SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

SOURCE : La Marseillaise

Le maire LR Gérard Gazay refuse clairement d’héberger associations et syndicats. Une nouvelle mobilisation citoyenne est prévue jeudi 16 mars à 17h30.

« C’est une chasse aux sorcières ! What else ? », ironise un militant en écho à la promesse de ne pas s’y livrer claironnée par Gérard Gazay (LR) dans son discours d’investiture. Or force est de constater qu’à Aubagne, ça y ressemble quand les associations les plus populaires et les syndicats les plus à gauche sont devenus persona non grata. Après avoir cherché des noises à la MJC et au Secours populaire français, déjà priés de déménager, c’est maintenant les hébergés de la Bourse du travail (l’association Loisirs sports et retraites, l’association des ex-Fralib Force et bon thé, l’Union locale CGT Aubagne et sa région, le syndicat CGT des retraités, les sections locales CGT des retraités cheminots et Fapt ainsi que la FSU d’Aubagne) dans le cadre d’une convention avec la municipalité, qui doivent déguerpir.

Depuis juillet 2016, la Ville refuse de payer le loyer au Cercle de l’Harmonie, propriétaire des lieux, estimant qu’il revenait aux hébergés de le régler, tout en leur promettant un relogement dans d’autres locaux, moins salubres et plus étroits. Le dialogue coince et, sans doute pour le relancer, l’eau chaude et le chauffage sont coupés à la Bourse du travail. Chacun des courriers des organisations syndicales et associations reste « lettre morte ». Mais leur intervention en plein comité paritaire technique le 28 février finira par déboucher sur un rendez-vous... hier.

Hostilités déclarées

Entre temps, le propriétaire a saisi les tribunaux, qui ont rendu leur verdict le 3 mars : la mairie est condamnée au paiement du loyer et de ses arriérés. « Je suis optimiste, confiait Rolland Zanganelli, responsable FSU avant de monter au rendez-vous municipal, on est en démocratie, non ? » Mais le maire d’Aubagne en fait une interprétation toute singulière. Et c’est la mine totalement défaite que la délégation a redescendu les marches de l’hôtel de ville. « Il n’y a pas de dialogue possible ! Le maire se refuse catégoriquement de maintenir la Bourse du travail sur le territoire aubagnais, rapporte Dominique Maccary, pour l’UL CGT Aubagne, ce sont donc tous les travailleurs de la ville qui sont ainsi sanctionnés. Et il va même demander l’expulsion, j’applique la loi a-t-il justifié. Il paiera le loyer jusque-là mais il n’est plus question de relogement. »

« C’est une déclaration de guerre ! », proteste une voix dans le rassemblement. C’est en effet le coup de massue qui tombe alors que le blocage idéologique semblait dépassé. « On tombe des nues, ne se remet pas Rolland Zanganelli, on devait signer une convention le 15 septembre pour de nouveaux locaux ! Il y a une volonté manifeste de détruire la bourse du travail. » « Avec une mauvaise foi caractérisée, complète Cynthia Sanchez-Martin, représentante CGT, il nous accuse de rompre le dialogue alors qu’il ne répond pas à nos lettres. Et on lui a fait valoir que les syndicats CFDT et FO allaient être relogés et que l’équité n’était pas respectée. Il a répondu que si tel est le cas, les autres non plus ne seraient pas logés. » à Aubagne, on nivelle par le bas.

L’affaire immobilière tient le rôle de prétexte. « Je suis venu en solidarité et en convergence. Le maire dégage tout ce qui n’est pas son électorat », est maintenant convaincu Jean-Jacques Maly, président de la MJC, qui a déjà fait les frais d’un combat pour exister sur Aubagne, la convention, qui liait la structure à la Ville pour une mise à disposition de locaux qui arrive à terme le 31 mai, n’a pas été renouvelée. La résistance s’organise : « Nous organisons une AG avec un rassemblement le jeudi 16 à 17h30. »
 

Myriam Guillaume

PAR FSC

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Les COSTARDS de FILLON...

Qui a payé les costumes de François Fillon?

