcés d’acheter eux-même leur équipement et sont soumis à des cadences infernales, ainsi qu’à de très nombreux risques d’accidents du travail entraînant des blessures, voire des décès. La CGT estime que plus d’une centaine de travailleurs sont dans cette situation. Des témoignages similaires étaient d’ailleurs déjà parus dans les médias et les chantiers liés aux JO ont déjà fait plusieurs accidents graves et un mort au travail en mars 2023 sur le chantier du Grand Paris Express, un projet soumis à des cadences infernales en vue d’une mise en service pour les JO. De nombreux exemples qui ne sont effectivement pas sans rappeler la situation dans les chantiers de la Coupe du Monde de 2022 au Qatar, où près de 6500 travailleurs immigrés avaient trouvé la mort et où Vinci, et avait emporté un juteux contrat de 1,5 milliards d’euros et où la multinationale était déjà connue pour avoir exploité des travailleurs sans-papiers.

Une plainte déposée aux prud’hommes

Après la plainte déposée aux prud’hommes, Vinci, Eiffage, Spie Batignolles et GCC seront convoquées début octobre selon Franceinfo. Les travailleurs exigent la reconnaissance d’un contrat de travail, requalifié en CDI à temps plein.
Il y a près d’un an, l’inspection du travail avait déjà découvert la présence de travailleurs sans-papiers et sans contrats sur le chantier du village olympique. Le parquet de Bobigny avait alors été saisi pour « emploi d’étrangers sans titre » et « exécution en bande organisée d’un travail dissimulé ».
Si les multinationales du BTP prétendent qu’elles ne sont au courant de rien concernant ceux qu’embauchent leurs sous-traitants, en France, les travailleurs immigrés sont surreprésentés dans les emplois du BTP. Selon la Dares, qui estime qu’ils représentent 27% des ouvriers non qualifiés du BTP et 24% des ouvriers qualifiés du gros œuvre du bâtiment : « Plus les conditions de travail sont difficiles et plus la tension de recrutement est élevée, plus forte et la probabilité que l’emploi soit occupé par un immigré ».

Quant à l’État français, il est complice de cette exploitation, avec sa politique de chasse aux sans-papiers qui durcit toujours plus les conditions de régularisation, poussant les travailleurs immigrés dans la précarité à accepter les emplois les plus pénibles dans des secteurs où le patronat peut les soumettre à des conditions de travail dégradées. Une situation qui ne fera qu’empirer avec le projet de loi immigration du gouvernement, qui prévoit un ensemble de mesures pour faciliter les expulsions et intensifier la répression des immigrés. Un projet de loi qui comporte aussi la mise en place d’un titre de séjour « métiers en tension » dont font partie le BTP : une violente attaque qui va mettre d’autant plus les travailleurs migrants à la merci du patronat de ces secteurs « en tension » et accentuer leur précarisation
Face à un système capitaliste qui considère les travailleurs sans-papiers comme une main-d’œuvre exploitable et corvéable à merci, il faut se saisir largement de la revendication de régularisation de tou.te.s les sans-papiers et se battre contre la loi immigration de Darmanin, dont la présentation a déjà dû être déplacée face à la puissance du mouvement contre la réforme des retraites.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Interview à : VIVA Magazine

 
 
 

 

 

« La France enregistre de tristes records à l’échelle européenne en ce qui concerne le nombre d’accidents du travail. » Interrogée sur les priorités de la Confédération générale du travail (CGT) sur les questions de santé, Sophie Binet rappelle les résultats de la récente étude dévoilée par le ministère du Travail. En 2019, 783 600 accidents du travail ont été recensés. Soit plus de 2 500 par jour travaillé.

« Bien trop peu de prévention »

Devant l’Association des journalistes de l’information sociale (AJIS), la nouvelle secrétaire générale du syndicat détaille les revendications de son organisation sur ce sujet, notamment dans le domaine de la construction, des bâtiments et travaux publics. En 2019, dans ce secteur, 176 décès ont été causés par des accidents du travail. « Il y a bien trop peu de prévention », martèle Sophie Binet.

