SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

notes d'information cgt unilever

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

NPA 34 , 2018-11-30 20:47:20

 Lettre du NPA 34 aux diffuseurs de la pétition « Ne touchez pas à la loi de 1905″

L’AG du NPA 34 s’est penchée mercredi dernier sur la pétition « Ne touchez pas à la loi de 1905 » (lire ci-dessous) qu’il lui a été proposé de signer.

Après discussion nous avons pris la décision de ne pas la signer pour la raison que nous vous exposons ici.

Nous sommes évidemment d’accord pour nous opposer à la volonté de Macron d’établir une modification de la loi laïque de 1905 qui
signerait, si elle était suivie d’effet, une intervention de l’Etat dans ce que ladite loi pose comme étant exclu de son champ de compétences : à savoir le fonctionnement et le financement des associations ou regroupements dont les personnes qui le désirent se dotent sur la base de ce qui fait accord entre elles. En l’occurrence, retrouvant par là des présupposés de la tradition gallicane de contrôle de l’Eglise par le pouvoir en place, reprise par certains laïques qui ont été battus en 1905 sur le vote qui a fait prévaloir l’actuelle loi, Macron vise un culte en particulier, le culte musulman. Nous souscrivons donc au diagnostic posé par les pétitionnaires sur la nature du danger que nous devons combattre.

En revanche nous sommes étonnés de l’inconséquence que manifeste cette pétition en défendant la liberté de conscience qui est bien
l’étendard de la loi de 1905 tout en affirmant, dans la même phrase, que les « questions religieuses et philosophiques doivent demeurer dans la sphère privée ». Cette idée restrictive de la privatisation de l’expression des croyances n’est, en aucune façon, cohérente avec la loi de 1905 qui explicite clairement que les croyances, en particulier religieuses, ont droit de cité, autrement dit sont reconnues comme pouvant se manifester librement dans l’espace public, à la seule réserve près que ces manifestations n’attentent pas à l’ordre public : la liberté de conscience n’est rien sans la liberté d’expression publique. C’est cela la position laïque que nous avons défendue récemment : lors des cérémonies de célébration de la Saint-Roch à Montpellier, il ne nous est en effet pas venu à l’idée de réclamer que « cela se passe dans la sphère privée », ce qui, stricto sensu, serait un non sens : des cérémonies collectives de rue en privé ? Notre contestation, pleinement et justement laïque, a porté sur l’implication de représentants de la mairie dans l’organisation et la célébration de cette manifestation catholique. Pas plus, pas moins.

Nous tenons à préciser que ce « renvoi du religieux à la sphère privée » est un poncif et une pièce clé de l’offensive anti-loi de 1905 que mènent les « laïques antilaïques » faisant converger une partie de la gauche, la droite et l’extrême droite dans une démarche de criminalisation des musulman-es qui, hélas, participe pour beaucoup d’un air du temps de plus en plus nauséabond. De fait Macron, par son projet que nous dénonçons, cherche à surfer, pour son projet intégriste néolibéral, sur cette volonté de dénaturer la loi laïque qui est et doit rester notre référence. Voilà pourquoi il est important d’être cohérents sur l’ensemble de la grille d’analyse laïque que nous portons. Surtout que tant, d’un côté, la légitimation de l’antienne pseudo laïque prétendant que le lieu « naturel » des croyances est le privé que, de l’autre, l’attaque d’un Macron présentant tant de lettres de noblesse liberticides (dispositions de l’état d’urgence basculées
dans le droit commun, projet accroissant encore les pouvoirs accordés à la police …), préfigurent bien des dangers sur ce qu’il serait permis d’exprimer ou pas dans l’espace public… pour ce qui est de certaines croyances religieuses mais aussi pour des options politiques ou philosophiques susceptibles de « déplaire » au pouvoir en place (voir ce qu’un Saurel [maire macronien « freelance »] tente d’imposer à
Montpellier) !

Nous regrettons vivement que ce point que nous soulevons, comme l’ensemble de la pétition, n’aient pas été débattus entre nous avant
publication. Nous souhaitons que cette réserve de notre part qui, vu l’importance du sujet, nous empêche de signer, soit portée à la connaissance des organisations signataires pour que la clarification soit faite dans la perspective de futurs positionnements que nous serons inévitablement amenés à prendre.

