SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

notes d'information cgt unilever

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Annuel Global Des Dépenses Sur Le Marketing Numérique Approches De 100 Milliards De Dollars

Annuel Global des dépenses sur le marketing digital est de près de 100 milliards de dollars, une étude du cabinet Britannique cabinet Moore Stephens a trouvé, Reuters rapports.

En 2017, les dépenses de marketing numérique ont augmenté de 44 pour cent aux États-unis et la grande-Bretagne. Au lieu de s’appuyer sur des tactiques traditionnelles de marketing, les entreprises recherchent des clients grâce à l’optimisation de search engine (SEO), médias sociaux, commande vocale, les assistants numériques et en ligne des campagnes de publicité, employant soi-disant martech (Commercialisation de la Technologie) tactiques.

Traditionnelles agences de marketing sont, selon l’auteur de l’étude Damian Ryan, de la difficulté à garder le rythme, et restent incapables de s’adapter au marché.

“De toute évidence, les marketeurs cherchent à construire la maison de force et sont en mesure de dépenser plus sur la martech pour rester compétitif. Notre recherche trouve que ce budget est à venir à partir de supports de passer et avoir un impact puissant sur la valeur des médias centrée sur les agences,” a dit Ryan.

Pour l’étude, Moore Stephens a interrogé plus de 800 entreprises en Europe, en Amérique du Nord et l’Asie-Pacifique.

Les résultats montrent que les Américains et les Britanniques, les entreprises dépensent des 23 pour cent de leurs budgets sur martech. En comparaison, ils ont passé de 16 pour cent de leur budget à cette forme de marketing de l’année dernière. Soixante-trois pour cent des états-UNIS de la technologie budgets ont été dépensés dans-maison en 2017, contre 44% en 2016.

“Face à cela, nous pouvons voir que, à l’extrémité supérieure où les marques dépensent de plus, ils sont toujours en collaboration avec les agences,” Ryan a expliqué.

 

Les sociétés comme les anglo-hollandais société de biens de consommation Unilever se sont plaints sur la fraude dans le marketing numérique. En juin de cette année, comme le Inquisitr signalé, Unilever a pris une position publique contre la vente de la manipulation, en annonçant qu’il serait de couper les liens avec les influenceurs sociaux qui achètent des disciples.

Selon Unilever estimations, 40% des médias sociaux, les influenceurs ont acheté de faux disciples à un certain point.

Selon Forbes, l’industrie du marketing est dans une époque de transition. Les nouvelles technologies ont transformé et qui continuent de le transformer — il. Le marketing de contenu et de l’Intelligence Artificielle semble être l’avenir, bien que l’affichage des publicités ne sont pas presque aussi efficace que ils ont utilisé pour être.

Tout simplement la collecte de données n’est plus du tout ce qu’il faut. Submergés par de vastes quantités d’informations non structurées, les commerçants devront trouver un moyen de séparer utile à la compréhension des consommateurs à partir des données des déchets, Forbes l’avait prédit.

Publié par victoriadroit.com

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Trouver du travail en traversant la rue ? Pas si simple pour tout le monde (VIDEO)© Regis Duvignau Source: Reuters
Les passages piétons, une solution contre le chômage ?
RT France

Après la petite phrase polémique d'Emmanuel Macron, conseillant à un jeune chômeur de traverser la rue pour trouver un travail dans la restauration, RT France a voulu vérifier. Est-ce si facile de trouver un job ?

Dans la bouche d'Emmanuel Macron, le problème du chômage peut être résolu simplement, à croire l'une de ses phrases sorties à l'occasion des Journées du patrimoine, le 15 septembre. Les chômeurs, quels que soient leur formation ou cursus, n'auraient qu'à «traverser la rue», pour trouver un travail dans le bâtiment ou la restauration. «Avec tous les cafés et tous les restaurants, franchement, je suis sûr qu'il y en a un sur deux qui recrute en ce moment», estimait ainsi le président, parlant de Montparnasse.

RT France a pris ce conseil à la lettre et est allé interroger le serveur d'une brasserie, ainsi que plusieurs militants du Parti communiste réunis pour dénoncer les propos du président. Tous constatent le manque de connaissance du terrain du chef de l'Etat.

