SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
L'abandon programmé de l'INDUSTRIE FRANÇAISE : moins d'ouvriers d'industrie, moins de graines de révolutionnaires...?

Les annonces de plan sociaux et de licenciements se sont multipliés ces derniers jours dans le secteur de l’industrie. La France est aujourd'hui l'un des pays les moins industrialisés d'Europe. Une situation largement due aux choix politiques de nos dirigeants depuis trente ans.

 

C’est semble-t-il un classique des lendemains d’élection : après avoir respecté une période de réserve, visant à ne pas influencer les élections et surtout, à ne pas desservir le pouvoir en place, les annonces de suppressions d’emplois se sont multipliés dès les élections européennes passées. 

 

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Publié par EL DIABLO

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Conforama : le secrétaire général de la Fédération convoqué au commissariat le 2 septembre.

Publié par CGT Compiègne facebook

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
La forêt amazonienne flambe !

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

C'est le journal patronal LES ECHOS qui l'avoue : la concertation annoncée à grands cris n'est qu'une tentative d'enfumer l'opinion pour tenter de faire passer la contre-réforme des retraites qui sous couvert d'égalité de traitement de tous vise à faire baisser les pensions et à laisser libre cours aux assurances, aux banques et autres fonds de pension !

Et le journal dont le propriétaire est rappelons le de Bernard Arnault du groupe de luxe LVMH (Merci patron!)

d'enfoncer cyniquement le clou et de rassurer son lectorat conservateur :

RETRAITES : la "concertation" : une pure tentative de déminage !

Nous voilà donc prévenus ! 

RETRAITES : la "concertation" : une pure tentative de déminage !

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

A la suite de ces révélations dans la presse, madame Borne, ministre des Transports et de l'Ecologie, a promis mercredi 21 août des « correctifs » aux problèmes de maintenance à la SNCF.

Correctifs, vous avez dit correctifs? Comme par exemple sur des éclisses (pièces métalliques reliant deux rails) avec des boulons desserrés ou manquants – un élément qui a joué un rôle essentiel dans le déraillement du train Intercités Paris-Limoges à Brétigny-sur-Orge (Essonne) qui avait fait sept morts et plus de 30 blessés en juillet 2014?

La CGT-Cheminots rappelle que madame Borne était dirigeante de la SNCF et que la responsabilité de l'Etat, présent ou passé, comme celle de la direction de la SNCF, présente ou passée, est majeure dans la casse du rail public français. Tout comme l'Etablissement Public de Sécurité ferroviaire, lequel a cautionné la dérèglementation ferroviaire depuis des années.

Son communiqué:

Un rapport commis par l’EPSF*, dont nous ne sommes pas destinataires, est évoqué dans les médias depuis mardi soir.

Le sujet est d’importance. Il ne doit pas être traité à « l’emporte-pièce », de façon polémique, sans aborder le fond.

Les faits sont têtus. La responsabilité de l’Etat et de la direction SNCF est majeure.

*EPSF : Établissement Public de Sécurité Ferroviaire

Pour rappel, l’EPSF est l’institution qui a validé la déréglementation ferroviaire depuis des années.

Le système ferroviaire est face à des choix exercés par les gouvernements successifs et la direction SNCF qui visent à la recherche effrénée de baisse des coûts et à la casse de l’outil public qu’est la SNCF.

La CGT réaffirme que la sécurité ferroviaire passe avant toute autre considération. Les référentiels, les textes réglementaires en vigueur, le Statut des cheminots sont autant de garde-fous qui imposent des règles, des contraintes incontournables, des devoirs qui ne peuvent cohabiter avec la logique de réduction des coûts à tout prix.

Les circulations ferroviaires en France restent globalement fiables et sûres grâce à l’investissement des cheminots de la SNCF qui font correctement leur travail dès lors qu’on leur en donne les moyens structurels, organisationnels, fonctionnels et financiers.

Les réformes en cascade (notamment 2014 et 2018), le recours massif à la sous-traitance, à l’externalisation, la casse des effectifs cheminots, le recours à l’emploi précaire, la stratégie du « tout business », sont les ingrédients de la mauvaise recette qu’ils continuent de nous servir.

