SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

notes d'information cgt unilever

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PAR EL DIABLO

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A l'assemblée européenne, Jean-Luc Mélenchon, opposant résolu au CETA

A l'assemblée européenne, Jean-Luc Mélenchon, opposant résolu au CETA

Au parlement européen de Strasbourg, les députés ont donné leur aval à l'accord de libre échange entre l'UE et le Canada (CETA). Ce dernier est donc désormais approuvé.

Selon les premiers échos du vote, les eurodéputés ont approuvé l'accord par 408 voix contre 254.

Avec ce vote favorable, une grande partie du texte devrait très prochainement être appliquée de manière provisoire, le temps qu'il soit ratifié par l'ensemble des Parlements nationaux et régionaux de l'UE, ce qui pourrait prendre des années.

Les eurodéputés de droite, ainsi que les libéraux et la plupart des socialistes étaient favorables au texte, tandis que les Verts, l'extrême gauche, l'extrême droite et certains socialistes s'y sont opposés.

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« La SÉCURITÉ SOCIALE vous appartient »[par Michel Cialdella, ex-administrateur de la Sécurité Sociale]

« La Sécurité sociale vous appartient ».

A chaque occasion, il faut rappeler que L’Histoire ne sert pas à célébrer le passé, mais à écrire l’avenir.

La sécurité sociale est née de la volonté du Conseil National de la Résistance dont le programme doit beaucoup au Parti communiste français et à la CGT. Sait-on assez que le principal rédacteur de ce programme est le communiste Pierre Villon, résistant de la première heure ? Programme qu’il a élaboré en liaison avec Jacques Duclos et Benoît Frachon.

Ce programme a été adopté à l’unanimité le 15 mars 1944. Ce qui pourrait laisser penser qu’il y a eu un consensus, mais c’est oublier un peu vite, que certains espéraient que ce programme ne se réaliserait pas.

Qui peut croire que la droite et le patronat étaient pour :

- l’éviction des grandes féodalités économiques et financières de la direction de l’économie.
- le retour à la nation des grands moyens de production monopolisés, ..., des compagnies d’assurances et des grandes banques.
- la participation des travailleurs à la direction de l’économie.
- un syndicalisme indépendant, doté de larges pouvoirs ....
(1)

Ce programme prévoyait : « Un plan complet de sécurité sociale, visant à assurer à tous les citoyens des moyens d’existence, dans tous les cas où ils sont incapables de se les procurer par le travail, avec gestion appartenant aux représentants des intéressés et de l’État ». Il restait à construire l’organisme qui comprend 4 branches : Maladie, Accidents du travail et Maladies professionnelles, Vieillesse et Famille. Le 8 août 1946 à l’Assemblée nationale constituante, Ambroise Croizat rappelle que l’ordonnance du 4 octobre 1945 a été le produit d’une année de travail de la commission sociale qu’il présidait. Le projet d’ordonnance organisant la sécurité sociale est issu d’un rapport présenté par Georges Buisson de la CGT, le 31 juillet 1945. Il est adopté par l’assemblée consultative provisoire par 194 voix pour, et une voix contre, celle de Joseph Denais (droite), mais il y a 84 abstentions pour la plupart des députés MRP, la CFTC et quelques radicaux. Ce qui invalide la thèse de l’unanimité.

De Gaulle, à qui certains attribuent un peu vite la Sécu, ne signera pas les ordonnances. Il est à Moscou ce jour-là.

Le 21 octobre 1945, à élection de l’assemblée constituante (2), la gauche est majoritaire avec 60% des voix. Le PCF obtient 26,2 % et 159 députés, devenant ainsi le premier parti de France. Le 10 novembre 1946 pour l’élection de la première Assemblée nationale de la IVe République il obtiendra 28,6 % des suffrages et 183 députés. (2) De 1945 à 1947, la CGT voit le nombre de ses adhérents passer de 4 à 6 millions (3).

Au-delà des chiffres, cette dynamique crée un rapport de force favorable aux travailleurs. Il est utile de le rappeler au moment où d’aucuns tentent de nous faire oublier, l’utilité des luttes sociales et criminalisent l’action syndicale.

C’est dans ce contexte que le 22 novembre 1945, soit 32 jours après la publication des ordonnances, Ambroise Croizat devient ministre du Travail et de la Sécurité sociale. Il est chargé de mettre en place ce grand organisme (4). Pour cela, il organisera des centaines de réunions avec les gens concernés (5).

La droite ne renonce pas.