Publié par http://canempechepasnicolas.over-blog.com

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
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"Quelle dignité pour nos aînés ?" Quand une aide-soignante en EHPAD dessine son quotidien

La merveilleuse Zam est à la fois aide-soignante et illustratrice. Après avoir vu l'émission accablante d'Envoyé Spécial sur les EHPAD privés, elle a décidé de prendre son crayon pour décrire son expérience dans ces maisons de retraites où le traitement des personnes âgées est bien souvent une atteinte à la dignité. Nous relayons son témoignage, avec son aimable autorisation.

Source : La merveilleuse Zam

Lorsque j’ai commencé mon métier d’aide-soignante, c’était avant tout pour travailler auprès de personnes âgées, et plus particulièrement en établissement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD).

J’ai eu la chance de travailler dans des établissements ou le confort, le bien-être de la personne résidente était au cœur de la politique de soins de l’institution. Ces établissements deviennent de plus en plus rares, et se font rattraper par une politique cautionnant économies de bouts de chandelles et lucrativité abusive aux dépends de nos aînés.

Intérimaire, je me suis un jour retrouvée dans un établissement seule, pour aider 20 résidents à se coucher, effectuer leurs soins d’hygiène, manger pour certains. Je n’ai pas eu le temps de tout faire : comment, en deux heures ? Sans connaître les résidents ?

Dans un autre EHPAD, j’ai dû effectuer, en 1h40 (!!!!) la toilette complète de 7 résidents. Je devais : les lever, les emmener dans la salle de bain, faire la toilette au lavabo à toute vitesse, les habiller, les installer au fauteuil, refaire le lit, réapprovisionner la salle de bain en protections.

7 résidents, 1h40. Je vous laisse faire le calcul.

J’en passe et des meilleures. Mon EHPAD "préféré" était quand même celui sans chariot de soins aide-soignant car "cela faisait tâche" dans les couloirs. Nous devions courir après nos collègues ASH pour avoir accès aux produits de désinfection. Nous n’avions pas de boîtes de gants. Pas de draps à disposition.

Quelle dignité pour nos aînés ? Quelle dignité pour les soignants ? Comment prendre soin dans ces conditions ?

Je vous invite vivement à regarder le reportage d’envoyé spécial sur le sujet. Merci à Julie Pichot pour son travail.

Bon courage aux résidents en EHPAD, à leur familles. Courage à mes collègues soignants.

Zam

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
photo d'illustration

photo d'illustration

En mars 2017 : une centaine de militants de la CGT étaient venus devant le magasin Conforama  Niort, afin de soutenir l'une des représentantes de la CGT dans cet établissement.

 

Depuis le dossier était entre les mains de la justice.

 

Il y a quelques mois ce magasin a été épinglé pour non-respect du code du travail,  un second jugement en appel  vient de condamner la direction de l’enseigne Conforama Niort à :

 

-annuler et rembourser à la représentante CGT la mise à pied dont elle a été victime.

-à lui versé 1800 euros d’indemnités.

 

Salariée depuis 14 ans, elle n’a eu de cesse de tenter de faire appliquer le droit dans ce magasin dans lequel certains élus du personnel n’hésitent pas à appuyer la direction dans ses tentatives d’intimidation vis-à-vis de notre organisation syndicale.

 

L’Union Départementale CGT  des Deux Sèvres s’est  félicitée de ce jugement en appel « qui prouve le bien-fondé d’une démarche sincère et authentique pour le respect des droits et la dignité des salariés,  dans un moment où l’enseigne Conforama connait des soubresauts financiers importants et risque de s’engager vers des licenciements massifs, ce jugement prouve que les droits des salariés ne peuvent pas être impunément bafoués. »

SOURCE : confédération CGT

Publié par EL DIABLO

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SOURCE : France TVInfo

"Il faut un exploit pour sauver" l'usine Ford de Blanquefort "et on espère le réaliser", a déclaré samedi 22 septembre sur franceinfo Philippe Poutou, délégué CGT du site et porte-parole du NPA, après la manifestation qui a rassemblé plusieurs centaines de personnes à Bordeaux, contre la fermeture de l'usine qui emploie 847 salariés.

