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SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI
Syndicat CGT Unilever HPCI France
En France 650 personnes accusées d'apologie du terrorisme !
En fait c'est vous Macron, " en armant l'armée israélienne qui pratiquez l'apologie du terrorisme " !
Alors, arrêtez moi ... ou débattez !
Publié par FSC
Publié par Luttesinvisibles
Alors que le gouvernement poursuit ses attaques antisociales sur les chômeurs, une étude récente de l'Inserm met en lumière les conséquences du chômage sur la santé des travailleurs. L’institut pointe que plusieurs milliers de personnes meurent ainsi chaque année de causes liées au chômage.
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Selon une récente étude de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) dont les résultats sont rapportés par Politis la corrélation entre chômage et surmortalité est avérée. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : « le fait d’avoir été au chômage plus de 19 trimestres au cours de sa vie accroît de 28% la mortalité ». L’étude estime que chaque année, en France, plusieurs milliers de personnes meurent pour des raisons liées au chômage.
Après avoir suivi 200 000 personnes pendant neuf ans, les chercheurs de l’Inserm ont conclut qu’une situation de chômage favorise l’apparition de pathologies cardiovasculaires. Cela peut s’expliquer en grande partie par une prédisposition à plusieurs facteurs de risque, notamment la consommation d’alcool modérée, le tabagisme, la sédentarité, l’obésité, le diabète, les troubles du sommeil mais aussi la dépression.
Sans surprise, donc, les personnes vivant une situation précaire et d’inemploi ont plus de risques de vivre des épisodes dépressifs qu’un actif. De plus, plus le chômage est de longue durée, plus les risques s’accroissent. Ces résultats mettent en lumière l’impact profond du chômage sur la santé mentale et physique des individus qui constituent « l’armée de réserve du capital ».
Les résultats de cette étude tombe mal alors que le gouvernement cherche à faire passer les personnes en situation d’inemploi pour des « profiteurs », pour justifier ses offensives contre l’assurance-chômage, et contraindre les allocataires de l’assurance chômage à accepter des emplois précaires et mal rémunérés – ou à rejoindre les rangs des allocataires du RSA, lui aussi « réformé ». Attal a annoncé vouloir s’en prendre (une fois de plus) aux chômeurs, en annonçant vouloir réduire la durée maximale d’indemnisation et mener toute une série d’offensives contre les séniors, mais aussi en durcissant les conditions d’éligibilité aux allocations chômages.
Interviewé dans Politis, le professeur Pierre Meneton, qui a participé à l’enquête, revient sur cette image de « profiteur » : « Cette idée est totalement délirante. On le voit bien que le chômage est dramatique pour les gens, et on le mesure clairement ici, de manière très concrète, jusqu’au décès. ». Les réformes successives du gouvernement apparaissent ainsi d’autant plus dramatiques que l’étude démontre qu’en plus du chômage, la position sociale et les conditions de travail augmentent les risques cardiovasculaires, et sont donc un autre facteur de surmortalité.
Ainsi, face à l’offensive généralisée que l’exécutif lance contre les travailleurs, et dont la nouvelle réforme de l’assurance chômage est un volet supplémentaire, il est nécessaire de construire une riposte d’ensemble contre les lois antisociales et anti-ouvrières. C’est ce à quoi devrait s’atteler dès aujourd’hui les directions syndicales, pour exiger le retrait de toutes les contre-réformes de l’assurance-chômage, mais aussi pour imposer une autre répartition de travail, qui ne conduise pas à ce que certains se tuent à la tâche pendant que d’autres meurent du chômage.
Publié par REVOLUTION PERMANENTE
En Europe, Unilever ne progresse que grâce à des augmentations de prix, mais ailleurs, la multinationale enregistre une nouvelle hausse des volumes. La croissance est tirée par les 30 grandes marques qui représentent 75 % des ventes.