Le 22 décembre 1945, 79 jours après la publication des ordonnances, le MRP présente une proposition de loi (6), qui a pour objet de modifier l’ordonnance du 4 octobre 1945. On devine dans quel sens. Le 20 janvier 1946, De Gaulle démissionne du gouvernement (68 jours après son élection comme chef du gouvernement) ce qui le met dans l’impossibilité de faire quoi que ce soit pour la Sécurité sociale. Pire, dès mars 1948, dans son discours de Compiègne, de Gaulle met l’accent, sur la nécessité de réduire les dépenses sociales, « de manière durable et effective ; cela comporte, en effet, la suppression de services entiers, la mise en ordre radical des entreprises nationalisées, la réforme profonde du fonctionnement des assurances sociales… » (7) . Voilà, pour l’apport de Gaulle à la Sécu, qu’il appellera toujours « les assurances sociales ».

Le patronat ne renonce pas non plus.

La Confédération Générale du Patronat Français, qui avait collaboré avec le régime de Pétain et l’Allemagne nazie, change de nom. L’organisation patronale devient C.N.P.F le 21 décembre 1945, et tente de se refaire une virginité en allant chercher pour la présidence un certain Georges Villiers, dirigeant de PME, estampillé résistant, bien que maire de Lyon de 1941 à 1943, sur proposition de François Darlan, chef du gouvernement de Vichy. Dès 1948, le CNPF soutient que « la Sécurité sociale met en danger l’économie du pays ».

Le 10 novembre 1948, la chambre de commerce de Paris prétend que : « La Sécurité sociale est devenue pour l’économie, une charge considérable. » Dans la foulée, elle fustige les salariés qui selon elle « ont profité de traitements dont ils n’avaient peut-être pas un besoin certain, la moindre maladie a été le prétexte de repos. L’absentéisme s’est développé ». 70 ans plus tard, ils ont du mal à se renouveler.

En 1949, Paul Reynaud, président du conseil, dénonce : « la charge excessive des cotisations sociales qui rend notre situation économique intenable ». Incompétence ou mauvaise foi ? Sans doute les deux car nous avons eu ont ensuite, ce qu’ils ont eux-mêmes appelé les « Trente glorieuses ».

Non content de voler l’histoire ouvrière, la classe dominante cherche à masquer l’enjeu de classe.

En 2013, dans un livre publié à la documentation française, Benjamin Ferras inspecteur des affaires sociales prétend que les entreprises ont accepté de contribuer au système d’assurances sociales. (8). Pour la sociologue Colette Bec, « le programme du CNR est emblématique d’un consensus, et au-delà, le signe d’une unanimité nationale. ». (9). Celle là il fallait l’oser !

Les gouvernements ainsi que les grands médias font de Pierre Laroque le père de la Sécurité sociale. Ce qui est extraordinaire, car c’est la seule réforme qui porte le nom d’un directeur de cabinet alors que toutes les réformes même les plus rétrogrades portent le nom du ministre, par exemple : La loi Veil (bien que votée grâce à la gauche, elle porte le nom de la ministre), Balladur, Juppé, Fillon, Douste-Blazy.

Je ne conteste pas le rôle important de Pierre Laroque qui a mis en forme juridique les longs travaux de la commission sociale, mais, ainsi que l’indique le chercheur américain Henry C. Galant : « les défenseurs les plus actifs du nouveau plan de sécurité sociale et de son application étaient les communistes et la CGT... » (6).

La mise en valeur de Pierre Laroque sert à masquer les luttes sociales. Pour que la Sécurité sociale fonctionne à partir du 1er juillet 1946, le gouvernement reçu « l’appui efficace des dirigeants communistes comme d’ailleurs des éléments non communistes de la CGT.... » « ... c’est grâce aux efforts de la CGT que les caisses furent prêtes à fonctionner à la date prévue ». Relève encore Henry C. Galant. Et cela dans une France dévasté par 4 années de guerre.

Tout au long de ces 70 années, les attaques contre la Sécurité sociale n’ont pas cessé. Au prétexte d’un déficit que gouvernement et patronat ont eux-mêmes organisé, en gelant les taux de cotisations : en 1979 pour la retraite et en 1984 pour la maladie. Nous avons, non pas un déficit, terme impropre, mais un besoin de financement.

La Sécu n’est pas un commerce, mais un formidable moyen de permettre l’accès de tous aux soins de qualité, à la retraite, et aux allocations familiales qui ne sont pas une aide aux pauvres, mais un salaire socialisé qui reconnait le travail de la famille auprès des enfants. En 1945, Croizat fait passer la cotisation de 16 à 32 %. Il triple les allocations, les indexe sur les salaires. Elles représentent alors la moitié du salaire des familles populaires. Il augmente les retraites de 130%. Et personne n’en est mort ! Les agitateurs du trou abyssal comptent pour peu de choses les millions de personnes qui ont pu, grâce à la Sécurité sociale, être soignées, avoir la vie sauve, et puissent finir leur vie dans la dignité. Même si je suis conscient qu’il reste beaucoup à faire dans le domaine des retraites.