"Il y a beaucoup de résignation, il y a beaucoup de collègues qui n'y croient pas, qui ne manifestent pas, qui ont peur de l'avenir, qui sont paralysés, mais on est quand même quelques-uns à mener la bataille", a souligné Philippe Poutou. "On a un boulot, on veut le garder, on sait que ce n'est pas en traversant la rue qu'on en aura", ajoute le délégué CGT, déterminé à "batailler".

"Ford s'est gavé d'argent public"

"Notre objectif, c'est de bousculer le gouvernement, bousculer les pouvoirs publics pour qu'ils agissent et mettre la pression sur Ford parce que c'est inadmissible de fermer une usine quand on fait des milliards de bénéfices et quand on a de l'argent public comme ils en ont eu", explique-t-il, accusant les dirigeants de Ford de s'être "gavés d'argent public" "pour finalement fermer l'usine".

Bruno Le Maire, le ministre de l'Economie, a appelé vendredi Ford "à prendre ses responsabilités" et a dit vouloir "qu'à la fin du mois d'octobre, les salariés de Ford à Blanquefort soient fixés sur leur sort". "On n'a pas a priori confiance dans le gouvernement, on n'a pas non plus confiance dans Ford", répond Philippe Poutou, "par contre on se dit que si on bataille, si on fait du bruit, si on se mobilise et qu'on ne lâche pas, on peut pousser ces gens-là à agir et à changer la donne".

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
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LE 4 OCTOBRE 2018 Les goodyear au ZÉNITH D’AMIENS ...
Cela peut ressembler à une affiche pour un concert ou spectacle, mais NON car le 4 octobre 2018 plus de 850 ex Goodyear ont rendez vous au zénith d’Amiens pour demander à la justice réparation d’un licenciement financier !!!

Pourquoi le ZÉNITH?

Aucune salle n’est assez grande pour accueillir autant de demandeurs et donc l’audience va se dérouler dans ce lieu particulier pour un jugement historique !!!

A cette occasion et vous êtes nombreuses et nombreux à nous le demander, nous vous invitons toutes et tous à venir nous soutenir.

Les plaidoiries vont se dérouler de 9 h à 19 h, une pause sera observée entre 13 et 14 h, moment où pourront se restaurer toutes les personnes présentes autour d’un bbq organisé par les UL et UD CGT d’Amiens.

Le 4 octobre 2018, les goodyear vous attendent pour les soutenir, nous continuons la lutte et allons exiger que cette multinationale soit condamner de ce carnage social et humain !!!

Nous vous donnons donc Rendez vous à Amiens ( megacité ) parking du zénith à partir de 8.00 h.

LA CGT GOODYEAR

 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
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HALTE à la HAUSSE des CARBURANTS ! La grande arnaque !

Prix des carburants : je dis stop au « Coût de pompe » !

Les prix des carburants à la pompe sont actuellement au plus haut, dangereusement proches des records de 2012 ; en 2018, il faut désormais dépenser en moyenne 1,57€ pour un litre d’essence et 1,48 € pour un litre de gazole. Cette très forte évolution à la hausse des prix de nos carburants est due principalement à l’augmentation démesurée du montant des taxes pesant sur les produits pétroliers, qui représentent aujourd’hui 60 à 65% du prix total d’un litre de carburant, soit environ 0,95€ pour un litre de SP 95 et 0,84€ pour un litre de gazole. Or, les prix des carburants sont appelés à évoluer encore à la hausse, le Gouvernement français ayant adopté en 2018 un programme de convergence à la hausse des prix des carburants pour 2022 !

