SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux

SOURCE : La CGT

 

Valdunes : la lutte contraint le gouvernement à prendre en compte le projet de la CGT
PUBLIÉ LE 19 SEP. 2023
 
Seule entreprise produisant en France des roues et essieux pour le ferroviaire, l'entreprise métallurgique MG Valdunes et ses deux sites industriels situés dans le Nord sont au cœur des enjeux environnementaux et de souveraineté industrielle. En grève illimitée depuis le 1er septembre avec leur syndicat CGT et l’ensemble des organisations CGT, les salariés de MG Valdunes ont décidé collectivement lundi 18 septembre de suspendre temporairement le mouvement...

Seule entreprise produisant en France des roues et essieux pour le ferroviaire, l'entreprise métallurgique MG Valdunes et ses deux sites industriels situés dans le Nord sont au cœur des enjeux environnementaux et de souveraineté industrielle.

En grève illimitée depuis le 1er septembre avec leur syndicat CGT et l’ensemble des organisations CGT, les salariés de MG Valdunes ont décidé collectivement lundi 18 septembre de suspendre temporairement le mouvement. Ces deux semaines de mobilisation auront permis aux salariés de faire entendre leur voix et de placer le dossier Valdunes sur le haut de la pile de l’agenda politique.

En effet, non seulement la situation de Valdunes est désormais suivie avec attention par la Première ministre et plusieurs ministères (industrie, transport, économie), mais le projet CGT de reprise globale via un consortium Alstom-SNCF est à l’étude et relayé par d’autres acteurs, notamment dans le champ politique.

Pour avoir toutes les chances d’aboutir, ce projet doit maintenant être étudié en profondeur par l’ensemble des parties, ce qui nécessite du temps (plusieurs semaines) et des conditions favorables. C’est dans cette logique que s’inscrit la suspension du mouvement, qui ne signe pas la fin de la mobilisation des salariés pour ce projet, mais bien leur volonté de lui accorder les meilleures circonstances d’élaboration. Il s’agit aussi de garder des forces pour la poursuite de la lutte car les salariés savent qu’ils doivent avant tout compter sur le rapport de force.

Ainsi, les salariés de MG Valdunes restent fermement mobilisés pour faire valoir l’évidence environnementale, sociale et industrielle du projet de reprise globale. Ils continueront à faire entendre leur voix ces prochaines semaines à travers différentes actions de sensibilisation des acteurs de leur champ professionnel, des décideurs politiques locaux et nationaux et des commanditaires publiques :

  • Le 5 octobre dans le cadre d’une journée de mobilisation régionale des travailleuses et travailleurs de la Métallurgie
  • Le 6 octobre dans le cadre d’un rassemblement revendicatif à la communauté urbaine de Dunkerque
  • Le 13 octobre lors de la réunion du Conseil d’administration d’Ile de France Mobilité à St-Ouen

Plus que jamais, la lutte continue, et les salariés restent unis derrière un seul et même objectif : l’avenir de MG Valdunes, qui peut et doit vivre !

Publié par FSC

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Eugène Varlin

Publié par Luttesinvisibles

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« Travailleurs de l’hôtellerie-restauration, il est temps de s’organiser »…

Théo est salarié dans l’hôtellerie-restauration et il a répondu à notre appel à témoignage dans le cadre de notre enquête sur la “pénurie” de personnel dans le secteur. Nous publions avec son accord son texte, révoltant, puissant et mobilisateur. Nous adressons au passage toute notre sympathie et notre soutien aux travailleuses et travailleurs de la restauration qui, ces derniers mois, nous ont écris pour confirmer l’état d’exploitation et de détresse avancée dans lequel ils se trouvaient. Cela doit changer, et vite.

Je suis du Pays Basque, une région où beaucoup d’emplois sont saisonniers et où foisonnent les emplois précaires : CDD, intérim, contrats étudiants. Elle est considérée par Pôle Emploi comme une « zone tendue », c’est-à-dire que beaucoup de postes sont à pourvoir. Cette rhétorique est utilisée par les conseillers Pôle Emploi oralement lors de nos échanges, mais pas sur le site officiel ou dans les offres, peut-être est-ce une expression utilisée par les dirigeants pour mettre la pression aux conseillers pour nous mettre au boulot.

