SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Des pâtes, des pâtes, oui mais à quel prix!

On peut toujours singer cette pub pour des pâtes d'une certaine marque. Mais l'heure n'est plus à la rigolade avec l'inflation qui galope plus vite que la haute marée sur la côte. Et ni dans le programme présidentiel de Macron, ni dans celui de MLP, trace d'une conférence nationale sur l'augmentation générale des salaires et des pensions, encore moins pour un coup de pouce au Smic, avec une loi pour contraindre 171 branches à respecter le salaire minimum dans les minimas.

 

Pour en revenir à l'augmentation des produits alimentaires de première nécessité: légumes frais +30%; beurre + 26,6%; pâtes +15,31%; viande surgelée +11,34%; farine +10,93%; huile 9,98% ou moutarde + 9,26%, etc. etc.

Augmentations dues au capitalisme, soit par les effets de la guerre, soit par des stocks entretenus par grands producteurs et distributeurs afin de faire exploser les prix et leurs profits. Un exemple: l'envolée du prix des pâtes ne provient pas du blé qui devrait être moissonné en Ukraine et qui ne le sera pas à cause de l'agression militaire poutinienne sur ce pays.

L'accord électoral paraphé, comme sur un coin de table entre la poire et le fromage, entre Lfi, Eelv, Ps et Pc entérine le blocage des prix. Comme Macron a fixé le blocage des tarifs de l'énergie après les avoir fait explosés depuis le début de l'année. J'ai lu également sur les paraphes desdits futurs potes à l'Assemblée nationale : le Smic à 1400 euros.

Bon, la CGT revendique 2 000 euros brut. Mais c'est la CGT et ni Lfi, Eelv, Ps ou Pc ne l'a contactée à ce sujet, ni pour imposer dans les conventions collectives nationales des minimas égaux au Smic en salaire et pas en prime ne comptant pas dans le calcul de la retraite.

L'accord a été signé le 3 mai 2022. Un symbole me dit-on pour l'anniversaire de l'avènement du Front populaire en France.

Si on revient à l'histoire sociale marquante en notre pays, on peut retenir que ni les socialistes, ni les communistes, et moins encore les radicaux, n'avaient dans leur programme respectif l'octroi de congés payés. Ce n'est que par la grève et l'occupation des entreprises que cette revendication fut un droit conquis.

Ceci dit, le bocal de cornichons a-t-il augmenté dans les étals? Je crois qu'il y en a en vente, pas chers, du côté de Marseille. Mais je peux me tromper.

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Hausse de 15% du prix des pâtes, 10% de l’huile : il faut augmenter les salaires !

Des taux jamais vu depuis 2008, 5% d’inflation prévue cet été… Ce mois-ci, l’inflation augmente une nouvelle fois de manière inédite, battant de nouveaux records, notamment sur les produits de première nécessité. Pendant ce temps, les salaires, les aides sociales et les retraites, eux, n’augmentent pas.

Inflation

© AFP/JOEL SAGET

Depuis le début de l’année, l’inflation fait son grand retour sur le marché mondial, et notamment celui des produits de première nécessité. Ce mois-ci, l’augmentation des prix d’un mois sur l’autre vient d’atteindre un record depuis le début de l’année d’après IRi : d’abord à +0,07 points de progression en janvier, elle était à +0,42 points en février, puis +0,89 points en mars, et enfin +1,4 points en avril. Au total, l’inflation s’élève ainsi à 2,89% comparé au même mois de l’année précédente. Et pour les seuls produits alimentaires, elle atteint +3,01%.

Près de 90% des produits alimentaires concerné

« Comme pressenti depuis plusieurs semaines, l’inflation frôle les 3% sur avril au global des PGC FLS [Produits de Grande Consommation : alimentation, hygiène personnelle, entretien] et les atteint sur les produits alimentaires (+3,01%), constate Emily Mayer, directrice business Insight d’IRI.

Elle ne concerne ainsi plus « seulement » les pâtes, les huiles ou la farine, mais « […] touche à ce jour plus de 90% des catégories PGC FLS et atteint des niveaux très élevés sur de plus en plus de produits. »

Par type de produits, c’est l’inflation des pâtes qui est devant les autres, dépassant les +15,31% en avril. D’autres produits affichent aussi une inflation à deux chiffres ou pratiquement, comme les viandes surgelées (+11,34%), les farines (+10,93%) ou les huiles (+9,98%).

« La progression de l’inflation comparativement à mars est très forte sur la viande et le café. Les catégories de papier (essuie-tout, papier toilette, mouchoirs) sont sur des niveaux élevés de progression de prix autour de +6%. » détaille Emily Mayer.