La gestion.

Pendant les 15 premières années, les travailleurs, et notamment les ouvriers avec la CGT majoritaire, qui disposaient des 3/4 des sièges, ont géré complètement les caisses de Sécurité sociale. Montrant ainsi la capacité de la classe ouvrière à gérer un budget supérieur à celui de l’Etat. Ce qui est insupportable aux classes dirigeantes. En conséquence, le 12 mai 1960, le gouvernement De Gaulle organise par décret, la mainmise de l’État, renforçant les pouvoirs du directeur au détriment des conseils d’administration élus. (Décret du 12 mai 1960) (11).

À chaque réforme c’est un peu moins de pouvoir pour les conseils d’administration. En 1967 la réforme De Gaulle / Jeanneney vise entre autres à marginaliser la CGT et à donner le pouvoir réel au patronat. Il suffit à celui-ci de trouver un syndicaliste jaune, pour avoir la majorité. Cette réforme met fin (momentanément je l’espère) aux élections des conseils d’administration. Le paritarisme à la sauce capital est instauré. Avec une brève interruption en 1983.

En 2004, c’est la loi dite Douste-Blazy qui supprime carrément les conseils d’administration pour y substituer des conseils d’orientation sans pouvoir. Cette loi qui donne les quasi pleins pouvoirs au directeur Général de la CNAMTS, fait entrer les complémentaires (assurances privées et mutuelles) dans une union nationale des caisses complémentaires d’assurance-maladie. (UNOCAM), où elles disposent du pouvoir de peser sur les remboursements. Cette loi d’essence libérale, ouvre la voie à la privatisation.

Aujourd’hui, Fillon, mais pas seulement voudrait, je cite : « focaliser l’assurance publique universelle sur des affections graves ou de longue durée, et l’assurance privée sur le reste ». Ce qui porterait un coup fatal à notre Sécu.

La propriété.

Pierre Laroque, s’il n’est pas le père de la Sécurité sociale, avait bien compris l’objectif des bâtisseurs et rappelait en 1946 : « Nous voulons que demain, les travailleurs considèrent que les institutions de Sécurité sociale sont des institutions à eux, gérées par eux, et où ils sont chez eux ».

La Sécurité sociale française est un organisme de droit privé exerçant une mission de service public. Elle n’a ni actionnaires ni PDG. Elle est une propriété sociale. Ambroise Croizat rappelait en 1946 que : « La sécurité sociale, pour assurer son efficacité, ..., doit être confiée aux Français et aux Françaises... ».

La Sécurité sociale est également la démonstration que nous pouvons nous passer des patrons et du crédit. Les gouvernements qui doivent exercer une garantie et un contrôle a posteriori n’ont aucune légitimité pour la détruire.

Nous avons le devoir de transmettre aux futures générations, une Sécurité sociale encore plus performante que celle que nos anciens nous ont léguée. Loin d’être dépassée, avec la cotisation sociale, salaire socialisé, indirect, elle est d’une grande modernité comme l’est le programme du Conseil National de la Résistance. Cela devrait nous inciter à continuer l’œuvre de ses fondateurs, en faisant plus et mieux dans une France immensément plus riche. Songez que de 1949 à 2014 le PIB en valeur 2010, a été multiplié par 7,54, selon l’INSEE.

Parlant des libéraux de son temps, Robespierre disait : « ils ont plus disserté sur le commerce des grains que la subsistance du peuple…ils ont compté pour beaucoup les profits des négociants ou des propriétaires, la vie des hommes à peu près pour rien ».

N’oublions jamais : Ni pacte républicain, ni État-providence, la Sécurité sociale est une conquête. Seule la lutte consciente des salariés permettra de la conserver et de l’améliorer. Dans cette lutte, le Parti Communiste Français doit jouer un rôle de premier plan.

Le 5 février 2017

Michel Cialdella

Par El Diablo

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© D.R

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“La maison du Président? C'est là-bas, tout au fond du chemin de terre! Vous voyez? C'est la petite baraque au toit en zinc vert avec les poules devant!".

Au fin fond de cette banlieue pauvre de Montevideo, au Paso de la Arena, tout le monde connait José Mujica, affectueusement surnommé, à plus de 80 ans, “Pépé Mujica“.