Six à sept niveaux de sous-traitance sur les chantiers du Grand Paris

« Nous connaissons les causes de l’explosion des accidents du travail et de la mortalité dans le secteur du BTP. L’un des principaux problèmes est celui de la sous-traitance en cascade. Sur les chantiers du Grand Paris, il peut ainsi y avoir jusqu’à six à sept niveaux de sous-traitance. Ce qui occasionne un fractionnement du travail. Or dans la construction, le collectif s’avère naturellement primordial. Mais les gestes professionnels ne peuvent pas être travaillés collectivement. Le deuxième effet direct est le turn-over des intérimaires, un facteur particulièrement accidentogène. »

Jusqu’à 40 % d’intérimaires sur une ligne de production

Sophie Binet insiste sur le sujet de l’intérim, qui est loin de concerner uniquement le secteur du bâtiment. « Il y a aujourd’hui 20 à 40 % d’intérimaires sur une ligne de production. Aussi bien dans le secteur de l’automobile que dans l’agroalimentaire… Ceci entraîne un problème de responsabilité. Notamment en ce qui concerne les plans de prévention qui, du fait de leur segmentation, ne portent pas sur l’ensemble des équipes. »

Montrer l’exemple

« A la CGT, nous pensons qu’il faut limiter à un seul niveau de sous-traitance. Cette décision doit être encadrée légalement. L’Etat doit commencer à montrer l’exemple, notamment dans le secteur de la construction qui dépend essentiellement de la commande publique. Ainsi, dans le cadre des appels d’offres, une condition doit être fixée pour contraindre à un seul niveau de sous-traitance. Ceci ferait déjà avancer les choses. »

Représentants du personnel

Parmi les autres sujets sanitaires prioritaires, Sophie Binet pointe celui de la santé mentale. « La face cachée de l’iceberg. Les arrêts maladie continuent d’exploser. Les burn-out également. Mais les représentants du personnel ont vu leurs moyens d’enquêtes et de prévention s’affaiblir considérablement… Il y a aussi la question du harcèlement sexuel. Il n’y a pas encore eu de changements à la hauteur dans les entreprises et au travail. »

Pas de vraies mesures contre le harcèlement sexuel

« Depuis le mouvement MeToo, les femmes sont plus nombreuses à venir nous voir pour dénoncer les violences qu’elles ont subies. Cependant, il y a toujours aussi peu de politique publique de prévention. Et ce n’est plus tolérable. Toutes les organisations syndicales veulent mettre en place une séance tripartite entre le gouvernement, le patronat et les syndicats pour lancer de vraies mesures contre les violences sexistes et sexuelles au travail. »

Poly-fracturés

Ancienne conseillère principale d’éducation (CPE), la responsable syndicale s’est également exprimée sur le manque de moyens dans les lycées professionnels, établissements où elle a longtemps exercé. Sophie Binet a appuyé sur les besoins en termes d’encadrement socio-éducatif, pour accompagner les jeunes en difficultés. « Bon nombre d’entre eux ont vécu des situations extrêmement violentes et sont aujourd’hui poly-fracturés. Il faut donc beaucoup plus d’infirmières, d’assistantes sociales, pour les encadrer correctement. »

Aide sociale à l’enfance

« L’une des choses qui me révolte le plus, c’est de voir la situation de l’aide sociale à l’enfance. Aujourd’hui, les situations urgentes sont clairement identifiées. Mais nous ne sommes pas capables d’y répondre. Ces enfants sont donc maintenus dans leurs familles malgré les violences qu’ils peuvent y subir. Ou placés dans des foyers avec des taux d’encadrement insuffisants. »

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

« Au moins dix milliards € » Le gouvernement veut les économiser d’ici 2027 contre « la dette », annonce lundi 19 juin Bruno Le Maire…

Info'Com-CGT

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
le syndicat de médecins MG France dénonce "une véritable campagne d'intimidation pour qu'on n'arrête plus les gens qui en ont besoin"
Bruno Le Maire a évoqué plusieurs mesures pour redresser les comptes publics, dont la lutte contre les arrêts maladie dits "de confort". Pour Agnès Giannotti, la présidente du syndicat de médecins MG France, c'est "absolument scandaleux".
 
Article rédigé par
Santé

"On a une véritable campagne d'intimidation pour qu'on n'arrête plus les gens qui ont besoin d'être arrêtés", a déclaré ce lundi 19 juin sur franceinfo Agnès Giannotti, présidente du syndicat de médecins MG France, premier syndicat chez les généralistes. Le ministre de l'Economie et des Finances, Bruno Le Maire, a annoncé ce lundi qu'au moins 10 milliards d'euros d'économies avaient été identifiés pour permettre le redressement des comptes publics de la France d'ici 2027, notamment dans la santé et le travail.

franceinfo : Est-ce que certains médecins donnent trop d'arrêts maladie ?

Agnès Giannotti : Si la population vieillit et a des maladies chroniques c'est à cause des généralistes, s'il y a des problèmes de management dans les entreprises c'est à cause des médecins généralistes, si les caissières et les femmes de ménage n'arrivent plus à travailler parce qu'elles ont mal aux genoux et aux épaules, c'est la faute des médecins généralistes. C'est ça des arrêts de confort ? Ce sont ces patients là que l'on arrête. Là, on a une véritable campagne d'intimidation pour qu'on n'arrête plus les gens qui ont besoin d'être arrêtés. C'est absolument scandaleux.