Des conditions inacceptables

Dans la restauration où je travaille, les conditions sont difficiles depuis toujours : des contrats de 39 heures au minimum, des coupures (bosser de 11h à 15h et reprendre à 18h jusqu’à la fermeture), un taux horaire au SMIC pour la plupart des postes, alors que l’inflation est là. Ne parlons pas des loyers dans la région et de cette pénurie de logement, due aux locations saisonnières et aux parcs immobiliers géants de riches parisiens qui ont des maisons et appartements secondaires vides. (Et comme il y a peu de CDI, dur de se loger bref). 

POURSUIVRE LA LECTURE :

Publié par EL DIABLO

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Vendre du carburant à perte pour une baisse d'environ 50 c par litre, dixit Olivier Véran

Le porte-voix de l'Elysée, avec rang de ministre toutefois, l'a dit sur RTL.

 

"C'est un geste considérable" a renchéri sur France info Peyre-Alexandre Anglade, président macroniste d'une commission à l'Assemblée nationale. Attention, c'est pas pour de suite, mais pour début décembre. Quand papa Noël descendra du ciel? Et seulement pour quelques semaines et donc pas jusqu'à Pâques.Faut bas abuser sur la solidarité des grandes surfaces.

Mais vendre à perte, c'est à dire que les distributeurs de carburants nous arnaquent depuis très longtemps sur les tarifs affichés sur leurs pompes. Et avec  ce produit d'appel à la baisse, les consommateurs se rueront dans les étals des marchands proposant la vente du carburant à perte.

Attention, dit la Macronie, notre gouvernement veillera à ce que les prix à la consommation ne deviennent pas des profits prohibitifs pour la grande distribution. Comme aujourd'hui?

Bon, comme dit le proverbe, aux pays des aveugles, les borgnes sont rois. Autrement dit, au pays des moutons à tondre, le capitalisme est toujours roi.

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

 

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Mais là-bas aussi la lutte paye et le patronat du secteur, pourtant très puissant, commence à céder devant la détermination des travailleurs !

Eh là-bas aussi la course aux armements, la priorité absolue donnée aux profit du complexe militaro-industriel, la recherche du maintien de l'hégémonie planétaire a pour conséquence l'inflation des prix et la compression des salaires !

Bataille pour la PAIX, bataille pour les salaires MEME COMBAT !

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Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

À la rentrée, près de 80 % des salarié·es de l’Intermarché de Champigny se sont mis·es en grève pour obtenir de leur direction le respect qui leur est dû. Après une semaine de lutte, elles et ils ont remporté une belle victoire : 100 euros d’augmentation de salaire mensuels et bien d’autres avancées.

Cela fait maintenant longtemps que la situation se dégrade au sein de l’Intermarché à Champigny. La direction n’a que peu d’égards à l’endroit des salarié·es, qui pourtant se démènent chaque jour pour satisfaire les client·es au mieux.

Des conditions de travail déplorables

Ici, beaucoup de salarié·es sont payé·es au Smic depuis de nombreuses années – certain·es d’entre elles et eux ont plus de vingt ans d’ancienneté. Les conditions de travail sont elles aussi à déplorer. Les salarié·es font régulièrement les frais du manque de climatisation ou de chauffage en fonction de la variation des températures. Elles et ils sont également victimes de la polyvalence à outrance : tenue de la caisse, accueil, remise des colis – le magasin fait point relais de livraison –,mise en rayon… Et lorsqu’il manque un prix en caisse, les caissier·es doivent elles et eux-mêmes aller relever les prix en rayon.

Les salarié·es décident d’entrer en action !

Le 31 août dernier, jour ou tout le personnel est convoqué pour l’inventaire annuel du magasin, les salarié·es décident donc de passer à l’action. À 5 heures du matin, Michelle, déléguée syndicale CGT, annonce au patron que les salarié·es se déclarent grévistes sur le champ.

Il n’aura pas fallu beaucoup de temps pour poser les revendications sur un tract : les salarié·es avaient tout préparé en amont avec l’aide de l’union locale CGT de Champigny.

