SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Bayrou dépouille les travailleurs : la TVA multipliée par 4 sur les abonnements gaz et électricité

Attention, les factures d’énergie vont bondir… d’autant plus si vous consommez moins ! Dès le 1ᵉʳ août, la TVA sur les abonnements de gaz et d’électricité est multipliée par quatre. Une façon pour le gouvernement de faire les poches aux travailleurs et de récupérer des milliards d’euros supplémentaires.

Prix de l’énergie

Le 1ᵉʳ août, la TVA sur les abonnements de gaz et d’électricité passe de 5,5 % à 20 %. Une attaque de plus, alors que les travailleurs redoutent déjà le rouleau compresseur austéritaire du budget de Bayrou.

Situation paradoxale  : moins vous consommez, plus vos factures vont augmenter, puisque pour faire passer la pilule, le gouvernement entend ajuster d’autres taxes indexées sur les mégawattheures consommés. Les chiffres sont mauvais  : pour le gaz, une facture de 24,23 euros en juillet passe à 27,56 euros en août, soit plus de 40 euros en plus sur l’année. Un foyer qui consomme 500 kWh par an – par exemple pour cuisiner uniquement – devra débourser 16 euros de plus par an.

Du côté de l’électricité, les tarifs vont faire des perdants, surtout du côté des petits consommateurs. Selon le comparateur d’énergie en ligne Hello Watt, un ménage consommant moins de 3 300 kilowattheures par an (un petit appartement sans chauffage électrique, par exemple) verra sa facture augmenter de 0,6 % à 5,6 %. Mais, à contrario, les grands consommateurs d’électricité (au-dessus de 3 300 kWh par an) verront leurs factures rester stables, voire diminuer  !

En effet, en parallèle des augmentations, le gouvernement a décidé de baisser deux taxes  : le TURPE sur la facture d’électricité (une taxe perçue par Enedis) baissera de 2,5 %, et l’accise sur la facture d’électricité et de gaz va baisser de 10 ou 11 %. C’est ce qui explique qu’un ménage qui consomme moins bénéficiera moins de ces baisses, car l’accise est indexée sur les mégawattheures consommés  : donc moins on consomme, moins l’on bénéficie de la compensation. Sauf pour les ménages qui consomment plus de 3 300 kWh par an, la baisse des taxes ne suffira donc pas à amortir le coût. Ces baisses seront en vigueur jusqu’au 31 décembre 2025. À partir de ce moment-là, l’augmentation sera généralisée pour tous.

Si les médias attribuent cette augmentation aux réglementations de la Commission européenne, il s’agit surtout d’un choix du gouvernement, qui préfère s’y plier en ramenant le taux de TVA sur l’abonnement à celui sur la consommation (de 5 % à 20 %), plutôt que l’inverse. Une façon de faire les poches aux travailleurs et de récupérer des milliards d’euros supplémentaires, par le biais de la TVA qui est l’un des impôts les plus inégalitaires. Alors que la colère commence à se manifester contre l’austérité monstre du budget Bayrou, les directions syndicales doivent répondre aux appels à bloquer le pays et se mobiliser  : c’est par un plan de bataille clair et offensif, avec l’implication centrale du mouvement ouvrier, que l’on pourra faire reculer ce gouvernement et ses projets réactionnaires, autoritaires et réactionnaires.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Spin-off = sous produit

Les spin-offs redéfiniront-elles le succès des FMCG, ou la consolidation est-elle le véritable objectif final ?

Nous nous sommes entretenus avec de nombreux directeurs marketing à ce sujet au cours des deux derniers trimestres. Cependant, voici d’abord un instantané, puis une ventilation des mouvements récents.

En 2023, 12 entreprises possédaient 500+ marques grand public.

Au cours des deux dernières années (2023-2025), nous avons assisté à une vague de scissions et de désinvestissements majeurs, les marques rationalisant leurs portefeuilles pour se concentrer sur leurs forces fondamentales, s’adaptant à l’inflation et poursuivant des domaines à forte croissance comme la santé et le bien-être.

Johnson & Johnson s’est scindée de son activité de santé grand public en Kenvue (2023) : évaluée à 42 milliards de dollars, séparant les marques en vente libre comme Tylenol pour affiner l’orientation pharmaceutique.

Unilever a annoncé la scission de sa division glaces (2024) : y compris Ben & Jerry’s et Magnum, visant une entité autonome pour accélérer la croissance dans les segments premium. Bonjour The Magnum Ice Cream Company !