Salutations anticapitalistes et laïques NPA 34  

La liste des premiers signataires est à lire ici

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Laïcité sauce intégrisme capitaliste

Celui-là, c’est un pote, il fait ce qu’il veut au Yémen, avec les armes que nous lui vendons et qui filent chez les intégristes terroristes, Kashoggi connaît pas, les droits des femmes saoudiennes, bon ben… mais les musulman-es de France (et quelques autres au passage), on les a à l’oeil ! On ne plaisante pas avec le danger terroriste venu de l’étranger…

Publié par anti-k.org

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
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Acte III des gilets jaunes: No future ou convergence des luttes?

Avant toute chose, même si je suis à 100% pour l'augmentation générale des salaires, des pensions de retraite, des prestations sociales et pour le plein emploi, je ne place pas en évidence sur le pare-bise de ma bagnole un gilet jaune pour passer un barrage desdits gilets jaunes. Je suis à 100% contre le fait de déléguer à quiconque qu'il manifeste à ma place. A bon entendeur, salut! Ceci dit, après l'acte III des gilets jaunes ce samedi en France: no future ou convergences des luttes pour un avenir meilleur?

J'ai pris la fin de l'article de Libération de ce 1er décembre à 20h 10. Libre à chacun d'en lire la totalité sur son site:

"(...)Stéphanie, assistante maternelle de l’Oise, non syndiquée, est une de ces «gilets jaunes» venue se joindre à la manifestation de la CGT. Comme beaucoup de manifestants en jaune, cette quadra a choisi de venir ici pour éviter les gaz lacrymogènes qui l’ont fait pleurer le week-end dernier, sur les Champs-Elysées. «Ils nous ont fait acheter des voitures diesel il y a quelques années, et maintenant il faudrait qu’on change. Moi je n’ai aucun transport en commun dans ma commune rurale. Et puis ils sont mignons mais pour acheter une voiture hybride, faut de l’argent. J’ai déjà le crédit de la maison sur le dos et on ric-rac», explique-t-elle. Mais la taxe sur les carburants n’est pas sa seule préoccupation. Habituée à enchaîner plusieurs CDD et à pointer de temps en temps à Pôle emploi, elle s’inquiète de la réforme de l’assurance chômage en cours, qui doit, selon les attentes du gouvernement, modifier les règles de cumul entre indemnisation chômage et contrats de courtes durées. Pour elle il y a «un point commun entre tous les gens qui se mobilisent, ici ou ailleurs: c’est le ras-le-bol et le sentiment de ne pas être écouté.»

«S’ils ne veulent pas s’unir, ils vont perdre»

«Entre les premiers mots d’ordre sur Facebook et aujourd’hui, les revendications des gilets ont un peu bougé et elles ressemblent beaucoup aux nôtres, non ?», pointe de son côté Philippe Martinez. Gisèle, Françoise et Noëlle, retraitées de Seine-et-Marne sont, veulent-elles d’abord préciser, «surtout gilets jaunes». Mais elles le reconnaissent volontiers, «la CGT a les mêmes revendications que nous». Ensemble, elles dénoncent «les salaires des fonctionnaires qui n’augmentent pas et les retraites qui baissent».

Chez les militants CGT, on voit plutôt d’un bon œil l’arrivée de ces renforts. «On est d’accord sur certaines de leurs revendications, comme arrêter la hausse des prix des carburants ou se battre pour les salaires», souligne une membre de l’union locale de la CGT de Pithiviers, dans le Loiret. Pour elle, «plus la CGT mobilisera, plus il y aura convergence des idées et des luttes». «S’ils ne veulent pas s’unir, ils vont perdre. Mais pas question toutefois d’aller avec les casseurs et les fachos ou avec ceux qui sont contre toutes les taxes, y compris les cotisations sociales», prévient son voisin cégétiste.

«Ce n’est que maintenant qu’ils se réveillent les syndicats?»

Venue du Calvados, Martine, cégétiste à la retraite, veut croire que les divergences sont marginales. «J’ai vu des chasubles jaunes où il était écrit qu’il fallait faire payer les riches ou ne pas fermer des maternités», se réjouit-elle. Mais si certains espèrent une réunion de tous les cortèges du jour, d’autres ont bien du mal avec ce mélange des genres. C’est le cas d’une famille de «gilets jaunes» venue de l’Essonne qui, après avoir échoué à rejoindre les Champs-Élysées, vient de débouler, vers 15 heures, place de la Bastille. Et se retrouve, par hasard, en plein cortège cégétiste. La CGT? «Ne m’en parlez pas, je suis anti-organisations syndicales. Ils ne servent à rien. Regardez d’ailleurs, ce n’est que maintenant qu’ils se réveillent les syndicats? C’est un peu tard…», s’enflamme une femme du groupe. Un discours que Philippe Martinez a dû entendre à plusieurs reprises. Un peu plus tôt, dans la journée, il expliquait: « Les gens ne sont pas syndiqués car on ne va pas assez les voir. Partout où on n’est pas présent, les gens ne s’organisent pas ou font sans nous. Ce mouvement des gilets jaunes, c’est aussi le reflet de notre difficulté. C’est de notre responsabilité d’aller partout.»"