LA VÉRITE DES PRIX :

  • La réforme de 2014 prévoyait le recrutement de 500 agents par an jusqu’en 2020, pour faire face au défi de la régénération des voies. Cet objectif n’a jamais été réalisé. Pire, en 2018 nous enregistrions -285 agents pour l’entretien ;
  • Depuis 2014, la sous-traitance a augmenté de 35% à la SNCF ;
  • En 5 ans, ce sont plus de 10 000 emplois de cheminots SNCF équivalent temps plein, qui ont été confiés à la sous-traitance ;
  • La direction SNCF reconnaît que le recours à la sous-traitance représente un surcoût de 10 à 15% ;
  • Le dernier contrat de performance Etat/SNCF Réseau prévoyait, notamment, la régénération de 1 000 km de voies. Pour exemple, seulement 800 km ont été réalisés en 2018 ;
  • Dans le cadre de la réforme dite du « pacte ferroviaire » de 2018, le Gouvernement a fait le choix de concentrer les moyens sur les métropoles et d’abandonner les lignes régionales et de proximité.

Pour l’heure, une question se pose : quelle stratégie sert ce rapport fantôme de l’EPSF ?

A-t-il vocation à accélérer la casse de l’outil public SNCF, à justifier la réforme de 2018, à entériner l’éclatement de l’entreprise, l’ouverture à la concurrence et la fin du statut des cheminots ?

Au contraire, celui-ci aura-t-il pour effet de stopper la dérive ultra libérale qui vise à en finir avec les services publics en général et avec la SNCF en particulier ?

La Fédération CGT des cheminots réaffirme que la loi dite du « pacte ferroviaire », au-delà de son impréparation, ne répondra pas aux exigences d’un service public de qualité puisque la séparation de la SNCF en plusieurs sociétés anonymes va exacerber la stratégie du Gouvernement et de la direction SNCF.

Constante dans ses revendications depuis des années, la CGT exige que des moyens humains, matériels et financiers soient attribués au service public SNCF de transport de voyageurs et de marchandises afin de maintenir un haut niveau de sécurité sur les infrastructures ferroviaires.

Un rapport de l’Etablissement Public de Sécurité Ferroviaire signale l'état inquiétant du réseau ferré français

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Agnès Buzyn : « pour ceux qui auront travaillé toute leur vie, la retraite minimum sera de 1000€ »

Alors que le gouvernement entame sa rentrée politique, Agnès Buzyn était envoyée en première ligne à BFM ce mercredi, pour promouvoir l’épineuse réforme des retraites. Entre fausse volonté de dialogue et mépris évident pour les plus précaires, la pilule ne passera pas.

La pilule ne passe pas

« Est-ce qu’il y aura une pension minimum ? » : Agnès Buzyn, ministre de la santé invitée sur le plateau de BFM ce mercredi, était interrogée sur la réforme à venir. « Oui, répond cette dernière. 1000 euros minimum, c’est prévu. ». Peu après, la représentante du gouvernement envoyée au front pour défendre cette réforme sensible fait un ajout qui a son importance : « Pour les gens qui auront travaillé toute leur vie évidemment, si les gens arrêtent de travailler, si les gens ne travaillent pas… »

Une réforme contre les inégalités ?

Avec cette réforme des retraites, le gouvernement s’attaque au dossier le plus explosif du quinquennat, dans le contexte d’une crise qui n’a cessé de s’approfondir pour la Macronie, après l’affaire Benalla, les démissions de ministres et surtout, l’irruption des Gilets jaunes sur le devant de la scène politique, sans même parler de De Rugy et son « Homard Gate ». C’est pourquoi, marchant sur des œufs, les fervents défenseurs de cette réforme mettent les formes quand il s’agit d’en faire la promotion, privilégiant en apparence la concertation et le débat public.

Mais les déclarations de Buzyn sur le plateau de BFM n’auront pas l’effet escompté. Car qu’est-ce que 1000 euros pour quelqu’un qui aurait travaillé toute sa vie ? 1000 euros, c’est un revenu qui, à l’heure actuelle, est considéré comme en-deça du seuil de pauvreté. 1000 euros c’est un montant qui ne permet même pas de couvrir les dépenses minimales d’un étudiant en Île-de-France ; on voit mal comment les retraités s’en sortiraient mieux avec cette somme. 1000 euros, c’est une somme ridicule qui n’est pas indexée sur l’inflation et la hausse du coût de la vie. C’est une somme qui équivaut à 5 % des 20 000 euros de pension mensuelle estimée que touchera Emmanuel Macron lorsqu’il prendra sa retraite.

