Cette question nous renvoie aux choix politiques des directions de la SNCF. Les premiers adversaires de notre régime spécial sont nos premiers dirigeants qui multiplient les réorganisations et cassent l’emploi à statut.
A la SNCF, nous observons la montée de la précarité avec la recrudescence des contrats courts, le recours à l’intérim et à la sous-traitance, par exemple. La décision de Macron de supprimer le statut aggraverait la situation et ferait mourir le régime spécial.
PAR CGT COMPIEGNE FACEBOOK