Note de ma pomme: Pour le débat et aussitôt pour l'action.

J'ai mis mon article dans la catégorie politique, parce que tout étant politique, salarié hier et maintenant à la retraite, je suis un citoyen responsable contre le pouvoir politique des forces de l'argent.

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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MENTEURS ! Le ministre l’annonce : ils veulent détruire les pensions de réversion
 

Un gouvernement de menteurs. Ils l’avaient juré : on ne touchera pas aux pensions de réversion. Ils ajoutaient certes des phrases compliquées dont il fallait se méfier. Pour Monsieur le ministre Jean-Paul Delevoye s’exprimant le 14 novembre dernier devant la Commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale, tout est devenu très simple. Il faut donner dans le « splitting », c’est à dire qu’il faut partager, moyenner les pensions dans un couple et ne garantir que cette moyenne pour le survivant.

La Tribune des travailleurs a sorti cette semaine sa calculette. La retraite moyenne en France en 2016 est de 1 070 euros brut pour les femmes et de 1 740 pour les hommes. Vous recevez comme votre conjoint(e) 1400 euros de pension par mois. Dans le système actuel le conjoint survivant touche 54% (1) de la retraite du défunt, soit 756 euros. Dans le système de M. Delevoye vous ne toucherez rien. N’est-ce pas normal ? Puisque vous viviez avant avec 1400 euros chacun, pourquoi vivriez-vous avec plus après la mort de votre conjoint ? C’est le « splitting ».

Autre exemple : l’homme reçoit 1600 euros, la femme 1200. La moyenne est de 1400 euros. L’homme décède. La femme touchera seulement 200 euros, au lieu de toucher les 864 euros de pension de réversion du système actuel (54% de 1600), qui lui auraient permis, par exemple, de ne pas déménager en continuant de pouvoir payer loyer et charges, de continuer à aider enfants et petits-enfants… Un véritable hold-up sur le salaire différé !  Une agression contre tous et tout particulièrement contre les plus fragiles, contre les plus pauvres, contre les femmes.

La campagne continue, plus que jamais, pour l’unité ouvrière contre le gouvernement Macron-Philippe-Delevoye, pour le retrait du projet de contre-réforme des retraites.

Un dossier à lire dans la Tribune des travailleurs…

(1) Ce taux de 54% s’applique pour le secteur privé sur les deux ou trois composantes de la retraite : la retraite du régime général (avec un système de plafonnement), la retraite complémentaire ARRCO et éventuellement la retraite des cadres. Le taux est de 50% pour les fonctionnaires, sans plafond de ressources.

Publié par EL DIABLO

 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
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Pour des REVENDICATIONS et une ACTION communes avec le gilets jaunes - un communiqué CGT industries chimiques-
Pour des REVENDICATIONS et une ACTION communes avec le gilets jaunes - un communiqué CGT industries chimiques-

voir également le lien ci-dessous:

[jpg] CGT-FNIC-GILETS-JAUNES-COMMUNIQUE-29-11-2018

Publié par EL DIABLO

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Londres : des SDF forcés de vivre dans des bennes à ordures, au risque de se faire broyer par les camions

« On a l’habitude de faire attention aux chats errants, maintenant on vérifie s'il n’y a pas des gens endormis », raconte un éboueur londonien dans le Times.

Société barbare

Pour échapper à la pluie et au vent, de plus en plus de SDF londoniens se réfugient dorénavant dans des conteneurs à poubelles. Une situation qui pose des problèmes sanitaires graves, ainsi qu’un risque d’accident élevé, certains .
« On a l’habitude de faire attention aux chats errants, maintenant on vérifie s’il n’y a pas des gens endormis », raconte un éboueur Londonien dans le Times. Et pour cause, en janvier dernier, lors du ramassage des déchets, des éboueurs n’ont pas remarqué l’homme, qui dormait dans un vieux sac de couchage à l’intérieur du conteneur, et qui s’est donc fait avaler par le camion benne, lui fracturant une jambe et le bassin. L’homme décédera quelques semaines plus tard, à l’hôpital, suite à des complications médicales. Un accident qui n’est pas une exception, l’association des professionnels de l’environnement ayant déjà comptabilisé 11 accidents du même type ayant coûté la vie à des sans-abris.