Kellogg Company divisée en Kellanova (snacks) et WK Kellogg Co (céréales) (2023) : Libérer de la valeur avec Kellanova en hausse de 43,7 % après la scission, en se concentrant sur les tendances en matière de snacking.

Sanofi s’est scindée et a vendu son unité de santé grand public (Opella ) à CD&R (2024) : un accord de + de 16 milliards de dollars pour des marques comme Dulcolax, mettant l’accent sur la biopharmacie.

Nestlé de scinder ses marques d’eau en une entreprise autonome (à compter de 2025) : des marques comme Perrier et San Pellegrino, permettant des stratégies ciblées de durabilité et d’hydratation haut de gamme.

Kimberly-Clark s’est scindée de produits de papier tissu internationaux (p. ex., Kleenex) en une coentreprise de 3 milliards de dollars (2025) : vente d’une participation majoritaire pour se concentrer sur le cœur de l’Amérique du Nord.

Reckitt a vendu son unité de produits de nettoyage à Advent pour 4,8 milliards de dollars (2025) : se départir de marques comme Lysol pour se concentrer sur la santé et l’hygiène.

Unilever cédé 20+ marques de soins personnels à croissance lente (par exemple, Q-tips) à Yellow Wood Partners (2023) : un nettoyage de portefeuille pour financer des acquisitions dans des domaines à forte marge.

Henkel a cédé ses activités de marques de distribution en Amérique du Nord (2025) : finalisation de l’optimisation du portefeuille d’adhésifs et de beauté.

💡Il ne s’agit pas seulement de transactions, mais de réinitialisations stratégiques dans un contexte de pressions économiques et d’évolution des consommateurs.

À l’avenir, nous prévoyons que les géants des produits de grande consommation accéléreront les actions axées sur la « priorité » : davantage de scissions de catégories héritées (pensez aux produits de base par rapport aux aliments haut de gamme/fonctionnels), des désinvestissements agressifs des moins performants et des réinvestissements dans la personnalisation, la durabilité et les intégrations de technologies de la santé basées sur l’IA.

D’ici 2030, attendez-vous à ce que les entités consolidées dominent des niches telles que la nutrition à base de plantes ou personnalisée, tandis que les conglomérats réduisent leurs activités pour gagner en agilité.

Qu’en pensez-vous : les spin-offs vont-elles redéfinir le succès des FMCG, ou la consolidation est-elle le véritable objectif final ?

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
DROITS

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Plus de chômage après une rupture conventionnelle ? La nouvelle attaque du gouvernement

Sous couvert de responsabilisation, le gouvernement prépare une attaque contre un dispositif à son origine plébiscité par le patronat : les ruptures conventionnelles. Une nouvelle façon de durcir l’accès au chômage et de précariser encore un peu plus les droits des travailleurs.

Austérité

Depuis les annonces de Bayrou le 15 juillet pour le budget 2026, l’offensive est lancée contre les travailleur·euses. Sous prétexte de « remettre le pays au travail », la bourgeoisie avance toujours plus de mesures austéritaires qui rejoignent les propositions du premier ministre, avec notamment une nouvelle réforme de l’assurance chômage. C’est dans ce cadre que mercredi 23 juillet, sur RMC, la ministre du Travail et de l’emploi, Astrid Panosyan-Bouvet, a commencé à dessiner les contours d’une attaque sur les ruptures conventionnelles : « c’est un sujet qu’il faut regarder ».

La réforme viserait les jours de carence liés. Deux possibilités sont envisagées : l’allongement de la durée minimale sans revenus à l’issue d’une rupture conventionnelle au-delà des 7 jours actuels, ou l’augmentation de la durée maximale de cette période de carence au-delà des 150 jours. Dans les deux cas, une tentative de forcer les travailleurs à ne pas recourir à des ruptures conventionnelles et un approfondissement de la précarisation étroitement liée avec le durcissement à venir des conditions d’accès au chômage. Les ruptures conventionnelles ne sont, dans le discours de la bourgeoisie, que des départs avec avantages qui, si le dispositif n’existait pas, auraient simplement donné lieu à des démissions, ce qui aurait l’avantage de ne pas payer de chômage aux travailleur·euses concerné·es. Ainsi, la petite musique des « abus » de la part de certain·es salarié·es se fait entendre dans la presse bourgeoise pour préparer le terrain depuis quelques semaines.