Les demandes sont évidentes pour toutes et tous :

  • une augmentation de salaire de 10 % par mois pour tou·tes ;
  • l’exigence de respect vis-à-vis des salarié·es au sein du magasin ;
  • le paiement des heures supplémentaires ;
  • l’amélioration des contions de travail : climatisation, chauffage, arrêt de la polyvalence ;
  • le respect de la convention collective.
De nombreux soutiens venus de tout le département

Ce matin-là, une vingtaine de salarié·es en  CDI cessent le travail et organisent le piquet de grève devant la devanture du magasin, accompagné·es de Laurence Viallefont, secrétaire générale de l’union locale CGT de Champigny. Les banderoles et les drapeaux rouges de la CGT sont très vite installés. Dans le quartier, tout le monde vient faire ses courses à l’Intermarché – c’est un lieu où la population locale aime se rendre.  La pétition en soutien aux grévistes circule parmi les habitant·es venu·es en grand nombre manifester leur solidarité avec les salarié·es engagé·es dans cette lutte. Les client·es, qui connaissent bien les salariés de cet Intermarché, apportent chaque jour de la nourriture sur le piquet de grève pour les soutenir, parce que leur combat est juste.

Très vite, d’autres soutiens affluent de tout le département. De nombreux camarades des syndicats CGT alentours (Carrefour Ormesson, Ferc 94, Air Liquide, Ikea, Fapt 94, territoriaux de Champigny, Monoprix de Champigny…) manifestent leur solidarité.

Mais aussi évidement les organisations territoriales de la CGT : l’union départementale du Val-de-Marne, les unions locales CGT de Choisy, de Créteil, de Fontenay, de Vitry… La Fédération CGT du commerce et des services ne manque bien sûr pas à l’appel.

D’autres soutiens se manifestent comme ceux de la sénatrice Laurence Cohen et du sénateur Pascal Savoldelli, qui interpellent la préfète du département et le groupe Intermarché pour défendre les salarié·es et inviter la direction à ouvrir des négociations salariales sérieuses.

Enfin, pour soutenir financièrement les salarié·es en lutte, une caisse de grève est mise en place. Les dons y arrivent très nombreux.

Une belle victoire

Après huit jours de grève continue, le groupe Intermarché dépêche un représentant à Champigny pour ouvrir des négociations avec la CGT. Le 7 septembre, après plusieurs heures de discussions, la direction du magasin lâche enfin les points suivants :

  • le droit au respect ;
  • une augmentation de salaire de 100 euros par mois ;
  • le paiement ou la récupération des heures supplémentaires ;
  • la mise en place de la pointeuse en bas de l’escalier ;
  • le paiement de la prime conventionnelle pour les salarié·es en congé maladie ;
  • le paiement des jours enfant malade ;
  • la reconnaissance de la déléguée syndicale dans son mandat .

Les salarié·es sont consulté·es et sont d’accord pour reprendre le travail le lendemain. Une très forte union autour des salarié·es du magasin s’est créé au cours de la lutte.

Nombreux·ses sont les salarié·es venu·es se syndiquer à l’issue de cette grève. Le syndicat CGT du supermarché accueille désormais plus d’une dizaine de salarié·es, et compte bien poursuivre sur cette lancée. Il dispose de toute façon de la confiance des travailleur·ses, exprimée à 100 % lors des dernières élections professionnelles.

Montreuil, le 13 septembre 2023
Rédigé par M.A.

Les salarié·es d’Intermarché à Champigny arrachent 100 euros mensuels par la grève

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Arrêts maladie: la Cour de Cassation donne raison à la CGT

Il est d'usage chez le patronat de dire de son salarié en arrêt maladie qu'il est en congé maladie. Manière d'affirmer qu'il a obtenu des congés supplémentaires et donc de lui sucrer une partie de ses congés annuels. La Cour de cassation du 23 septembre 2023 donne raison à la CGT pour affirmer dans la jurisprudence tout le contraire.

 

  • les salarié·es en arrêt maladie, d’origine professionnelle ou non professionnelle, pourront acquérir des congés payés pendant leur période d’arrêt maladie. C'est à dire aucune réduction du droit à congé payé durant son arrêt maladie.
  • en cas d’accident du travail, l’accumulation des jours de congé payé ne sera plus limitée à la première année de l’arrêt de travail ;
  • la prescription du droit à congé payé ne commence à courir que lorsque l’employeur a mis le ou la salarié·e en mesure d’exercer son droit en temps utile.

De plus, dans un arrêt du même jour, la Cour retient des garanties similaires s’agissant du congé parental et confirme la nécessité pour l’employeur de reporter les congés payés acquis par le ou la salarié·e après la date de reprise du travail. La CGT salue cette décision dont les principales bénéficiaires sont des femmes !

Il reste que gouvernement et patronat mettent en musique ces arrêts de la Cour de cassation, l'instance juridique suprême en France.

 

Les multiples textes législatifs à venir ou en cours d’examen par le Parlement en sont autant d’occasions.