Mais ce qu’implique surtout l’annonce d’Agnès Buzyn, à contre-courant de tout le discours du gouvernement qui vise à défendre la réforme des retraites comme un pas vers plus d’égalité, c’est que la nouvelle loi va considérablement désavantager les carrières courtes ou discontinues. Parce que ce qu’explique en creux la ministre de la Santé, c’est que toutes celles et ceux qui n’auront pas « travaillé toute leur vie » ne pourront même pas être assurés de toucher une pension minimum de 1000 euros. Et les personnes qui sont les plus concernées par les temps partiels et les arrêts longue durée… ce sont notamment les femmes. L’égalité entre les genres, grande cause du quinquennat ?

La pénibilité du travail, la précarité, le chômage… toutes ces données sont donc effacées d’un coup de baguette magique au travers de cette réforme, qui vise en dernière instance à niveler par le bas les pensions de retraite et acter que celles et ceux qui auront vécu dans la précarité au cours de leur vie seront condamnés à être encore plus pauvres après l’âge de la retraite… s’ils ne sont pas morts avant.

« Consultation citoyenne » ou poudre aux yeux ?

L’autre annonce de Buzyn sur ce même plateau télévisé concernait des questions de méthode : « Aujourd’hui nous commençons à travailler avec les partenaires sociaux, Édouard Philippe recevra tous les syndicats les 5 et 6 septembre avec Jean-Paul Delevoye et moi-même. Et puis nous allons également consulter les grands élus et évidemment les citoyens ».

Une apparente volonté de dialogue, qui pourtant sonne creux, car la ministre était bien en peine d’expliquer les formes concrètes que sont censées prendre ces « consultations citoyennes ».

Interrogée sur cette initiative, Sibeth Ndiaye, porte-parole du gouvernement, déclarait lors de la conférence de presse post-conseil des ministres que malgré cette « consultation », Macron avait « appelé le gouvernement à de la vigilance […] après le mouvement des Gilets jaunes » et qu’il incitait ses ministres à « avoir beaucoup de détermination à mener les réformes, pour honorer l’engagement qui était le sien au cours de la campagne présidentielle ». Des déclarations qui tendent à montrer que le gouvernement compte bien faire passer ses attaques quel que soit le résultat d’une éventuelle consultation, cherchant à remettre en route le rouleau compresseur néolibéral après de nombreux mois d’une intense mobilisation sociale.

Questionné plus précisément sur la possibilité de modifier des « paramètres clés » de la réforme des retraites après les résultats de la consultation, au cours de la conférence de presse qui marquait la rentrée des ministres, Sibeth Ndiaye déclarait que « des débats ont déjà eu lieu au cours de la campagne présidentielle » et qu’il est « des paramètres sur lesquels nous ne reviendrons pas, qui sont nécessaires ». À commencer par le recul de l’âge du départ en retraite.

Ainsi, et bien que les directions syndicales soient pour l’heure bien utiles au gouvernement en acceptant le jeu du dialogue social, permettant à la Macronie de donner une illusion d’ouverture et de concertation, il est évident que le gouvernement se prépare à faire passer en force ce qui s’annonce comme l’attaque anti-sociale la plus violente du quinquennat. Une déclaration de guerre aux plus précaires, qu’il s’agit de combattre dans son ensemble, sans négocier les miettes, et ce dès la rentrée.

Crédits photos : Capture d’écran BFM TV

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
POLICIERS au G7: la grande désorganisation !...

L'ARTICLE DE FRANCE-POLICE EN LIEN CI-DESSOUS:

Armée de Bourbaki : l'expression vient de la référence aux troupes mal équipées de l'armée de l'Est que le général français Bourbaki commanda en 1870.

Publié par EL DIABLO

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Ex-Whirlpool. Le repreneur abandonne, deuxième vague de licenciements en deux ans

Ce lundi, les 182 travailleurs de l’ancien site Whirlpool à Amiens ont été convoqués et ont reçu leur notification de licenciements. Moins d’un an après la reprise, l’usine va à nouveau fermer ses portes, et cette fois 44 personnes seraient reprises par Ageco.