Des accidents terribles, mais qui révèlent un problème grave : celui que les SDF londoniens ont de moins en moins de place dans les centres d’hébergements, dans une ville fortement nitrifiée où il est impossible de trouver un logement décent. Aussi, ces SDF se font de plus en plus exclure des maigres espaces où se reposer par des dispositif anti-SDF et par la police ; ils se réfugient dorénavant dans des poubelles pour pouvoir dormir, les exposant d’autant plus à toute sortes de maladies. Une situation de vie extrêmement dure, mais qui tend à devenir banale à Londres, tant le nombre de personnes se retrouvant à la rue augmente. En effet, un récent rapport montre que le nombre de sans-abri a augmenté de 13 000 l’année dernière. La société Biffa, spécialisé dans le traitement des ordures, a quant à elle dénombré 175 SDF vivant dans ce genre de conditions, un nombre certainement très en-deçà de la réalité.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Gilets Jaunes. La colère jaune monte d’un cran dans toute la France

Face aux interdictions de manifester, aux restrictions et à la répression policière, on assiste à un durcissement du mouvement des Gilets Jaunes. Un débordement de « casseurs » ? Plutôt une colère que le gouvernement ne veut pas entendre ni voir s'exprimer.

Acte 3 : le durcissement du mouvement

Sur Paris, 5 000 policiers et gendarmes ont été déployés pour cet Acte 3 de la mobilisation des Gilets Jaunes. 66 000 sur toute la France, selon les chiffres donnés par Christophe Castaner ce soir sur BFM-TV. « Un dispositif policier jamais vu depuis 1968 » ont décrit les commentateurs. Et pourtant, sur Paris, comme dans toute la France, les forces de l’ordre ont été largement débordées par des manifestants venus en masse, prêts à en découdre pour faire entendre leur ras-le-bol contre la politique du « président des riches ».

L’acte 3 des Gilets Jaunes marque un réel durcissement du mouvement. Les « gentils Gilets Jaunes » que le gouvernement croyait pouvoir faire manger dans sa main, ont depuis déjà connus les gaz, ont vu les mutilés par la répression policière, arrêtés et mis en garde-à-vue. Ils ont appris, d’une certaine manière, de leurs expériences.

Beaucoup de mère et de père de famille ont pris avec leurs désormais traditionnels gilets jaunes, des lunettes et des masques de protection comme cela s’est vu parmi les manifestants venus sur Paris. Sur Paris donc, alors que le gouvernement avait assuré qu’un dispositif de filtrage serait mis en place, en réalité, les gilets jaunes n’ont pas pu accédé sur les Champs Élysées. Les manifestants se sont donc rassemblés place de l’Etoile et sur les avenues bordant les Champs, avec des affrontements prévisibles, face à l’impossibilité de rejoindre les points de rassemblement.

Certes, c’est Paris et ses images impressionnantes qui a fait la une des médias. Mais en réalité, c’est dans toute la France que la mobilisation prend une nouvelle ampleur. Des points de rassemblements ont été nombreux et non déclarés, avec des actions coups de poing particulièrement impressionnants : au Puy-en-Velay où la préfecture de police a été envahie, tout comme l’aéroport de Nantes et de Nice. Les barricades ont fleuri dans les principales agglomérations françaises, plusieurs incendies de voitures ont été décomptés comme des pillages de magasins... Le phénomène est massif. Si tous ne partagent pas les méthodes, beaucoup de gilets jaunes sont solidaires : le mouvement continue de rencontrer 80% de soutien dans la population n’en déplaise au gouvernement et aux médias dont les chiffres de décompte – seulement de 15 000 personnes selon le ministère de l’Intérieur - sont toujours contestés.

Si le gouvernement cherche à diviser les « bons manifestants », des « casseurs ». La technique ne fait plus vraiment d’effet. Les gilets jaunes se sentent solidaires entre eux, ils s’entraident quitte à passer à des modes d’actions plus offensifs. « il y a que comme ça que ça marche. C’est Macron la violence », commente un manifestant dans un reportage sur TF1.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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LA CGT à la République
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Publié par FSC

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Aciens présidents

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La division nutrition de GSK comprend notamment le lait malté Horlicks, très prisé notamment en Inde. - Shutterstock

La division nutrition de GSK comprend notamment le lait malté Horlicks, très prisé notamment en Inde. - Shutterstock

La division nutrition de GSK est évaluée à un peu plus de 4 milliards de dollars, principalement grâce à sa marque de lait malté Horlicks.

Unilever aura été plus fort que Nestlé et Coca-Cola. Depuis plusieurs mois, les trois entreprises faisaient de la surenchère autour de la division nutrition de GSK. Une activité évaluée à un peu plus de 4 milliards de dollars (3,5 milliards d'euros), principalement grâce à  sa marque de lait malté Horlicks.

