SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

notes d'information cgt unilever

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Faisant suite à une série de mobilisations et grèves, dont celle des employés d’EDF, la grève générale est effective en Guyane depuis le lundi 27 mars. Pauvreté, chômage à 22 %, cherté de la vie, mauvais accès aux soins, à l’éducation, coupures d’électricité… les raisons du mécontentement sont multiples dans cette ancienne colonie esclavagiste où l’État investit des milliards pour faire décoller des fusées mais où il n’y a pas d’argent pour satisfaire les besoins de la population.

L’ampleur du mouvement a obligé le gouvernement à dépêcher sur place deux ministres. Mais ils n’ont promis que quelques crédits essentiellement destinés à satisfaire ceux qui prétendent que misère et insécurité viendraient de l’immigration de pauvres venus des pays voisins : une nouvelle prison, plus de gendarmes, etc.

Les propositions du gouvernement sont rejetées par la population guyanaise. Alors qu’on nous a surtout répercuté à la télévision, ici, les revendications de petits patrons et de notables locaux, les travailleurs en grève pourraient bien faire entendre, bien plus fort, dans les jours qui viennent, leurs propres revendications sociales et s’organiser pour les faire aboutir.

PAR CONVERGENCES Révolutionnaires

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
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Les médias annoncent à grand renfort de superlatifs et d'insistance -et ce n'est sans doute qu'un début- que la CFDT est devenue le premier syndicat du pays devant la CGT : renversement historique, victoire, choc, changement démocratique , séisme, chute finale… les mots manquent à la presse aux ordres pour se réjouir.

Pourtant, sur près de 6 millions de suffrages, moins de 80.000 voix séparent les 2 confédérations.
Sur les suffrages exprimés, soit plus de 60 % du corps électoral concerné la CFDT obtient 26, 38 % et la CGT 24, 86.
En 2013 les scores respectifs étaient de 26 % contre 26,77 % pour la CGT.

L'écart demeure donc faible et sur le total cumulé public/privé la CGT est toujours en tête comme dans les Très Petites Entreprises récemment.

Cette inversion du rapport de force dans le secteur privé et les grandes entreprises étaient annoncée et souhaitée de manière répétitive et lancinante depuis longtemps, par tous les médias au service de la collaboration de classe tel Les Echos, le Monde, Libération et tout l'establishment de droite et PS, gouvernement Valls/Hollande/El Khomri en tête.
Ils vont donc utiliser en grand ce résultat pour prétendre que les travailleurs ont fait le choix de la collaboration de classe, du dialogue social, de l'esprit de compromis pour ne pas dire de compromission !

Et tenter ainsi de peser sur les orientations de la CGT elle même en faveur des forces réformistes internes en prétendant que c'est ce qui demeure de sa culture de combat qui est responsable de ces résultats.
Il s'agit donc de créer l'événement par un matraquage médiatique à des fins proprement politiques afin d'aller beaucoup plus loin encore dans un processus de « pacification sociale » et 
d'imposer la domination d'un syndicalisme de renoncement !

Cela ne doit pas nous empêcher de nous interroger sur les résultats en recul de la CGT, surtout quand on les compare à ce qu'ils pouvaient être il y a 30 ou 40 ans où la CGT représentait en gros la moitié des suffrages.

Quelles causes au recul de la CGT dans le privé?

Philippe Martinez dans sa réaction attribue ce recul principalement à un déficit d'implantation en soulignant par ailleurs avec juste raison que les commentateurs ne devraient pas en tirer trop vite la conclusion d'une prise de distance avec l'attitude combative de la CGT durant le conflit contre la loi El Khomri.
Les résultats électoraux récents chez RTE comme l'échec du scandaleux referendum du personnel déclenché par la CFDT et la CFE-CGC en attestent.
Mais incontestablement, d'autres éléments doivent être pris en compte sur le long et moyen terme comme la politique de désindustrialisation massive, la destruction de pans entiers de l'économie comme le textile, la sidérurgie, la disparition de lieux de rassemblement importants de travailleurs où la CGT avait une forte influence, enfin, la politique d'intimidation, de répression et de discrimination à l'encontre des militants mise en œuvre par le MEDEF et qui a connu une accélération ces derniers temps sous le pouvoir PS.

Néanmoins, d'autres évolutions de fond sont en jeu. En particulier, les réorientations imprimées ces 20 dernières années par Louis Viannet et amplifiées par Bernard Thibault ne peuvent être ignorées.
L'adhésion à la CES, l'insertion dans le dialogue social, le syndicalisme rassemblé et les rapports privilégiés avec la CFDT à contrario des traits historiques qui marquent en profondeur le syndicalisme CGT ont affaibli la capacité d'intervention et de conviction de l'organisation.
Et désorienté plus d'un militant !
Cela dans une période marquée par l'aggravation de la crise du capitalisme, l'incapacité à distribuer quelque grain à moudre que ce soit et la remise en cause de tous les conquis issus de la Libération.