A nouveau sur le carreau

C’est un site industriel historique qui ferme ses portes aujourd’hui, l’usine d’Amiens a vu passer plusieurs entreprises, Philips, mais surtout Whirlpool, constructeur d’électroménagers depuis 1990 sur le site. Dans les années 2000, ce sont plus de 1000 travailleurs qui faisaient tourner la fabrique ! La suite, on la connaît mieux… Le géant de l’électroménager a depuis réorganisé plusieurs fois le site, « dégraissant » les effectifs en échange d’investissements, démarche classique : si vous voulez garder vos emplois, faites des efforts, ne dites rien quand on licencie, et tout ira bien. En 2017, alors que l’effectif est déjà descendu à moins de 300 personnes, Whirlpool annonce l’arrêt de la production de laves-linge, le cœur de son activité. La fermeture annoncée de cette usine tombe en pleine campagne présidentielle, le sauvetage du site deviens un enjeu : « Il faut sauver l’industrie française », Macron fait des promesses, les figures politiques défilent…

En juin 2018, l’usine est finalement reprise par WN Open Factory, une victoire criée sur tous les toits par le nouveau gouvernement ! Et ce malgré une division par deux des effectifs : pour les politiciens, les meubles sont sauvés. Comme souvent, la reprise du site, même partielle et avec toutes les conditions qui se dégradent, permet de temporiser la situation et de tasser la contestation. Finalement WN n’aura pas fait long feu, moins d’un an après, le repreneur déposait le bilan, mettant à la porte les derniers 182 ouvriers. Ce lundi, ils sont donc allés chercher leur lettre de convocation, qui indiquait la date de leur licenciement. Cette fois ci, 44 reconversions ont été obtenues auprès de l’entreprise Ageco, mais difficile de présenter ça comme une victoire. On assiste, si on en doutait encore, à l’incapacité du gouvernement de faire face aux vastes plans de réorganisation industrielle, passant surtout par des licenciements, dans tout le pays.

Malgré tout ce qu’ils peuvent dire, rejetant la faute sur la conjoncture ou le patron d’à côté. Tout comme à Ford, GM&S et ailleurs, des milliers et des milliers de foyers sont broyés par ces licenciements dits économiques, où ni les autorités publiques, ni les directions syndicales ne proposent de plan sérieux pour y faire face. Et pourtant on sait d’ores déjà que ce n’est pas fini ! Alors que la rentrée sociale s’annonce, pour l’instant, en ordre dispersé, lutter contre ces vastes plans de licenciements est nécessaire aujourd’hui de le poser à l’ordre du jour, contre ces patrons qui engrangent des sommes ahurissantes de subventions et de chiffre d’affaires, et en même temps nous expliquent que c’est la crise et qu’ils doivent mettre la clef sous la porte.

crédit photo : DENIS CHARLET VIA GETTY IMAGES

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
515 milliards de dividendes versés : une insulte à l’ensemble de la classe ouvrière

Un record historique, disent les médias de la classe dominante, et la France est le pays qui a été le plus généreux avec 51 milliards de verser aux actionnaires, les salariés eux ne peuvent pas en dire autant.

Exploitation

C’est d’ailleurs pour cette raisons que le versement a été aussi élevé puisque dans la logique capitaliste du profit maximum où la part des salaires versée aux travailleurs ainsi que les emplois est lui nettement en baisse. Puisque la masse des emplois pour créer des richesses doit être revu à chaque fois à la baisse pour pouvoir dégager des gains substantiels, sinon pas de profit ou très peu et donc pas de versement aux actionnaires. Ce que qualifient les capitaliste de crise avec des entreprises qui ne sont pas rentable autrement dit qui ne dégage pas assez de profit.

Un crachat à la figure de l’ensemble du salariat

Aujourd’hui où la plupart des entreprise qui se restructurent et qui engagent des plans de suppression d’emplois voir de fermeture d’usines, ce qui compresse les emplois et met sur la touche des familles entières, non pas qu’ils ne font pas de profits mais qu’ils ne font pas suffisamment de profit à court terme pour verser aux actionnaires un partie suffisamment grande de dividendes. Mais cela est la logique d’un système qui ruine totalement tous ceux qui créent les richesses par leur travail puisque ce que ne disent jamais les économistes et autre éditorialistes pro-patronaux c’est que les entreprises ont en leur sein des salariés qui font les profits des entreprises et que sans eux rien ne pourrait fonctionner et que a chaque record de profits et de dividendes versés, cela veut surtout dire des emplois massacrés pour toujours faire plus de gains quitte à mettre au chômage et dans la précarité la plus grande masse de travailleurs et c’est bien en cela que faire l’apologie des milliards de dividendes c’est cracher sur la souffrance et la vie de tout le salariat.