ENQUÊTE - Depuis 2012, 35.500 euros de vêtements auraient été réglés en liquide pour le compte de François Fillon à la boutique Arnys. Le 20 février, deux costumes ont été payés en chèque par un ami généreux, pour un montant de 13 000 euros "à la demande de François Fillon".


François Fillon s’habille depuis des années chez Arnys, la célèbre boutique rive gauche, rue de Sèvres à Paris. Mais qui paye ses costumes, blazers et pantalons confectionnés sur mesure? Selon nos informations, depuis 2012, l’ancien Premier ministre se serait fait offrir pour près de 48.500 euros de vêtements. Sur ce montant, 35.500 euros semblent avoir été réglés en espèces. Les 9 et 10 février derniers, soit moins de quinze jours après la révélation du "Penelopegate" par Le Canard Enchaîné, deux costumes que François Fillon a fait retirer à la boutique ont, cette fois-ci, été payés par chèque. Montant de l’achat : 13.000 euros. Le chèque, au nom de la banque Monte Paschi, a été signé le 20 février et adressé par porteur le jour-même au magasin.

(...)

LIEN VERS LA SUITE DE L'ARTICLE CI-DESSOUS:

 

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SOURCE FR3 Auvergne-Rhône-Alpes

Ils dénoncent la fermeture programmée pour 2018 de la boutique et de la plate-forme technique, qui emploient 32 personnes. Ils occupent les lieux nuit et jour depuis mardi.

Depus mardi les salariés du site EDF de Vichy sont en grève. Ils occupent nuit et jour la boutique et  la  plateforme téléphonique, qui emploient respectivement quatre et vingt-huit personnes, et dont la fermeture est programmée en 2018.

« On nous a proposé d’aller travailler à Aubière, mais  vous imaginez pour les collègues qui ont leur conjoint sur place ça fait 120 kilomètres par jour » déplore Philippe Ivrard le secrétaire CGT Energie pour le secteur Moulins-Vichy.

Fermeture confirmée pour 2018

Les salariés grévistes demandent un sursis jusqu’en à 2020 en espérant que d’ici là les choses auront évolué favorablement. La direction d’EDF confirme la fermeture du site en 2018 et indique qu’un accompagnement sera prévu pour chaque salarié.

PAR FSC

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HAUBOURDIN

PSE Cargill: la CGT fait valoir son «droit d’alerte»

Un projet de réorganisation de l’entreprise intègre la délocalisation de services partagés et la suppression de 26 postes. Le PSE passe mal après les conclusions d’un rapport alarmant, transmis au CHSCT, sur les conditions actuelles de travail. Le syndicat CGT a donc fait valoir son « droit d’alerte ».

Cargill est présente à Haubourdin depuis 2002. Le site emploie 350 collaborateurs. Cargill est l’un des leaders mondiaux de la production d’amidon et de ses dérivés. photo Patrick JAMES

1.

Contexte

Le 21 juin 2016, les salariés de Cargill Haubourdin, filiale du groupe américain Cargill, découvraient l’ouverture d’un PSE (Plan de sauvegarde de l’emploi). Ce plan prévoit la suppression de 26 postes sur un effectif de 350 salariés. Il a été homologué fin décembre 2016 par la DIRECCTE (Direction du travail). Pour mémoire, l’usine d’Haubourdin comptait encore 850 salariés en 1985, avant le rachat en 2002, par le groupe américain Cargill, leader agro-alimentaire. À l’issue des congés de reclassement, il pourrait rester 315 salariés.

2.

Action

Fin juin 2016, les salariés (tous services confondus) font deux mouvements de grève (96 heures). Ils ne sont pas parvenus à sauver l’emploi, mais ils ont obtenu une enveloppe d’indemnité équivalente à celle négociée lors des précédentes réorganisations, soit 275 000 € pour 26 indemnités programmées. «  Mais notre mouvement de grève a ralenti néanmoins le PSE de Cargill France qui envisagerait la suppression d’environ 80 emplois », se félicite une salariée, entourée d’autres dans le local CGT.

3.

