SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
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La rémunération des grands patrons français continue à battre tous les records

Le salaire des grands patrons français ne connaît pas la crise. En 2016, la rémunération moyenne des dirigeants du CAC40 s’établit à 5 millions d’euros, en hausse de près de 20%, sans rapport avec la performance effective des entreprises. Jamais les inégalités entre salariés et patrons n’ont été aussi abyssales. Donner davantage de poids aux actionnaires suffira-t-il à inverser la tendance.

Une rémunération record. Mercredi 9 novembre, Proxinvest publiait son classement annuel du niveau de rémunération des grands patrons. Il note une hausse de 20% du salaire des présidents exécutifs du SBF 120, l’indice boursier regroupant les 120 entreprises françaises les plus importantes en termes de capitalisation boursière. Soit une rémunération de 3,5 millions d’euros en moyenne. Pour les PDG du CAC 40, le salaire est de… 5 millions d’euros. Une augmentation de 18% sur un an. En 2015, 26 dirigeants ont dépassé la barre des 4,8 millions d’euros, soit 240 SMIC. (...)

16,8 millions pour Olivier Brandicourt, directeur général de Sanofi, dont 7,2 millions de "primes de bienvenue". 16,4 millions pour Gilles Gobin, fondateur de Rubis. Carlos Ghosn, double président de Renault et Nissan, habitué du classement (il était à sa tête en 2015) reçoit lui 15,6 millions de rémunération. Des sommes astronomiques, "honteuses", estime Loïc Dessaint, directeur général de Proxinvest, interrogé par Novethic.

Lire l’intégralité de l’article sur le site de Novethic.

L’article cite notamment une étude britannique selon laquelle « les PDG gagnant les salaires les plus modestes sont à la tête des entreprises les plus performantes ».

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Photo : Le vin parfait CC

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Volkswagen va supprimer 30.000 emplois d'ici 2020

Construction automobile: Volkswagen va supprimer environ 30.000 emplois dans le monde, dont 23.000 en Allemagne, pour renouer avec la rentabilité

La marque automobile allemande Volkswagen a annoncé vendredi la suppression d'environ 30.000 emplois dans le monde, dont 23.000 en Allemagne, dans le cadre d'un plan pour renouer avec la rentabilité et mettre l'accélérateur sur l'électrique.

"La marque Volkswagen ne rapporte pas assez d'argent", a déclaré son patron Herbert Diess lors d'une conférence de presse au siège de l'entreprise à Wolfsburg (nord). "Nous sommes très éloignés de nos concurrents en terme de rentabilité", a-t-il ajouté, avant de présenter un ensemble de mesures pour permettre au fabricant de la Golf et de la Passat, déjà à la peine avant le scandale des moteurs truqués, de remonter la pente.

"C'est un grand pas en avant, sans doute l'un des plus grands de l'histoire de l'entreprise", a affirmé M. Diess.

Le constructeur va supprimer environ 30.000 emplois sur les 215.000 qu'il compte dans le monde. Les sites allemands seront les plus concernés, avec 23.000 suppressions de postes attendues. Hors d'Allemagne, la marque évoque le Brésil et l'Argentine, deux marchés actuellement difficiles.

Comme déjà connu, les suppressions de postes en Allemagne, qui font l'objet depuis des mois d'âpres négociations avec les représentants du personnel, se feront sans licenciements secs mais plutôt au travers de mesures comme des départs en retraite anticipés.

La direction a également indiqué vouloir créer 9.000 emplois dans ses sites allemands, où elle investira "dans les années à venir" 3,5 milliards d'euros, notamment pour se réorienter vers l'électrique.

Volkswagen, en manque de rentabilité même avant le scandale des moteurs diesel truqués révélé il y a un an, veut accroître sa productivité de 25% dans ses usines allemandes.

Le constructeur vise des économies de 3,7 milliards d'euros par an d'ici 2020 et veut voir sa marge, mesure de sa rentabilité, grimper à 4% d'ici là.

Bernd Osterloh, président du comité d'entreprise du groupe Volkswagen, propriétaire de la marque du même nom mais aussi d'Audi, Porsche ou Seat, a évoqué un "résultat de raison", fruit d'un "compromis de la part des deux parties".

Touché de plein fouet par l'affaire du diesel, le groupe Volkswagen avait annoncé en juin une nouvelle stratégie, passant par la commercialisation de plus de 30 véhicules tout électriques d'ici 2025.

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Continental Clairoix

D'anciens salariés de Continental à Clairoix (Oise) constitués en 2009 en "Comité de lutte" ont dénoncé mardi le refus des dirigeants du groupe de verser d'office à trois leaders syndicaux les indemnités promises à d'autres salariés.