De l’argent il y en a dans les caisses du patronat

Aujourd’hui où des reformes anti-ouvrière, comme celle du chômage et la future réforme des retraites, sous prétexte qu’il n’y aurait plus d’argent dans les caisses, risque de très mal passer dans les foyers du salariat sans parler des différents cadeaux offerts au patronat, avec les baisses de charges sociales sur les bas salaires et le CICE et que les entreprises vont mal. Mais il serait plus que temps de ponctionner dans les caisses du patronat pour embaucher en masse, mais cela le mouvement ouvrier et ses organisations doivent l’organiser et ne pas aller discuter sur tous les reculs sociaux mais préparer un plan de bataille pour gagner puisque l’argent coule à flot dans les caisses du patronat.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
G7. Visite de Castaner à Biarritz : zoom sur une région en état de siège

Accès à la ville bloqués, contrôles aux frontières renforcés, gares et aéroports fermés, manifestations interdites, armée de terre mobilisée et plus de 13,000 policiers sur place. Voilà un avant-goût du déroulement du G7 à Biarritz dans le sud-ouest de la France, à moins d’une semaine de l’échéance, le tout couronné par une visité du ministre de l’intérieur ce mardi.

G7

Début de visite au centre de commandement à 14h30, suivi par un tour vers l’aéroport, privatisé pour l’occasion, et passage en revue des troupes. Voici le programme de Christophe Castaner ce mardi 20 août en prévision du G7, dans un Biarritz complètement bunkerisée : une ville divisée en deux zones, aux accès complément barricadés et accessibles aux riverains seulement sous présentation d’un pass spécial (voir le plan pour l’occasion ici).

La Zone 2, en bleu sur la carte, dite « zone de protection », sera accessible seulement aux véhicules des riverains et autre ayant-droits équipés d’un macaron, avec pour seules entrées possibles des points de contrôle de la police nationale. Interdiction totale pour toute personne extérieure de pénétrer dans le périmètre, même à pied. La Zone 1, en rouge, sera elle complètement inaccessible à tout véhicule. Seules les personnes équipées d’un pass seront autorisées à y pénétrer, à pied uniquement. La circulation automobile y sera totalement interdite, y compris pour les résidents, salariés, et autres. Un dispositif de sécurité plus que contraignant qui sera activé du 23 au 26 août, et lors duquel plus de 13,200 policiers et gendarmes, selon le gouvernement, seront présents 24 heures sur 24. Ce sont l’intégralité des casernes du sud-ouest qui vont être mises à contribution, certains préfets allant même jusqu’à rappeler des agents ayant pris leur retraite pour assurer les effectifs ubuesques visés par le gouvernement.

Bien sûr, tout ce monde doit être logé et conduit sur place : pour ce faire, plusieurs centaines de logements seront mis à disposition des agents de sécurité sur place : confronté à une pénurie d’appartements, le préfet de Biarritz alla même jusqu’à promettre à quiconque accepterait de louer un logement a l’administration qu’il serait exonéré des procédures de badgeage obligatoires pour pénétrer en ville. Quant aux autres qui ne trouveraient pas d’appartement au cœur de l’action, plusieurs dizaines de bus ont été prévus afin d’assurer les déplacements des gendarmes et policiers, le tout actif 24/7 pour assurer une rotation en 3/8.

Les mesures exceptionnelles ne se limitent cependant pas à ces deux zones : voilà déjà plus d’une semaine que les entrées de la ville sont toutes fortement gardées par la police et la gendarmerie, le tout agrémenté de contrôles réguliers, que l’on soit en voiture ou à pied. L’intérieur de la ville n’est pas en reste, avec une présence policière bien plus importante qu’à l’accoutumée. Enfin, pour les riverains qui auraient depuis leurs logements une vue directe sur les hôtels ou seront logés les chefs d’états, ordre de fermeture des fenêtres et de non-occupation des balcons.

« Je n’installe pas sur mon balcon, sur ma terrasse ou à ma fenêtre d’appareils de prise de vue (appareil photo, caméra, etc.) ou tout autre appareil permettant de voir à distance (jumelles, longue-vue, etc.) », précise la note officielle.

Le tout ne s’arrête pas là : Bayonne, Hendaye, Irun, Espelette, c’est la côte basque toute entière qui a été mise en état de siège, avec une présence policière accrue jusqu’à l’absurde : fouilles de véhicule et contrôles de papiers systématisés, plus particulièrement dans toutes les entrées et sorties d’autoroutes. Là aussi, certains quartiers seront bouclés : le quartier des arènes à Bayonne, notamment, qui sera complètement inaccessible à quiconque ne pourra présenter aux agents sur place une carte d’identité et un justificatif de domicile, ou une attestation de leur employeur. Les plus importants axes routiers, notamment ceux menant vers Biarritz ou vers le reste de l’agglomération, seront inaccessibles.