Pourquoi dit-on qu'il y a trop d'arrêts ?

Des dérives sur les indemnités journalières, il y en a, mais très peu chez les médecins traitants, 1 à 2%, il y en a beaucoup sur les plateformes de téléconsultation. Qui a dérégulé ? C'est l'Etat. Qui a mis les plateformes en accès direct sur 'mon espace santé' ? C'est l'Etat. Pointer les médecins généralistes traitants c'est absolument scandaleux. Les besoins de soins augmentent, la population vieillit, l'âge de la retraite est repoussé, donc un politique responsable anticipe ces dépenses qui augmentent.

Le ministre de l'Economie a également évoqué les frais de santé et a parlé de confort. Qu'en pensez-vous ?

Le prix des médicaments est fixé entre l'Etat et les industries du médicament. On n'est pas dans l'histoire. Les médicaments de confort ont été déremboursés. Quand on fait une ordonnance, il y a zéro médicament de confort. Un antidouleur est un médicament de confort, mais encore faut-il souffrir ! Ce qui fait flamber les dépenses ce n'est pas ça, ce sont les maladies chroniques et le vieillissement de la population. Mais on a des politiques qui ont été incapables d'anticiper aussi bien les besoins de soins de la population, que les besoins de personnels soignants. Là, on est dans le mur parce qu'ils ont voté un financement de la Sécurité sociale qui n'est pas à hauteur de l'inflation et qui ne prend pas en compte l'augmentation des besoins. Donc, les besoins ne sont pas couverts. Donc, on diminue le remboursement des soins dentaires. On a une assurance maladie qui veut faire des économies sur le dos des personnes qui ont peu de moyens, sur le dos des pauvres. C'est inadmissible. Le bouc-émissaire ce sont les médecins traitants.

Allez-vous accepter des contrôles supplémentaires ?

Nous ne voulons pas de mise sur objectif. Nous allons demander à ce que les médecins conseil de la Sécurité sociale viennent contrôler chacun de nos arrêts maladie et on verra bien s'ils les trouvent de complaisance. Mais on veut aussi qu'ils le fassent pour les plateformes de téléconsultation. Ces médecins ne connaissent pas les patients et c'est un système non organisé de consommation de soins.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Nouvelle journée de grève à Disney : pour gagner, il faut un plan pour durcir la mobilisation !

Les travailleurs étaient de nouveau mobilisés ce lundi à Disneyland Paris pour les salaires et conditions de travail. Après un mois de grève discontinue qui n'a pas encore réussi à faire plier la direction, intraitable, la question de la suite du mouvement se pose. Contre toute forme de démoralisation, il faut poser la question de durcir le mouvement.

Grève pour les salaires

Crédit photo : @LoskLive (Twitter)

Ce lundi 19 juin, la grève se poursuit à Disneyland Paris. Aujourd’hui à partir de 9h, les grévistes se sont réunis devant le bâtiment Imagination réservé au personnel à l’appel du Mouvement anti-inflation, de la CGT et de l’UNSA. Ils sont ensuite partis en cortège pour manifester une nouvelle fois dans le parc, remplaçant la parade annulée et traversant les espaces thématiques de "Discoveryland" puis "Fantasyland" avant de revenir sur la place centrale par le château, encadrés par de nombreux agents de sécurité.

 

Alors que la direction ne cède toujours pas sur les revendications des salarié.e.s après bientôt un mois de débrayages discontinus, on assiste à un reflux du mouvement. Pourtant, nombre d’entre eux continuent de se mobiliser. Un constat qui pose la question d’un durcissement de la grève, impulsé à la base, pour donner confiance et arracher les revendications du mouvement, telles que la hausse de salaire de 200 euros net par mois, le doublement de la prime kilométrique et du paiement des dimanches travaillés ainsi que la fin de l’obligation des horaires dits "adaptés".

Dans le même temps, alors que pour de nombreux employés précaires, les journées de grève commencent à peser sur le porte-monnaie, le mouvement ne pourra probablement pas se maintenir sans la création de caisses de grève, absentes pour le moment. Leur constitution et leur gestion par les travailleuses et les travailleurs, ainsi que leur ouverture à tous, syndiqués ou non, pourrait donner un nouveau souffle à la grève, regardé avec attention par de larges secteurs du monde du travail et de la population.