La direction de Continental n'a toujours pas renoncé à contester le versement des indemnités réclamée par trois anciens porte-parole de la lutte des salariés contre la fermeture de leur usine : Pierre Sommé, Jean-Claude Lemaître et Xavier Mathieu dont le cas avait été disjoint "par suite de leur situation de représentants du personnel CGT et CGT-FO", affirme un communiqué du "Comité de lutte Continental". 
 


La direction avait pourtant récemment affirmé vouloir se conformer à la décision du conseil de prud'hommes de Compiègne (Oise) en 2015, qui l'avait condamnée à verser 11 millions d'euros d'indemnités pour 140 salariés. 

Le cas des trois syndicalistes devrait être examiné vendredi au conseil de prud'hommes de Compiègne, en présence des parties au litige.

"La direction veut faire payer ses échecs" 

"Même si elle est sûre de perdre à la fin, puisque tous les jugements des prud'hommes de Compiègne, de la cour d'appel d'Amiens, du Conseil d'Etat et de la Cour de cassation l'ont condamnée, la direction du groupe veut faire payer à sa façon à ces trois camarades ses échecs face à la mobilisation des travailleurs de Continental", critique le Comité. 

"Elle veut reporter de plusieurs années (...) le paiement de ce qu'elle leur doit", ce qui engendre pour certains d'entre eux "une situation dramatique". Les représentants du site de Toulouse au Comité international des salariés de Continental ont protesté auprès de la direction internationale, a précisé Roland Szpirko, l'un des auteurs du communiqué.
 


"Je ne suis pas catastrophé, je ne m'attendais pas à autre chose" de la part de Continental, a témoigné Xavier Mathieu, non signataire de ce texte. "Je n'ai pas envie de jouer au martyr, quand je me suis engagé je savais que je prenais le risque que Continental me pourrisse la vie jusqu'au bout".

La direction de Continental en France n'était pas joignable. La cour d'appel d'Amiens avait invalidé le 30 septembre 2014 le motif économique des licenciements de 683 anciens salariés de l'usine Continental de Clairoix. 

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Justice de classe où le formalisme juridique prime sur toute autre considération : l'éthique, la déontologie, la morale sociale.

Les tribunaux civils comme les tribunaux du commerce ne feraient-ils pas au fond prévaloir les intérêts des actionnaires, ceux des grandes entreprises, ceux des créanciers contre ceux des travailleurs et l'intérêt général?

Condamnation scandaleuse en appel de l'inspectrice du travail Laura Pfeiffer et du salarié lanceur d'alerte!

Condamnation scandaleuse en appel de l'inspectrice du travail Laura Pfeiffer et du salarié lanceur d'alerte!

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Par FSC

Wissous : grève au plus grand centre de tri postal de France!

Source : Le Parisien

Le plus grand centre de tri postal de France manque de bras. C’est en tout cas le message qu’ont tenté de faire passer ce mardi les syndicats CGT, CFDT, FO et SUD-PTT devant la plate-forme industrielle courrier (PIC) de Wissous. Les quatre organisations ont appelé à une grève de 24 heures pour dénoncer la situation des effectifs qui s’est « considérablement dégradée » depuis un an selon elles.

Ouverte en 2007, la PIC de Wissous emploie près d’un millier de salariés et traite plus de 7 millions de plis par tranche de 24 heures pour l’Essonne, le Val-de-Marne et les arrondissements du sud de Paris. Une énorme machine qui traverse sa première crise sociale en bientôt dix ans d’existence.

« Nous avertissons la Direction depuis un an sur le manque de moyens humains dont souffre le site, confie Alain Pilard, représentant CGT. Les tâches du personnel sont répétitives et sur avis des médecins de prévention, une rotation des postes doit être effectuée toutes les 3 heures environ. Or, l’emploi massif d’intérimaires non formés à tous les postes de la chaîne de tri empêche le bon déroulement de cette rotation. »

Ils manient une tonne de courrier à l’heure

Conséquence, selon les grévistes, une multiplication des traumatismes les plus divers qui touchent notamment le dos, les épaules et les poignets chez ces postiers qui soulèvent et déplacent des caisses de courrier de plusieurs kilos. « En moyenne, on porte l’équivalent d’une tonne par heure, enchaîne Jean-Paul Dessaux pour Sud-PTT. Les salariés les plus valides se trouvent sursollicités et en viennent eux aussi à souffrir des ces troubles. »

En novembre, cinq de ces intérimaires ont été recrutés en CDI. « Douze autres appels à candidature ont été effectués en interne, signale la direction de La Poste. L’activité courrier n’est pas la même tout au long de l’année. L’emploi d’intérimaires est destiné à amortir les périodes de plus forte activité. »

Un argument balayé par les grévistes. « La Poste a recours aux intérimaires pour couvrir l’emploi stable, coupe l’un d’entre eux. Une PIC ne gère pas les colis et les variations d’activité ne sont pas énormes. » Selon FO, il manquerait cinquante personnes sur le site de Wissous qui intégrera le 21 novembre l’activité du centre de tri de Paris Bonvin après celle de Créteil il y a un an.