C’est parce que l’association « 40 millions d’automobilistes » refuse cette flambée organisée des prix des carburants et ses conséquences néfastes sur le pouvoir d’achat des Français qu’elle lance l’opération « Coût de pompe » (www.coutdepompe.com), une manifestation au cours de laquelle les automobilistes sont invités à adresser leur ticket de carburant et un courrier (à télécharger sur le site Internet) au Président de la République, pour l’interpeller sur la dégradation de leur pouvoir d’achat. Par cette campagne, l’association demande au Gouvernement d’alléger les taxes qui pèsent sur les carburants et en font désormais des produits de luxe, plongeant les ménages les plus dépendants à l’automobile en situation de précarité énergétique et réduisant dangereusement leur accès à la mobilité.

Les taxes représentent jusqu’à 65% du prix du litre de carburant

Les taxes portant sur les carburants vendus en France sont les suivantes :

  • La TICPE (Taxe intérieure de Consommation des Produits énergétiques)
    Depuis 2014, une composante appelée Contribution Climat-Énergie (CCE) portant sur les émissions de CO2 liées à la combustion du carburant ;
  • La TVA (Taxe sur la Valeur ajoutée), à hauteur de 20 %, qui s’applique non seulement sur le produit hors taxe, mais aussi sur la TICPE. Elle constitue donc une double imposition !

Pour l’association « 40 millions d’automobilistes », c’est l’État qui organise l’envolée des prix et le matraquage des automobilistes à « coût de pompe  » : l’augmentation démesurée de la taxe sur les produits énergétiques et la double imposition que constitue la TVA (une aberration !) nous conduisent tout droit à un litre de carburant à plus de 2 euros dans quelques années à peine. La conséquence directe, c’est l’augmentation du budget alloué aux transports par les ménages et une précarisation énergétique des plus fragiles d’entre eux.

Le litre de carburant à 2€, c’est pour demain…

Emmanuel Macron avait prévenu : « Nous augmenterons progressivement la taxe carbone pour atteindre 100€/tCO2 en 2030 (…). La fiscalité qui est appliquée au diesel sera alignée sur celle de l’essence d’ici la fin du quinquennat (…). Cela aura un impact à la hausse sur la fiscalité des carburants ». À peine quelques mois après son élection à la tête de l’État français, le nouveau Président de la République faisait donc voter ces dispositions, qui sont entrées en vigueur dès le 1er janvier 2018.

À cette date, avec une augmentation prévisible du prix du baril de pétrole, le prix du litre de carburant à la pompe – essence comme diesel – pourrait ainsi atteindre 2€…

« Coût de pompe » : réduire les taxes, rendre du pouvoir d’achat, préserver la mobilité

Avec l’opération « Coût de pompe », l’association « 40 millions d’automobilistes » demande au Gouvernement d’appliquer un taux réduit de TVA sur les carburants routiers et d’abaisser le montant de la TICPE aux niveaux des minima applicables en Europe sur décision du Conseil de l’Union européenne, soit 0,359 €/L d’essence (au lieu de 0,6829 €/L actuellement) et 0,33 €/L de gazole (contre 0,594 €/L).

Pour soutenir ces propositions, l’association appelle les automobilistes soucieux de préserver leur droit à la mobilité à télécharger le courrier sur le site Internet www.coutdepompe.com, d’y joindre leur ticket de carburant et d’adresser le tout au Président de la République. L’envoi d’un courrier au Président de la République ne nécessite aucun affranchissement.

Cette démarche a pour but de montrer à Emmanuel Macron l’ampleur des difficultés rencontrées chaque jour par les Français pour utiliser leur véhicule. Il est important que chacun se mobilise pour que ce combat s’impose dans les plus hautes sphères et amène nos dirigeants à prendre des mesures plus justes.

Publié par http://canempechepasnicolas.over-blog.com

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
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Surmortalité chez les chômeurs : un risque de décès 2 fois plus grand

Ce 20 septembre sortait le deuxième rapport annuel de la SNC (Solidarités Nouvelles face au Chômage) intitulé « Rapport sur l'emploi et le chômage et ses impacts ». En ressort des chiffres alarmant quant à la précarisation de l'emploi et à l'impact du chômage sur la santé des chercheurs d'emplois. Le chômage est récemment reparti à la hausse et ce nouveau rapport inquiète quant aux conditions de vies des chercheurs d'emplois.

