SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

notes d'information cgt unilever

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
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VOEUX 2017

La CGT Unilever France HPCI vous souhaite une bonne année 2017.
Que cette nouvelle année soit engagée, offensive et solidaire comme la CGT.

 

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PAR FSC

Pour la seconde fois en peu de temps, sous les arguties juridiques familières à ce genre d'assemblée qui ont pour but d'en masquer le caractère politique, les "sages" sous la houlette de Laurent Fabius viennent de protéger une multinationale.

Ils avaient début décembre protégé l'optimisation fiscale des multinationales plus généralement :

http://www.frontsyndical-classe.org/2016/12/laurent-fabius-et-le-conseil-constitutionnel-complices-des-multinationales-fraudeuses.html

En cette fin décembre ils viennent de retoquer un amendement socialiste pourtant pas bien méchant visant à taxer Google : cette fois au nom de la limitation des pouvoirs de l'administration fiscale.

L'oligarchie peut remercier grandement les "sages" qui "ont fait du bon boulot" !

N'est-ce-pas Fabius ?

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Source RT

Taxe Google censurée

Les Sages ont en revanche censuré l'article instaurant une «taxe Google», qui visait à renforcer la taxation des bénéfices détournés par les multinationales sur leur activité réalisée en France. Ils ont rejeté cette disposition au motif que l'administration fiscale ne pouvait avoir «le pouvoir de choisir les contribuables qui doivent ou non entrer dans le champ d'application de l'impôt sur les sociétés».

Le gouvernement avait émis des réserves sur cet amendement introduit par Yann Galut (PS).

 

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ELECTIONS DANS LES TPE ! VOTEZ CGT . . .

Du 30 décembre 2016 au 13 janvier 2017 se tiendra la deuxième édition du scrutin TPE spécifique aux salariés des entreprises de moins de 11 salariés et aux employés à domicile, aux apprentis.

 

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Publié par El Diablo

source photo : l'humanité dimanche

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Source : le site de la CGT de l'interim

La campagne s'est poursuivie sur Valenciennes. Hier après-midi, plusieurs groupes de salariés intérimaires soutenus par l’USI-CGT ont occupé durant plusieurs heures les agences d’intérim PROMAN et ADEQUAT de Valenciennes (59).

Ces actions s’inscrivent dans la campagne massive de sensibilisation, de dénonciation et d’actions intitulée «URGENT : INTERIMAIRES EN DANGER», lancée en novembre 2016 pour sensibiliser l’opinion et dire à tous les salariés et les acteurs de la santé et sécurité au travail, patronat de l’intérim, des entreprises utilisatrices, médecine du travail, direction du travail, le gouvernement et les pouvoirs publics etc., la réalité de ce que subissent les salariés intérimaires, et obtenir un accord de branche garantissant la santé et la sécurité des salariés concernés.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes :

64 morts et 39 869 accidents du travail en 2014 sans compter les milliers de salariés intérimaires victimes de maladies professionnelles et qui ne sont pas suivis et donc inconnus.

Le constat est clair et édifiant : être intérimaire est un risque en soi et une pénibilité de tous les instants.

L’augmentation des risques et des accidents, est le résultat d’une course à la « mission » à n’importe quel prix et dans n’importe quelles conditions, au détriment de la santé et de la sécurité au travail des salarié-e-s concernés.

Ces accidents ne sont pas le fruit du hasard. En 2014, presque 40 000 intérimaires ont été sacrifiés sur l’autel du profit des entreprises. L’organisation du travail, la sous-traitance en cascade, les exigences de délais, la précarité, les missions de courte durée, la mise en concurrence des salariés, sont les armes létales de cette course à la rentabilité à court terme.

La sur-accidentalité souvent mortelle et des conditions de travail dangereuses dont les millions de salariés précaires sont victimes sont actuellement sur la table des négociations de la branche.

A cela vient s’ajouter la mise en danger de la protection sociale des salariés intérimaires par l’attitude irresponsable du PRISM’EMPLOI, patronat de l’intérim, et des assureurs du régime de la complémentaire.

Alors qu’un million de salariés intérimaires cotise, seuls 100 000 peuvent actuellement utiliser leurs droits.

Le « trésor de guerre » amassé par les assureurs s’élève à 80 millions d’euros.

Les sociétés d’intérim et les assureurs refusent de développer une meilleure communication en direction des salariés et font obstacle aux revendications de la CGT d’améliorer les garanties et les droits des salariés. Nous assistons à un véritable sabordage du régime. C’est un scandale !