Les syndicats annoncent « 70 % de grévistes » ce mardi. La direction, elle, avance le chiffre de 23 % « sur l’ensemble des personnels de la plate-forme sur 24 heures » et assure que cette grève n’aura qu’un impact « minime » sur la distribution du courrier.
« Des douleurs dans le dos et aux épaules »

Michel, salarié à la plate-forme de Wissous

Affecté plusieurs années au service collecte, Michel, 53 ans, a rejoint la PIC de Wissous il y a un an. « Je travaille le plus souvent sur une machine qui traite le courrier petit format, déclare cet habitant de Verrières-le-Buisson. Les plis arrivent dans des caisses de 5 à 7 kg. Il faut les soulever jusqu’au tapis et ensuite en sortir les lettres pour les déposer sur le tapis de tri. Un outil pneumatique est à disposition pour rendre la charge moins lourde. Tout le monde ne l’utilise pas. Après ce premier tri, il faut recommencer la manœuvre pour un second tri plus fin. La rotation dure quatre heures et entraîne des douleurs dans le dos et aux épaules. J’ai la chance d’être ambidextre et donc de pouvoir alterner mes prises pour déplacer les caisses. En quatre heures, je manipule près de 200 caisses. »

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CGT Compiègne facebook

Mégabus est une filiale de l’anglais stage coach, elle était sous-traitant de l’entreprise Flixbus qui a décidé du jour au lendemain de mettre un terme à son contrat de sous-traitance pour faire appel à d’autres sous-traitants (moins cher ?). C’est une des particularités (et des désastres !) que l’on voit dans ce secteur : le développement de la sous-traitance alors même que le secteur n’est pas rentable !! Les opérateurs tournent aujourd’hui à 4 centimes du kilomètre, moitié moins que le tarif du co-voiturage !!

Pour rappel : la SNCF a pour le moment investi 250 millions d’euros à perte sur le secteur, Transdev l’autre grand groupe de transport a perdu 20 millions d’euros l’année dernière, tout ça d’ailleurs avec l’argent public ! On peut parler de désastre économique (sans oublier la concurrence avec le rail sur les grandes lignes Paris-Marseille, Paris-Lille,…)
-première faillite d’une entreprise de « cars Macron » laissant 174 salariés sur le carreau ! L’actionnaire anglais pour le moment se lave les mains de sa responsabilité sociale et ne négocie rien sur les reclassements.
- le gouvernement avoue lui-même son impuissance puisqu’il n’arrive pas à mettre une quelconque pression sur l’actionnaire pour lui rappeler ses obligations.
-les salariés n’ont d’autres choix que de mener des actions dans les prochains jours/prochaines semaine. . .

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Élections TPE : les salariés méprisés, la CNOV bafouée, les syndicats ignorés… Le gouvernement se ridiculise !

 

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La réunion de la commission nationale des opérations de vote (CNOV) convoquée, ce 16 novembre, n’aura été qu’une mauvaise farce !

Alors que cette instance avait la possibilité de prendre les dispositions pour permettre aux salariés des TPE de faire valoir leur droit d’expression à compter du 28 novembre 2016, comme le calendrier électoral le prévoyait, le gouvernement a préféré les prendre en otage d’une stratégie fort malavisée.
En effet, dès l’ouverture de la réunion et sans aucun débat, la presse annonçait le report des élections et les nouvelles dates.
Le ministère, au mépris de toute démocratie, bafouant le rôle de la CNOV, a pris une nouvelle décision unilatérale.

Pourtant, depuis des mois, la CGT et d’autres confédérations ont alerté le gouvernement et ses services, la Direction Générale du Travail (DGT), des risques occasionnés par la légèreté de leur contrôle sur les dépôts de listes.

Cette décision a entraîné la contestation des confédérations CGT, FO, CFE-CGC, CFTC et CFDT devant la justice, sans que la DGT n’anticipe et ne prenne les dispositions nécessaires à assurer le bon déroulement du scrutin !

Le ministère annonce donc que les élections se dérouleront du 30 décembre 2016 au 13 janvier 2017 ! Comment nous faire croire que l’expression la plus large des salariés est recherchée, dans le choix d’une telle période électorale ?
D’autant que le ministère a systématiquement pratiqué l’obstruction à toutes propositions constructives de la part de l’ensemble des confédérations, refusant même l’extension de la période de vote.

La CGT appelle l’ensemble des salariés des TPE à participer massivement aux élections et à voter pour les listes présentées par la CGT. C’est la meilleure réponse à apporter au gouvernement !