Une étude menée par Pierre Meneton en 2015 mettait déjà en causele chômage comme responsable de 14 000 décès par an constate que « le risque de décès des chercheurs d’emploi serait multiplié approximativement par un facteur 2 par rapport aux actifs du même âge. » On parle donc de surmortalité chez les personnes en recherche d’emplois. Il est par exemple constaté que ces derniers ont une fréquence accrue aux maladies cardiovasculaire, notamment les « infarctus du myocarde, les troubles du rythme, l’insuffisance cardiaque et les accidents vasculaires cérébraux ». Les chercheurs d’emplois sont aussi confrontés à un risque au suicide 2,2 fois plus fort que les salariés. Ces deux éléments expliquent en partie cette surmortalité.

Le document met d’ailleurs en avant que « ce surrisque pour la santé n’est pas corrélé à la simple inactivité professionnelle » car on ne le retrouve pas en ce qui concerne les retraités. « La dégradation de la santé est liée à la durée du chômage, cause d’une usure psychologique, mais aussi d’une usure physiologique, comme en témoignent certaines recherches montrant une accélération du vieillissement spontané »

A noter que ce rapport se compose de 2 parties. La première analyse le chômage de longue durée et la précarisation de l’emploi, la seconde traite des impacts négatifs du chômage sur la santé.

Dans la première partie on constate, malgré une légère baisse du chômage de longue durée, un « accroissement d’une précarité récurrente, constitutive d’un véritable « mal-emploi ». Cette précarisation croissante est la cause de « transformations structurelles du marché du travail » et d’une « plus grande flexibilité du travail instaurée pour les faciliter »

« Ce qui est préoccupant, c’est la multiplication de contrats à durée déterminée pour des périodes
de plus en plus courtes et touchant de façon récurrente une population alternant chômage et emploi
(la « permittence »), enfermée dans cette précarité et davantage exposée aux risques psycho-sociaux. »

Pour la fin 2017, les CDD représentent 87 % des embauches dont 50 % de contrats inférieurs à une semaine et 30 % simplement pour la journée. L’observatoire des inégalités avait en 2015 estimé qu’au minimum 1,7 millions de salariés (1/3 des travailleurs à temps partiels) « travaillent à temps partiel de façon subie ». Cette tendance s’est accentuée depuis 3 ans et le rapport parle d’un « renforcement de la dualité du marché du travail qui enferme de nombreux chercheurs d’emploi dans la nasse de l’emploi précaire ».

Cette masse de travailleurs qui survie avec des contrats de plus en plus précaires, tend à s’accentuer. Loin d’être un problème spécifiquement français, l’OCDE alerte tous les pays industriels « sur la dégradation des conditions de travail, notamment les emplois précaires et le temps partiel contraint. ».

En conclusion, le chômage entraîne une surmortalité, un « surrisque » pour la santé. Les logiques néolibérales de flexibilisation du marché du travail, à l’œuvre depuis des décennies sans pour autant endiguer le chômage, précarisent de plus en plus l’emploi. Les conditions de vies déjà difficile des chercheurs d’emploi se dégradent, quand de plus en plus de gens se retrouvent au chômage (entre 2008 et 2017 : 1,5 million d’inscriptions supplémentaire à pole emploi ).

Crédits Photo : Getty Images/EyeEm

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
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Résultat de recherche d'images pour "Les premiers chiffres accablants des ordonnances Macron"

Le gouvernement annonce et se félicite de la baisse drastique du nombre de représentants du personnel et des contentieux aux prud’hommes, suite aux différentes réformes du droit du travail (Lois Macron 2015 et 2017 notamment).

De manière parfaitement hypocrite, le gouvernement prétend que ces réductions de droits vont permettre de « fluidifier le dialogue social ». Son objectif à peine voilé de s’attaquer aux moyens dont disposent les salariés pour se défendre face à un patronat tout puissant est atteint : la voie juridique se referme pour les salariés empêchés de saisir les prud’hommes et la voie de la représentation se referme par la diminution du nombre d’élus. Ne manque que l’attaque des syndicats qui se matérialise par l’instauration d’un conseil d’entreprise interdisant aux syndicats de négocier ou par le référendum à la main de l’employeur qui lui permet de contourner les syndicats et de faire voter les salariés selon des modalités fort peu démocratiques.