Réaction

Le syndicat CGT Cargill est «  consterné  par cette volonté politique de l’État de soutenir une entreprise comme Cargill Haubourdin en lui offrant 1,2 millions d’ € du CICE (Crédit d’impôt compétitivité emploi) sans avoir aucune contrepartie » puisque l’entreprise transférerait une partie de son activité en Bulgarie, en Pologne et centralise son service paye en Bretagne.

Dorian Vallois, secrétaire CGT, estime «  qu’il n’y a pas de difficultés économiques qui justifient les suppressions d’emplois  », alors que que le groupe Cargill présente «  au niveau mondial des bénéfices records  » (827 millions de dollars au 1er trimestre 2017, en augmentation de 35 %).

À la suite de deux rapports, l’un économique et l’autre sur les conditions de travail, le syndicat CGT a envoyé «  un courrier d’alerte  » le 14 février à Cargill France, au directeur de Cargill Haubourdin, au CHSCT, à la DIRECCTE, à la médecine du travail, pour témoigner «  de gros problèmes de conditions de travail  » : surcharge de travail, pression accrûe sur les salariés avec des méthodes de management «  inhumaines  »... Le syndicat CGT, pensant «  à ceux qui restent  », a donc fait valoir jeudi auprès de la direction, de la DIRECCTE, et du Pôle santé travail, son droit d’alerte «  pour danger imminent  ».

Dans le courrier, il évoque «  les burne-out, le taux d’absentéisme  » (6,5%). «  Soit la direction sera d’accord et fera une enquête, soit elle ne sera pas d’accord, alors ce sera l’inspection du travail qui devra donner son avis !  », explique Dorian Vallois.

«  Par ce droit d’alerte, on soutient les salariés, on prend nos responsabilités. À la direction de prendre les siennes !  »

La chasse au «temps mort»

Dans le rapport adressé le 14 février au CHSCT de Cargill, les salariés alertent sur le mal-être, les risques psycho-sociaux qui découlent du projet de réorganisation et des 26 suppressions de postes programmées : «  On a été pressés comme des citrons  », «  des pleurs sont monnaie courante  », «  des collègues sous anxiolytiques et antidépresseurs, des burn-out  », «  un seul salarié qui travaille dans un open space de 16 salariés au sein du CTL  », «  un dialogue fermé avec la direction  », sont quelques-unes des remarques.

Autour de la table, dans le local syndical, on évoque «  un travail devenu impersonnel. L’open space, ça a été le début de la fin. Ça crée des conditions de travail sous pression tout le temps !  ». L’une indique : «  Sur les mails, on ne s’adresse plus à nous par notre nom mais par notre numéro de badge ou 0,8 pour 80 % de temps de travail. D’où le choc pour ceux qui travaillent là depuis trente ans et qui ont connu une ambiance familiale avant le rachat par Cargill !  » Une autre agent de maîtrise, ajoute : «  C’est le pompon ! On nous a demandé de chronométrer nos tâches  »

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Dorian Vallois, secrétaire CGT souligne aussi la consternation à la mise en place d’une méthode chinoise (Kai zen) pour chasser les temps morts dans le travail.

Par La Voix Du Nord

 

 

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par FSC

A Melun aussi c'est la volonté de lutte qui l'emporte contre l'attentisme et la résignation!

SOURCE : Le Parisien

Les salariés de la Coopération pharmaceutique française (dite Cooper) se sont mis en grève ce jeudi matin à l'appel de la CGT et CFDT. Ils réclament une hausse des salaires plus conséquente, 65 euros brut contre les 28 euros proposés par leur direction.

Mouvement de grogne à la Coopération pharmaceutique française (dite Cooper) de Melun. A l’appel de la CGT, rejointe par la CFDT, les salariés en grève refusent l’accord de hausse salariale de 28 € brut par mois signé la semaine dernière par les deux autres syndicats de l’entreprise (FO et la CGC). Un comble, selon eux, alors que le groupe bénéficie du Crédit d’impôts compétitivité emploi (CICE) «qui n’a visiblement pas servi à créer de l’emploi et encore moins augmenter les salaires».