La mairie de Bayonne est même allé, il y a peu, jusqu’à faire poser des préfabriqués équipés de barreaux devant le palais de justice, tant le nombre de garde-a-vues prévues est important.

 

Un aperçu, sans doute, du niveau de répression auquel il faut s’attendre durant l’échéance. Le centre de rétention de Hendaye a lui aussi été réquisitionné afin d’auditionner les gardés à vue, alors que Castaner annonçait lui-même le mois dernier que toute manifestation en marge du G7 serait « neutralisée ». Une expression toute particulièrement glaçante lorsqu’on la replace dans le contexte de répression sans précédent que connaît la France depuis le début du quinquennat Macron.

Les déplacements dans toute la région seront également perturbés : les transports en commun à l’intérieur de Biarritz seront bien entendu coupés pour ce qui est des zones de sécurité. La circulation sera sujette à des complications entre Anglet, Bayonne et Biarritz du fait du blocage de certains axes. L’aéroport de Biarritz sera complètement hors service, de même que les gares de Biarritz, Bayonne, Guéthary, Boucau, Deux-Jumeaux et Hendaye. Les gares routières seront, elles aussi, indisponibles. Même la baignade sera interdite dans plages les plus proches des domiciles des chefs d’états ! L’état de siège s’étendra jusqu’en Espagne, puisque les autorités des deux pays ont d’ores et déjà annoncé travailler ensemble, notamment à la frontière.

Voilà non seulement la ville de Biarritz, mais la côte basque toute entière privatisée pour la venue des chefs d’états pour le G7, le tout dans un contexte de répression qui ne va qu’en s’accroissant, et avec une note salée a la clé. 24 millions d’euros, c’est le prix qui a été annoncé pour bunkeriser la côte basque et y rassembler les dirigeants des plus grandes puissances impérialistes du monde afin que ces derniers s’attellent ensemble à repousser toujours plus les acquis sociaux des classes populaires du monde, pour préparer encore un peu plus la destruction de l’environnement.

24 millions d’euros sortis tout droits de nos poches pour un évènement auquel non seulement nous n’aurons pas le droit de participer, mais que nous n’aurons pas même le droit d’observer ! Pire, alors que le gouvernement nous appelle depuis maintenant plusieurs années à nous serrer la ceinture, il entend maintenant nous retirer le droit de manifester notre mécontentement face à tant de dépenses inutiles...

Crédit photo : à Tarnos, près de Biarritz

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Qu'a dit POUTINE sur les GILETS JAUNES que les MÉDIAS FRANÇAIS ont omis?
image d'illustration

Plusieurs médias français ont repris les propos de Vladimir Poutine sur les Gilets jaunes sans reprendre sa phrase sur le bilan des manifestations – «11 personnes tuées et 2.500 blessées» - faute de traduction de la part de l’unique interprète présent lors de la rencontre au fort de Brégançon.

 

Reçu dans la résidence d’été du Président français, Vladimir Poutine a lancé une pique à son homologue en affirmant qu’il «ne veut pas d'une situation pareille» dans les manifestations à Moscou, en faisant référence aux Gilets jaunes. Il a notamment évoqué les nombres de morts et de blessés ayant marqué les rassemblements en France.

 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Le 14 août, le régime Macron, avec l’aide de ses relais médiatiques, s’est lancé dans une grosse opération de propagande autour de la publication par l’INSEE des chiffres du chômage : faire croire que le chômage baisse ! Et pourtant, il y a toujours plus de 6,5 millions de chômeurs inscrits à Pôle-Emploi ! Plus du 1/4 de la population active, près de la moitié de la population salariée dans le secteur privé ! Et ce n’est pas l’insignifiante baisse en 1 trimestre de 0.2% du nombre de chômeurs recensé par l’INSEE, au sens du BIT, qui change la situation. Ce d’autant plus que la définition du chômage au sens du BIT est très restrictive : il suffit d’avoir travaillé une 1h au cours de la période de référence pour sortir des chiffres du chômage.

 

Rappelons que les chiffres du chômage sont tellement mauvais que la ministre du Travail (du chômage diront certains) Murielle Pénicaud a pris comme première décision sur ordre de Macron à son entrée en fonction de supprimer leur publication mensuelle pour passer à une publication trimestrielle !

 

Les vrais chiffres du chômage : 6 554 100 inscrits à Pôle-Emploi au 2e trimestre 2019 !

 

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Publié par FSC

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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