Pour une organisation syndicale se réclamant du syndicalisme de classe et de masse, en charge de la double besogne du mouvement d'émancipation des travailleurs la recherche de l'unité ne peut se faire que sur la base des revendications des travailleurs et de leurs intérêts et pas au prix de l'affadissement de son programme et de ses objectifs.

Et plus que jamais dans la profonde crise que nous traversons, l'indispensable travail syndical quotidien au plus près des intérêts et des aspirations des travailleurs dans leur diversité ne peut être séparé de la lutte pour un changement radical de société.

Car comment séparer par exemple, la lutte contre la loi travail, la lutte contre le dumping social, les délocalisations de la lutte contre la construction européenne et ses traités qui organisent la mise en concurrence systématique des travailleurs, l'écrasement des salaires, la désindustrialisation … ?

A un moment où de plus en plus de salariés et les classes populaires se montrent extrêmement critiques à l'égard de l'UE, cessons d'entretenir la mortelle illusion d'une Europe social.
Laissons résolument à la CFDT l'abandon de la lutte et l'approbation du MEDEF !

C'est en défendant l'intérêt réel des travailleurs, l'intérêt de classe, en liant la défense quotidienne des conquis et la lutte pour le changement de société que la CGT a été la plus puissante et la plus utile à la classe ouvrière. 
Aujourd'hui comme hier, plus que jamais donc tout doit être mis en œuvre pour renforcer la CGT et son influence chez les travailleurs, les précaires, les sans emploi en s'appuyant sur la combativité de nombreuses bases syndicales pour mettre à nouveau en cohérence son rôle historique largement reconnu et ses pratiques et orientations.

 

Le Front Syndical de Classe

1er avril 2017

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La loi travail est destinée entre autre à contourner les syndicats majoritaires dans l'entreprise.

A contourner l'opposition de la CGT en particulier à l'imposition des reculs sociaux, le plus souvent à partir d'un chantage à l'emploi et aux délocalisations.

C'est le rôle du referendum d'entreprise en permettant aux minoritaires soutenus par les directions et le patronat de mettre en oeuvre leur politique de collaboration et de soumission aux grands intérêts.

Pour cette fois en tout cas, leur coup a raté et le désaveu est de taille !

Les travailleurs viennent ainsi de balayer cette tentative et de désavouer massivement la CFDT et la CGC dans leur tentative de diviser les personnels

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SOURCE : Les Echos

Loi Travail : le référendum de RTE (Réseau de Transport en Electricité) conforte la CGT

La CFDT et la CFE-CGC avaient sollicité un vote des salariés sur un accord rejeté par la CGT, syndicat majoritaire.
 

Ils ont choisi, et ils ont massivement dit non. A 70,8 %, les salariés de la Direction maintenance de RTE ont rejeté par référendum l'accord d'entreprise déjà contesté par la CGT, le syndicat majoritaire, mais sur lequel la CFDT et la CFE-CGC, représentant plus de 30 % des salariés, avaient demandé un vote direct. Une possibilité offerte par la loi Travail adoptée l'an dernier, et qui s'applique notamment aux accords signés depuis le début de l'année et portant sur les questions de temps de travail. Avant la loi Travail, la signature d'organisations représentant plus de 30 % suffisait pour adopter un texte, mais les syndicats majoritaires disposaient d'un droit d'opposition.

Au total, 76,3 % des 4.258 salariés de la maintenance (soit la moitié des effectifs de RTE) ont participé au vote. « La direction de RTE prend acte du choix exprimé et voit dans cette large participation le succès d'un nouvel outil du dialogue social en entreprise », a réagi l'entreprise. « Le référendum va dans le sens de l'adaptation des corps intermédiaires à la défiance des salariés. L'important est que les salariés soient informés et se prononcent en connaissance de cause, expliquait en début de semaine Guy Marchetti, délégué syndical central CFDT de RTE. La CGT marche au rapport de force et nous estimons que l'entreprise ne peut plus se le permettre ». Le résultat montre que le rapport de force reste favorable à la CGT, très fortement implantée à la direction de la maintenance (58 %), alors qu'elle perd des points sur l'ensemble de RTE (38 % aux élections professionnelles de fin 2016).