Résultat : depuis ce jeudi matin 7 heures, les trois sites de l’entreprise, ceux de Melun et celui de Saint-Fargeau-Ponthierry, sont touchés par des piquets de grève. Selon les syndicats, ils seraient même à l’arrêt. Un huissier était présent à 10 heures à Melun pour constater le blocage de l’entrée, place Lucien Auvert.

Les conditions de travail aussi en cause

«Nous avons demandé 65 € brut de plus par mois, soit 50 € net. Mais pas de réponse », commente Karine Peche, de la CGT. Elle déplore aussi une dégradation des conditions de travail qui expliquerait, selon elle, un taux d’absentéisme de 8 % et une hausse des accidents du travail. Pour Arcangelo Calabro, délégué syndical CFDT, «il faut dénoncer l’accord signé. La CFDT et la CGT ont fait 53 % des voix aux élections.».

Le directeur financier de la Cooper confirme le blocage «surtout au niveau de la logistique». Mais il critique une grève «inopinée, sans préavis» et rappelle «qu’un accord a été signé après discussions».

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Société Coopérative Ouvrière Provençale de Thés et Infusions

Bonjour à Tous,

Comme chaque fin de semaine, nous vous faisons part de notre actualité récente:

Animation de Vente de SCOPTI

Deux animations de vente visant à proposer une dégustation et faire découvrir nos thés et infusions « 1336 » sont proposées ce week-end, Vendredi 10 Mars et Samedi 11 Mars 2017, dans les supermarchés Auchan à Aubagne et Leclerc à Carpentras. D’autres dates se profilent en vue de développer notre implantation dans les différentes enseignes des GMS. Les coopérateurs de SCOP-TI seront présents dans le supermarché Auchan de Saint-Genis-Laval, dans la métropole de Lyon, les Vendredi 17 et Samedi 18 Mars ainsi qu’à Saint-Priest, les 24 et 25 Mars.

Demain dimanche 12 mars 2017 une animation vente de nos thés et infusions « 1336 » sera également proposée à l’occasion de la Cоursе du printemps еt trаіl du Cаntоn Vеrt organisé par la MJC de Plan de Cuques, un athlète portera à cette occasion les couleurs de 1336 !

Des nouvelles de SCOPTI

« Un, deux, trois… Fruits des Bois ! » 

Nous avons travaillé cette semaine à conditionner cette recette savoureuse qui plait tant aux gourmands. L’infusion « Fruits des Bois » est délicieuse pour les amoureux des fruits rouges ! Réalisée à partir de pomme, d’hibiscus, d’églantier, de feuilles de mûre, d’églantier, d’arômes naturels de fraise, de framboise, de cassis, de pétales de tournesol et de morceaux de framboise, elle s’apprécie également en préparation glacée.

Pour une pause rafraîchissante et rapide : laissez infuser un sachet dans un grand verre d’eau entre 75 et 90°C pendant 4 à 5 min (bien lire les instructions présentes sur le sachet). Laissez refroidir, plongez quelques glaçons, c’est prêt, dégustez, c’est délicieux !

Initiatives Politiques, Sociales et Culturelles de Fraliberthé

L'Association Fraliberthé participait, le Samedi 04 Mars, à la quatrième édition du Balèti des Rails, organisée par l'Association Caminòts Bolégans. Rendez-Vous à 20h00 au Restaurant Rouge Belle de Mai, dans le 3ème arrondissement de Marseille!

Nous étions présents au Salon National des CE organisé par Elucéo, au Stade de France, les 08 et 09 Mars sur invitation du Cabinet JDS Avocats.