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tout le monde paye des impôts . . . même les personnes au RSA ! c'est la TVA . . .l'impôt le plus injuste ! . . .

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Dans un rapport intitulé « J’ai mal à ma route, quelles sont les routes les plus dégradées de France ? », l’association 40 millions d’automobilistes a recensé plus de 30 000 routes en très mauvais état. Elle dénonce la dégradation continue du réseau à cause notamment d’une baisse de 27% par an, depuis 2011, des crédits accordés pour l’entretien courant par l’État et les collectivités. Elle appelle les pouvoirs publics à « assumer leur part de responsabilité » dans la sécurité routière, sachant que 47% des accidents sont liés aux infrastructures. Elle réclame notamment une mission parlementaire sur l’état du réseau routier et l’urgence d’entretenir le patrimoine routier.

Ce rapport valide ce que la CGT ne cesse de dénoncer sur le terrain et auprès des instances ministérielles sur le manque de moyens octroyés au service public pour l’entretien du patrimoine routier de France.
Assurer un meilleur entretien préventif et curatif des routes nécessite des moyens financiers supplémentaires et des services renforcés chargés de l’entretien et de l’exploitation pour assurer leurs missions de service public.
Depuis de nombreuses années, le choix de favoriser l’externalisation des missions d’entretien aux entreprises privées du BTP n’a fait que diminuer la capacité opérationnelle des services d’entretien et engendrer des coûts bien plus importants !
En diminuant le budget du ministère des Transports ainsi que les dotations aux collectivités territoriales, les gouvernements successifs ont fait un choix politique de régression des moyens alloués à l’entretien du patrimoine routier.

Le scandale durera-t-il encore longtemps ?
• d’un côté, le réseau routier national concédé aux Sociétés Concessionnaires d’Autoroutes privées (SCA qui additionnent les cadeaux des plans de relance autoroutiers), entretenu grâce à la manne financière des péages. Ces SCA génèrent des dividendes exorbitants pour leurs actionnaires. Elles ne redistribuent qu’une infime partie de leurs profits vers l’entretien global du réseau routier et pour le développement d’autres modes de transports (fluvial, ferroviaire,…) moins émetteurs de gaz à effet de serre.
• de l’autre côté : un réseau routier national non concédé se dégradant rapidement et un réseau territorial (départements et communes) prenant le même chemin faute de moyens.

Comment comprendre, dans ces conditions, que l’État renonce à ses engagements financiers alors que le Directeur Général des infrastructures du Ministère reconnait devant l’Assemblée Nationale ne plus avoir les moyens d’entretenir le patrimoine routier !?

Pourtant, le gouvernement s’entête à privatiser le bien public routier au nom de l’austérité budgétaire plutôt que de s’engager vers une renationalisation qui permettrait de retrouver une maîtrise totalement publique et de dégager des moyens financiers pour entretenir le patrimoine routier.
L’État doit cesser de brader le patrimoine et d’entraîner le service public vers la spirale du déclin. Ceci au mépris des agents publics qui vivent une dégradation importante de leurs conditions de travail (y compris au péril de leur vie) et de la sécurité des usagers de la route.

La solution existe ! Un véritable service public routier ! La CGT revendique une maîtrise publique du réseau routier. La route n’est pas une marchandise, c’est un service public qui doit répondre aux besoins de la population, au développement économique et à l’aménagement du territoire.

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Le Ministère du Travail fait le choix politique de reporter les élections TPE au détriment des droits d’expression des salariés

Le ministère, n’a pris aucune disposition pour permettre la tenue des élections TPE en temps et en heure !
Lors de la réunion de ce jour du Haut Conseil du Dialogue Sociale, les confédérations syndicales ont réaffirmé leur demande du maintien des élections.

La CGT a réaffirmé ses propositions concrètes pour permettre leur tenue, propositions qu’elle avait pris soin d’écrire et de faire parvenir par courrier à la Ministre, dès ce vendredi 11 novembre.

Le gouvernement et ses services ne peuvent plus se cacher derrière l’utilisation des voies de recours officielles d’une organisation syndicale pour expliquer ses choix stratégiques. Il fait le choix de repousser les élections au 15 décembre et indique ne pas connaitre la durée du scrutin !!

Ce n’est pas le recours en cassation qui obère la tenue des élections en temps et en heure, ce sont les choix politiques du gouvernement avec ses services, d’ailleurs leur aveu de n’avoir rien prévu en attendant le résultat du recours en est la démonstration.

Cette stratégie n’est pas acceptable d’autant qu’elle se fait au détriment des droits d’expression des salariés des TPE qui ont peu d’occasion de faire entendre leurs voix.

La CGT dénonce cette décision politique et réaffirme son engagement avec les salariés des TPE pour défendre leurs droits et revendications.

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Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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