« Les élus sont moins nombreux mais seront tellement mieux formés ! », ose prétendre le gouvernement dans un accès de cynisme. Bien évidemment, la réalité est tout autre puisque la diminution du nombre d’élus ne s’accompagne en rien d’une augmentation proportionnelle des moyens, que ce soit en nombre d’heures de délégation, de jours de formation, de facilitation des moyens de communication en direction des salariés etc. Le gouvernement ne cherche pas à fluidifier mais bien à étouffer toute forme de résistance au pouvoir patronal et d’expression dans l’entreprise.

L’élu devient un « couteau suisse » censé gérer les questions individuelles et collectives, les questions économiques et de santé, les activités sociales et culturelles, en bref, un élu omnipotent mais avec des moyens ridicules ! « 9000 CSE contre 23000 CHSCT auparavant », annonce encore le gouvernement ; qui peut croire que cela va améliorer la prise en charge des problématiques de santé, de sécurité et de qualité de vie des salariés ?

Quant au nombre de saisines des tribunaux du travail, il passe de 176 000 à 127 000 en à peine deux ans. Et, ces chiffres ne prennent pas en compte les effets de la diminution drastique de l’indemnisation pour licenciement illégal ! Faut-il rappeler à un gouvernement qui se prétend républicain que le fondement d’un État de droit passe par une justice accessible et effective : le code du travail n’est qu’une coquille vide si les tribunaux permettant de le faire respecter sont inaccessibles. Ruptures conventionnelles, complexification de la procédure, indemnisation dérisoire… tout est fait pour écarter les salariés de la Justice.

Et, l’on finira par la baisse du nombre de plans de sauvegarde de l’emploi, remplacés par des ruptures conventionnelles collectives qui n’offrent absolument pas les mêmes garanties de reclassement et qui permettent de licencier massivement et en toute légalité, alors que l’entreprise ne connaît aucune difficulté économique !

Les chiffres et les annonces du gouvernement parlent d’eux-mêmes : les salariés voient leurs droits s’éloigner et la précarité s’installer, notamment avec une diffusion du CDI de chantier.

Pour un véritable droit du travail et à la négociation dans votre entreprise, la CGT, FO, Solidaire, UNEF et UNL appellent à se mobiliser le 9 octobre prochain.

Montreuil, le 11 septembre 2018

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Macron s'apprête à renforcer le contrôle des chômeurs...Mais pas les riches qui fraudent le fisc à hauteur de 100 milliards d'euros...

RT France

Explosion de la fraude fiscale en France,
estimée à 100 milliards d'euros annuels

Selon la dernière enquête du syndicat Solidaires-Finances publiques, la fraude fiscale est en hausse. Par rapport à l'estimation d'il y a cinq ans, elle aurait augmenté de 20 milliards d'euros par année, atteignant un montant record.

Dévoilé par Marianne ce 13 septembre 2018, le dernier rapport du principal syndicat des Finances publiques, Solidaires-Finances publiques, livre une estimation peu reluisante sur la fraude fiscale. Celle-ci aurait grimpé historiquement à 100 milliards d'euros annuels, et ce sans comptabiliser les fraudes aux prélèvements sociaux. Réalisée tous les cinq ans, l'enquête montre une augmentation de la fraude fiscale, de 20 milliards d'euros par rapport à l'estimation de 2013.

Il est à noter qu'en juillet dernier, le syndicat dénombrait près de 38 000 suppressions de postes à la Direction générale des Finances publiques (DGFiP) depuis 2002. Parmi eux, les contrôleurs fiscaux sont touchés par la réduction des effectifs. L'organisation syndicale dénombre 3 100 emplois de ce type en moins depuis 2010. Vincent Drezet, du bureau national du syndicat Solidaires Finances publiques, expliquait également à RT France le 12 juillet 2018 que le gouvernement prévoyait d'ici 2022 une suppression de 16 000 ou 22 000 emplois au sein de Bercy (ministère de l'Economie et des Finances, dont dépend la DGFiP). Des chiffres qui ne sont guère encourageants en matière de lutte contre les grands fraudeurs fiscaux...