D'abord parce qu"il vit depuis plus de 20 ans dans cette modeste fermette de 45 m2 avec sa femme Lucia et sa chienne handicapée, à trois pattes, Manuela.

Ensuite, parce qu'il a été Président de la République d'Uruguay de 2010 à 2015! Et qu'il n'a jamais cessé de vivre dans cette baraque, même quand il était le chef de la nation!

Pépé Mujica, né d'une famille de paysans pauvres, a toujours voulu rester au milieu des plus défavorisés et, s'il s'est engagé et a milité depuis son plus jeune âge, c'est justement pour défendre les plus pauvres et les opprimés!

Alors pas question de les abandonner, même quand il était Président, pour les ors de la République et le Palais présidentiel, trop luxueux à son goût!
 

Prisonnier-otage de la dictature militaire pendant 10 ans dont 2 ans au fond d'un puits

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C'est à l'âge de 15 ans, en 1950, que le jeune José, orphelin de père à 6 ans, commence à s'engager contre la misère et l'injustice.

Dans les années 60, face à la montée des groupes paramilitaires qui veulent faire la loi et prendre le pouvoir dans son pays avec force agressions, enlèvements et assassinats, José Mujica est un des fondateurs, avec Raoul Sendic, du groupe emblématique des Tupamaros. Sortes de “Robin des Bois” uruguayens, les Tupamaros s'étaient donné pour mission de protéger le peuple et de contenir la montée des paramilitaires.

En 1973, alors que la dictature militaire fait rage, il est fait “prisonnier-otage” par la junte et est emprisonné dans des conditions insoutenables.

Torturé chaque jour, mis à l'isolement total, il sera ainsi détenu pendant plus de 10 ans, dont 2 ans au fond d'un puits. Il en sortira en 1985, à demi-fou.

Une folie et une expérience terrifiante dont il fera, paradoxalement, sa plus grande force.

"C'est étrange, se confie-t-il aujourd'hui, mais l'homme apprend parfois plus des moments difficiles que des moments de bonheur. Ces années noires ont été horribles et pourtant, elles m'ont apporté beaucoup“

Un silence, puis: “Par exemple, je ne sais plus haïr. Vous connaissez le luxe de ne pas haïr?”
 

Elu Président, il fait redistribuer les 90% de son salaire à des organisations caritatives

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Dès sa sortie de prison, l'ex-Tuparamo reprend le combat, un combat plus pacifique cette fois mais toujours aussi inlassable et sans concession.

En 1994, il devient député. En 1999, il est élu sénateur et est réélu aux mêmes fonctions en 2004. Tout en continuant de travailler comme agriculteur.

En 2010, consécration d'une vie au service de son peuple, il est élu Président de la République.

Fini donc la fermette et le dur travail d'agriculture? Et bienvenue au confort présidentiel, aux voitures de fonction, au luxueux Palais présidentiel et aux très confortables émoluments de la République?

Pas du tout! En aucun cas! Ce serait bien mal connaitre Pépé Mujica!

Dès le lendemain de son élection, il fait connaitre - au grand dam du Protocole-, qu'il est hors de question pour lui d'habiter au Palais présidentiel. Trop riche pour lui! Il restera dans sa baraque, point barre! Mais il rassure son monde: la demeure présidentielle continuera à servir, il s'y engage. En 2012 par exemple, lors de la terrible vague de froid qui s'abattit sur le pays, il la fait inscrire comme refuge pour les sans-abris!

Secundo, il refuse toutes voitures de fonction qu'on veut lui imposer. Sa Coccinelle, bleue achetée en 1987, lui suffit amplement, affirme-t-il.

Et tertio, il décide de faire redistribuer les 90% de son salaire mensuel de Président à des associations caritatives, se déclarant bien loti de conserver les 10% restant, soit l'équivalent de 900 euros, montant du salaire moyen en Uruguay.
 

L'apologie, non de la pauvreté, mais celle du partage et de la sobriété

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C'est le 1 mars 2015 que Pepe Mujica a mis fin à ses fonctions présidentielles. Non pas qu'il en avait assez! A 80 ans, il est encore en pleine forme! Rien ne vaut l'amour de sa famille, de ses amis et de ses chiens pour vous conserver un homme! Mais la Constitution de l'Uruguay n'autorise qu'un seul mandat présidentiel de 5 ans.

Pépé Mujica est donc retourné, serein et bonhomme, à sa fermette, à ses fleurs et à son jardin, au fin fond de sa banlieue et aux côtés de ses amis.