Au premier trimestre de cette année, les ventes d’Unilever ont augmenté de 4,4 % pour atteindre 15 milliards d’euros. Les volumes vendus ont augmenté de 2,2 %. Cette croissance des volumes pour le deuxième trimestre consécutif est une bonne nouvelle pour l’entreprise qui, ces dernières années, a principalement augmenté ses ventes grâce à de fortes hausses de prix. En Europe, cependant, les volumes continuent de baisser, principalement en raison des mauvaises performances de la division alimentaire en Allemagne et aux Pays-Bas.
Les trente « Power Brands » ou marques puissantes sur lesquelles le PDG Hein Schumacher souhaite se concentrer davantage, ont enregistré une croissance du chiffre d’affaires de 6,1 %, tandis que les volumes ont augmenté de 3,8 %. Comme on le sait, la multinationale va céder sa division « crèmes glacées », avec des marques bien connues telles que Magnum et Ben & Jerry’s. Elle revoit également à la baisse certains de ses objectifs en matière de développement durable.
Les grévistes ont levé leur mouvement jeudi 25 avril 2024, à 13 heures.
Dans la soirée de mercredi 24 avril, les grévistes du site de Colgate-Palmolive à Compiègne avaient décidé de poursuivre le mouvement qu’ils avaient déclenché dans l’après-midi. Ils y ont mis fin à 13 heures ce jeudi 25 avril.
Cette grève, lancée par une intersyndicale FO-CFDT, avait pour but de mettre en avant la solidarité des Compiégnois avec leurs collègues de Rillieux-la-Pape (Rhône), dont l’usine doit fermer dans le courant du mois de septembre 2024. Elle avait aussi pour but d’encourager la reprise des négociations. « Les discussions ont repris », observe Hervé Grosjean (FO). Les représentants syndicaux de l’usine restent cependant vigilants.
Le site de Rillieux-la-Pape emploie une centaine de salariés et fabrique des berlingots d’eau de javel Lacroix et d’assouplissant pour le linge Soupline.
Publié par courrier picard
Publié par Luttesinvisibles
La société multinationale de biens de consommation Unilever (LON:ULVR) (NYSE : UL) a publié ses derniers résultats financiers avant l’ouverture des marchés aujourd’hui, le 25 avril.
La société a connu une croissance sous-jacente de ses ventes de 4,4 %, les cinq secteurs d’activité ayant enregistré une croissance sous-jacente de leurs ventes, menée par la beauté et le bien-être (en hausse de 3,1 %) et la crème glacée (en hausse de 2,7 %).
La marge opérationnelle pour le trimestre n’a pas été annoncée, mais la société s’est dite “confiante de parvenir à une légère amélioration de la marge opérationnelle sous-jacente pour l’ensemble de l’année, reflétant une marge brute plus élevée et un investissement accru dans nos marques”.
Le chiffre d’affaires augmente de 1,4% à 15,0 milliards d’euros avec (2,0)% d’effet de change et (0,9)% de cessions nettes.
Cependant, la principale question d’Unilever, ainsi que de ses concurrents dans le secteur des biens de consommation de base, demeure : qu’en est-il des volumes de ventes ?
Au cours des derniers trimestres, l’entreprise a tenté d’équilibrer des volumes de ventes en baisse avec des prix plus élevés – un cycle potentiellement négatif dans un environnement de forte inflation et aucun signe de baisse des taux d’intérêt pour l’instant.
Il est encourageant de constater que la croissance des volumes a atteint 2,2 %. En particulier, les principales marques de la société ont enregistré une croissance sous-jacente de leurs ventes supérieure de 6,1 %, tirée par une hausse de 3,8 % des volumes de ventes.
Unilever avait plusieurs points à prouver avec ses résultats d’aujourd’hui – notamment s’il parvenait à maintenir la dynamique de redressement illustrée par ses résultats du quatrième trimestre, avec son « plan d’action pour la croissance » qui prend de l’ampleur.