Débat sur le périmètre de consultation

L'accord d'entreprise visé par le référendum portait sur une réforme des « chantiers à délais contraints », comme la réparation urgente d'avaries mais aussi certaines interventions en dehors des horaires habituels de travail. Selon la direction de RTE, il n'aurait concerné qu'une trentaine de chantiers par an et visait à« harmoniser » les pratiques entre régions, notamment en matière de rémunération. « On cherchait une équité de traitement », expliquait Didier Bény, DRH de RTE.

La CGT critiquait plusieurs points de l'accord, notamment la désignation de salariés en cas de volontariat insuffisant, le délai de prévenance ou le niveau de rémunération. Mais elle contestait plus fondamentalement le périmètre de la consultation. « Le vote des salariés non concernés par l'accord a fait courir un risque d'instrumentalisation et de division au sein du personnel », a ainsi critiqué la fédération CGT Mines-Energie dans un communiqué publié après le résultat, se félicitant d'un « véritable camouflet pour la loi travail et la direction de RTE ». La CGT envisageait auparavant de déposer une QPC (Question prioritaire de constitutionnalité), « notamment sur la question de l'égalité dans l'organisation du référendum », selon son délégué syndical central Francis Casanova. Une procédure qui pourrait être renvoyée à une autre consultation, dans une autre entreprise.

@VLeBillon
 
Par FSC

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Dernière proposition de la direction Duppi 1/2 :

Augmentation générale 0,9%

Prime de 150€ et 30€ rétroactif

Revalorisation de la Prime de transport à 1,5€ par jour

+2€ sur la prime d'équipe

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Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Face aux différents échanges, la direction a préféré de ne faire aucune proposition et qu’elle préférait prendre plus de recul pour faire le point.

Pour la CGT le message est très clair et au vu des résultats dans les autres usines du groupe Unilever France, ce n’est pas avec 0,9% d’augmentation générale qui apaisera les esprits.

 Les salariés attendent un signe fort et à la hauteur de tous les efforts qui ont été fournis.

Donc rendez-vous le jeudi 6 avril 2017

Nous, on est prêt !

Contact NAO

 

 

 

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Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Voici le résultat du questionnaire NAO 2017, tant attendu. Veuillez cliquer sur le lien ci-dessous.

Bonne lecture

Revendications CGT

 

  • Talon de 100€ avec indexation sur la grille des salaires HPC I. Diminution de la précarité par des embauches.

 

  • Revalorisation du travail posté. Modification de la plage horaire pour le personnel en horaire variable, proposition de 07H00 - 10H00/15H30 à 18H30 et de 14H00 pour le vendredi.

 

  • Mise en place d’un 14ème mois de salaire ou d’une prime de rentrée.

 

  • Augmentation individuelle dans le cadre d’une totale transparence de la direction

                                                                                                                                                                                                                                                                    LA CGT

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
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Fin des NAO et aucune signature

Voici le résultat :

0,6% d'augmentation générale

300€ d'abondement sur l'intéressement

200€ de prime

20cts sur le déplacement (transport)

Augmentation de la mutuelle sur la part employeur ainsi que la cantine.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
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A duppi 1/2 suite aux propositions de la direction concernant les NAO, les salariés ont décidé de débrayer.

Proposition NAO de la direction :

0,4% d'augmentation générale

0,2% d'augmentation individuelle

Mise en place d'un perco

Les salariés en ont ras le bol du Mépris !!!!

 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Dans peu de temps, vous pourrez prendre connaissance du résultat tant attendu du questionnaire NAO 2017.

Dès que nous aurons fait notre présentation à la direction, celui-ci sera diffusé sur le blog.

A tout à l’heure…

 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
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La loi TRAVAIL n’entrera pas à RTE (Réseau de Transport de l’Electricité) : COURT-CIRCUITONS le référendum d’entreprise ! [CGT]

À la demande de deux syndicats minoritaires, CFDT et CGC (représentants seulement 34,37% des suffrages), un référendum sera organisé chez RTE. La CGT syndicat majoritaire, avec une audience de 58,39%, avait pourtant refusé de signer cet accord.

L’accord sur lequel porte le référendum prévoit la fin du volontariat pour les interventions se déroulant dans le cadre d’un « chantier à délais contraints », en dehors des horaires de travail habituels, le week-end, le soir ou encore les jours fériés.

Ainsi la direction pourra désigner des salariés qui devront intervenir sur le chantier. Et pour mieux soumettre la vie des agents à l’entreprise, elle réduit aussi le délai pour prévenir les salariés de ces nouveaux horaires en passant de 7 à 1 seul jour. Le tout avec une harmonisation des rémunérations vers le bas !

Le protocole organisant le référendum, négocié en dehors de la présence du syndicat majoritaire, prévoit de faire voter l’ensemble des 4 250 agents de l’entreprise (bureaux, encadrement, etc.) alors que ce sont uniquement les 2 369 salariés de maintenance qui sont concernés par les servitudes mises en place par avenant.