Une course qui n’est pas près de s’achever selon elle : « Avec la réouverture des négociations sur certains produits dans les semaines à venir, l’inflation pourrait atteindre +5% au début de l’été en grandes surfaces, un niveau qui n’a plus été vu depuis 2008. ». En effet, les négociations entre industriels et distributeurs avaient abouti mi-mars sur un accord d’une hausse moyenne de 3%. Or, ce chiffre est déjà dépassé et l’augmentation faramineuse des matières premières induira forcément une augmentation du prix final.

Comme le rappelle l’IRi, l’avenir de cette hausse des prix dépendra de l’issue de la guerre en Ukraine. En effet, la guerre en Ukraine couplée aux sanctions économiques contre la Russie ont provoqué des pénuries de l’énergie ainsi que des matières premières agricoles telles que le blé, le maïs, le tournesol, le colza par exemple, provoquant des répercussions sur toute la production alimentaire. Cet effet papillon est le principal responsable de l’inflation en cours.

Les travailleurs ne doivent pas payer la crise !

Mais ce n’est pas aux travailleurs de payer la crise et les conséquences de la guerre. Pour faire face aux augmentations de prix, les salaires doivent être indexés sur l’inflation et augmentés, tout comme les prestations sociales et les retraites.

Face à cette situation, l’hypocrisie du gouvernement n’a pas de limite, à l’instar des 33,64 euros d’augmentation sur le SMIC ou les 1,8% d’augmentation de certaines aides sociales accordées ce 1er mai - et toujours rien pour les retraites. Ces augmentations sont bien inférieures à l’inflation, provoquant une baisse des salaires réels.

La réponse se trouve au contraire du côté des travailleurs et des classes populaires, qui multiplient les grèves pour les salaires depuis des mois. Dans le secteur de l’aéronautique à l’usine Mecachrome, les salariés sont en lutte depuis trois semaines pour exiger l’augmentation de leurs salaires d’au moins 7%. De même chez le sous-traitant d’Airbus 3A, les travailleurs font grève pour mettre la pression sur les NAO et arracher une hausse des salaires.

Ces mobilisations sont exemplaires et donnent la voie à suivre. Mais pour les mener à la victoire, il y a urgence à construire un plan de bataille conséquent et rompre toute logique de dialogue social comme le font actuellement les directions syndicales qui accompagnent la réélection de Macron à L’Elysée. Ce sera la seule façon de faire face à l’inflation et arracher l’augmentation généralisée des salaires, loin des illusions électorales qui laissent entendre qu’une augmentation de salaire s’obtiendra avec un bulletin dans l’urne aux législatives en juin.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
« Ça a été le mépris de trop » : Chez Amazon Logistique, les braises de la colère sont encore chaudes

15 jours après la grève historique qui a touché l’intégralité des sites d’Amazon Logistique en France, la direction tente de jouer la carte de la division. Pourtant, la colère est toujours profonde, et les quelques « concessions » de la direction sont loin des revendications initiales des grévistes. C’est pourquoi un nouvel appel à la grève pour ce lundi 2 mai a été lancée par l’intersyndicale.

En grève ce 2 mai !

Crédits photo : Page facebook de la CGT Amazon France Logistique

Début avril, les ouvriers de l’ensemble des 8 sites d’Amazon Logistique de l’hexagone entamaient une grève inédite sur la question des salaires. L’objectif ? Obtenir à minima 5 % d’augmentation générale, ce qui dans un contexte de forte inflation et de croissance à 0 % est un combat pour ne pas perdre du salaire dans un secteur où la norme est au bas salaire et au recours massif aux contrats précaires.

Une grève inédite qui exprime une colère profonde dans le secteur de la logistique

De part son ampleur et sa simultanéité, le mouvement de grève a surpris jusqu’à la direction d’Amazon. « Il y a eu un basculement. Des collègues qui ont 10 ans de boite ont fait grève pour la première fois. Ça a été le mépris de trop » nous explique ainsi Robin, militant CGT sur le site de Montélimar. En soi, la grève de début avril chez Amazon témoigne d’un premier « réveil ouvrier » dans un secteur, la logistique, où les traditions de lutte sont encore à construire. Toutefois, ce mouvement s’inscrit aussi dans d’autres mouvements de la logistique à l’international. On peut penser aux grèves victorieuses du nord de l’Italie en 2011-2013 ou, plus récemment, à la victoire historique que représente la création du premier syndicat Amazon aux États-Unis. Un événement majeur qui témoigne d’un « changement de conscience dans la jeunesse précarisée » outre-Atlantique.