Le patronat de l’intérim se montre plus préoccupé par les dividendes des actionnaires et les taux de profit, que par la vie des salariés.

La CGT de l’intérim poursuivra son action en 2017 et exige DES ACTES CONCRETS !

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La nouvelle usine Unilever tient sur une superficie de 100.000 m² pour une capacité de production annuelle, à terme, de 100.000 tonnes, soit 500 millions d’unités.

 

Unilever mise gros en cette fin d’année. La multinationale anglo-néerlandaise, également présente au Maroc, vient d’inaugurer une nouvelle usine à Dubaï. Considérée comme la plus grande unité industrielle du groupe dans la région dédiée aux produits de soin et de beauté, cette usine a nécessité un investissement de 272 millions de dollars. Occupant une superficie globale de 100.000 m², l'usine dispose d'une capacité de production annuelle, à terme, de 100.000 tonnes, soit 500 millions d’unités. «Les travaux de construction ont démarré au deuxième semestre 2015 et ont duré 18 mois, soit 2,8 millions d’heures-hommes», a révélé le groupe. Côté emplois, 40% de l'effectif sera composé de femmes dont 36% dans l’ingénierie, le management et la relation client. Cependant, aucun chiffre n’a été divulgué sur le nombre total des salariés de cette usine.

Les principales marques qui y seront produites sont Dove, Fair & Lovely, Lifebuoy, Vaseline, Clear, TRESemmé, and Sunsilk. Plus de 80% de ces produits «Made in UAE» seront exportés en Europe et dans la région MENA (Afrique du Nord et Moyen-Orient). Cette région est celle qui affichera, sur les 5 prochaines années, la croissance la plus rapide du secteur des produits et soins de beauté, selon les derniers chiffres du cabinet d’études Euromonitor International. Avec un chiffre d’affaires de 25,4 milliards de dollars, ce marché devrait croitre de 6,4% par an.

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Carlos Ghosn: une

Renault: la CGT de Renault a reproché au PDG Carlos Ghosn son "cynisme exacerbé" et une "rémunération indécente"

La CGT de Renault a reproché mercredi au PDG Carlos Ghosn son "cynisme exacerbé" et une "rémunération indécente", après la publication d'une information selon laquelle il pourrait empocher plus de six millions d'euros de plus-value via des stock-options.

Dans un communiqué, le syndicat compare cette somme à la situation de "la majorité des salariés du groupe Renault dont le pouvoir d'achat ne cesse de baisser au nom d'une +modération salariale nécessaire+ et qui sont considérés seulement comme +des coûts à réduire+".

"Carlos Ghosn est ici récompensé de l'atteinte de ses objectifs contenus dans l'accord de compétitivité 2013-2016", poursuit la CGT dénonçant les "suppressions d'emplois" (9.200 départs sur ces trois ans pour 3.000 embauches dont une partie seront réalisées en 2017) et la "précarisation" avec une hausse du nombre d'intérimaires.

Selon le syndicat, outre cette "rémunération indécente", le PDG de Renault fait preuve d'un "cynisme exacerbé lorsqu'il (la) justifie en déclarant +que dans le monde de l'industrie automobile, le talent, l'expérience acquise, l'unicité (cela) se paie+".

Ce n'est pas la première fois que sa rémunération provoque des remous. En avril, les actionnaires de Renault avaient rejeté en assemblée générale une résolution à valeur consultative sur la rétribution du PDG pour 2015, soit 7,251 millions d'euros au total dont 1,737 million en numéraire.

Cette nouvelle annonce survient alors qu'un accord d'entreprise, portant notamment sur l'emploi et la flexibilité, doit être signé début 2017. FO et la CFE-CGC ont d'ores et déjà annoncé qu'ils seront signataires. La CGT et la CFDT ne sont pas encore officiellement prononcées.

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© Eric Gaillard Source: Reuters

«Quand la caissière a annoncé à sa chef qu'elle était enceinte, il n'y a eu aucune prise en considération de ce changement. A plusieurs reprises, elle s'était manifestée auprès de ses responsables sur des douleurs, mais il n'y a personne qui a réagi [sic]», a regretté Habib Hamdoud, délégué syndical CGT à Auchan City, lors d'une conférence de presse à l'Union locale de Tourcoing. 

Le 22 novembre, cette jeune femme de 23 ans, qui est en contrat de professionnalisation dans ce magasin depuis le 1er novembre, a ressenti de «violentes douleurs» au ventre. 

