SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Après les 0,8% d'augmentation générale et pour remercier les efforts des salariés, voici une belle brosse à dent électrique.

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Même si la manière de faire est complètement différente, la finalité est la même !

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Prochainement, à défaut d'avoir un salaire correct, nous aurons droit à un peu de pommade !

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Il faudra bien plus qu'une brosse pour motiver les salariés !

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #FRALIB

Plus de trois ans maintenant que les Fralib occupent leur usine de thés, propriété de la multinationale Unilever, en Provence. C’est là que se sont déroulées fin janvier les premières rencontres européennes de « L’économie de travailleurs ». Au cœur de cette usine récupérée en lutte, des ouvriers venus d’Italie, de Serbie et de Grèce ont échangé avec des syndicalistes d’Amérique du Sud. Une internationale ouvrière contre la liquidation de l’emploi industriel et pour la reprise en main de l’outil de production.

Rime, ouvrière des Fralib à Gémenos (Bouches-du-Rhône) me conduit à travers l’usine en ce week-end des rencontres de l’économie ouvrière. Dans la continuité du grand mouvement de récupération d’entreprises entamé en Argentine, ces rencontres en sont à leur quatrième édition en Amérique latine. Et s’exportent désormais en France. « Il ne s’agit pas de faire un congrès universitaire mais de concrétiser des rencontres entre travailleurs et universitaires », annonce Andrès Ruggieri, chercheur à Buenos Aires. Du maté autogéré est offert aux participants par les Fralib, jamais à court d’idées. Andrès Ruggieri explique que c’est bien la nécessité qui a poussé les travailleurs dans la voie autogestionnaire.

Si aujourd’hui l’Argentine compte 310 entreprises « récupérées », le mouvement est tout de même marginal, en raison de l’affrontement avec le marché concurrentiel et avec ses propres démons : la capacité des personnes à changer de modèle. Gérard et Olivier, deux des meneurs CGT des Fralib ont installé ce « congrès » au beau milieu de leur usine, entre deux lignes de conditionnement (lire notre reportage). C’est le monde qui vient à eux aujourd’hui. A Gémenos ou en Europe, lors de restructurations, de plans sociaux, des travailleurs refusent la destruction de leurs emplois.

Expérimentation sociale

C’est le cas à Rome avec Officine Zero, les ex-salariés de la compagnie des wagons-lits italiens. Comme à Milan, la fermeture de leur société les a poussés à créer autre chose, plus conforme à leurs désirs : le soutien aux précaires et surtout l’expérimentation sociale. Dans d’autres cas, comme à Scandanio, plus au nord de l’Italie, la société Greslab qui fabriquait de la céramique vient s’ajouter au mouvement des coopératives, mais en intégrant le système avec les prêts de banques éthiques.

En France, « on commence à tourner la page de la lutte syndicale et à devenir de vrais entrepreneurs », lance Christophe Barbier, secrétaire du comité d’entreprise Pilpa. A Carcassonne, Fabrique du Sud (ex-Pilpa) élabore un projet de production de crèmes glacées en société coopérative (Scop). Souvent soutenues en France par des syndicats ou le Front de gauche, ces organisations changent leurs pratiques.

« Une citadelle de l’autre économie »

Stefano est venu de Milan, où il occupe son ancienne usine, Maflow, depuis février 2013. Auparavant, l’usine fabriquait des composants automobiles pour BMW. Un patron sans scrupule a vidé l’usine des machines, et les camions sont partis en Pologne. Un scénario assez semblable à d’autres cas européens : réduction du personnel, augmentation du travail et liquidation finale des derniers salariés. La messe est dite. Les salariés ont payé. « Mais que faire avec une usine vide ? », demande Stefano. La reconvertir en usine écologique, en réfléchissant tous azimuts. Récupérer les ordinateurs et les machines usagées. « Notre idée principale : réutiliser. Mais aussi Ri-nascita (renaissance), Recupero, Reddito (revenu), Ri-voluzione… », explique-t-il en lisant son propre tee-shirt.