La fraude la plus courante demeure la sous-déclaration des revenus, selon Marianne. Le magazine relève également que les 3 500 ménages les plus riches, concentreraient une fraude de cinq milliards d'euros chaque année, en raison de leurs avoirs détenus illégalement à l’étrangerD'où ce constat du journal : «Jamais en France gruger le fisc n’aura été aussi peu risqué, compte tenu des probabilités de se faire rattraper par la brigade.»

Pourtant l'Etat aurait tout à gagner en faisant la chasse aux fraudeurs : ces 100 milliards compenseraient largement le déficit budgétaire, estimé à environ 83 milliards d'euros.

Lire aussi : 20 000 emplois en moins dans l'administration fiscale ? «Une gestion inhumaine»

Publié par http://canempechepasnicolas.over-blog.com

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Grève dans la sous-traitance : Ça chauffe dans les ateliers de PSA Mulhouse !

« Les patrons n'arrivent plus à recruter ». C'est ce qu'on a entendu toute la semaine de la part du gouvernement, à partir de la phrase de Macron sur le travail qui attend au coin de la rue. Et pourtant, sur le terrain, on voit qu'au contraire les patrons continuent de supprimer des emplois, et de précariser ceux qui restent.

Chez STPI, au montage de PSA Mulhouse, les salariés qui travaillent depuis des années pour PSA sont depuis plusieurs mois en tension, puisque le donneur d’ordre PSA veut casser le contrat avec l’entreprise STPI à partir de janvier 2019, au profit d’un autre sous-traitant ou d’une « ré-internalisation », ce qui implique pour les salariés le risque d’être mutés loin de chez eux ou licenciés s’ils n’acceptent pas une mutation.

PSA et ses profits records veut massacrer les emplois : les salariés de STPI partent en grève

Pour les travailleurs de STPI, il n’est pas question de l’accepter. Ils ont donc décidé collectivement de partir en grève, aujourd’hui 20 septembre à partir de 11H00, rejoints par les salariés des autres équipes de l’après-midi et de la nuit. Après une discussion lors du changement d’équipe à 13h00 devant le montage, et ensuite avec les militants de la CGT de PSA Mulhouse, les grévistes ont défilé dans tout le montage pour dénoncer les suppressions d’emplois. Ceux-ci ont bien raison de manifester chez PSA Mulhouse, car c’est bien le groupe PSA qui massacre leurs emplois alors que le groupe n’a jamais fait autant de profits. Ces profits servent aujourd’hui à engraisser les actionnaires plutôt qu’à créer des emplois (ni même à maintenir tous les emplois !) et à embaucher les salariés de la sous-traitance sous un même statut PSA . Après cette première journée de mobilisation, tout le monde reste mobilisé.

Les caristes en colère en logistique montage de Mulhouse font grève pour l’amélioration des conditions de travail

Dans la foulée des salariés de STPI en grève et en manifestation dans les ateliers, et devant la charge de travail toujours en augmentation, le manque d’effectif pour faire le boulot, ainsi que le mépris de la direction, à 15h30 les caristes de logistique montage ont débrayé, pour exiger des postes supplémentaires et une baisse de la charge de travail. Ce que la direction avait toujours refusé de céder jusque là a été obtenu, avec un poste de cariste supplémentaire au bout de 1h30 de grève. Il n’y a effectivement que de cette manière que le patron comprend que ceux qui font le boulot ce sont les ouvriers et ils ont donc une force immense pour imposer les amélioration des conditions de travail, défendre les emplois, mais également pour faire basculer la société et imposer bien plus. Contre toute la clique de patrons et Macron à leur tête.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Grève illimitée au Costa Rica : le gouvernement appelle à une table de négociation pour désamorcer la grève

Nous reproduisons ici une déclaration de l’Organisation Socialiste (OS) du Costa Rica, membre de la Fraction Trotskyste – IV Internationale au sujet de l’annonce du gouvernement de mettre en place une table de négociation afin de freiner la grève illimitée.