«J'ai prévenu mes responsables, j'ai demandé à plusieurs reprises d'aller aux toilettes, mais personne ne m'a permis. J'ai continué à travailler, mais à un moment, j'en pouvais plus, alors j'ai pris la décision de fermer la caisse», a relaté la caissière alors enceinte de trois mois.

«Quand je me suis levée, j'ai vu que mon fauteuil était blindé de sang, puis je suis allée aux toilettes, j'étais un robinet de sang. C'est un pompier qui a ramassé le fœtus tombé dans la cuvette», poursuit la salariée, actuellement en arrêt maladie. 

Le 22 novembre, «dès que sa hiérarchie a été informée du problème rencontré par l’hôtesse, elle a alerté les secours et l’hôtesse a été prise en charge rapidement», a assuré l'entreprise dans un communiqué, affirmant que la salariée n'avait pas sollicité de pause.

Dans un courrier adressé à la direction d'Auchan City daté du 20 décembre et dont l'AFP a obtenu copie, la caissière écrit avoir été «meurtrie» par «cette absence manifeste d'empathie et de compassion» de sa direction.

Elle lui demande de remplir «une attestation d'accident du travail» et de «régulariser» sa fiche de paie du mois de novembre affirmant «qu'une semaine de travail effectif» lui a été déduit sur son bulletin de salaire. 

«L'ensemble des sommes dues ont été versées» et Auchan «n'a reçu l'avis d'arrêt maladie et l'avis d'accident de travail que tardivement. Dès que nous les avons reçus, nous avons traité le sujet», a répondu la direction. 

«Une plainte devrait être déposée dans les jours à venir» par la caissière, a affirmé Ioannis Kappopoulos, l'avocat de la CGT. 

Dans ce même supermarché, une caissière avait été licenciée en juillet pour, selon la CGT, «un préjudice de 85 centimes d'euros», puis finalement réintégrée.

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La campagne portant une nouvelle réduction légale du temps de travail à 32 heures marque des points dans le débat public et auprès des salariés.

La CGT porte des propositions et des arguments forts qui font de la réduction du temps de travail et des 32 heures un des leviers majeurs pour créer massivement de l’emploi, pour réduire les inégalités et la précarité, pour anticiper l’impact sur l’emploi des mutations technologiques en cours et à venir, pour permettre à chacune et chacun de profiter plus du temps hors travail.

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Pour les précaires, pas de cadeaux de Noël

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Seule la catégorie A voit ses chiffres baisser de 3,1 % sur 3 mois consécutifs et de 3,4 % sur 1 an. Pour les autres, la potion est amère !

Sur 1 an, les demandeurs d’emploi, toutes catégories confondues, sont passés de 6 143 400 à 6 238 400. Ce qui fait encore une augmentation de 1,5 %.

Par ailleurs, les catégories B et C qui regroupent les personnes sous contrats précaires sont passées de 1 878 100 à 2 028 800, soit 8% d’augmentation.

Si nous conjuguons ces chiffres avec la diminution de l’indemnisation, nous ne pouvons pas voir là une embellie mais bel et bien une explosion de la précarité. Y a-t-il un « modèle » européen qui vise à augmenter la précarité à défaut de lutter contre le chômage ?

La CGT continuera à lutter contre le développement des contrats sans lendemain et pour les 32 heures sans diminution de salaire. Le travail et les richesses doivent être partagés.

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Cigarettes, divorce, congés, taxes, prix du gaz : ce qui change en janvier 2017

Relèvement de la taxe terrorisme

Afin de permettre l'indemnisation des victimes de terrorisme, la taxe qui sera prélevée sur chaque contrat d'assurance (auto, habitation...) sera relevée de 4,30 à 5,90 euros.

Hausse du prix du gaz

La facture de gaz des 5,8 millions de clients d'Engie (ex-GDF Suez) augmentera de plus de 5% à partir du 1er janvier. Cela devrait se matérialiser par une hausse moyenne de 55,9 euros par an et par foyer. 

Hausse de la taxe diesel

En dehors des fluctuations du prix du pétrole brut, le litre de gazole va être davantage taxé. Le litre de gazole va mécaniquement augmenter de 1 centime d'euros. A l'inverse, celui de l'essence devrait baisser d'autant. L'idée est de réduire l'avantage tarifaire du gazole jugé plus polluant.

Des vignettes sur les voitures à Paris

Les vignettes de différentes couleurs sur les véhicules (y compris les motos) en fonction de leur niveau de pollution seront obligatoires à Paris à partir du 16 janvier. Ce dispositif pourrait être étendu à d'autres grandes villes en 2017.

