Depuis le 26 mars 2018, près de 150 factrices et facteurs des Hauts de Seine sont en grève illimitée pour empêcher le licenciement de l'un d'entre eux, Gaël Quirante, et aussi contre la dégradation de leurs conditions de travail. «En défendant la cause des postiers des Hauts de Seine, c'est une société de droits collectifs et de solidarité que nous défendons» soulignent les nombreuses personnalités qui signent cette tribune. Une caisse de grève est en ligne.
Depuis le 26 mars 2018, près de 150 factrices et facteurs de plusieurs bureaux de postes des Hauts de Seine sont en grève illimitée.
Elles et ils sont entrés en grève dans un premier temps pour empêcher le licenciement de l'un d'entre eux, Gaël Quirante, postier et délégué syndical.
La direction de la Poste s'acharne à vouloir le licencier depuis dix ans mais sans succès malgré de multiples tentatives. Or, en ce début d'année, elle est arrivée à ses fins grâce au coup de pouce de Muriel Pénicaud. Elle a autorisé son licenciement contre l'avis de ses propres services au ministère du travail qui n'y voyaient qu'acharnement anti-syndical de la Poste et sa volonté de se débarrasser de ce militant, comme d'un caillou dans son soulier.
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