Nous avons enfin participé, par le biais d’une camarade, Brigitte Blang, membre de l’Association Fraliberthé, au festival allemand consacré au monde du travail et à l’entreprise « Die Firma Sind Wir » (nous sommes l’entreprise) au cours duquel le film de Claude Hirsch, « 1336, des hauts débats, mais toujours debout », était projeté. Voici quelques photos de la soirée du 07 Mars : https://goo.gl/photos/d9pJdugfufxddABf6

L’Association Fraliberthé s’installe à Bordeaux…

Nous serons présents au Congrès CGT de l’UCR qui se tiendra à Bordeaux du 13 Mars au 17 Mars, au site de restauration de la SNCF de Bordeaux, le 16 Mars, pour y proposer une dégustation visant à faire découvrir nos produits et conclurons la semaine par une représentation de notre spectacle de théâtre, le 19 Mars lors d’une journée festive organisée par le PCF de Gironde.  

Nous participerons le 13 Mars au festival du film altermondialiste "Mars Attac" organisé par Attac Nîmes en participant au débat programmé autour du film consacré à la lutte des Fralib « 1336, des hauts débats, mais toujours debout ».

Le groupe Los Fralibos s’est produit en concert aux côtés des Vitales lors d’une soirée dédiée à la Journée de la Femme, le 08 mars dernier, au Cercle de l’Harmonie d’Aubagne.

Nous rappelons que le nouvel album d’HK, "l’Empire de Papier", est sorti le 03 Mars et n’attend plus que vos oreilles !

Le titre « Sans haine, sans armes, sans violence » : https://www.youtube.com/watch?v=f3SDCmyhFrc

Dans les Médias

Deux articles ont été consacrés récemment à la lutte sociale menée par les anciens salariés de Fralib ainsi qu’à la création de la Coopérative SCOPTI suite aux rencontres très enrichissantes occasionnées au cours de notre séjour récent en Belgique. Cette initiative nous a permis de rencontrer différents acteurs de projets économiques alternatifs dont les membres de l’association Coopcity, qui constitue un centre dédié à l'entrepreneuriat social, collaboratif et coopératif. Il fut question de présenter les modalités de construction et d’organisation de SCOPTI, qui fait figure de modèle social et de source d’inspiration pour les salariés du site de production de Caterpillar.

Article paru dans le journal Alter échos :

http://www.alterechos.be/le-combat-des-fralib-contre-unilever/

Article paru dans le journal Le Soir :

http://plus.lesoir.be/node/85062

Le documentaire "Thé Mania", préalablement diffusé Dimanche 5 Mars à 20h50 sur France 5 sera rediffusé demain dimanche 12 Mars à 17h40. Les réalisatrices Sophie Lesage et Vanessa Jalbert étaient venues à SCOPTI, il y a trois mois, dans le cadre d'un sujet consacré au succès relativement récent du thé en France. La Société Coopérative Ouvrière Provençale de Thés et Infusions, à travers ses deux marques, « 1336 » et « SCOP-TI », apparait comme une figure novatrice sur le marché du thé en raison de son histoire singulière, de son positionnement et de ses produits de qualité!  

http://www.france5.fr/emission/mania

Rappel des modalités de CommandesLes collectivités (Associations, CE, etc.) qui veulent passer une commande de produits 1336 et SCOPTI peuvent s’adresser à l'ADV de la Coopérative: adv@scop-ti.com (04 42 32 53 00).Les particuliers peuvent s'adresser à l'Association Fraliberthé, via son site internet www.fraliberthe.fr ou écrire à l’adresse contact@fraliberthe.fr ou commandes@fraliberthe.fr  (04 42 32 53 63).

La chaîne Fraliberthé

Nous vous invitons à regarder ce premier documentaire réalisé par l'équipe de Fraliberthé, sous la direction de Laura Coppens, qui présente les acteurs et les enjeux du projet de relance de l'activité de production de tilleul, de qualité bio, porté par SCOPTI.

https://www.youtube.com/watch?v=ARTlJhRKhyA&feature=share

Depuis sa création, la Société Coopérative Provençale de Thés et Infusions, SCOPTI (ex-Fralib), participe à la relance de l'activité de production de tilleul dans la région de Buis-les-Baronnies. Le projet de la Coopérative est de parvenir, à moyen ou à long terme, à l'élaboration de circuits-courts, conçus dans une perspective de développement durable. Cela consiste à promouvoir la réimplantation et la relance d'une activité agricole biologique de qualité tout en participant à la reconstitution des filières de production françaises. SCOPTI privilégie ainsi des partenariats avec des producteurs de proximité et tend à réhabiliter des savoir-faire, abandonnés ou en déclin, de manière à garantir l'approvisionnement de matières premières au sein d'un circuit viable et équitable, tout en veillant à ce que les produits finalisés restent accessibles à la commercialisation.