En mars 2013, c’est donc la naissance de « Ri-Maflow », constituée en coopérative sociale. « Ça ressemble à un centre social, mais si la police nous expulse, 500 personnes arrivent... ». Le propriétaire de l’usine occupée est une banque. L’usine s’est transformée en Groupe d’achat solidaire, mais la reconversion est longue. Alors comme à Officine Zero, ils proposent des activités variées, un bar, de la restauration, avec l’objectif de créer « une citadelle de l’autre économie ».

Limites du système autogestionnaire

Les revers existent. En Serbie, l’autogestion s’est arrêtée pour les ouvriers actionnaires de l’entreprise pharmaceutique Jugoremedija à Zrenjanin, après les élections de 2012 qui ont porté au pouvoir des nationalistes pro européens. Les salariés poursuivaient avec difficulté un modèle hérité du titisme [1], dans une Europe capitaliste. Le maréchal Tito avait inscrit dans la constitution ce modèle économique et social particulier. Un siècle avant, la Commune de Paris avait brièvement expérimenté cette voie.

L’expérience de Mondragon au Pays Basque a montré les limites du système. Les Fagor ont avalé les Brandt sans coup férir, avant de mettre la clé sous la porte. Chez les zapatistes, on fête discrètement 20 ans d’insurrection. « L’alternative, c’est pas malin », chantait François Béranger. Mais l’autogestion, c’est pas de la tarte...

 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #FRALIB

Ci-dessous 2 vidéos de la table ronde du samedi 6 juillet 2013 organisée par CAMédia : Fralib, Florange et LIP. Cliquez sur le lien pour prendre connaissance des vidéos. De très bonnes interventions.

  

http://www.dailymotion.com/video/x11lc0m_table-ronde-du-samedi-6-juillet-2013-organisee-par-camedia-frablib-florange-et-lip_news

 http://www.dailymotion.com/video/x11la9k_rencontres-came-dia-montluel-2013-partie-2_news

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Voici la conclusion des NAO 2014,

·         0,8% d’Augmentation Générale au 1er mars, non indexé sur la grille de salaire HPCI.imagesCAVDEWGD

·         Prime autofinancée sur Compiègne versée en avril 2014

Critères : Tubes-flacons/productivité

Modalités :

Bénéficiaires : Salariés CDI, CDD, intérimaires présents sur la totalité du premier trimestre.

Montant : 250€ (soit 100€ acquis en janvier, 75€ à acquérir en février et mars)

Conditions d’acquisition : prorata temporis sur l’absentéisme (hors maternité, accident du travail, opérations chirurgicales)

Paiement sur avril 2014

·         Ouverture de la possibilité de placer du Débit/Crédit heures sur le CET pour le personnel en horaire variables dans la limite de 35 heures par an.

·         Engagement de la direction d’analyser au cas par cas les situations des salariés Hommes-Femmes en vue de la reconnaissance des diplômes en lien avec la fonction occupé au regard des dispositions de la convention collective des industries chimiques.

Nous avons rappelé à la direction sur ce sujet que c’était tout simplement et logiquement l’application de la convention collective et s’il fallait faire valoir les droits des salariés devant les prud’hommes,  il n’y avait aucun problème !

Alors que nous savons qu’Unilever n’a aucun problème de trésorerie et la CRISE, elle ne connait pas, contrairement aux salariés qui la subissent, pour toujours plus de profits pour les actionnaires !

La direction est à des années lumières de nos revendications et ne répond en aucun cas aux attentes des salariés. La CGT regrette fortement l’attitude de la direction pour les bas salaires (même s’il y avait que 1,1 d’AG% et pour les autres 0,75% d’AG) mais elle a préféré retenir l’option 1, c'est-à-dire 0,8% d’AG pour l’ensemble des salariés afin de répondre aux attentes de Saint Vulbas même si on est toujours loin du compte.  Une différence de 0,05% entre l’option 1 et 2, pour un salarié avec un salaire de base de 2000€ cela représente seulement 1€ et selon la direction, elle était arrivée au maximum. Dans ces conditions,

La CGT NE signera PAS cet accord.