Quand on lui demande ce que cela lui fait d'être l'ex-Président le plus pauvre au monde, il hausse les épaules. “Beaucoup de personnes sont pauvres, très pauvres, de par le monde. Moi, je ne suis pas pauvre, j'ai juste décidé de vivre de manière austère pour être plus proches de ceux qui le sont. Je ne fais pas l'apologie de la pauvreté, mais celui du partage et de la sobriété“.

Est-il satisfait de ce qu'il a fait, de l'exemple qu'il a pu donner? Il lève les yeux au ciel.
“J'ai fait ce que j'ai pu... J'ai dédié une grande partie de ma vie à essayer d'améliorer la condition sociale du monde dans lequel je suis né. J'ai eu quelques déconvenues, de nombreuses blessures, quelques années de prison.... Enfin, la routine pour quelqu'un qui veut changer le monde...“

Ses projets?
“Continuer à vivre le plus longtemps possible! C'est un miracle que je sois encore en vie après tout ce que j'ai vécu! Et puis lire aussi, lire beaucoup! J'ai passé plus de 10 ans dans un cachot dont 7 sans pouvoir lire. J'ai du retard à rattraper!“

Je te souhaite encore de longues années de vie et de lecture, Pépé Mujica, et je te serre avec émotion contre moi.

Tu es pour moi, - pour nous toutes et tous -, beaucoup plus qu'un exemple...
Tu es un espoir!

Bien à toutes et à tous

Pierre MARTIAL

A partager le plus largement possible, mes amies et amis.
Partager, c'est déjà agir.

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Par FSC

Benoît HAMON vient de rendre publique la mise en place de son équipe de campagne.

Il feint de tourner la page pour ne pas avoir à rendre des comptes sur la politique menée par le PS, en particulier sur le terrain économique et social.

Pourtant dans son équipe on retrouve tous les courants solfériniens.

Et parmi eux, en bonne place un certain Carnouvas qui en pleine bataille contre la loi travail attaquait durement la CGT.

« Caste gauchisée », « privilégiés », Philipe Martinez est un « permanent politique », « un Peppone de mauvaise facture » : Luc Carvounas n’avait pas de mots assez durs mardi 24 mai sur LCI  pour essayer de discréditer la CGT et son secrétaire général. Et comme si les insultes ne suffisaient pas, Luc Carvounas s’est fait le porte-voix de la droite et du Medef en caricaturant et méprisant la lutte des salariés.

Des attaques que nul ne saurait oublier !

Rappel : Luc CARNOUVAS est sénateur PS du Val de Marne.

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CASSE DE LA POSTE - Encore un mauvais coup contre la population et les travailleurs

UL CGT DIEPPE

L’annonce de la fermeture des bureaux de poste de Janval, du Pollet, le nouveau projet de casse de l’emploi au centre courrier de Dieppe s’inscrivent dans les choix gouvernementaux contre le peuple pour satisfaire les actionnaires.

Nous sommes confrontés à une logique de marchandisation de tous les services pour trouver de nouvelles sources de profits aux actionnaires et rentiers. La Poste poursuit sa mutation, du service public des PTT à La Poste société anonyme. Comme dans la plupart des pays de l’union européenne, l’objectif est l’entrée en bourse et de juteux dividendes pour les plus riches.

Pour cela il faut être en mesure de garantir un joli taux de profits, les dirigeants de La Poste s’y emploient avec le soutien actif des gouvernements qui se succèdent à la tête du pays qu’ils soient de droite ou socialistes et ce depuis le vote de la loi Quilès.

Les recettes sont connues, suppressions massives d’emplois, fermetures de bureaux de poste et de centre courrier, avec pour conséquence une distribution du courrier qui n’est plus assurée quotidiennement et des utilisateurs qui ne peuvent accéder aux services postaux qu’ils relèvent du courrier, des colis ou des opérations bancaires.

Les points « poste » chez le commerçant du coin ne peuvent remplacer les bureaux de plein exercice.

La cour des comptes laisse entrevoir les choix à venir, abandons d’activités, recentrages sur le plus rentable, externalisations et sous-traitances, avec pour le personnel temps partiel et précarité, pour le public, service cher ou de moindre qualité.

Mais c’est encore insuffisant pour les tenants du libéralisme économique, l’idée est d’accentuer le financement par les collectivités territoriales, notamment les communes qui déjà dans bien des cas subventionnent des locaux postaux, des agents de guichets et dans le futur la distribution du courrier.

Ce qui se passe aujourd’hui à Dieppe est symptomatique.

Les politiques antisociales d’austérité du gouvernement Hollande, porte une lourde responsabilité dans les difficultés de vie des Dieppois liées à la casse des services publics.

