Non au licenciement de notre collègue
Selon Georges Du Rouchet, responsable de l’Union locale compiégnoise, la jeune femme, embauchée il y a environ deux ans, « est très mal, mais elle est heureusement très bien entourée ». Il poursuit : « Lorsqu’elle a rendu sa caisse en fin de journée, il y avait le compte juste, ce qui est rare, surtout quand il y a du monde. » L’enseigne soupçonnerait donc la jeune femme de s’être mis un éventuel surplus dans la poche.
Ce n’est pas la première fois que la CGT et la direction s’affrontent. À trois reprises, déjà, le syndicat s’est élevé contre des licenciements, notamment celui de la déléguée syndicale, Sabah Chaïbi, « finalement réintégrée grâce à une décision de justice », assure Georges Du Rouchet.