Selon le Financial Times (FT) , Unilever serait ainsi entré en négociations exclusives avec le géant pharmaceutique. L'offre faite par l'entreprise anglo-néerlandaise d'agroalimentaire n'a pas été précisée. Mais, selon le quotidien économique britannique, elle porterait notamment sur l'intégralité de la participation de 72,5 % de GSK dans Horlicks.

Renforcer sa position

La vente de sa division nutrition s'inscrit dans la nouvelle stratégie de GSK, sous l'impulsion de sa dirigeante, Emma Walmsley. Cette décision a également été motivée par le rachat de la part de Novartis dans leur coentreprise de médicaments sans ordonnance, pour 10,4 milliards d'euros.

Si la transaction était concrétisée, Unilever renforcerait sa position en Inde, son principal marché émergent. Il récupérerait les 44 % de part de marché de Horlicks en Inde.

Un prix élevé

Nestlé était semble-t-il également intéressé par le rachat du lait malté, dont 90 % des ventes ont lieu en Inde. Le géant suisse chercherait en effet à renforcer sa position de leader sur le marché des boissons chaudes en poudre, explique le FT. Nestlé est déjà présent en Inde avec ses marques Milo ou encore Nesquik.

L'intérêt de Coca-Cola, un temps intéressé, se serait quant à lui refroidi en raison du prix demandé. Car Horlicks représente une occasion rare d'acquérir un produit en forte croissance sur un marché émergent où le régime alimentaire des consommateurs évolue parallèlement à l'augmentation du revenu par habitant, selon les analystes.

Enrique Moreira

Publié par lesechos.fr

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Unilever s'est choisi un nouveau patron

L'actuel directeur général du géant anglo-néerlandais des biens de consommation, Paul Polman, quittera ses fonctions au 1er janvier.

 

Après une décennie  passée à la tête d'Unilever, Paul Polman (62 ans) s'apprête à quitter ses fonctions de directeur général au 1er janvier. Il sera remplacé par Alan Jope, président de la division Beauté et Hygiène depuis 2014, annonce le géant anglo-néerlandais dans un communiqué de presse ce jeudi.

« Paul Polman a décidé de quitter l'entreprise », précise Unilever qui ne donne pas les raisons de son départ. Au cours de son mandat, « la société a enregistré une croissance constante de son chiffre d'affaires et de ses résultats supérieurs à ceux des marchés », est-il seulement indiqué.

Développeur d'un modèle de croissance durable pour Unilever, Paul Polman a généré « un rendement total pour les actionnaires de 290 % » pendant les dix ans passés à la tête de l'entreprise. Ces mêmes actionnaires ont pourtant  largement rejeté sa proposition de supprimer la structure à deux têtes de la société pour s'implanter uniquement aux Pays-Bas. Unilever affirmait pourtant que  cette restructuration la rendrait plus compétitive à l'heure où le marché des biens de consommation se consolide.

Unilever s'est choisi un nouveau patron

En dix ans à la tête d'Unilever, Paul Polman a généré un rendement total pour les actionnaires de 290 % - Riccardo Savi/Getty Images for Concordia Summit/AFP

 

Période de turbulences

A 54 ans, Alan Jope reprend les rênes d'Unilever (Dove, Ben & Jerry's...)  après une période de turbulences durant laquelle la société a notamment repoussé la tentative d'OPA  de Kraft Heinz  téléguidée par le milliardaire Warren Buffet. Sa nomination intervient également à un moment où les investisseurs activistes poussent les industriels du secteur des biens de consommation  à élargir leurs marges bénéficiaires.

Durant son mandat de président de la division Beauté et Hygiène, Alan Jope a pour sa part tenté d'accroître la rentabilité d'Unilever en créant une division baptisée Prestige. Développant celle-ci au travers d'acquisition de marques de soins de la peau haut de gamme telles que Ren et Dermalogica.

Marchés émergents

Pour Unilever, Alan Jope « possède une excellente feuille de route pour diriger les activités d'Unilever sur les marchés développés et émergents ». Il a en effet dirigé la société en Asie du Nord, en Russie, en Afrique et au Moyen-Orient.

Le géant des biens de consommation vient d'ailleurs tout juste d'entrer  en négociations exclusives avec GSK pour racheter son lait malté, Horlicks. Ce dernier réalise 90 % de ses ventes ont lieu en Inde, premier marché émergent d'Unilever.

Enrique Moreira

Publié par lesechos.fr

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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