L’argument du miracle numérique qui serait la panacée et remplacerait le papier est fallacieux, 25% de la population est en situation de précarité informatique, particulièrement celle des quartiers populaires frappée par la crise. L’informatique, qui devrait être au service du développement pour tous, est dévoyée pour diminuer les coûts et marginaliser les êtres humains.

En outre, si la baisse du courrier est réelle elle n’atteint pas les chiffres annoncés par les directions de La Poste, et lorsque qu’ils sont sollicités les usagers plébiscitent le support papier. Le volume des imprimés publicitaires déposés dans les boites aux lettres a augmenté de 37% en 10 ans.

Le trafic colis est en pleine croissance. Il y a du travail pour les facteurs !!!

Les pseudo-services mis en avant par le siège de La Poste n’ont d’autres finalités que de faire payer par les collectivités le rôle social que le postier acquittait gratuitement.

Alertée par Monsieur le Maire de Dieppe, le syndicat FAPT CGT 76 des activités postales et l’Union locale CGT de Dieppe mettront tout en œuvre pour que ces projets néfastes n’aboutissent pas.

La ville de Dieppe et sa population méritent mieux que des services au rabais. Des solutions alternatives existent, les pouvoirs publics doivent prendre leurs responsabilités.

Nous ne nous satisfaisons pas d’un statu quo, notre syndicat est aussi force de propositions, d’autres choix sont possibles que ceux de la rentabilité financière.

Dans la période électorale qui s’ouvre il est important que populations et salariés fassent entendre leurs besoins et aspirations.

Osons un retour au service public de qualité !

Maintien et création à Dieppe au Pollet, à Janval et dans les autres quartiers :

  • Des bureaux de poste de proximité, plus nombreux, avec des plages d’ouverture en semaine plus amples pour un accès à tous, avec du personnel formé pour conseiller et aider.
  • Des services bancaires gratuits, des crédits avec des tarifs sociaux, des ordinateurs en libre service.
  • Un retour à la franchise postale (gratuité) pour le courrier à destination de tous les organismes officiels, services et entreprises publics, et pourquoi pas les associations.
  • L’intégration du rôle social du postier dans le temps de travail pour que l’humain devienne le premier critère dans les choix d’organisation du travail.

Cette liste n’est pas exhaustive et ces propositions n’ont rien d’utopique !

Devant ces attaques, La CGT prendra ses responsabilités !

 

CASSE DE LA POSTE - Encore un mauvais coup contre la population et les travailleurs

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source photo: francoislafite.com

source photo: francoislafite.com

Gattaz critique Fillon et juge "intéressant"

le projet de Macron

Le président du Medef a critiqué l'objectif de réduction des effectifs de la fonction publique du représentant de la droite à l'élection présidentielle. Il a revanche jugé "intéressant" le discours du leader d'En Marche!

Il est rare que Pierre Gattaz prenne la parole pour dire que des mesures d'économies vont trop loin. Cela a pourtant été le cas mardi 17 janvier lors d'une conférence de presse.

Interrogé sur les différents programmes des candidats à l'élection présidentielle, le président du Medef a passé en revue les mesures des acteurs du futur scrutin. Il a notamment invité François Fillon, qui compte réduire de 500.000 le nombre d'emplois publics entre 2017 et 2022, à nuancer ses propos.

"Vous mettez le feu au pays"

"Dit comme ça, vous mettez le feu au pays, aux fonctionnaires. Ce n'est pas bon", a-t-il déclaré.

"L'objectif quantitatif est louable à terme, c'est possible mais (...) il faut le faire avec les fonctionnaires eux-mêmes", a-t-il ajouté. "Il y a des endroits où il faudra sans doute renforcer et d'autres où on sait qu'il y a de la gabegie, il y a de la démotivation, des problèmes de management, de processus et ça, il faut les détecter (...) avec les fonctionnaires", a-t-il poursuivi.

Pierre Gattaz juge ainsi que "ces 500.000 fonctionnaires de moins, ils se feront presque naturellement, par des départs en retraite qui ne sont pas remplacés par exemple, par l'utilisation de l'outil numérique (...). Et là vous le faites naturellement en marchant sans créer de drame absolu".

"Emmanuel Macron a une autre approche"

Il a par ailleurs implicitement critiqué la volonté de François Fillon de laisser filer le déficit public au début du mandat, affirmant qu'il "faut absolument respecter" la règle européenne des 3% de déficit. François Fillon prévoit, en effet, 4,7% en 2017 et 4,5% en 2018.