Face à la situation, la direction d’Amazon a revu sa position, proposant dans le cadre des négociations annuelles obligatoires (NAO) du 14 avril dernier, une augmentation de 3.5 % au lieu des 3 % initialement mis sur la table. « Les négociations de cette année, c’était pour ne pas perdre, c’est là que c’est inadmissible » dénonce Antoine Delorme, délégué syndical CGT de Amazon Logistique à Châlons-sur-Saône, avant de poursuivre : « On nous a annoncé un doublement de la prime de départ en retraite, de 1500 à 3000 € brut. Mais jusqu’à maintenant c’était une prime interne appelé « The Offer » qui est à hauteur de 8000€ brut à partir de 5 ans d’ancienneté. La direction propose aussi le 13ème mois pour tous et le statut d’agent de maîtrise pour les techniciens informatiques. Mais ces « acquis » ne concerneraient qu’une centaine de salariés et, surtout, ces prétendues « avancés » sont déjà inscrites dans la convention collective ».

La direction cherche à diviser les grévistes : œuvrer à l’unité est un enjeu majeur !

En parallèle de ces propositions, la direction d’Amazon Logistique a fixé un ultimatum : les organisations syndicales doivent signer, ou non, l’accord avant le 3 mai. Et dans le cas de figure où les NAO ne débouchaient pas sur un accord, la direction laisse planer la menace du passage en force… en revenant à la proposition faite avant la grève de 3 % d’augmentation ! Une honte lorsqu’on sait que les 3.5 % sont très loin des aspirations des salariés et qui s’apparente à une tentative de faire subir une défaite « à contre-temps » aux grévistes.

Avec cette stratégie, la direction vise avant tout à semer la division. En effet, l’une des grandes forces du mouvement, et qui a été un élément important dans la réussite de la grève, c’est que l’ensemble de l’intersyndicale, regroupant la CAT, la CFDT, la CFE CGC, Force Ouvrière la CGT, la SNATT et Sud, avait conjointement appelé à la mobilisation début avril. L’objectif est assez limpide : accentuer la pression afin de diviser le front syndical et étouffer la colère qui est encore forte. Dans le même temps, il est clair que la « contre-offensive » de la direction d’Amazon Logistique vise à diviser plus largement les grévistes dans leur ensemble, en cherchant à clore le débat en laissant dans le paysage la perspective d’une « avancée » de façade.

En ce sens, l’appel à une nouvelle journée de débrayage et de grève de l’Intersyndicale, publiée ce 1er mai, à la veille de la fin des négociations est un point positif permettant d’affiché une unité dans l’action face à la direction. Tout l’enjeu réside dans la consolidation de cette unité et son élargissement pour permettre de contre-carrer les manœuvres de la direction et de répondre d’une seule et même voix.

Une unité qui dépasse les frontières syndicales et soit celle de l’ensemble des grévistes, syndiqués ou non. Dans ce cadre, l’organisation d’assemblée générale regroupant l’ensemble des salariés afin de collectivement débattre du cours du conflit et de décider des suites permettrait de défaire la stratégie de division de la direction. L’ensemble des organisations syndicales peuvent à ce titre jouer à plein le rôle « d’outil au service des salariés », participer au débat tout en s’engageant à respecter les décisions des assemblées générales. Ce premier pas d’auto-organisation permettrait non seulement de contre-carrer l’offensive de la direction, mais pourrait aussi permettre de répondre fermement et ainsi ouvrir la perspective d’une satisfaction des revendications de l’ensemble des grévistes.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Le 1er mai 1891, malgré les interdictions patronales, les grévistes défilent dans cette cité du textile du Nord, pour réclamer la journée de 8 heures. Une bousculade, des tirs… Neuf manifestants meurent, martyrs de la cause socialiste naissante.

Le 1er mai 1891 à Fourmies (Nord), neuf manifestants, âgés de 11 à 30 ans, sont tombés sous les balles de l’armée. Rue des Archives/Tallandier

Le 1er mai 1891 à Fourmies (Nord), neuf manifestants, âgés de 11 à 30 ans, sont tombés sous les balles de l’armée. Rue des Archives/Tallandier

Ils ne se laisseront pas intimider par les agitateurs. En faisant placarder, en cette fin avril 1891, des affichettes sur les murs de Fourmies (Nord), les patrons des 37 filatures de la cité lainière font passer le message : les grévistes seront licenciés sur le champ. Le droit de cesser le travail a beau être légal en France depuis 1864, les industriels font encore la loi. D'ailleurs, le maire de la ville, Auguste Bernier - lui-même directeur d'une usine - a demandé au préfet d'envoyer l'infanterie, histoire de dissuader les fauteurs de trouble. Deux régiments de ligne, les 84ème et 145ème, s'installent sur la place centrale de Fourmies et à Wignehies, le bourg voisin, dans la nuit du 30 avril.

