Que la CFDT y soit représentée à un haut niveau ça va de soi : le rôle que la CFDT et ses dirigeants assument c'est d'accompagner la casse sociale, de dénoncer les "violences" du mouvement, de venir au secours d'un Macron menacé de ne plus pouvoir poursuivre ses contre-réforme dans son quinquennat !
Mais que va foutre dans ce m... la secrétaire générale adjointe du syndicat CGT du spectacle quand ses très nombreux camarades se battent dans les entreprises et dans les rues , en parallèle et aux côtés des lycéens, des gilets jaunes , souvent soumis à la répression policière ou juridique?
Dans cette puissante montée des luttes de classe avec ses contradictions que nous connaissons, il n'y a pas de place pour un en même temps de "concertation" avec le pouvoir et le patronat, d'alliance avec une CFDT totalement jaunie dans le sens traditionnel et historique qui s'applique à ceux qui trahissent les luttes ouvrières et un pied dans les luttes.
Il faut choisir !
A la direction confédérale aussi il faut choisir : syndicalisme rassemblé OU engagement clair dans la construction de la résistance et la convergence des luttes !
Pas de place pour un ami-ami entre Philippe Martinez et Laurent Berger comme en ce 6 décembre dernier !
Ces choix qui remontent loin en opposition au caractère de classe de la CGT pourtant revendiqué doit donc être fortement contesté - et il l'est- et pour le 52e congrès faire l'objet d'un examen sérieux !
Publié par FSC