L’attaque se fait donc d’abord pour couper dans ces dépenses du chômage, en s’attaquant à un dispositif, un temps plébiscité par le patronat, mais qui permet en effet à certain·es de quitter une entreprise et de bénéficier pendant une période du droit au chômage pour lequel ils ont cotisé, notamment depuis l’assimilation de l’abandon de poste à une démission. Le gouvernement veut donc priver les travailleur·euses d’une période indispensable pour se reconstruire après des conditions de travail difficiles ou rechercher un emploi qui convienne mieux.

Mais derrière l’attaque austéritaire se cache aussi une logique d’exploitation accrue. Si ce type de fin de contrat avait été mis en place en 2008 pour permettre au patronat de maquiller des licenciements derrière le « consentement » des salarié·es et leur « mobilité », il est aujourd’hui attaqué pour rendre le dispositif encore plus favorable aux employeur·euses, au détriment des droits des salariés, notamment des plus jeunes. En effet, la précarité accrue en sortie de contrat fragilise les travailleur·euses, favorise le maintien des salariés dans des emplois aux conditions dégradées et permet au patronat d’agiter pendant les négociations avec ses employé·es le spectre d’une démission sans indemnités et de renforcer alors son rapport de force.

Cette attaque contre les ruptures conventionnelles est aussi une attaque directe contre la jeunesse laborieuse, et celle qui la rejoindra demain. Plus précaires et plus susceptibles de changer de poste pour se reconvertir, trouver du sens et un bon environnement de travail, surreprésentés dans les CDD, stages, alternances, intérims, ce sont les jeunes qui ont le plus à perdre ici. Désormais, le patronat pourra encore accentuer son chantage au travail, son rapport de force dans les négociations avec des jeunes moins expérimentés, moins informés de leurs droits et plus vulnérables à la pression hiérarchique. Sans rupture conventionnelle, les jeunes seront poussés à la faute pour permettre des licenciements ou leurs besoins ignorés jusqu’à des départs « volontaires » de leur part.

Cette nouvelle offensive contre les ruptures conventionnelles révèle une fois de plus la cohérence de l’agenda néolibéral du gouvernement : faire peser le poids des crises sur les plus précaires, tout en flexibilisant davantage le travail. En ciblant un outil, un temps défendu par le patronat, le gouvernement montre l’ampleur de l’offensive à venir. La jeunesse, particulièrement touchée par ces logiques, et le reste des travailleur·euses ne pourront compter ni sur le dialogue social, ni sur les institutions pour défendre leurs droits. Seule une mobilisation large, ancrée dans les lieux de travail et les universités, qui tire les bilans des stratégies perdantes de la bataille des retraites, pourra imposer un rapport de force capable d’enrayer la machine néolibérale.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Pour revenir sur la principale revendication de la CGT, c’est-à-dire, un accord qui concerne tous les salariés-es, et qui ne doit pas exclure totalement une bonne partie des salariés-es comme il est articulé actuellement !

Propos de la direction (un parmi tant d’autres) :

« Dans le concept, pas chaud pour donner à tout le monde et ne rien recevoir. »

 

Par principe, la CGT n’a pas vocation d’accompagner la destruction d’emplois, et servant de caution à une stratégie d’entreprise opaque, dénuée de toute transparence, laissant les salarié-es dans l’incertitude et l’inquiétude.

Cette GEPP n’a qu’un seul objectif : accompagner le projet de restructuration de l’entreprise, avec pour finalité une réduction massive des effectifs pour une optimisation des marges et des profits, au détriment des salarié·es.

Il est difficile de cautionner un tel accord qui tourne le dos à la reconnaissance et à l’engagement d’une centaine de salariés-es.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Nos deux propositions ont été balayées.

Tout l’argent a été mis pour les départs.

Et pour ceux qui restent, une partie auront des miettes et les autres RIEN !

Et on nous parle de construire un avenir pour ce site.

A date, la GEPP n’est pas signée et pourtant, plusieurs ruptures conventionnelles viennent d’être validées !!!

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Il était une fois...
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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Bayrou trouve qu'on ne travaille pas assez, veut supprimer deux jours fériés et envisage aussi la suppression d'une semaine de congés payés.
Sûrement parce qu'on ne meurt pas encore assez au travail en France.