Maintenant, il est grand temps que les salariés prennent consciences que :

« L’avenir appartient à ceux qui luttent, cela veut dire que ceux qui ne luttent pas ont déjà perdu. » ghghghgfgghththntrjjlipoujujukirf

 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Après plusieurs heures  d'attentes voici une toute petite avancée de la direction :

Option 1

0,8% d'augmentation générale, non indexé sur la grille

Option 2

1,1% d'AG pour les bas salaires (entre 1,3 et 1,5 du SMIC)

salaire de base + ancienneté +treizième mois + 1000€

Et 0,75% pour le reste des salariés

Option 3

0,6% d'AG + Prime de vacances de 70€ pour les postés

Option 4

 0,7% d'AG + Prime de vacances de 50€ pour les postés

Option 5

0,6% d'AG + Prime de vacances de 40€ pour les postés

0,15€/repas/salarié

Les débats sont en cours...

  SMIC = 1445,38€

1,3 fois le SMIC = 1879€

1,5 fois le SMIC = 2168€

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #INFO importante usine

Voici les premières propositions de la direction, cela commence bien :

  Option 1

  Augmentation générale de 0,6%

Engagement de traiter au cas par cas la situation des jeunes diplômés, hommes-femmes.

  Option 2

  Prime individuelle sur un budget de 0,7%

Engagement de traiter au cas par cas la situation des jeunes diplômés, hommes-femmes.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Sans surprise, Hollande n’aura pas tenu son « pari » de stopper l’augmentation du chômage en France.

Les chiffres du graphique en page n°3 sont sans appel : y compris dans les chiffres officiels, jamais dans l’histoire de notre pays il n’y a eu autant de chômeurs. Et ce n’est pas avec une croissance de 0,8 % annoncée pour 2014 que les choses vont s’arranger. Les premières victimes de ce chômage, massivement organisé, sont les jeunes, empêchés de construire leur vie par manque d’emploi, de salaire décent.

Pour le grand bonheur des patrons, 340.000 emplois « aidés » sont budgétisés pour 2014, donc payés par nos impôts. Avec des niches fiscales et sociales évaluées par la Cour des comptes à près de 200 milliards d’euros, ce sont près de 6 millions d’emplois privés qui sont payés à 100 % par nos impôts ! Soi-disant pour favoriser l’emploi, mais quand on voit le taux de chômage, on est bien obligé d’écrire que ces montagnes d’euros sont déversées en pure perte pour la population, mais au grand profit des actionnaires et du grand capital.

Comme nous l’avons maintes fois répété, le problème numéro 1 de notre économie est un manque de salaire. Aussi bien en nombre qu’en niveau. En augmentant massivement les salaires, la demande augmente ce qui a pour conséquence de créer des emplois. Les entreprises embauchent quand leur carnet de commande est plein et non parce qu’elles reçoivent telle ou telle subvention.

Augmentons les salaires partout et vite !

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

  Nous vous invitons à prendre connaissance de ce mail :

Chers tous,

 Pour information , ce jour en  « teambriffing » d’après midi ,  Mr Briesmalien  a outrageusement réclamé publiquement le licenciement de mes collègues cadres qui étaient associés dans l’élaboration de l’accord d’intéressement précédent… (motif un peu léger…)

Je suis particulièrement effaré que ces propos viennent d’un  élu du personnel et représentant syndical….Parfaitement sensibilisé aux risques de la mise en cause individuelle , du respect et des risques psychosociaux.Pleure.gif

Je vous rappelle que les individus mis en cause sont de « simples cadres de niveau 2 », salariés,  dans une hiérarchie Unilever qui en compte 6 ou 7…

  

Sachez que je réprouve complètement cette  façon de faire déplore cette escalade de violence verbale.