En revanche, Pierre Gattaz s'est montré plus enthousiasmé par Emmanuel Macron, qui lui n'a pas encore complètement levé le voile sur son programme.

"Emmanuel Macron a une autre approche. Je trouve que c'est tout à fait intéressant, ce qu'il dit", a-t-il indiqué. "Le problème, c'est qu'il faut vraiment qu'il rentre dans le détail des programmes maintenant", a-t-il toutefois souligné. "Il y a beaucoup de belles choses, mais concrètement ça donne quoi? Sur la fiscalité, sur le social, sur la simplification et sur l'éducation..."

"Nous attendons des propositions un peu plus concrètes, détaillées, de la part de façon générale de tous les candidats, mais j'en attends de la part d'Emmanuel Macron", a-t-il insisté.

J.M. avec agences

PAR EL DIABLO

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François Fillon avec Henri de La Croix de Castries, dit Henri de Castries

François Fillon avec Henri de La Croix de Castries, dit Henri de Castries

Henri de Castries soutient Fillon : le choix de l’ex- PDG d’AXA sujet de polémique

L’ancien PDG d’AXA s’est ouvertement engagé pour le candidat de la droite et du centre à l'élection présidentielle. Une décision qui relance les attaques contre les propositions de François Fillon en matière de Sécurité sociale.

Son nom est régulièrement cité comme un des très proches du vainqueur de la primaire de la droite et du centre à l'élection présidentielle de 2017. On l’évoque même comme un possible membre du futur gouvernement, notamment à Bercy, voire Premier ministre en cas de victoire de l’opposition en mai prochain. C’est désormais officiel : Henri de Castries a annoncé ce mardi 17 janvier son engagement aux côtés de François Fillon.

[…]

LIEN VERS LA SUITE DE L’ARTICLE CI-DESSOUS :

VOIR ÉGALEMENT LIEN CI-DESSOUS

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PAR EL DIABLO

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La droite comme le pouvoir PS n'ont cessé derrière leurs déclarations hypocrites de fragiliser les moyens de défense du monde du travail contre l'exploitation, la domination patronale, l'organisation systématique du renforcement de la subordination des travailleurs à l'ordre oligarchique.

Déjà récemment, Laura Pfeiffer d'Annecy confrontée aux pratiques de l'entreprise Tefal, s'était vue traînée devant une juridiction pénale.

Nouvelle illustration de cette offensive réactionnaire : le cas de Coline VINCHON traduite devant le tribunal correctionnel de Versailles ... pour avoir fait son métier!

PAR FSC

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Rappel pour mémoire de l'article sur la participation que nous avons mis au mois d'octobre 2013, avril 2015 et les conséquences.

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Pour reprendre les mêmes propos de la FNAF CGT, sur les conséquences de ce changement de gouvernance. Il s’agit en réalité d’un nouveau dispositif de pillage des marques françaises pour toujours plus d’évasion fiscale. Cette nouvelle gouvernance impactera lourdement les entreprises situées en Europe, en particulier les entreprises françaises, ainsi que les ressources fiscales de l’Etat français notamment.

Après avoir installé en 2007 en Suisse sa chaine logistique européenne (USCC) qui capte 30 % des profits réalisés dans les pays européens afin de payer moins d’impôts (8% au lieu de 33% en France !) UNILEVER franchit un pas supplémentaire en donnant un rôle privilégié au siège européen, UNILEVER NV situé en Hollande, où toutes les décisions stratégiques seront prises y compris celles concernant les marques françaises. Le rôle du siège français d’UNILEVER va se trouver réduit à un rôle de « distributeur à risque limité » ce qui va se traduire par une nouvelle baisse des effectifs et une limitation de son résultat à 2,5% du chiffre d’affaire réalisé en France. Cela entrainera une diminution importante à terme de la participation des salariés et se traduira également par une nouvelle diminution très importante de l’impôt payé en France sur des activités commerciales réalisées dans notre pays et ce alors que le résultat opérationnel tourne aujourd’hui autour de 10 %.

Dans le projet de gouvernance européenne envisagé, les entreprises industrielles françaises ne bénéficieront plus de contrats de location gérance sur leurs marques et sur leur fonds de commerce payées par UNILEVER France.  Le nouveau projet de gouvernance prévoit une licence de marques et (ou) autres droits de propriété intellectuelle associés, consentis par les entreprises industrielles non plus à UNILEVER France mais au siège Hollandais, UNILEVER NV.

Pour le calcul de la redevance de marque, il s’agit du chiffre d’affaire des produits vendus en France Métropolitaine indépendamment de leur lieu de production.