Bayrou trouve qu'on ne travaille pas assez

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Industrie agro-alimentaire : lettre d’un intérimaire à ses collègues embauchés

A Neuhauser en Moselle, un intérimaire a interpellé la CGT au sujet de la situation vécue au quotidien par ces travailleurs, et leur a demandé de bien vouloir relayer son texte à l’adresse de ses collègues embauchés. Un témoignage important sur le malaise que vivent les travailleurs précaires dans les usines.

Lettre

Dans l’usine de Neuhauser à Folschviller en Moselle, la direction utilise un recours massif aux travailleurs intérimaires et n’embauche pas de salariés depuis deux ans. Une politique commune à de nombreuses entreprises, qui préfèrent disposer d’une masse de travailleurs précaires qui enchainent les contrats à la semaine, voire de quelques jours seulement, et qu’ils peuvent jeter du jour au lendemain sans justifications.

Cette pratique, source de souffrance et d’incertitude énorme pour les travailleurs, permet au patronat d’ajuster quasi quotidiennement la quantité de main d’œuvre à ses besoins, pour maximiser ses profits. Elle alimente aussi des tensions avec les travailleurs qui ont un CDI, dits « embauchés », qui travaillent dans des conditions de stress importantes et qui doivent former quasi quotidiennement de nouveaux collègues fraichement arrivés et ne connaissant ni les machines ni les habitudes de l’usine.

C’est dans ce contexte qu’un intérimaire a fait parvenir à la CGT Neuhauser une lettre adressée aux CDI. Pour Christian Porta, délégué syndical à Neuhauser, « le patron est content de voir les tensions entre collègues, dans un contexte où les charges de travail sont importantes et où les pannes se multiplient sur les lignes. On doit refuser ce jeu de la division, et c’est pour cette raison qu’on a tout de suite accepté de publier ce témoignage. D’ailleurs sur les réseaux sociaux on a d’autres anciens intérimaires qui ont commenté en nous remerciant de le relayer, et en témoignant eux aussi de ces conditions dégueulasses qu’on impose aux travailleurs précaires ».

Avec l’accord de la CGT Neuhauser, nous relayons ce courrier :

À l’attention des ouvriers de Neuhauser,

Nous, intérimaires, en avons assez de cette direction qui n’embauche pas, alors que tous les travailleurs sont dépassés par les difficultés sur les lignes et les pannes, pendant que le patron continue toujours de s’en mettre plein les poches sur notre dos à tous.

Sachez que l’on vous comprend, vous qui êtes embauchés, et que l’on partage cette détresse avec vous. Mais nous en avons assez de toutes ces embrouilles entre embauchés et intérimaires. Pour nous, chaque altercation, même pour une petite chose, c’est la peur au ventre de se voir virés du jour au lendemain. On sent bien que la direction profite de ce climat dans l’entreprise, en virant des collègues quasi tous les jours sans réel motif.

Cette même direction qui vous impose de bosser toujours avec de nouveaux collègues auxquels il faut tout apprendre, à nous, elle nous provoque des angoisses à longueur de semaine de ne pas pouvoir recommencer un nouveau cycle à vos côtés, et de se retrouver sans revenus. Certains d’entre nous ont des bouches à nourrir.

Le problème, ce n’est pas moi, l’intérimaire qui vient d’arriver. Le vrai problème est que la direction, non seulement n’embauche pas, mais qu’elle ne nous forme pas et laisse en plus les pannes se multiplier partout dans l’usine.

Nous, ce que nous voulons, c’est mettre un terme définitif à cette situation que, pour beaucoup, nous connaissons depuis tant d’années, en étant trimballés d’une entreprise à l’autre, et en étant mis en concurrence entre intérimaires avec l’espoir de se faire embaucher. On est nombreux à vouloir pouvoir rester à vos côtés encore de longues années, et en finir avec cette situation qui nous fatigue tous. On veut pouvoir soulager votre corps et votre stress à vous aussi, car nous, on voit que vous aussi vous souffrez, pas comme la direction qui vous crache au visage dès qu’elle en a l’occasion.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
GEPP Unilever usine Le meux suite

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Le gouvernement attaque exclusivement les jeunes, les travailleur·euses et les retraité·s.
 
Seuls les plus riches qui ont vu leur patrimoine exploser, et les entreprises qui se sont arrosées d'aides publiques sans contrôle ni contreparties, sont épargnés par le gouvernement.

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Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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