De façon inédite dans une élection, la direction prend clairement parti. Elle mène campagne aux côtés des syndicats minoritaires et tente par sa communication massive en faveur de l’accord d’instrumentaliser les ingénieurs, cadres et techniciens en déléguant aux managers le soin de convaincre.

Belle preuve de démocratie sociale que de vouloir faire passer « par tout moyen » des mesures régressives !

Les agents des équipes opérationnelles ont toujours démontré leur attachement au service public en se rendant disponibles quand l’état du réseau l’exige. S’il y a de nouveaux besoins de disponibilités dans certaines équipes, la direction peut instaurer une astreinte sans avoir à vouloir imposer toujours plus de flexibilité.

Le vote aura pour résultat de fracturer les collectifs de travail par une division profonde entre les salariés, montant les uns contre les autres. Et tout cela avec les conséquences négatives sur la qualité du travail, sa productivité et, au final, le risque de fragilisation de l’entreprise !

La CGT appelle à voter massivement NON à la question posée par scrutin électronique du 24 au 30 mars. Le syndicat CGT reste, nous le rappelons, disponible pour conclure un accord sur le travail posté qui respecte l’articulation entre la vie privé et la vie professionnelle des salariés.

Au-delà du recours déposé au tribunal d’instance de Puteaux pour fixer le périmètre aux seuls agents des équipes opérationnelles effectivement concernés et sur l’absence de neutralité de l’employeur, la CGT étudie la faisabilité de déposer une question prioritaire de constitutionalité contre le référendum d’entreprise.

Dans toutes les entreprises, nous invitons les salariés à s’unir pour mettre en échec la loi travail en portant des revendications de progrès social visant la réduction du temps de travail, les embauches , l’augmentation des salaires, l’amélioration des conditions de travail et de son organisation …

Montreuil, le 28 mars 2017

SOURCE:

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CICE: l'argent public assure les DIVIDENDES des ACTIONNAIRES et casse l'emploi

Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi (CICE) : Le comité de suivi confirme le gaspillage d’argent public

Suite à une demande du Comité de suivi du Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi (CICE), le rapport 2016 du Comité a fait l’objet de plusieurs travaux complémentaires.

Les enseignements de ces travaux viennent d’être rendus publics par France Stratégie.

Ces travaux « ne conduisent pas à remettre en cause » les résultats précédemment obtenus.

Ils confirment l’absence d’effets du CICE sur la création ou la sauvegarde d’emplois, les exportations, l’investissement, la recherche-développement…
Seul, l’objectif initial porté par le gouvernement et le patronat de « l’amélioration sensible des marges des entreprises » apparaît « un peu plus nettement qu’auparavant ».

Ces travaux viennent aussi démentir que le CICE n’est pas utilisé pour baisser le pseudo « coût du travail » mais augmenter les marges notamment des grandes entreprises. Nombre d’entre elles n’ont pas hésitées à détruire en masse des emplois et à distribuer de confortables dividendes aux actionnaires.

Transformer le CICE en exonérations générales de cotisations sociales, comme proposé par certains responsables politiques entraînerait non seulement la disparition de toute évaluation de l’impact du CICE notamment sur l’emploi, mais surtout vise, à maintenir les cadeaux en tout genre fait au patronat et à remettre en cause le salaire socialisé et la protection sociale.

Concernant les bénéfices du CICE sur l’emploi, l’effet « probable (…) est de l’ordre de 50 000 à 100 000 emplois créés ou sauvegardés sur la période 2013-2014 », effet « d’ampleur relativement modeste », identifié par une seule équipe de recherche, est de nouveau mis en avant.

100.000 emplois au maximum pour 29 milliards d’euros, soit 290.000 euros par emploi créé ou sauvegardé !

La CGT revendique au contraire que :
- l’ensemble des aides publiques soient évaluées dans le comité de suivi des aides publiques ;
- la suppression des aides publiques qui n’ont pas démontré leurs effets sur l’emploi, les salaires et l’investissement dans la recherche et l’outil de production ;
- la mise en place de comités régionaux de suivi et d’évaluation des aides régionales ;
- le droit pour les comités d’entreprises de suivre, d’évaluer et de suspendre le cas échéant les aides publiques, exonérations de cotisations perçues par l’entreprise.

Ce sont pourtant les législations encourageant la rentabilité financière, court-termiste qui ont entrainées les crises et la déqualification économique et sociale française principalement dans les industries manufacturières et européenne qui sont à l’ordre du jour des programmes politiques. A l’inverse, la CGT place l’amélioration de l’emploi, des salaires, de l’investissement, et le progrès social au premier plan de ses objectifs.

Par El Diablo

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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