Le Site Fraliberthé existe depuis quelques semaines (www.fraliberthe.fr). Il s’est doté de fonctionnalités vous permettant d’adhérer à l’Association et de commander les produits « 1336 » et « SCOPTI » à partir d’un Bon de Commande en ligne, qu’il vous suffit d’enregistrer et d’envoyer par mail à l’adresse commandes@fraliberthe.fr.

Nous sommes d’ores et déjà en mesure de vous annoncer la mise en œuvre très prochaine d’une plateforme de e-commerce qui vous permettra de découvrir des produits exclusifs issus des ateliers de conditionnement de SCOPTI !… 

A très bientôt !

Réseaux Sociaux

N’oubliez pas que vous pouvez suivre au quotidien notre actualité sur les pages

Facebook : « 1336 », « Fraliberthé », Contact : Fraternité Libère Thé.

 

Twitter : @scoptiofficiel, @Fraliberthe

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Amicalement, 

Les Coopérateurs de SCOP-TI.

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Une salariée et syndiquée CGT séquestrée chez Conforama !

La Fédération Commerce n’en revient pas. Le samedi 25 février dans le magasin Conforama de Niort (79), Nadine, hôtesse SAV, militante CGT en situation de handicap, a été enfermée et retenue dans un local exigu. Ceci afin de lui soustraire son carnet, sur lequel elle consignait ses notes personnelles et privées en lien avec la dégradation de ses conditions de travail depuis 2013.
Choquée, elle a dû être évacuée par les pompiers. La CGT Conforama dénonce depuis 2015 les agissements répétés de la direction, ayant pour effet une dégradation de ses conditions de travail, portant atteinte à ses droits, à sa dignité, altérant sa santé physique et mentale, ainsi que son maintien dans l’emploi.
La direction de Conforama a choisi le silence face aux nombreuses alertes de la CGT. Elle continue de camper sur ses positions d’exclusion envers Nadine, obligée de justifiée son état de santé. La CGT Conforama soutenue par la Fédération Commerce et services, ne laissera pas la direction continuer à malmener une camarade de la sorte, et condamne de tels agissements.

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RETRAITES : comparatif des programmes des candidats à la PRÉSIDENTIELLE

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Par FSC

 

C'est l'histoire d'Arthur, coursier à vélo et livreur de repas à domicile, qui avec quatre de ses collègues a décidé de venir se syndiquer à la CGT et de créer le syndicat CGT des coursiers à vélo de Gironde avec l'Union départementale CGT, la Fédération du commerce et la Fédération du transport.

Ubérisation

Avant de venir frapper à la porte de la CGT, ces jeunes auto-entrepreneurs chez Deliveroo faisaient déjà partie du Collectif Coursiers Bordeaux et ont connu la fermeture de Take eat easy pour qui ils travaillaient auparavant.Élément p

« Ces jeunes font souvent ce type de travail parce qu'ils aiment le vélo avant tout et parce qu'ils ont la possibilité de choisir leurs horaires. Seulement, à Bordeaux, les candidats pour les plateformes (Foodora, Deliveroo, Ubereats) sont de plus en plus nombreux et ils sont de moins en moins payés à l'heure mais à la course », explique Loïc Notais de l'UD de Gironde.

L'illusion de l'autonomie est de courte durée face à la réalité de la pauvreté et de la précarité vécues par ces travailleurs. Selon une étude publiée par l'Insee le 19 décembre 2016, le revenu moyen des auto-entrepreneurs tourne autour de 410 euros, soit moins que le montant du RSA !