Des perspectives essentielles pour donner confiance aux salariés de Disneyland en leur chance de sortir victorieux du conflit et permettre de peser plus lourd dans le rapport de la force nécessaire pour faire plier la direction restée jusqu’à maintenant inflexible.

 

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Face à l'omerta de nos gouvernements et de nos médias, chercher la vérité pour contraindre à la PAIX ceux qui veulent à tout prix la prolonger et ne cessent d'alimenter le brasier en fournissant des armes sans limites au régime de Kiev !

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

 

Qu'on se souvienne : il n'y a guère tout le gratin politique s'offusquait des modifications de constitution qui ont permis aux présidents en place d'être reconduits.

Ce fut le cas pour la Russie.

"Nos" démocrates alors hurlant à l'illibéralisme, voire à la dictature.

Et Richard Ferrand a le culot d'assimiler cette demande à une exigence de souveraineté populaire !!!!

Une fois de plus la preuve est faite que l'oligarchie se sert des institutions taillées à l'aune de ses intérêts de classe sans vergogne.

MAIS qu'elle a en permanence la tentation de les modeler et de les violer lorsque la moindre menace pèse sur sa domination et ses choix politiques.

 

 

Comme on a pu le constater par ailleurs à l'occasion de son comportement au Parlement lors de la contre-réforme des retraites.

Pas d'illusion sur les institutions !

Pas d'illusion sur leur caractère démocratique !

Pas d'illusion sur le respect par l'oligarchie de la souveraineté populaire et de la démocratie  !

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SOURCE : 20 minutes

Richard Ferrand soutien l’idée d’un 3e mandat présidentiel

En 2027, le président français Emmanuel Macron ne pourra pas se représenter. La Constitution est claire : « nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs ». Toutefois, pour l’ancien président de l’Assemblée nationale Richard Ferrand, il serait de bon ton de modifier les règles. Interrogé dans le Figaro dimanche, le membre de la majorité, malheureux aux élections législatives, regrette « tout ce qui bride la libre expression de la souveraineté populaire », notamment « la limitation du mandat présidentiel dans le temps ».

« Tout cela corsète notre vie publique dans des règles qui limitent le libre choix des citoyens. Ça affaiblit notre vie politique en qualité et en densité, et la rend moins attractive », estime Richard Ferrand dans les colonnes du journal. « Changeons tout cela en préservant le bicamérisme et le Conseil constitutionnel, gardien vigilant des principes républicains et des libertés publiques », appelle-t-il. Quant à l’élection présidentielle de 2027, le proche d’Emmanuel Macron estime qu’il faut cesser d’en parler. Pour le moment du moins. « Les Français attendent de leurs responsables politiques qu’ils se concentrent sur ce qui est à faire aujourd’hui puis dans les mois et années qui viennent », estime-t-il.

Plus « un vétéran qu’un aspirant »

 

La politique « ce n’est pas une affaire de tambouille ». « Nous voulons rester une alternative », a insisté le député d’Eure-et-Loir. Battu dans sa circonscription du Finistère aux législatives de 2022, Richard Ferrand ne s’est plus exprimé publiquement depuis, mais reste actif en coulisses, dans un rôle de conseil officieux du président et du gouvernement.

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

 

Toyota condamné en Cour de Cassation
 
Fin 2017, Toyota a sanctionné d'un avertissement Eric Pecqueur, délégué Cgt et secrétaire général de la Cgt Toyota parce qu'il était aux côtés des travailleurs des Presses pour les soutenir dans leur protestation contre le travail annoncé le 1er novembre 2017 férié.
En 2019, les Prud'hommes de Valenciennes sont allés dans le sens de Toyota et ont maintenu l'avertissement.
Eric a saisi la Cour d'Appel et en janvier 2022, la Cour d'Appel de Douai a non seulement soutenu la décision des Prud'hommes, mais a, en plus, condamné Eric Pecqueur à payer 1 500 euros à Toyota pour "incitation à la désobéissance".
Avec la solidarité de nombreux travailleurs, de militants et l'aide financière de l'ud cgt du Nord, nous venons de gagner l'annulation de la condamnation de la Cour d'Appel par la Cour de Cassation, ainsi que le remboursement des frais de justice (3 000 euros).
C'est un premier succès, et cette affaire va repasser une nouvelle fois devant la Cour d'Appel dans l'année qui vient pour être rejugée.
Il n'y a que ceux qui ne se battent pas qui ont perdu d'avance.

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Contrairement à ce qu'une partie des médias avance pour faire croire à un retour " à la normale" Macron a bel et bien été sifflé de samedi au stade de France à l'occasion de la finale de rugby Stade Toulousain-La Rochelle.

 

 

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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