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

SOURCE : L'Humanité

Assurance chômage : la CGT dénonce un « hold up »

Les négociations sur l’assurance chômage démarrent ce mardi, sous des auspices peu favorables, selon les organisations syndicales, qui dénoncent le verrouillage et le carcan budgétaire imposés par l’exécutif

 

Hayet Kechit

Les négociations sur l’assurance chômage réunissant syndicats et patronat s’ouvrent ce mardi 12 septembre. Destinées à définir en concertation les normes pour les deux années à venir, ces négociations s’ouvrent sous des auspices qui n’incitent pas les organisations syndicales à l’optimisme, vu le cadre imposé par l’exécutif.

Si les syndicats, dont certains avaient durant l’été annoncé hésiter à se rendre à ces pourparlers, seront bien présents autour de la table, ils n’en restent pas moins très remontés par la tournure prise par ces négociations censées déboucher sur un accord le 15 novembre.

Le gouvernement a en effet envoyé, dès le 1er août, une feuille de route, en guise de lettre de cadrage, aux différents partenaires. Le message de l’exécutif y est très clair : pas question de revenir sur les réformes entreprises en 2019 – potion amère pour les demandeurs d’emploi qui ont vu une régression spectaculaire de leurs droits.

Ces derniers ont déjà commencé à en payer le prix, avec un durcissement des règles d’indemnisation pour ceux qui alternent contrats courts et périodes de chômage ; la nécessité de cotiser plus longtemps pour espérer une ouverture des droits ; la dégressivité de la prestation pour ceux dont le salaire dépassait 4 850 euros par mois quand ils étaient en activité.

Un « hold up » sur 12 milliards de budget de l’Unedic

Le gouvernement ne compte pas non plus soumettre à ces négociations la réforme, plus récente et tout aussi préjudiciable, consistant à réduire la durée d’indemnisation, en se basant sur le principe de « contracyclicité ». Il s’agit d’une modulation des indemnités chômage en fonction de la conjoncture économique, offrant un traitement plus favorable quand le marché du travail se porte mal que lorsque les entreprises embauchent facilement.

Au-delà de ces réformes qui, depuis quatre ans, rognent sur les droits des travailleurs, le gouvernement ferme toute possibilité de discussion, comme il l’a réaffirmé dans cette lettre de cadrage, sur son projet de ponctionner une partie du budget de l’Unedic, en arguant qu’il est excédentaire depuis 2022.

Douze milliards devraient ainsi être réinjectés, sur une durée de quatre ans, notamment dans France Travail, le nouveau dispositif qui remplacera Pôle emploi, et déjà dénoncé par de nombreuses associations et les syndicats comme un outil de sanctions à l’égard des allocataires du RSA.

« Il s’agit là clairement d’un hold-up », dénonce Denis Gravouil, le secrétaire confédéral de la CGT chargé de ce dossier, qui ne compte pas respecter, lors de ces négociations, « le carcan budgétaire » imposé par la feuille de route gouvernementale.

« Ces douze milliards vont manquer pour améliorer les droits des salariés. Or, on en a bien besoin pour délivrer des allocations dignes à ceux qui se retrouvent au chômage et ils sont des millions. Seul un tiers des chômeurs est aujourd’hui indemnisé. Et dans ce tiers, quatre chômeurs sur dix ont une allocation inférieure aux minima sociaux », détaille le représentant syndical.

La décision de puiser dans le budget de l’assurance chômage reposerait par ailleurs, selon lui, sur un scénario peu réaliste, celui d’une baisse du chômage à 4,5 % en 2027, « à laquelle personne ne croit, même pas les économistes de l’Union européenne ».

Syndicats et patronat dénoncent un « cadre très contraint »

Autant de sujets de crispation qui, notamment sur la méthode, braquent l’ensemble des organisations syndicales, et même des représentants du patronat. Tous déplorent l’absence de marge de manœuvre imposée en amont de ces pourparlers qui ne leur laissent « le droit de toucher à rien », selon les termes de Denis Gravouil.

La CGT compte bien contourner les exigences de l’exécutif pour faire avancer les droits des salariés; une démarche partagée par la CFDT, dont le secrétaire national Olivier Guivarch, déplore, lui aussi, « le cadre très contraint » dans lequel les organisations sont enfermées, mais qui tient, en même temps, à « examiner tout ce qui peut être fait pour améliorer les droits et l’accompagnement des demandeurs d’emploi ».

Publié par FSC

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