Face aux mobilisations massives de la semaine dernière et la grève illimitée qui dure depuis 9 jours, le gouvernement costaricain s’est vu obligé d’assumer une position politique visant à démanteler la force gagnée par la classe ouvrière. L’ampleur des mobilisations dans les rues met en danger le plan du FMI et la politique du gouvernement. C’est pour éviter que cette dynamique dans la rue ne s’approfondisse que le gouvernement s’installe à la table des négociations, entre quatre murs.

Déclaration de l’Organisation Socialiste du Costa Rica (OS)

La mise en place de cette table de négociations est une main tendue pour mieux approfondir ensuite les positions répressives du gouvernement, au point que mercredi, à la veille de la rencontre, le gouvernement a établi qu’il réprimerait quelconque blocage des routes, cherchant ainsi à attaquer l’avant-garde de la grève.

Loin de faire confiance au gouvernement, la classe des travailleurs doit croire en ses propres forces, qui se sont déjà révélées être bien plus importantes que celles du gouvernement. De plus, ces forces s’exercent sans même que la grève n’ait été générale, étant donné que toute l’économie n’est pas à l’heure actuelle paralysée. En ce sens, les positions des directions syndicales de ne pas appeler à aller vers une authentique grève générale, mais au contraire de donner des marges de manœuvre au gouvernement ne peuvent être vues que comme une erreur.

Au contraire, la tâche immédiate qui incombe à la classe ouvrière est de garantir, au sein d’assemblées démocratiques, l’extension de la grève à tous les secteurs du monde du travail qui ne sont pas en grève, et de se lier à tous les autres secteurs qui ont lutté contre ce gouvernement.

Approfondir la dynamique de négociations, c’est tomber dans un piège, car l’objectif stratégique doit être de mettre en échec la Réforme fiscale du FMI et du gouvernement. Cela ne pourra être atteint que si la classe ouvrière garantit avec ses propres méthodes, organisations, et de façon démocratique, une authentique grève générale illimitée.

Nous, au sein d’Organisation Socialiste (OS), appelons la classe ouvrière à assumer ces tâches, ainsi qu’à intégrer les revendications qui émergent d’autres secteurs en lutte comme le mouvement des femmes et le mouvement étudiant,et toute revendication qui renforce l’appui à la grève et permettre de gagner le bras de fer contre le gouvernement.

1) Nous militons pour l’échec de la réforme Fiscal du gouvernement à travers la grève dans la rue et massive, en développant de manière unifiée toute notre force.

2) Nous revendiquons le non-paiement de la dette externe. Non seulement nous avons déjà payé cette dette maintes fois, mais c’est aussi un argument utilisé pour nous maintenir dans une situation de dépendance vis-à-vis des organismes financiers internationaux, c’est-à-dire, nous maintenir dans une dépendance vis-à-vis du capital financier.

3) Nous revendiquons les droits démocratiques entiers pour la classe ouvrière, tout particulièrement le droit à la libre-organisation, afin de défendre nos intérêts ; ainsi que les pleins droits pour les travailleurs non-costaricains, en particulier les travailleurs et travailleuses nicaraguayens.

4) Pour le droit de décision des femmes sur leur corps, ce qui implique le droit à l’avortement libre, légal, sûr et gratuit. Ceci doit être articulé à la création de commissions pour les revendications des femmes, sur tous les lieux de travail.

5) Nous défendons le droit au mariage entre personnes du même sexe, et les revendications des personnes LGBT.

6) Nous revendiquons la séparation de l’Eglise et de l’Etat. Non seulement l’Eglise doit payer ses impôts, mais l’Etat ne doit pas la financer, cet argent étant utilisé dans des campagnes contre les droits des femmes et de la communauté LGBT.

7) L’éducation ne doit pas payer pour la crise, ce qui signifie qu’il ne doit pas y avoir de coupes budgétaires dans l’éducation, et que soient embauchés tous les vacataires de la MEP et des Universités.

Pour garantir la réalisation de ces tâches, nous invitons tous nos lecteurs et nos lectrices à militer aux côtés d’Organisation Socialiste (OS).

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
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