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Hausse des frais bancaires

Les frais de tenue de compte, qui se généralisent depuis deux ans, vont augmenter. Selon les professionnels, la hausse pourrait être de l'ordre de 13% selon les établissements. En outre, les cotisations pour les cartes bancaires classiques à débit immédiat vont aussi augmenter, en moyenne de 3,35 %. Ceux pour les cartes à débit différé diminueront de 1,12 % en moyenne.

Le timbre va augmenter de 3,1%

Pour faire face à la baisse du courrier et assurer la pérennité du service universel, La Poste va augmenter de 3,1% en moyenne ses tarifs de courrier au 1er janvier. Cette hausse s’inscrit dans le cadre d’un dispositif d’encadrement pluriannuel des tarifs décidé par l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) en juillet 2014. Il prévoit une augmentation annuelle moyenne des tarifs du service universel de 3,5 points au-dessus de l’inflation de 2015 à 2018.

Infractions routières dénoncées par les entreprises

Les entreprises devront communiquer le nom de leurs salariés ayant commis une infraction au Code de la route avec les véhicules de société.

Plus besoin de juge pour divorcer 

Il ne sera plus forcément obligatoire de passer par un juge pour divorcer par consentement mutuel. Une simple convention de divorce, contresignée par les avocats et enregistrée chez un notaire, suffira. En outre, pour régler les problèmes d'impayés de pensions alimentaires, une Agence nationale va être mise en place.  

Tabac

La généralisation des paquets de cigarettes «neutres» sans logo entre en vigueur.

 

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Ce mercredi, la Fédération nationale des associations de réinsertion sociale a livré ses données annuelles concernant les sans-abris. 16% de ceux qui appellent le 115 ont moins de 25 ans.

 

En un an, le nombre de personnes de 18 à 24 ans vivant dans la rue et qui ont demandé l'aide du 115, a augmenté de 11%. C'est l'une des informations de l'étude publiée ce mercredi par la Fnars (Fédération nationale des associations de réinsertion sociale). Au mois de novembre, le 115, ce numéro d'urgence pour les SDF, a été appelé plus de 110 000 fois, par 24 375 personnes. C'est 6 points de plus qu'en novembre 2015.  

L'enquête précise que 12 846 appelants, soit 53%, n'ont pu être hébergées. Dans son communiqué, la Fnars précise que "cette hausse touche particulièrement les hommes seuls (+6%), les personnes en famille (+11%) et les jeunes âgés de 18 à 24 ans (+11%)". Elle met en cause une "ouverture trop tardive des hébergements" et un nombre insuffisant de places.  

Les jeunes SDF, un "public fragile et vulnérable en voie de paupérisation"

L'organisation s'inquiète particulièrement de la situation "très critique" des jeunes. Elle estime qu'il s'agit d'un "public fragile et vulnérable en voie de paupérisation". Cette population, âgée de moins de 25 ans, ne peut prétendre au RSA, est souvent sans emploi et en rupture familiale. Ces jeunes à la rue représentent cette année 16% des appelants et seul un sur deux serait parvenu à trouver une place dans un centre d'hébergement le mois dernier.  

La Fnars constate aussi que le nombre de personnes qui composent le 115 pour la première fois est en hausse de 10%. Les demandes de prestations (aide alimentaire, soins, maraudes...) sont également en augmentation de 13%. Dans la capitale, il y a eu 31 000 demandes d'hébergement en novembre, soit 28% des demandes de tout l'Hexagone. Elles sont en hausse de 15% sur un an, alors que le taux d'attribution de logement a baissé de 23%.  

Pour "un accès aux minima sociaux dès 18 ans"

La Fnars déplore "une pénurie des places disponibles dans le parc hôtelier et dans les centres d'hébergement d'urgence", et explique également ce manque de places par l'ouverture de centres destinés aux migrants. Dans son baromètre, la fédération dénonce une "gestion saisonnière et urgentiste de l'hébergement des personnes sans domicile" et pointe du doigt la baisse des solutions d'hébergement hivernales. Elles sont en baisse de 13% par rapport à 2015.

La Fnars lance un appel au gouvernement, en lui demandant "de mobiliser toutes les places disponibles sur les territoires pour héberger les sans-abris sans attendre les grands froids". Elle souhaite aussi "un accroissement significatif de la production de logements véritablement accessibles aux plus démunis" et "un accès aux minimas sociaux dès 18 ans pour tous les jeunes sans ressources et sans soutien familial". 

Par LEXPRESS.fr avec AFP

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Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
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