Le 8 février, Unilever a annoncé des résultats du quatrième trimestre et de l’exercice 2023 plus solides que prévu, grâce à la croissance des ventes dans l’ensemble de sa division et à un programme de rachat d’actions de 1,5 milliard d’euros qui a séduit les actionnaires et qui commence à être mis en œuvre. En conséquence, le cours de l’action Unilever a augmenté de 3 % sur la journée.
Pourtant, 2023 a été marquée par son lot de problèmes pour l’entreprise, notamment une concurrence accrue, la montée en flèche des prix des matières premières dans une macro-économie déchirée par la guerre et le fait de devenir une cible pour les investisseurs opposés aux questions ESG. C’est peut-être pour cette raison que le chiffre d’affaires de l’entreprise pour le trimestre se terminant le 31 décembre 2023 s’est élevé à 14,59 milliards d’euros, soit une baisse de près de 5 % sur un an et la pire performance de l’entreprise depuis 2020 et la pandémie. Le BPA a également baissé de 1,4 %, bien que les ventes du quatrième trimestre aient augmenté de 1,8 % par rapport au troisième trimestre.
Licencié sous des prétextes fallacieux fin 2023, Alexandre, délégué syndical FO à la FNAC Champs-Elysées, vient de voir son licenciement refusé par l’inspection du travail. Une victoire précieuse dans un contexte général de répression.
Crédits photo : Maksym Kozlenko
Début décembre 2023, Alexandre et un de ses collègues ont été convoqués pour un entretien disciplinaire pouvant aller jusqu’au licenciement. Après 3 mois d’attente, le verdict de l’inspection du travail est enfin tombé, en faveur d’Alexandre dont le licenciement a été refusé explicitement.
En effet, Alexandre et son collègue avaient été licenciés pour avoir voulu, après la fin d’une promotion, récupérer un carnet de note offert pour l’achat d’un article à la Fnac. Comme l’indiquent une quarantaine de témoignages de ses collègues, c’est une pratique largement répandue et autorisée pour les employés, qui permet de déstocker ces cadeaux ne pouvant être revendus.
Seulement, alors que Alexandre et sont collègue avaient laissé les cadeaux lorsqu’on leur a interdit de les prendre, ils ont finalement licencié par la direction. Alors que le CSE avait refusé les licenciements, Alexandre étant syndicaliste, c’est l’inspection du travail qui a dû trancher l’affaire. Finalement, son licenciement a été refusé, avec la démonstration qu’il ne s’agissait en aucun cas d’une tentative de vol.
Comme l’explique Alexandre, la direction de la FNAC cherche en réalité à intimider ceux qui relèvent la tête : « C’est loin d’être le premier épisode, ces dernières années, on a réussi à les faire condamner trois fois pour discrimination et harcèlement syndical sur des militants de FO ». En effet, derrière ce prétexte bidon, la direction du magasin a voulu licencier un délégué syndical combatif, qui avait notamment été un moteur de la grève historique à la FNAC Champs-Elysées en 2016.
Cette décision est un appui important afin de pouvoir obtenir la réintégration de son collègue qui, n’étant pas un élu syndical, a été licencié. Pour autant, Alexandre a conscience de ne pas être un cas isolé : « C’est la continuité de ce qui s’est passé ces dernières années. Après avoir mis en place la régression sociale, c’est la seconde partie du projet. Ils savent que c’est le moment d’attaquer ceux qui vont au combat ». Alors que les cas de répression syndicales se multiplient à travers le pays, la réintégration d’Alexandre est une victoire précieuse sur laquelle il faut s’appuyer pour construire une riposte d’ensemble qui mette un coup d’arrêt aux offensives du patronat.
Publié par REVOLUTION PERMANENTE
Signe de l'aiguisement des luttes et des enjeux et de la tentation " nécessaire " pour le capital d'enfreindre les usages démocratiques
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Publié par FSC
532422
Se syndiquer CGT ?
Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.
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