Exemples :

Un produit de marque Axe fabriqué au Royaume-Uni et vendu en France rentrera dans la base de redevance de marque.

En revanche, un produit fabriqué à Compiègne, quelle que soit sa marque mais vendu en Belgique, ne rentrera pas dans la base de redevance de marque

Ceci est également valable pour la redevance de technologie.

Impact sur notre participation :

 Unilever a fait appel à un cabinet de conseil pour le calcul d’indemnisation entre les revenus actuels d’UFHPC et les revenus. La pratique en matière d’indemnisation pour perte de recettes d’une société est d’accorder une compensation de 2 années de pertes de recettes, Unilever retient 3 années. Lors du dernier CCE, les élus (les 3 organisations syndicales) ont demandé 2 ans supplémentaires de perte de revenus (de 3/5 à aucune perte pour les 5 années à venir). La direction a accepté dans ces termes mais lissé sur 3 ans, ce qui donne :

-      Pour 2013 la participation sera comprise entre 21 et 22,5% de la masse salariale, versée en 2014

-      Pour 2014 la participation sera comprise entre 13,5 et 15%de la masse salariale, versée en 2015

-      Pour 2015 la participation sera comprise entre 14,5 et 16% de la masse salariale, versée en 2017

-      Pour 2016 la participation sera comprise entre 12 et 13,5% de la masse salariale. A voir !

-      Pour 2017 la participation sera comprise entre ?? et ??% de la masse salariale, A  VOIR !!!

Comme nous l’avons déjà dit ci-dessus, les salariés à court terme seront gagnant mais en aucun cas sur du long terme. Concernant l’évasion fiscale, ce montage financier destiné pour Unilever de payer encore le moins d’impôts possible est immorale (surtout quand on voit les milliards de bénéfices qu’elle dégage chaque année), particulièrement dans la conjoncture actuelle, plus ils en ont et plus ils en veulent, toujours au détriment du peuple !

Lors de la consultation qui était à l’ordre du jour, la CGT a donné un avis DEFAVORABLE !

Syndicalement parlant nous ne pouvons cautionner ce genre de procédé qui nous tue à petit feu.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Éditions les Petits Matins -2016

Éditions les Petits Matins -2016

Frédéric Farah

Frédéric Farah

Frédéric Farah a publié avec Thomas Porcher un ouvrage sur Emmanuel Macron, intitulé Introduction inquiète à la macron-économie, sortie en 2016 aux éditions Les petits matins. Nous avons pu nous entretenir avec lui sur l’avenir que nous propose Emmanuel Macron, et sur les liens de l’homme avec le patronat.

**********

Vous êtes l’auteur, avec Thomas Porcher, d’une Introduction inquiète à la macron-économie, sortie en 2016 aux éditions Les petits matins. Dans cet essai, vous décryptez douze déclarations d’Emmanuel Macron et en faites la critique argumentée. Moderne, l’homme fustige les « corporatismes » et les « rigidités » au profit de la souplesse et de la liberté. Vous réhabilitez ces « corporatismes » et ces « rigidités », pouvez-vous nous en dire plus ?

Ces corporatismes et ces rigidités sont souvent invoqués mais sans que jamais on ne dise de quoi il s’agit vraiment. Plane au-dessus d’eux un halo de significations qui pourrait se résumer à mon sens par la dénonciation des syndicats, des protections des travailleurs sur le marché du travail, et du statut de la fonction publique. En somme et à en croire certains dont Emmanuel Macron, le pays se meurt économiquement car régnerait une culture du conflit, une fonction publique sclérosée et un marché du travail insuffisamment réactif. Ce contexte écraserait la mentalité d’entreprise.

Ce discours n’a rien de neuf. Si on relit par exemple « La science économique et l’action » de Pierre Mendès France et Gabriel Ardant publié en 1954 qui fait entre autres retour sur la crise des années 1930, on ne peut qu’être frappé par le propos : « la rigidité de l’économie est un fait réel et il n’était pas inutile de le souligner ni, dans une certaine mesure et dans certaines conditions, de la corriger. Ce qui était erroné, c’était d’en faire la cause unique, exclusive, de la dépression et du chômage : c’était méconnaître les autres facteurs de déséquilibre économique ».

A mon sens, un double effort conceptuel et historique est nécessaire pour comprendre comment ce discours d’inspiration libérale est devenu un peu l’air qu’on respire. Si l’on prend la question des rigidités pour commencer, une grille économique et sociologique s’impose pour saisir les enjeux de la question.

[…]

LIEN VERS LA SUITE DE L’ARTICLE CI-DESSOUS :

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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