Pourquoi tout ce ramdam ? A lire le programme de la manifestation prévue le lendemain, ils n'ont pourtant aucune raison de se tourmenter : le programme de la journée, vendredi 1er mai, n'a rien de subversif, avec spectacles, repas fraternel, délégation en mairie, pour porter les doléances, et même un bal, pour lequel il a été demandé une permission de minuit. Sans oublier, bien sûr, un défilé pour réclamer la journée de 8 heures et une hausse des salaires. Du fait de la crise qui frappe durement le textile dans les années 1880, les rémunérations ont drastiquement baissé (parfois de moitié !) dans les usines insalubres de la ville.

Ne pas exciter la colère sourde des damnés de la laine

Voilà donc des mois que le feu couve sur les braises d'une misère de plus en plus crasse. Très implantés dans la région, les socialistes guesdistes (du nom de leur chef de file, Jules Guesde) multiplient les efforts pour y fédérer les fileurs tisserands, qui triment toute l'année dix à douze heures par jour, six jours sur sept. Paul Lafargue, le gendre de Karl Marx et cofondateur avec Guesde du Parti ouvrier (PO), est même venu personnellement haranguer les masses prolétaires mi-avril. Mais pas question pour ces révolutionnaires d'exciter la colère sourde des damnés de la laine. « Union, calme et dignité », recommandent, à mesure qu'approche le jour J, les responsables locaux du PO.

 

Nous y sommes. Dès 4 heures du matin, les meneurs, guère intimidés par les menaces patronales, sont à pied d'œuvre pour rameuter les troupes et convaincre les non grévistes de débrayer. Vers 9 heures, les esprits s'échauffent devant la filature de « La Sans-Pareille ». Des coups sont échangés avec les gendarmes à cheval, cinq manifestants sont incarcérés au commissariat. Une heure plus tard, leurs rangs ont grossi pour exiger, en vain, la libération des camarades. « C'est les 8 heures qu'il nous faut ! C'est nos frères qu'il nous faut ! », crient-ils, enhardis par la propagande anticapitaliste des leaders.

Près d'une minute de mitraille devant l'église

Vers 11 heures, de nouvelles troupes de tirailleurs débarquent de Maubeuge. Si les gendarmes, synonymes de répression, n'ont pas la cote, l'armée, elle, reste très populaire. Et les soldats sont pour l'essentiel des gars du pays. « L'armée avec nous », applaudissent les manifestants. Dans l'après-midi, beaucoup, lassés, ont fini par rentrer chez eux. Mais sur la place, les pierres fusent, la foule pousse vers les forces de l'ordre… « Feu, feu », ordonne alors le commandant Chapus.

Un portrait de Maria Bondeau, égérie de ce 1er mai sanglant à Fourmies. Collection de l’écomusée de l’Avesnois
Un portrait de Maria Bondeau, égérie de ce 1er mai sanglant à Fourmies. Collection de l’écomusée de l’Avesnois Rue des Archives/Tallandier

Simples sommations pour se dégager ? C'est ce qu'on croit, mais une trentaine de manifestants restent à terre devant l'église après la mitraille, qui a duré moins d'une minute. Kléber Giloteaux, 19 ans, qui portait le drapeau tricolore, en tête des grévistes, a été la première victime du tout nouveau fusil de l'armée, un Lebel à neuf coups, qui démontre son efficacité : neuf manifestants, âgés de 11 à 30 ans, ne se relèveront pas, dont la jeune Maria Bondeau, qui deviendra l'égérie de ce 1er mai sanglant à Fourmies.

«Sur le pavé de Fourmies, une tache innocente qu'il faut laver à tout prix»

La une du « Petit Parisien » du dimanche 17 mai 1891 (collection privée). Bianchetti/leemage
La une du « Petit Parisien » du dimanche 17 mai 1891 (collection privée). Bianchetti/leemage Rue des Archives/Tallandier

Trois jours plus tard, les obsèques réunissent 40 000 personnes, pendant qu'à l'Assemblée, la polémique fait rage entre les partisans de l'ordre et ceux de la justice sociale. Parmi eux, le député Georges Clemenceau, s'exclame : « Il y a quelque part, sur le pavé de Fourmies, une tache innocente qu'il faut laver à tout prix ».

Et aujourd'hui, que reste-il de ce vendredi rouge ? Un souvenir de plus en plus lointain derrière lequel défilent encore les cortèges du 1er mai. Mais plus guère de filatures, hélas. Toutes emportées, à Fourmies comme ailleurs, par les crises et la mondialisation qui ont fait table rase - plus redoutablement que le fusil Lebel - de tout un pan du passé ouvrier.

Le parisien.Fr

Publié par CGT FACEBOOK COMPIEGNE

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Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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