Je compte sur votre soutien à tous pour éviter dans le futur ce genre de débordements.

 Cordialement,

Pascal Mandon

  

Réponse de M.Briesmalien :

  Je n’ai pas  de leçon de morale à recevoir de votre part le courageux Monsieur MANDON. L’entretien est pour bientôt peut-être, il faut se faire remarquer …

Ma réponse viendra, si elle s’avère nécessaire, par la suite.

 

 Je vous demande rapidement d’oublier mon adresse email personnelle et privée.

 « A buen entendedor, pocas palabras bastan ».

   

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Cette année la CGT a décidé de faire pour les NAO une intervention différente des autres années, vous pourrez prendre connaissance de notre présentation en cliquant sur l’image et de vous rendre compte qu’Unilever ne connait PAS la CRISE, au contraire !

Il existe des entreprises qui connaissent des difficultés réelles mais il existe également des entreprises, des groupes, des donneurs d’ordre, qui malgré la crise, sont en parfaite santé et continuent à faire des profits important, comme UNILEVER.

Un clic sur l'image pour prendre connaissance du réel coût du Capitalisme et du Groupe Unilever qui se gave! Bonne lecture!

 

gfkgdflfgklgjeroptopg Unilever annonce une augmentation générale au niveau de l’inflation, c'est-à-dire 0,6%, c’est 10,2€ d’augmentation pour un salaire de base de 1700€ et 12€ pour un salaire de base de 2000€, on reste sans voix !

 Pour le reste de nos revendications, la direction se donne plus de temps avant de se prononcer !

La revalorisation des salaires est donc indispensable pour maintenir le pouvoir d’achat. L’indice des prix à la consommation de l’insee est une moyenne qui ne traduit pas le cout de la vie quotidienne réelle pour l’ensemble des salariés. En particulier, les ménages modestes et les ménages composés d’un seul adulte (célibataire, famille monoparentale, etc.)voient leurs dépenses contraintes (logement, énergie, assurances, fiscalité, etc ;) augmenter bien plus rapidement que l’indice du prix à la consommation.

La CGT réaffirme le besoin urgent de revaloriser significativement les salaires. Il est urgent d’arrêter l’accompagnement de la spéculation et de privilégier la rémunération du travail.

 A nous de mettre les moyens en place si nous voulons nous faire entendre. De l’argent, il y en A !

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

REVENDICATIONS NAO 2014 CGT

Après concertation avec les salariés, voici ce qu’il en ressort

-      Augmentation générale : 60€ d’augmentation pour les salaires (salaire de base) inférieure ou égal à 30000€, 40€ d’augmentation pour les salaires de plus de 30000€ et 35000€ et 30€ d’augmentation pour les plus de 35000€. + L’augmentation Générale soit indexée sur la grille des salaires.

-      Reconnaissance des fonctions suite à la polyvalence et les diplômes.

-      Prime de transport, Zone 1 de 0-20km = 20€, Zone 2 de 20-40km = 30€, Zone 3 + de 40km = 40€.

-      Travail de nuit : 1 heure de repos compensateur par week-end travaillé et 3 heures/semaine de nuit travaillé en 3X8.

-      Maintien des primes d’équipes pendant les congés.

-      Augmentation de la prime de vacances de 500€.

-      Intégration du budget de l’intéressement dans le salaire de base.

-      Egalité homme/femme : Comme prévu dans la loi, mise en place d’un programme de rattrapage contre les discriminations Hommes / Femmes ou plan de suppression des inégalités (par exemple alignement du salaire moyen des femmes et rattrapage de salaire afin d’assurer l’égalité effective Hommes / Femmes…

-      Contrat 18 mois : suppression de la règle de fin de droit à l’usine malgré la carence et embauches des intérimaires qui occupent des postes titulaires.

-      Réunion d’info syndicale.

  Nous attendons le retour de la direction...

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Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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