La CGT est à l'écoute de ces travailleurs indépendants. « Il s'agit d'une population très diverse et difficile à gérer car ils sont là aujourd'hui mais ne le seront peut-être plus demain » précise Loïc Notais. La CGT vient de créer également un syndicat chez les VTC. Avec eux, elle porte le combat pour une juste rémunération, de meilleures conditions de travail, la reconnaissance et la dignité auxquelles ces travailleurs ont droit. Elle milite aussi pour le droit à la négociation et à la représentation au sein des plateformes, par la mise en place d'instances représentatives des personnels.

Image : © Pascal BASTIEN / Divergence

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Par FSC

Cette longue confrontation des travailleurs avec le pouvoir PS a révélé à plus d'un la nature d'un pouvoir et d'un parti au service du patronat, du MEDEF et de l'Union européenne, derrière les paroles miélleuses.

Elle a aussi fait la démonstration de la combativité et de la détermination de larges secteurs du monde du travail face aux moyens politiques du pouvoir d'état (le 49.3 si cher à Valls avant de le renier en parole à l'approche des élections), face à la répression policière et aux provocations, face aux manoeuvres du syndicalisme jaune incarné par Laurent Berger et les dirigeants de la CFDT.

Un mouvement qui pour n'avoir pas débouché sur une victoire totale dans le rapport de force politique et social du moment n'en a pas moins redonné confiance aux militants et aux bases syndicales combatives dans leurs propres forces, rallumant les braises des combats de l'heure et de ceux à venir.

Une leçon grandeur nature de la permanence et de la nécessité du combat de classe contre les forces d'exploitation et contre celles qui accompagnent toutes les régressions.

La nécessaire recherche de l'unité ne pouvant être séparée du contenu de classe des revendications et du projet de transformation social !

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Les chiffres du conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) sur les temps d'antenne dont a bénéficié chaque candidat à la présidentielle entre les 1er et 26 février sont sortis. Ils sont éloquents. Le CSA souligne que Fillon a eu bien plus la parole (265 heures, presque 16 000 minutes) que les autres. Le deuxième du classement est Macron avec 163 heures.

Mais la suite du tableau est encore plus éloquente, Mélenchon a bénéficié de 3163 minutes, Nathalie Arthaud de... 67 minutes (230 fois moins que Fillon, 150 fois moins que Macron et même 47 fois moins que Mélenchon).

On voit qui les patrons des médias ne souhaitent pas entendre !

Publié par LO

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Marine Le Pen, son compagnon Louis Aliot (au centre), et Aymeric Chaupradre ont voté au Parlement européen de Strasbourg ce 10 mars 2015 (Reuters/Vincent Kessler)

Chaque année, le Parlement européen est amené à voter symboliquement un texte concernant, entre autres, l’égalité hommes-femmes au sein de l’Union. Le rapport de 2015 rédigé par le socialiste belge Marc Tarabella proposait des solutions globales. Le paragraphe 45 proposait ainsi que les femmes aient “le contrôle de leur santé et de leurs droits sexuels et reproductifs“, notamment “grâce à un accès aisé la contraception et à l’avortement“. Une proposition qui n’a pas plu à l’Irlande, la Pologne ou Chypre, qui répriment, voire interdisent l’IVG.

Les choses avancent trop lentement, s’est plaint Marc Tarabella, par exemple sur l’égalité salariale, elle ne sera obtenue qu’en 2084 si rien n’est fait !“. Ou en 2058, avec un peu de chance, si l’on fait confiance aux études américaines.

Le FN contre l’avortement 

Du côté français, l’intégralité des élus FN du Parlement européen a voté contre le paragraphe autorisant l’IVG. Aymeric Chauprade, chef de la délégation FN, a ajouté que le débat sur l’avortement était “une arme de destruction massive contre la démographie européenne“. Le Front National s’est également dressé contre l’article 21 qui propose “d’inclure des clauses de parité hommes-femmes dans les appels d’offres pour des marchés publics“. Une grande partie des députés UMP, dont Nadine Morano ou Michèle Alliot-Marie, ont rejoint l’avis du FN sur cette question.

Finalement, le rapport a été adopté par 441 voix contre 205. 52 eurodéputés se sont abstenus. Il ne s’imposera donc pas aux Etats membres.

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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